AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782070371617
303 pages
Gallimard (04/03/1980)
3.51/5   51 notes
Résumé :
La Comédie humaine - Études philosophiques. Seizième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : Le père Haugoult se mit donc à raconter fort complaisamment les singuliers événements qui allaient, le lendemain, nous valoir le plus extraordinaire des Nouveaux. Aussitôt les jeux cessèrent. Tous les Petits arrivèrent en silence pour écouter l’aventure de ce Louis Lambert, trouvé, comme un aérolithe, par madame de Staël au coin d’un bois. Monsieur Haugoult dut nous expliq... >Voir plus
Que lire après Louis Lambert - Les Proscrits - Jésus-Christ en FlandreVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
3,51

sur 51 notes
5
2 avis
4
4 avis
3
4 avis
2
2 avis
1
0 avis
Deux personnages sont locataires dans la maison du sergent Tirechair dans ce Paris du XIVè siècle.
Godefroy, pauvre étudiant orphelin venu de Flandre à Paris pour étudier à l'université. Jeune homme se croyant un ange déchu, cherchant le moyen de rejoindre les Cieux.
Un vieux poète, proscrit de son pays natal ; l'Italie.
Tous deux, paraissant si différents et pourtant si semblables dans leurs sentiments, se rendent à un cours sur la théologie mystique donné par le Docteur Sigier.
Dans son discours, ce célèbre Docteur semble dévoiler les mystères divins ;
« après avoir fait tenir le monde dans une pensée, et dévoilé presque la pensée du monde ».
Discours selon lequel les intelligences seraient hiérarchisées en différentes sphères :
« Depuis la sphère où brillait le moins d'intelligence jusqu'à la plus translucide
où les âmes apercevaient le chemin pour aller à Dieu… »

Après ce discours enflammé, ces deux hommes poètes et mystiques, sont accablés de sensibilité.

À la fin de ce récit, les deux exilés, l'un du ciel, l'autre de sa patrie, retrouveront leur place sur terre.

Trois portraits d'hommes représentant la science, la poésie et le sentiment. Dante ; l'exilé italien, Sigier ; le philosophe savant (Siger de Brabant), et le jeune sentimental Godefroy au coeur sensible.

Dans ce court récit,on se retrouve dans une époque où chaque geste, chaque pensée étrange peuvent être jugés magiques et surnaturels, où les hommes essaient de combler leurs lacunes sur les mystères de la vie par des doctrines étonnantes.
Commenter  J’apprécie          280
Un court roman philosophique qui confronté certaines pensées avancées par rapport à son temps, ou simplement certaines manières non conventionnelles des hommes de pensée, et deviennent la cible des accusations de multiple forme, allant jusqu'à les traiter de sorcière, d'enchanteurs, alors que ces penseurs n'ont qu'une seule obsession la connaissance, la recherche de la vérité....
Commenter  J’apprécie          260
LES PROSCRITS

Les proscrits, nouvelle parue en 1831, fut rattachée par Balzac à deux de ses oeuvres : Louis Lambert et Séraphita qu'il isola des autres études philosophiques et en fit un ensemble qu'il regroupa sous le titre du Livre mystique.
Avec les proscrits nous "atterrissons" en l'an 1308, en plein Paris, juste derrière Notre Dame de Paris, dans la demeure de Joseph Tirechair, sergent de Paris, époux de la dame Jacqueline en charge de la bonne tenue et de la rentabilité du dit logis. A cette fin elle accueille deux pensionnaires dont l'étrangeté et l'opacité allument dans le coeur du sergent Tirechair le brasier du soupçon.
On comprendra que l'identité de ces deux personnages ne pouvait qu'inquiéter l'esprit très simple du sergent. En effet, le plus âgé de ses pensionnaires est en fait Dante, en exil, banni et condamné par sa cité Florence. le rattachement de la divine comédie à la comédie humaine... Voilà chose faite en cette nouvelle.
Balzac expose par cette première étape la présentation du christianisme, la description "aérienne" de la création.
Le monde spirituel est composé de différentes sphères hiérarchisées entre elles. Toute chose a sa sphère : Minérale, végétale, animale, humaine,angélique, divine. Les mêmes membres d'une sphère se reconnaissent entre eux expliquant la sympathie, l'amitié, l'amour et leurs contraires. le devenir de toute chose est de passer graduellement, par étape, d'une sphère inférieure à une sphère supérieure. Vision qui n'est pas sans affinités avec la loi du karma...Dante sous la plume De Balzac, nous apparaît dans toute l'envolée de son génie mais également sous les traits de sa nature première : ceux d'un homme. Et donc c'est la vengeance qui saisira Dante à la fin de la nouvelle, laissant en un instant la dimension spirituelle de côté. En une seule phrase, Balzac fait passer Dante de la verticalité à l'horizontalité. Une familiarité que l'on peut se permettre entre gens de même sphère... A découvrir !
Astrid SHRIQUI GARAIN
Commenter  J’apprécie          30
S'il y a bien un ouvrage cher à Balzac et qu'il a sans cesse retravaillé, c'est son court roman Louis Lambert, dont la première version fut terminée au château de Saché en juillet 1832.

Roman philosophique, roman à idées ou roman mystico-religieux ? Son contenu se laisse difficilement catégoriser. En tout cas, les lecteurs qui préfèrent le Balzac d'Eugénie Grandet ou du Père Goriot, risqueront d'être déçus. Nous sommes loin du réalisme dont on a toujours voulu à tort libeler l'oeuvre De Balzac.

Le narrateur du récit nous introduit dans ses souvenirs du collège des oratoriens à Vendôme au début du XIXème siècle, où tout élan de jeunesse rieuse et spontanée est tué dans l'oeuf. Voilà pour moi la partie la plus touchante du roman, dans laquelle le narrateur décrit en détail cet enfer de collège, où les privations et les punitions à la férule furent monnaie courante, où avoir une imagination débordante fut une malédiction.

C'est dans cette tourmente que le narrateur va avoir le bonheur de rencontrer l'âme soeur qui lui rendra la vie un peu moins dure au collège. Il s'agit de Louis Lambert, issu d'une famille pauvre, repéré un jour par Mme de Staël qui était de passage à Vendôme et qui voyait le petit Louis lisant un livre du mystique Swedenborg. Elle était impressionnée par sa conversation et paya les frais pour élever Louis Lambert au collège de Vendôme.

Enfant prodige et d'une constitution délicate, Louis Lambert devait vite regretter la générosité de Mme de Staël. Il trouvait refuge auprès du narrateur, lui aussi enfant à part dans l'environnement hostile du collège. Ils deviennent inséparables. Félicien Marceau écrit à ce propos : 'il y a le désir à la fois de vivre double et de vivre dans un autre être, de se mêler à un autre être. Ce désir, pour Balzac, est si spontané qu'il nous le montrera même dans l'amitié enfantine qu'il nous décrit dans Louis Lambert.'
Commenter  J’apprécie          30
Ma critique concerne seulement Louis Lambert.

Un roman qui tient presque du traité spiritualiste, par trop didactique, mais séduisant. On y sent souvent la lourdeur des Idées, qui enlèvent toute présence aux personnages - déjà très minces ; mais l'intérêt repose dans les réflexions que Balzac met en scène, usant de procédés littéraires à peine assumés, à travers le personnage de Lambert : réflexions « profondes comme des gouffres », grande méditation médusée sur l'acte de penser - et, incidemment, sur le langage -, qui demeure pertinente, malgré l'apparence systématique des idées pseudo-swedenborgiennes et le ton nettement XIXe (avec ces idées navrantes de grand progrès spirituel de l'humanité).


On aurait souhaité que tout cela s'incarne davantage (peut-être est-ce le cas d'une Séraphita ?), qu'on mette davantage en scène l'échec de Lambert, ou que la trame narrative, même si elle est ici drame intérieure, soit davantage bousculée par certaines circonstances extérieures. Les meilleurs drames idéalistes sont ceux où les idéaux ne priment pas - les idéaux sont faits pour être devinés, et ailleurs que dans des histoires où ils ont trop la part belle. Heureusement, et contrairement à ce qu'en dit Raymond Abellio dans sa préface, l'auteur fait intervenir la possibilité de la folie : qu'elle soit folie véritable ou incompréhension des bonnes gens simples qui ne sont pas parvenus au stade spirituelle - Angélique - de Lambert, il me semble que le fait de faire cohabiter folie et sommet spirituel soit ici la seule grande intuition romanesque qui ait survécu aux convictions philosophiques De Balzac dans la dernière partie du récit.
Commenter  J’apprécie          00

Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
En ce moment, le vieillard entendit avec horreur dans la chambre voisine un gémissement qui se confondit avec la chute d’un corps lourd que l’oreille expérimentée du banni reconnut pour être un cadavre. Il sortit précipitamment, entra chez Godefroid, le vit gisant comme une masse informe, aperçut une longue corde serrée à son cou et qui serpentait à terre. Quand il l’eut dénouée, l’enfant ouvrit les yeux.
- Où suis-je, demanda-t-il avec une expression de plaisir.
- Chez vous, dit le vieillard en regardant avec surprise le cou de Godefroid, le clou auquel la corde avait été attachée, et qui se trouvait encore au bout.
- Dans le ciel, répondit l’enfant d’une voix délicieuse.
- Non, sur la terre ! répliqua le vieillard.
Godefroid marcha dans la ceinture de lumière tracée par la lune à travers la chambre dont le vitrail était ouvert, il revit la Seine frémissante, les saules et les herbes du Terrain. Une nuageuse atmosphère s’élevait au-dessus des eaux comme un dais de fumée. À ce spectacle pour lui désolant, il se croisa les mains sur la poitrine et prit une attitude de désespoir ; le vieillard vint à lui, l’étonnement peint sur la figure.
- Vous avez voulu vous tuer ? lui demanda-t-il.
- Oui, répondit Godefroid en laissant l’étranger lui passer à plusieurs reprises les mains sur le cou pour examiner l’endroit où les efforts de la corde avaient porté.
Malgré de légères contusions, le jeune homme avait dû peu souffrir. Le vieillard présuma que le clou avait promptement cédé au poids du corps, et que ce fatal essai s’était terminé par une chute sans danger.
- Pourquoi donc, cher enfant, avez-vous tenté de mourir ?
Commenter  J’apprécie          90
LOUIS LAMBERT.

— Souvent, me dit-il, en parlant de ses lectures, j’ai accompli de délicieux voyages, embarqué sur un mot dans les abîmes du passé, comme l’insecte qui flotte au gré d’un fleuve sur quelque brin d’herbe. Parti de la Grèce, j’arrivais à Rome et traversais l’étendue des âges modernes. Quel beau livre ne composerait-on pas en racontant la vie et les aventures d’un mot ? sans doute il a reçu diverses impressions des événements auxquels il a servi ; selon les lieux il a réveillé des idées différentes ; mais n’est-il pas plus grand encore à considérer sous le triple aspect de l’âme, du corps et du mouvement ? À le regarder, abstraction faite de ses fonctions, de ses effets et de ses actes, n’y a-t-il pas de quoi tomber dans un océan de réflexions ? La plupart des mots ne sont-ils pas teints de l’idée qu’ils représentent extérieurement ? à quel génie sont-ils dus ! S’il faut une grande intelligence pour créer un mot, quel âge a donc la parole humaine ? L’assemblage des lettres, leurs formes, la figure qu’elles donnent à un mot, dessinent exactement, suivant le caractère de chaque peuple, des êtres inconnus dont le souvenir est en nous. Qui nous expliquera philosophiquement la transition de la sensation à la pensée, de la pensée au verbe, du verbe à son expression hiéroglyphique, des hiéroglyphes à l’alphabet, de l’alphabet à l’éloquence écrite, dont la beauté réside dans une suite d’images classées par les rhéteurs, et qui sont comme les hiéroglyphes de la pensée ? L’antique peinture des idées humaines configurées par les formes zoologiques n’aurait-elle pas déterminé les premiers signes dont s’est servi l’Orient pour écrire ses langages ? Puis n’aurait-elle pas traditionnellement laissé quelques vestiges dans nos langues modernes, qui toutes se sont partagé les débris du verbe primitif des nations, verbe majestueux et solennel, dont la majesté, dont la solennité décroissent à mesure que vieillissent les sociétés ; dont les retentissements si sonores dans la Bible hébraïque, si beaux encore dans la Grèce, s’affaiblissent à travers les progrès de nos civilisations successives ? Est-ce à cet ancien Esprit que nous devons les mystères enfouis dans toute parole humaine ? N’existe-t-il pas dans le mot vrai une sorte de rectitude fantastique ? ne se trouve-t-il pas dans le son bref qu’il exige une vague image de la chaste nudité, de la simplicité du vrai en toute chose ? Cette syllabe respire je ne sais quelle fraîcheur. J’ai pris pour exemple la formule d’une idée abstraite, ne voulant pas expliquer le problème par un mot qui le rendît trop facile à comprendre, comme celui de vol, où tout parle aux sens. N’en est-il pas ainsi de chaque verbe ? tous sont empreints d’un vivant pouvoir qu’ils tiennent de l’âme, et qu’ils lui restituent par les mystères d’une action et d’une réaction merveilleuse entre la parole et la pensée. Ne dirait-on pas d’un amant qui puise sur les lèvres de sa maîtresse autant d’amour qu’il en communique ? Par leur seule physionomie, les mots raniment dans notre cerveau les créatures auxquelles ils servent de vêtement. Semblables à tous les êtres, ils n’ont qu’une place où leurs propriétés puissent pleinement agir et se développer. Mais ce sujet comporte peut-être une science tout entière ! Et il haussait les épaules comme pour me dire : Nous sommes et trop grands et trop petits !
Commenter  J’apprécie          10
LOUIS LAMBERT.

Dès ce temps, la lecture était devenue chez Louis une espèce de faim que rien ne pouvait assouvir : il dévorait des livres de tout genre, et se repaissait indistinctement d’œuvres religieuses, d’histoire, de philosophie et de physique. Il m’a dit avoir éprouvé d’incroyables délices en lisant des dictionnaires, à défaut d’autres ouvrages, et je l’ai cru volontiers. Quel écolier n’a maintes fois trouvé du plaisir à chercher le sens probable d’un substantif inconnu ? L’analyse d’un mot, sa physionomie, son histoire étaient pour Lambert l’occasion d’une longue rêverie. Mais ce n’était pas la rêverie instinctive par laquelle un enfant s’habitue aux phénomènes de la vie, s’enhardit aux perceptions ou morales ou physiques ; culture involontaire, qui plus tard porte ses fruits et dans l’entendement et dans le caractère ; non, Louis embrassait les faits, il les expliquait après en avoir recherché tout à la fois le principe et la fin avec une perspicacité de sauvage. Aussi, par un de ces jeux effrayants auxquels se plaît parfois la Nature, et qui prouvait l’anomalie de son existence, pouvait-il dès l’âge de quatorze ans émettre facilement des idées dont la profondeur ne m’a été révélée que longtemps après.
Commenter  J’apprécie          30
LOUIS LAMBERT.

Sa mémoire était prodigieuse. Il se souvenait avec une même fidélité des pensées acquises par la lecture et de celles que la réflexion ou la conversation lui avaient suggérées. Enfin il possédait toutes les mémoires : celles des lieux, des noms, des mois, des choses et des figures. Non-seulement il se rappelait les objets à volonté ; mais encore il les revoyait en lui-même situés, éclairés, colorés comme ils l’étaient au moment où il les avait aperçus. Cette puissance s’appliquait également aux actes les plus insaisissables de l’entendement. Il se souvenait, suivant son expression, non-seulement du gisement des pensées dans le livre où il les avait prises, mais encore des dispositions de son âme à des époques éloignées. Par un privilége inouï, sa mémoire pouvait donc lui retracer les progrès et la vie entière de son esprit, depuis l’idée la plus anciennement acquise jusqu’à la dernière éclose, depuis la plus confuse jusqu’à la plus lucide. Son cerveau, habitué jeune encore au difficile mécanisme de la concentration des forces humaines, tirait de ce riche dépôt une foule d’images admirables de réalité, de fraîcheur, desquelles il se nourrissait pendant la durée de ses limpides contemplations.
Commenter  J’apprécie          30
Au moment où la barque flotta sur la vaste étendue de la Seine en imprimant
ses secousses à l’âme, le soleil, semblable à un incendie qui s’allumait
à l’horizon, perça les nuages, versa sur les campagnes des torrents
de lumière, colora de ses tons rouges, de ses reflets bruns et les cimes d’ardoises et les toits de chaume, borda de feu les tours de Philippe-Auguste,
inonda les cieux, teignit les eaux, fit resplendir les herbes, réveilla les
insectes à moitié endormis. Cette longue gerbe de lumière embrasa les
nuages. C’était comme le dernier vers de l’hymne quotidien. Tout cœur
devait tressaillir, alors la nature fut sublime.
Commenter  J’apprécie          60

Videos de Honoré de Balzac (155) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Honoré de Balzac
Deuxième épisode de notre podcast avec Sylvain Tesson.
L'écrivain-voyageur, de passage à la librairie pour nous présenter son récit, Avec les fées, nous parle, au fil d'un entretien, des joies de l'écriture et des peines de la vie, mais aussi l'inverse, et de la façon dont elles se nourrissent l'une l'autre. Une conversation émaillée de conseils de lecture, de passages lus à haute voix et d'extraits de la rencontre qui a eu lieu à la librairie.
Voici les livres évoqués dans ce second épisode :
Avec les fées, de Sylvain Tesson (éd. des Équateurs) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23127390-avec-les-fees-sylvain-tesson-equateurs ;
Blanc, de Sylvain Tesson (éd. Gallimard) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/21310016-blanc-une-traversee-des-alpes-a-ski-sylvain-tesson-gallimard ;
Une vie à coucher dehors, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774064-une-vie-a-coucher-dehors-sylvain-tesson-folio ;
Sur les chemins noirs, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774075-sur-les-chemins-noirs-sylvain-tesson-folio ;
Le Lys dans la vallée, d'Honoré de Balzac (éd. le Livre de poche) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/769377-le-lys-dans-la-vallee-honore-de-balzac-le-livre-de-poche.
Invité : Sylvain Tesson
Conseil de lecture de : Pauline le Meur, libraire à la librairie Dialogues, à Brest
Enregistrement, interview et montage : Laurence Bellon
--
Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
+ Lire la suite
autres livres classés : classiqueVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (176) Voir plus



Quiz Voir plus

Connaissez-vous La Peau de Chagrin de Balzac ?

Comment se comme le personnage principal du roman ?

Valentin de Lavallière
Raphaël de Valentin
Raphaël de Vautrin
Ferdinand de Lesseps

10 questions
1303 lecteurs ont répondu
Thème : La Peau de chagrin de Honoré de BalzacCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..