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Louis Postif (Traducteur)Raymond Jean (Préfacier, etc.)Léon Trotsky (Préfacier, etc.)
EAN : 9782859408763
320 pages
Phébus (12/01/2003)
4.03/5   432 notes
Résumé :
Trotski considérait Le Talon de fer (1908) comme le seul roman politique réussi de la littérature. Un roman d’anticipation politique, pour être précis : qui prévoyait une guerre mondiale mettant aux prises l’Allemagne et les États-Unis, une révolution d’Octobre (mais à Chicago)… et l’avènement d’une dictature d’un genre nouveau (disons fasciste)… pour les trois siècles à venir !

C’est le grand roman « politique » de London. Un genre qui ferait bâiller... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (54) Voir plus Ajouter une critique
4,03

sur 432 notes
Après Croc-Blanc, Croc Rouge…
Croque riche, Jack London a toujours eu la dent dure contre le capitalisme.
Il faut dire qu'il est né dans un quartier ouvrier de San Francisco en 1876 et qu'il est tombé très jeune dans la marmite vide de la misère. Pas vraiment un horizon de magnat. Adolescent, il travailla dans une fabrique de conserves avant d'enchainer d'autres métiers pénibles. Il a adhéré dès 1896 au Socialist Labor Party et le succès de ses romans n'embourgeoisa jamais ses idées teintées de rouge.
Ce talon de fer un peu rouillé aiguille sur les convictions marxistes de Jack London. Loin de l'Appel de la forêt, ce roman d'anticipation publié en 1908 appelle plutôt la révolution prolétarienne de ses voeux et prophétise une guerre imminente avec l'Allemagne et annonce certains régimes fascistes.
London imagine dans ce roman d'anticipation une révolution armée du Peuple de l'abîme (joli titre d'un autre ouvrage de l'auteur) pour renverser la ploutocratie, régime grossissant gouverné par les plus fortunés.
J'ai apprécié la construction originale de ce récit. Il se présente comme un manuscrit retrouvé en 2368 dans une grotte où s'était cachée Avis, l'épouse d'un révolutionnaire mythique, Ernest Everhard, et publié trois siècles plus tard. le journal débute en 1912, soit 4 ans après la publication du livre et s'achève en 1932 au milieu d'une phrase... Vous suivez ? Quel est l'âge du Capitaine ? Vous avez deux heures.
Dans la première et longue partie, on a droit, au Kapital pour les Nuls. En 1912, Ernest, intellectuel et tribun charismatique multiplie les débats et impose ses idées révolutionnaires. Il arrive à convaincre un scientifique, sa bourgeoise de fille, narratrice du roman et qui deviendra son épouse, et un évêque. Il s'oppose à la ploutocratie qui opprime les ouvriers. Les échanges sont houleux mais l'éloquence d'Ernest écrase les auditoires que cela soit dans les diners mondains ou lors de séances parlementaires explosives. L'homme annonce très tôt que la révolte armée sera incontournable et sanglante. le système se défend, les grèves sont cassées, les leaders syndicaux soudoyés, les élus du peuple emprisonnés.
Cette partie, plus pamphlétaire que romanesque ne m'a pas passionné. A sa décharge, au moment de l'écriture, son idéologie n'est pas encore passée aux travaux pratiques à coups de faucilles et de marteaux et l'auteur n'a donc pas le recul que le lecteur d'aujourd'hui peut avoir sur les "paradis" soviétiques, chinois et Vénézuéliens. En revanche, son intuition du fascisme a impressionné beaucoup de ses célèbres préfaceurs et commentateurs, d'Anatole France à Trotski qui ont fait de son roman, le "classique de la Révolution".
London vulgarise donc les idées marxistes dans un but de propagande évident. On peut reprocher à l'auteur de ne lui opposer aucun adversaire digne de ce nom. Heureusement, l'histoire d'amour entre le fils du peuple et la narratrice permet de sauver le récit d'une séance du Politburo.
J'ai retrouvé le London que j'adore quand le récit passe à l'action en imaginant des actions clandestines, des agents doubles et une première tentative d'insurrection qu'il appelle « La commune de Chicago », la référence à la Commune de Paris est évidente, qui va échouer et précipiter l'apogée d'un régime fasciste. Les personnages s'incarnent dans le combat, la guérilla urbaine est magnifiquement restituée dans toute son horreur. le don de London pour l'aventure et son génie dès qu'il s'agit de titiller les instincts humains se déploient et ces quelques chapitres méritent à eux seuls la lecture de ce roman.
Loin de Martin Eden, mon livre sacré, ce talon de fer, talion des ouvriers, utopie socialiste, roman très politique, reste une lecture utile pour comprendre la psychologie des personnages des autres romans de Jack London, tous porteurs du gêne de la rébellion.
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Je suis déçue d'avoir été déçue par ce roman d'anticipation car j'apprécie énormément Jack London et sa plume, et d'autre part plusieurs lecteurs me l'avait chaudement recommandé.

Pourtant, je me suis ennuyée tout au long de ma lecture. Nonobstant l'aspect visionnaire voire prémonitoire du récit, les théories politiques exposées ne m'ont pas appris grand-chose, je peux seulement louer l'esprit clairvoyant de cet auteur touche-à-tout capable de décrire les grands espaces nord-américains, comme de nous projeter dans des dystopies troublantes.

Je ne m'explique pas vraiment pourquoi je n'ai pas adhéré complètement au "Talon de fer" alors que j'ai adoré "La peste écarlate" que je relirai d'ailleurs avec plaisir dans quelques années. Sait-on pourquoi un livre nous échappe ? Bien sûr que non.

A découvrir toutefois, mais peut-être pas pendant les vacances d'été. Question de contexte, probablement.


Challenge XIXème siècle 2018
Challenge USA
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Une dystopie politique et sociale très intéressante où se démêlent un fervent engagement de Jack London pour la politique socialiste et une passion de rendre plus accessible la philosophie économique de Karl Marx. Talon de fer exprime très clairement une vive volonté de l'auteur de vouloir transformer la vie politique et économique du monde. Il dénonce un système capitaliste en laquelle se développe la loi du plus fort. Les forts sont loués par leur force, les faibles sont oublié dans leur faiblesse, pire les intermédiaires sucent des os comme des chiens égarés et tous les forts qui voudraient relever les faibles sont aussitôt réprimés au point qu'ils deviennent des fous de la société que les journaux vont cribler de toute part. Et la révolution...
Mais, à côté de ses luttes et des atrocités qui vont survenir au moment de la révolution, il y a aussi l'histoire d'amour et de séduction entre notre narratrice et Ernst Everhard, un leader socialiste au beau corps et aux paroles venimeuses tout au moins persuasives.
J'ai apprécié le génie de l'auteur et cette rage de se faire passer pour la voix des sans voix et aussi le côté prophétique de la révolution et la répression à laquelle sont soumis des révolutionnaires bien que l'exactitude ne soit pas méticuleusement au rendez-vous! Mais ces discours alambiqués de sa philosophie m'ont quelque peu dérangés et des sentiments hautement exprimés de Avis s’entremêlent dans une forte confusion, serait-t-elle amoureuse de Ernst ou de la révolution?
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Voilà un Jack London pas très connu, c'est étonnant. Peut-être brûle-t-il un peu les doigts, sans doute son propos ne l'a pas aidé en son temps pour avoir la visibilité de « Croc Blanc », et probablement ce propos semble aujourd'hui trop daté pour qu'on s'y intéresse. Et pourtant…

Après « Martin Eden », « le Talon de fer » offre une belle occasion d'observer Jack London dans la mise en pratique de ses convictions socialistes (au sens originel du terme) sous la forme de la rhétorique dans laquelle il excelle, comme on a pu s'en régaler ailleurs comme dans « le Loup des mers ». Les passages dans lesquels Ernest Everhard, en conférences ou en petits comités de notables, assomme de ses thèses marxistes ses adversaires capitalistes ou oligarques sont savoureux.

J'ai particulièrement aimé la perspective qu'offre la mise en abîme dans laquelle est construit le récit (journal d'Avis, la femme d'Ernest retrouvé plusieurs siècles plus tard et abondamment annoté de commentaires historiques), qui m'a permis de mettre de côté les erreurs factuelles de vision historique de l'ami Jack pour me concentrer sur l'intemporalité de sa thèse (celle de Marx ?) dans laquelle l'organisation finira toujours par primer sur la concurrence.

Si j'ajoute à cela l'histoire d'amour qui lie les deux figures solides et résolues du couple Everhard (quel nom !), j'ai le plaisir d'avoir tenu là une nouvelle pépite de Jack London, un auteur que j'aime un peu plus à chaque nouvelle lecture.
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Le talon de fer, c'est ainsi qu'Ernest Everhard désigne le système capitaliste qui écrase le prolétariat dans l'Amérique des années 1900 : « vos coeurs sont aussi durs que les talons avec lesquels vous marchez sur la figure des pauvres ». Ernest Everhard est fréquemment invité dans les salons d'un vieux professeur de physique aux idées progressistes, où le jeune socialiste côtoie la classe moyenne, les intellectuels et les hommes d'Eglise.

Alors oui j'ai énormément de sympathie pour le socialisme et pour le jeune Everhard. Et donc j'applaudis à deux mains les discours du jeune homme, mais je dois avouer que malheureusement il n'y a pas de quoi crier au chef d'oeuvre littéraire, avec ce talon de fer. Ah il me faut être honnête même si cela est douloureux d'égratigner une idole qu'on a admirée … Et ça me fait d'autant plus de peine que je partage les opinions politiques de Jack London, mais le choix « artistique » du roman écrit dans un futur idéalisé de plusieurs siècles, principalement construit autour des faits journalistiques, de notes historiques en bas de page et de longs discours dessert tout à fait la cause socialiste. Ce cher Jack aurait mieux fait d'écrire un roman d'aventure, ce qu'il fait avec beaucoup de maestria par ailleurs, pour défendre ses opinions. Un peu à l'instar de Zola, de Hugo, de Steinbeck, et, dans une moindre mesure, de Tourgueniev (je pense évidemment à ma lecture récente de « Pères et fils»), qui ont tous fait le choix de raconter une (belle) histoire, de donner corps et âme à leurs opinions afin de les communiquer et peut-être de mieux les partager.

Les seuls passages que j'ai appréciés sont ceux où London nous plonge au coeur de l'action, càd le témoignage de l'accident de Jackson, un ouvrier qui a empêché une avanie de machine au sacrifice de son bras, sans obtenir ni dédommagement ni reconnaissance du patron. Et aussi le très apocalyptique épisode de la Commune de Chicago. On retrouve alors le grand Jack London, celui des aventures humaines pour la survie, dans le Grand Nord, dans les mers du Sud ou dans un monde post-catastrophe planétaire.
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Citations et extraits (100) Voir plus Ajouter une citation
J’en reviens à mon accusation. Si le pouvoir de production de l’homme moderne est mille fois supérieur à celui de l’homme des cavernes, pourquoi y a-t-il donc actuellement aux Etats-Unis quinze millions de gens qui ne sont pas nourris et logés convenablement, et trois millions d’enfants qui travaillent ? C’est une accusation sérieuse. La classe capitaliste s’est rendue coupable de mauvaise administration. En présence de ce fait, de ce double fait, que l’homme moderne vit plus misérablement que son ancêtre sauvage alors que son pouvoir producteur est mille fois plus grand, aucune autre conclusion est possible sinon que la classe capitaliste a mal gouverné, que vous êtes de mauvais administrateurs, de mauvais maîtres, et que votre mauvaise gestion est un crime imputable à votre égoïsme . Et sur ce point, ici, ce soir, face à face, vous ne pouvez pas me répondre à moi, pas plus que votre classe entière ne peut répondre aux quinze cent milles révolutionnaire des Etats-Unis.
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« J’en reviens à mon accusation. Si le pouvoir de production de l’homme moderne est mille fois supérieur à celui de l’homme des cavernes, pourquoi donc y a-t-il actuellement aux États-Unis quinze millions de gens qui ne sont pas nourris ni logés convenablement, et trois millions d’enfants qui travaillent ? C’est une accusation sérieuse. La classe capitaliste s’est rendue coupable de mauvaise administration. En présence de ce fait, de ce double fait, que l’homme moderne vit plus misérablement que son ancêtre sauvage alors que son pouvoir producteur est mille fois plus grand, aucune autre conclusion n’est possible sinon que la classe capitaliste a mal gouverné, que vous êtes de mauvais administrateurs, de mauvais maîtres, et que votre mauvaise gestion est un crime imputable à votre égoïsme. Et sur ce point, ici, ce soir, face à face, vous ne pouvez pas me répondre à moi, pas plus que votre classe entière ne peut répondre aux quinze cent mille révolutionnaires des États-Unis. Vous ne pouvez pas répondre, je vous en défie. Et j’ose dire dès maintenant que, quand j’aurai fini, vous ne répondrez pas. Sur ce point-là, votre langue est liée, si agile qu’elle puisse être sur d’autres sujets.

« Vous avez échoué dans votre gérance. Vous avez fait de la civilisation un étal de boucher. Vous vous êtes montrés avides et aveugles. Vous avez eu, et vous avez encore aujourd’hui, l’audace de vous lever dans nos chambres législatives et de déclarer qu’il serait impossible de faire des bénéfices sans le travail des enfants, des bébés ! Oh ! ne m’en croyez pas sur parole : tout cela est écrit, enregistré contre vous. Vous avez endormi votre conscience avec des bavardages sur votre bel idéal et votre chère morale. Vous voilà engraissés de puissance et de richesse, enivrés de succès. Eh bien ! contre nous, vous n’avez pas plus de chance que les frelons réunis autour des ruches, quand les abeilles travailleuses s’élancent pour mettre fin à leur existence repue. Vous avez échoué dans votre direction de la société, et votre direction va vous être enlevée. Quinze cent mille hommes de la classe ouvrière se font fort de gagner à leur cause le reste de la masse laborieuse et de vous ravir la domination du monde. C’est cela la révolution, mes maîtres. Arrêtez-la si vous en êtes capables ! » (pp. 91-92)
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{dystopie, 1907}

L’oligarchie voulait la guerre avec l’Allemagne pour une douzaine de raisons. Elle avait beaucoup à gagner à la jonglerie d’événements que susciterait une mêlée pareille, au rebattage des cartes internationales et à la conclusion de nouveaux traités et alliances. En outre, la période d’hostilités devait consommer une masse d’excédents nationaux, réduire les armées de chômeurs qui menaçaient tous les pays, et donner à l’oligarchie le temps de respirer, de mûrir ses plans et de les réaliser. Un conflit de ce genre la mettrait virtuellement en possession d’un marché mondial. Elle lui fournirait une vaste armée permanente qu’il ne serait plus nécessaire de licencier désormais. Enfin, dans l’esprit du peuple, la devise "Amérique contre Allemagne" remplacerait celle de "Socialisme contre Oligarchie".
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Le capitalisme était considéré par les sociologues de son temps comme étant l’apogée du règne de la bourgeoisie, le fruit parvenu à maturité de la révolution bourgeoise. Et nous, de nos jours, nous ne saurions souscrire à cette opinion. Il était entendu que le Socialisme viendrait après le capitalisme, et ceci même par des intelligences puissantes et pourtant peu favorables, comme Herbert Spencer. Des décombres du capitalisme égoïste, sortirait cette fleur de l’histoire, la Fraternité des Hommes. Au lieu de quoi, aussi consternant pour nous qui regardons en arrière que pour ceux qui vivaient à cette époque, le capitalisme, pourri jusqu’à l’os, accoucha de ce monstrueux rejeton, l’Oligarchie.
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Quelques secondes plus tard, l'avant-garde de la colonne est passée devant nous. Ce n'était pas à proprement parler, une colonne… C'était la populace qui déferlait dans la rue comme un fleuve de boue. C'était le peuple de l'abîme, enragé par la gnôle et les mauvais traitements, qui s'était enfin dressé d'un bloc et poussait son rugissement, assoiffé du sang de ses maîtres.
(page 389)
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Vidéo de Jack London
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