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sur 554 notes
Sam est un étudiant américain solitaire. Avant de débuter son cursus de droit, il décide de passer quelques semaines à Paris. Son séjour prend une tournure assez routinière jusqu'à sa rencontre avec Isabelle. Elle est traductrice, sophistiquée, plus âgée que lui, mais surtout mariée. Très vite, ils deviennent amants. Mais Sam comprend dès le début qu'elle ne veut pas quitter son mari.
J'ai été déçu pas embarquée par cette histoire. Les personnages sont très caricaturaux : l'étudiant américain à la recherche d'une aventure et la bourgeoise parisienne qui se dit libérée mais protège son confort. Tout est très prévisible.
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Je suis souvent partagée avec les livres de Douglas Kennedy car en général, je suis autant emballée par le début que déçue par la fin. J'avais adoré l'un de ses thrillers sur l'histoire d'un couple et dont j'ai oublié le titre, mais pour tous ceux que j'ai lus par la suite, j'ai trouvé que malgré un suspense bien mené, la fin tombait complètement à plat. Ici, pas de suspense haletant, l'auteur nous propose cette fois une histoire d'amour qui s'étend sur plusieurs années et j'ai eu envie de retenter l'expérience. J'ai bien aimé le début avec cette initiation à l'amour de cet étudiant américain par une Parisienne aux moeurs assez libres, mais au bout d'un moment, j'ai commencé à vraiment m'ennuyer et j'ai fini par laisser tomber. Je n'ai pas réussi non plus à m'attacher aux personnages, cette Isabelle que j'ai trouvée à la fois ennuyeuse à mourir et d'un grand égoïsme, et ce jeune homme tellement épris que ça le rend mou et sans amour-propre. Peut-être que ça bascule ensuite et devient un peu plus piquant mais je ne le saurai pas.
Tant pis
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Je dois vous avouer que je trouve les rousses trop canons et quand j'en vois une en couverture, j'ai du mal à résister mdr ! Pour une fois, j'ai lu le résumé et je n'aurais pas du, je m'étais imaginée une toute autre histoire. Dans le résumé, on parle de coup de foudre mais ce n'est pas du tout ce que j'ai ressenti durant ma lecture. Je m'attendais à une romance passionnée, mais j'ai quand même passé un bon moment malgré ma déception. J'aime découvrir l'amour sous toutes ses formes et ressentir les émotions de chacun. Ici, on observe les thèmes de l'infidélité, la fâcheuse routine d'un couple qui ne s'aime plus, des choix difficiles, des incertitudes,... On découvre la vie d'un homme à la poursuite du bonheur, de la femme de sa vie, de son évolution à travers ses rencontres,...

Une histoire qui ne m'a pas convaincue de A à Z mais j'ai trouvé la plume super belle avec des descriptions du quotidien qui mènent à la réflexion.
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Ca a été mon roman chaud-cacao de juin que j'ai ensuite délaissé pour le reprendre à la rentrée. Je dirais que ce roman est en deux parties. La première, c'est le résumé, la quatrième de couverture. La deuxième, c'est Sam qui entre dans la maturité et qui comprend qu'il faut parfois se contenter de ce que la vie nous offre sans chercher davantage. Un livre sur le quotidien d'un couple qui n'a pas de quotidien, un roman sur une histoire d'amour profonde et sans doute un ovni dans l'oeuvre de Kennedy. C'est très bien écrit, prenant et surprenant, triste et doux, optimiste et réaliste. En une citation : « Un jour toi aussi, tu seras marié et tu comprendras que les chaines du mariage sont bien lourdes et qu'il faut parfois être plus que deux pour les porter. »
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Histoire d'une passion contrariée qui a duré 30 ans entre un jeune américain, Sam, qui vient jeter sa gourme à Paris avant de commencer des études universitaires exigeantes et Isabelle, de 14 ans son aînée, mariée, traductrice.
Isabelle fixe les règles de cet amour de 17h à 19h, 3 jours par semaine jusqu'à ce que Sam rentre aux Etats-Unis; ils resteront liés au fil des années qui s'écoulent, malgré l'océan qui les sépare, malgré d'autres rencontres, le mariage de Sam, les malheurs de la vie. C'est toujours Isabelle qui fixera les conditions de leur amour, préservé de l'usure conjugale par l'éloignement, le manque, l'idéalisation, le rêve d'autres possibles .
Les femmes en prennent pour leur grade : Isabelle, une Mme Bovary autoritaire avec son amant, psychologiquement instable; Rebecca, l'épouse névrosée, ivrogne, violente qui finit grenouille de bénitier; Phoebe, la maîtresse américaine, obsédée par le tic-tac de son horloge biologique, à la recherche effrénée d'un géniteur. Les hommes ne sont guère plus enthousiasmants : Sam est velléitaire et pleutre, son père est un homme froid et distant qui n'a jamais montré d'amour pour son fils, Charles, le mari d'Isabelle, collectionne les maîtresses. Bref, une galerie de personnages pour lesquels je n'ai ressenti aucune empathie et un roman qui se laisse lire sans déplaisir mais d'où l'émotion est absente et qui ne laissera pas un souvenir impérissable.
Je constate, à nouveau, que des auteurs que j'avais beaucoup appréciés dans le passé, de tout style (Douglas Kennedy, Harlan Coben, Emmanuel Carrère, Camille Laurens, Philippe Besson, Bernard Minier...)me laissent maintenant indifférente, voire m'ennuient. Mes goûts ont-ils changé avec les années qui passent? Peut-être. Les auteurs utilisent-ils des recettes éculées sans se renouveler? Vraisemblablement. Est-ce dramatique? Assurément non puisque j'ai ainsi l'occasion de découvrir de nouveaux talents et de belles pépites encore à l'abri de la notoriété.
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La recherche de l'amour, les tâtonnements pour trouver la belle personne, celle avec qui on terminera sa vie, les rencontres.
Et même si l'on voit que quelque chose cloche, on continue, on essaie car finalement personne n'est parfait.
Dans cette quête, le premier amour est-il finalement le bon ?
Dans la vraie vie, c'est vrai qu'on se quitte, on se retrouve, on tâtonne pas mal.

Cela dit, dans ses derniers romans, on ne retrouve plus le Douglas Kennedy d'avant. Mais celui-ci reste toutefois agréable et facile à lire.

Et surtout, comme le laisse penser l'auteur, n'allons pas croire que toutes les femmes sont dominatrices ou névrosées !
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Pa s de clichés sur les français comme je l'ai lu, pas de clichés ni d'humiliation de la femme, comme je l'ai entendu, une belle histoire comme sait les raconter Douglas KENNEDY avec du bonheur, du malheur mais surtout cette superbe écriture qui nous transporte.
Isabelle l'après midi c'est une histoire d'amour impossible, comme souvent chez D; Kennedy, ce sont des rendez vous trois fois par semaine puis une longue séparation, puis des retrouvailles , puis des blessures de la vie, cruelles mais la vie l'est et ces deux êtres qui malgré cela restent en contact car leurs sentiments perdurent.
Isabelle l'après midi est un roman très agréable que je ne voulais pas finir mais que j'ai dû terminer.
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Ah la la… Douglas Kennedy. C'est mon auteur chouchou. le seul dont j'achète le roman la semaine même de la parution. Pourtant, je ne peux pas dire que cela soit de la « grande » littérature, ni que j'ai aimé tous ses romans. Mais c'est ainsi, il y a un supplément d'âme dans son écriture qui me touche très fréquemment, notamment parce qu'il lui tient à coeur de disséquer finement ses personnages d'un point de vue psychologique. Pour moi, Quitter le monde est son roman le plus abouti, et sa trilogie La Symphonie du hasard un raté.
Mais qu'importe, je lui pardonne tout. Et oui, c'est cela d'avoir un véritable lectorat fidèle ! Si vous n'avez jamais lu un seul de ses ouvrages, alors il faut le faire, parce qu'il s'agit véritablement d'un auteur talentueux. Cet instant-là, Quitter le monde ou le roman que je vais présenter ici méritent une attention particulière.

Isabelle, l'après-midi est un roman au titre très romantique et nostalgique je trouve. Ce n'est pas un roman classique pour l'auteur, car il n'y a ni rebond ni suspens. C'est un roman d'amour, une affaire de grandes personnes, un récit sur une passion qui durera toute une vie, avec de véritables hauts et de très longs bas.

C'est l'histoire d'une liaison adultère, d'un « 5 à 7 » comme le dit lui-même l'auteur, entre Isabelle, une française mariée et bien mariée, et Sam, un américain plus jeune qu'elle, souvent de passage à Paris. Jusqu'ici, rien de dingue, mais Isabelle, l'après-midi n'est pas une histoire de dingue. Elle est même une histoire des plus fréquentes et des plus douloureuses. Ce genre d'histoires qui fait couler beaucoup d'encre et de larmes, a inspiré de nombreux films, et continue de faire tourner le monde.
Samuel aime Isabelle, et Isabelle aime Samuel. Évidemment, la question se pose : Isabelle doit-elle quitter son mari pour Samuel ? Je ne peux pas ici donner d'indice sur la suite de l'histoire, puisque c'est l'affaire du roman. Il y a des soubresauts, des moments où l'histoire avance, des moments où elle recule, et puis il y a la chute. Mais au final, ce qui est intéressant, c'est la trajectoire des personnages quant à cette histoire d'amour, la fidélité émotionnelle qu'ils lui accordent tout au long de leur vie.

Une passion cachée est une passion qui ne meurt pas, ou si peu. Comme elle n'est jamais vécue au grand jour, jamais inscrite dans la routine du quotidien, jamais soumise aux lessives, aux enfants, au travail et tutti quanti, la passion demeure incandescente très longtemps. Chacun veut posséder l'autre, en faire un compagnon permanent, au risque pourtant de briser ce que la passion a de plus beau : son énergie de feu. Isabelle et Sam vont parfois arrêter de se voir, pendant des années même. Mais peut-on oublier une passion qui n'a jamais vu la lumière du jour ? Reste-on amoureux de cette personne que l'on a aimée dans les limbes du secret pendant longtemps ? Cette passion aurait-elle été aussi intense si les protagonistes s'étaient mis en couple d'emblée ? Peut-on aimer son mari ou sa femme et une autre personne ? Une passion peut-elle survivre au poids des années ?

Ces questions ne sont pas les miennes, mais celles de l'auteur. J'ai pu assister à un zoom avec lui où nous, fidèles lecteurs, pouvions poser toutes nos questions. Douglas Kennedy expliquait qu'il voulait, avec ce roman, essayer de répondre à ces questions presqu'existentielles en amour, sans avoir aucune certitude. Il rappelait en rigolant qu'il avait divorcé deux fois et qu'il ne possédait pas les clefs, mais qu'il lui semblait certain qu'une histoire protégée du quotidien demeurait éternelle, même terminée, car le coeur en garde un souvenir brûlant. Il a conclu en rappelant que la fidélité physique relevait d'un choix privé et n'avait peut-être pas d'importance, mais que la fidélité sentimentale, émotionnelle, le fait de garder quelqu'un dans son coeur même sans le voir durant un temps indéfini relevait d'un amour excessivement fort.

Isabelle, l'après-midi comporte de très jolies scènes d'amour, pas vraiment érotiques, mais pas sans intérêt sexuel. L'auteur a justement raconté combien ces scènes étaient dures à écrire. Dans le cadre d'une passion, le sexe a son importance, on doit vraiment ressentir que les héros « font l'amour ». Il faut que ces passages ne soient ni trop torrides pour ne pas écrire un porno, ni trop gnangnan pour passer à côté de la flamme sensuelle de l'amour profond. J'ai beaucoup aimé ces lignes, j'en étais presque parfois gênée, comme si j'étais dans une intimité qui n'était pas la mienne (ce qui est vrai, cela dit ). Mais Isabelle, l'après-midi comporte aussi de la rancoeur, de la colère, de la tristesse, du chagrin, de la perdition, et toutes ces choses qui font la densité d'une histoire entre deux personnes.

Je me suis surprise à verser une larme dans le train en le lisant, mais pas sur un passage amoureux, non, sur un passage entre Samuel et un enfant, son enfant. Un passage sur l'amour parental qui m'a saisie aux tripes. Pleurer devant un film, ça m'arrive assez aisément. Mais pleurer en lisant, je crois que ça ne m'était plus arrivé depuis Petit pays.

Un livre très intime, très tendre, très amoureux finalement, qui rappelle combien la vie est pleine d'ambivalences, de choix et de non-choix, de bons et de mauvais timing, d'envie et de peur. Mais peut-être que sans tout cela, la passion ne peut pas durer très longtemps…

A la question « Isabelle a-t-elle existé pour vous ? », Douglas Kennedy a souri et a répondu : « Ça, c'est mon histoire privée », avec cet accent américain que j'adore, tout en précisant malgré tout que c'était son livre le plus intime. Bon sang je le kiffe !



Jo la frite

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Dans les années soixante-dix, SAMUEL étudiant américain devient l'amant d'Isabelle, une femme mariée plus âgée lors de son année sabbatique à Paris. Au fur et à mesure de leurs cinq-à-sept réguliers et passionnés, Samuel devient de plus en plus amoureux d'Isabelle et veut s'engager outre mesure. Mais elle, elle refuse l'idée, par gratitude pour son mari avec qui elle projette d'avoir un enfant, et par conséquent veut s'abstenir de revoir Samuel jusqu'à la réalisation de son voeux de maternité. Elle fera signe au jeune homme à ce moment-là…
Alors à son retour aux États-Unis pour son stage, Samuel ses nouvelles. Mais attendant, il poursuit sa carrière avec l'espoir d'un courrier d'Isabelle.
Après plusieurs mois, Samuel décide peu à peu de construire sa propre vie sentimentale alors il tombe amoureux mais sans oublier pourtant Isabelle… Alors, quand Isabelle resurgit dans sa vie, des choix s'imposent…
Mon avis
Un grand remerciement aux éditions Belfond et au site Netgalley pour cette découverte du dernier ouvrage de Douglas Kennedy pour ce service de presse. J'ai toujours apprécié les tableaux conjugaux dépeint par cet auteur – notamment dans le thriller 👉 « L'Homme qui voulait vivre sa vie », et avec « Isabelle, l'après-midi », celui-ci a une fois de plus confirmé son talent de donner du relief à l'existence linéaire de ses héros. Une passion américano-frenchie très agréable, où la relation basée sur des cinq-à-sept est très bien décrite.

Douglas Kennedy parvient à nous captiver avec une histoire qui pourrait paraître banale à première vue : À Paris, une relation extraconjugale dans la garçonnière d'une femme mariée avec un étudiant bien plus jeune. Difficile de chroniquer ce roman pour lui rendre véritablement hommage à sa juste valeur car je redoute de paraphraser bêtement des amours contrariés. En effet, D. Kennedy livre des éléments bien plus complexes qu'une simple romance. le dynamisme de son écriture supprime toute idée de récit guimauve autour d'un amoureux transi pour une femme inaccessible. L'incartade devait se réduire pour elle à une aventure, mais peu à peu la relation va se transformer en une idylle romantique pour lui, teintée d'une dimension raisonnable de la réalité. Des rebondissements permanents entre Paris et Boston empêchent l'ennui jusqu'à un final surprenant.

Voici 4 mots qui pourraient résumer le livre avec : Idylle — inaccessible — Intimité — infirmité

Idylle adultérine
Quand se mélangent romantisme, séduction, sexe, amour, et harmonie entre deux personnes, tous ces éléments composent les agréments d'une vie affective. Et le dosage de chaque ingrédients varie selon les interactions des uns et des autres, ce qui va constituer ou non une idylle, durable ou non. Un hasard du calendrier et de la vie déterminera les choix et l'avenir sentimental de chacun…

Le roman commence dans les années 70. On sourit devant la complexité des rendez-vous, et de la logistique nécessaire alors ! Il fallait se contenter d'appels téléphoniques sous réserve de trouver un téléphone, des lettres postales où des télégrammes pour les missives urgentes. On est loin des moyens technologiques contemporains qui nous permettent l'immédiateté ! Et comme l'histoire entre Samuel et Isabelle s'étale sur plusieurs décennies, sans vouloir gâcher la surprise de la lecture, l'évolution de la communication suit celle de la science.

De l'intimité
Nous pénétrons dans l'intimité des couples que forment Samuel avec différentes femmes. Ici, selon l'interview radiophonique accordée à RTL, l'auteur a confié son labeur à propos des scènes érotiques qui lui ont valu des heures de réécriture. On admire son travail car explicites sans être obscènes, ces pages insistent aussi sur l'aspect sentimental et affectif du tempérament de Samuel qui prime sur le côté physique de la relation.

Inaccessible amour
Beaucoup d'émotions et de compassion pour Samuel, qui ne semble pas bien cerner les femmes qu'il choisit. Sincère, il ne demande qu'un amour réciproque. Et se pose alors la question du choix et de la continuité d'un mariage durable avec les aléas qu'il contient.

mais la bonté de Sam énerve :
La complaisance du pauvre Samuel aux diktats de ses maîtresses ou femmes va un peu énerver le lecteur, en tout cas moi. Avec ses amours, il tente d'oublier cette fameuse Isabelle, d'une intransigeance et d'une inconstance qui dérangent… autant que l'emprise qu'elle a sur lui. Isabelle sait s'imposer, elle dicte ses règles et il s'y plie… En perpétuelle contradiction, elle reste inaccessible.

Quand on dit qu'on reproduit nos erreurs, Samuel illustre bien le problème. Ses amours donnent le vertige car on se dit qu'il a vraiment le chic pour trouver des femmes compliquées et qui le malmènent. Il tend à s'éprendre de femmes en apparence fortes, mais qui ne maîtrisent pas toujours leurs faiblesses nerveuses.

Handicap et couple
Douglas Kennedy propose à travers ses pages et ses personnages une réflexion sur le mariage, et l'art de faire durer l'amour…

Ici, une interaction survient dans le couple de Samuel et son épouse. Ils subissent ce que beaucoup de couples endurent lorsque survient le handicap d'un enfant dans une famille ; dans ce cas le fils de Samuel est atteint d'une surdité due à une méningite. D. Kennedy décrit avec justesse les maux de sa femme, sa culpabilité et son impuissance devant cette fatalité.
Plus de détails sur le blog :
Lien : https://lesparolesenvolent.c..
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Merci 🙏🏼 pour ce merveilleux moment de lecture...la psychologie des personnages est comme d habitude magnifiquement construite et on s attache à Sam et Isabelle, on traverse la vie avec eux, leurs proches tout aussi construits et ambivalents...on est souvent bouleversé, on est parfois heureux, on les comprend toujours , on les aime profondément tout au long de ces « drames de la vie quotidienne » ...
Une histoire qui pourrait vite virer « malsaine » sans le Talent et la Délicatesse de Monsieur Douglas Kennedy...Un merveilleux roman, touchant et profond...
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