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3,85

sur 17500 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Voilà le parfait roman de plage me suis-je dit au premier abord : d'une lecture aisée (plus qu'aisée), d'une compréhension facile, bref parfait pour qui ne souhaite pas vraiment se concentrer.

Ensuite je me suis posée une question : à qui Stephenie Meyer destinait-elle son roman ? aux adolescents certes, mais je vois mal un jeune garçon s'intéresser à cette histoire d'amour étrange … une jeune fille alors ? Oui qui n'a pas connu dans ses tendres années d'adolescence ces amours qui mènent à la passion, voire presqu'à la fascination ?

Néanmoins cela en fait un public extrêmement réduit et qui plus est, cela prend un peu ce public ciblé pour … un peu idiot de par la façon dont est écrit ce roman.

Car voilà une histoire d'amour donc .. entre une humaine qui n'a rien de particulier (on se demande vraiment ce qu'Edward peut lui trouver d'ailleurs, elle se déprécie à un point qu'on finirait presque à le croire) et un vampire …

Bon pourquoi pas ? seulement pourquoi cet amour en devient-il si niais de par cette fascination poussée à l'extrême qu'éprouve Bella pour son Edward ?
Certes c'est un vampire, certes il est beau garçon, certes il a visiblement toutes les qualités qu'elle ne possède pas, mais j'ai envie de dire : et alors ???

Non décidément je n'accroche pas, bien sûr je ne suis plus une adolescente en quête d'amourette ou d'amour passionné mais tout même !!! Honnêtement l'histoire d'amour que vivent Lyra et Will dans « A la croisée des mondes » de Philip Pullman est infiniment plus sensible, émotive laissant apparaitre la justesse des sentiments sans aucun niaiserie et ce pour un roman destiné aussi à des adolescents à la base ! Et ce livre m'a littéralement ensorcelée !!!

Alors ? ... niais, voilà comment j'aurais tendance à qualifier ce premier tome de Meyer, car si l'histoire d'amour en devient presque agaçante, le récit ne rattrape pas grand-chose, voire on s'ennuierait même !
Décevant.
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Je vais encore jouer les Tatie Danielle de service, c'est donc armée jusqu'aux dents que je me lance dans la rédaction de cette critique qui sera brève.

Déjà je me demande comment on peut faire gober des couleuvres pareilles aux adolescents. L'histoire d'une jeune cruche qui tombe amoureuse d'un vampire à paillettes ça fait rêver qui?
D'accord, je suis peut-être aigrie et j'avoue sans honte que j'ai arrêté depuis longtemps de croire au prince charmant mais là il faut pas pousser mamie dans les orties, le Edward il a rien d'extraordinaire. J'ai trouvé que ce pauvre garçon avait vraiment un petit pois dans la tête, il illustre parfaitement le mythe de "sois beau et tais-toi" et je ne parle même pas de sa copine Bella, toujours là à se dévaloriser pour un rien...
Le roman est fade, le concept déjà-vu et les personnages gnangnan.
J'ai vu un jour sur le net que Twilight possédait un petit côté Shakespearien, à mes yeux c'est une insulte au grand William, ne mélangeons pas les torchons et les serviettes que diable!

Je suis consciente qu'il en faut pour tous les goûts, pour ma part, heureusement que ce livre m'a été prêté sinon je n'aurai pas déboursé un centime pour ce truc. Nul!
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Je ne le dis pas par provocation mais très sincèrement.
Je pense que ce bouquin (enfin les 101 pages que j'ai réussi à lire sans tourner de l'oeil) est le TRUC le plus mal écrit et le plus inintéressant que j'ai jamais essayé de lire.
Ce qui provoque en moi une remise en question profonde car devant le succès interplanétaire voire intersidéral de ce TRUC, je ne peux échapper à la question "Suis-je normale ?"
Pour m'aider à trouver une réponse à cette question hautement existentielle, j'ai poussé l'abnégation jusqu'à visionner le film...
Résultat : j'ai bien fait d'abandonner avant de découvrir qu'un vampire pouvait briller en plein soleil.
Finalement, je me satisferai de mon anormalité.

Ah, j'oubliais un détail ! Je m'étais finalement décidé à le lire parce qu'un ami m'avait dit : "C'est la première fois que je vois ma femme aller aux toilettes avec son bouquin !" Hum, maintenant, je crois comprendre pourquoi, on n'est jamais trop prudent, des fois qu'il y aurait une pénurie de papier...
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J'ai essayé de lire Twilight, c'est trop dur. Il reste à Stéphanie Meyer 84 999 999 lecteurs qui ne sont ni bien, ni mal, ils sont nuls.

Des dialogues où l'on répond aux questions, « Tu vas au Lycée, Bella ? - Oui, Edward, je vais à l'école » et ainsi de suite, c'est trop d'efforts. Wittgenstein est plus facile.

Le manuscrit de Twilight a été refusé par quatorze agents avant d'être publié. Hélas, il y a toujours un quinzième éditeur. L'histoire des succès populaires est faite du quinzième éditeur. Les éditeurs tentent tant qu'ils peuvent de ne pas vendre et de préserver la littérature, rien n'y fait.

Ainsi est né Twilight, le premier roman de vampires qui ne soit pas fait avec du sang, mais du navet.

In Pourquoi lire ? de Charles Dantzig, Grasset, 2010.

Lien : http://quidhodieagisti.kazeo..
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300 pages sur 500, oui, c'est ce que j'ai tenu.
Et je n'en suis pas fière. Dire que j'ai acheté trois tomes sur les quatre ! ! C'est sans dire que je ne lirai pas les deux autres.
J'avais beaucoup aimé la couverture et me le réservais pour passer un bon moment.
Quelle déception ! J'ignorais qu'il s'agissait d'un roman pour adolescents, mais là n'est pas le problème.
C'est fade, plat, insipide. Les dialogues sont creux, convenus, l'histoire sans intérêt, il n'y a aucun style littéraire, tout est facile, superficiel.
En quatrième de couverture, il est dit que 53 millions d'exemplaire ont été vendus dans le monde.
Que penser de ce succès facile alors qu'il existe tant de chefs-d'oeuvre en littérature ?
Pourquoi prendre les adolescents pour des niais en leur imposant ça ?
Bon d'accord, je suis peut-être un peu dure, mais je suis encore sous le coup de l'incompréhension et de l'émotion navrée.
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J'ai lu Fascination l'année de sa sortie, et à l'époque, j'ai du l'apprécier. Mais même à douze ans, j'ai trouvé le personnage d'Edward terriblement niais, je le qualifiais de « chochotte » quand on en parlait entre amies.

Quand on lit une histoire de vampires, même si c'est une histoire d'amour pour ado, on s'attend à plus de noirceur que ça : un vampire qui peut vivre sans sang humain, la journée aussi, qui lit dans les pensées... Et qui se trimballe une famille tout aussi parfaite et dont quasi tous les membres sont dotés de pouvoirs eux aussi ! Si c'est pour autant changer le mythe, autant choisir une autre créature !

Passons outre tous les détails qui font que de Fascination un roman bancal, et passons à l'histoire. du vu, du revu et du réchauffé. L'amour qu'ils vivent est tout simplement superficiel, et cela va en s'empirant dans les tomes suivant. On ne ressent pas du tout l'âge avancé d'Edward, ni la soit disant maturité de Bella. Tout ce qu'on voit c'est une gamine asociale qui finit par s'amouracher d'un mec mystérieux antipathique. Il n'aurait pas été vampire, que l'histoire aurait été la même, avec quelques scènes de baseball en moins.

J'ai été étonnée de voir qu'une suite sortait, le roman finissant sur un semi suspens qui collait avec l'intrigue plate du livre. J'ai donc lu les 3 tomes suivants, et je ne les conseille pas plus que le premier.

Si vous comprenez l'anglais je vous conseille cette vidéo humoristique, 2minutes de fou rire : « comment twilight aurait dû se terminer »
http://www.youtube.com/watch?v=Nqvg0C90FhM&list=SL
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Oui, je l'avoue, j'ai lu le chapitre 1 de la saga Twilight. Ma fille m'ayant tannée pour que je lui achète alors qu'elle ne liait pas en temps habituels, je me suis dit : il faut vérifier ce qui se passe.... Et bien, rien, le vide sidéral ! Je pense que la sensation est renforcée de part la traduction vraiment déplorable (enfin, il me semble) : le traducteur avait dû brûler son dictionnaire des synonymes car il manquait d'imagination pour décrire certaines choses.
Promis, on ne m'y reprendra plus...
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Comment est-ce qu'une femme, jeune ou pas, peut s'identifier à cette Bella? Est-ce que toutes les filles de la génération Twilight sont des greluches maladroites qui se laissent diriger par un pervers psychopathe? (Oui parce que pour moi un type qui me regarde dormir la nuit sans que je le sache, vampire ou pas vampire, c'est un pervers psychopathe)
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Petit disclaimer: j'ai lu ce livre avec un parti pris. Et je suis un homme.

Mais quand même... Au delà de la bêtise de l'histoire (le scénario a été écrit au fur et à mesure, et ça se voit), de l'ennui permanent, de la caricature de roman à l'eau de rose, de l'écriture poussivissime, de la psychologie de comptoir digne des jours où Dédé a forcé sur le Ricard, et des dialogues qui feraient passer Dicker pour un grand dramaturge, ce qui m'a vraiment étonné est le fait que ce livre est au final un ramassis de clichés qu'on pourrait presque dire sexistes: la fille est une cruche sans intérêt qui se pose des questions vachement existentielle sur ses vêtements, elle n'aime le vampire en définitive que parce qu'il est subliiiiiime (et riche) car sinon eh bien on ne voit pas trop, Edwaaaard est un homme de 100 ans qui aime une adolescente de 17 mal dans sa peau et vulnérable, on pourrait penser que c'est un vieux dégueulasse mais pas de soucis c'est un vampire, et il est subliiiiime (et j'oubliais: riche), Bêêêêêêlla est fascinée par lui et à ses pieds (sans d'ailleurs qu'on comprenne pourquoi... Ah si, il est subliiiiime. Et riche), Edwaaaard (qui est subliiiiime, ne l'oublions pas. Et riche) est en pâmoison devant la miss sans qu'on comprenne non plus pourquoi (elle est superficielle, écervelée, maladroite, bêbête... mais on nous dit qu'elle est très mature, attention) donc on va dire qu'emballer une jeunette ça ne se refuse pas même quand on est un vampire subliiiime (Et riche), le bon Edwaaaaaard (je vous ai dit qu'il était subliiiiime? Et riche?) rentre dans sa chambre la nuit, la suit, l'épie, surveille ses fréquentations, la contrôle, un vrai mâle toxique, mais bon, pas de soucis, c'est beau l'amour (et puis il est subliiiime. Et riche).

Sauf qu'en réalité c'est là l'astuce: ce roman correspond à la réalité de la relation telle que la fantasment visiblement ces dames: un homme parfait, subliiiime, riche, mature, alpha, bad boy, qui pourrait toutes les avoir MAIS qui la choisit, elle, et rampe littéralement à ses pieds, tout en adoration admirative, et comme le hasard fait bien les choses notre Bêêêêêlla est quelconque et donc chaque lectrice peut à coup sûr s'identifier, qui qu'elle soit... "Ah, et si c'étai moâ Beêêêêêlla, aimée d'un amour de conte de fées par un homme subliiiime (et riche) qui pourrait avoir n'importe quelle femme mais me choisirait moâ?". Et comme par hasard, ceci est renforcé par la suite quand DEUX hommes alpha se battent pour avoir le droit de l'aduler, autre scénario récurrent de ce genre de romances, et ce n'est certes pas un hasard... On notera au passage que si ses deux chevaliers servants sont évidemment tous deux subliiiimes, un seul des deux est riche, et je vous laisse deviner lequel gagne le coeur de la belle à la fin... Mais bref, c'est beau l'amour!

Au final, c'est terriblement mauvais, mais je pense que le succès s'explique par ces effets de mode qui naissent on ne sait trop pourquoi, et aussi par le simple fait de l'ignorance: si on ne sait même pas qui est Shakespeare, comment se douter que cette histoire est en fait une simple et médiocre resucée d'un Roméo et Juliette quasi décalqué? du coup, et à condition de n'avoir jamais rien lu encore que la bibliothèque rose, on peut trouver le tout brillamment orchestré, mais c'est quand même dramatique de se dire qu'un tel ouvrage puisse susciter un tel phénomène... Je pense que nombre de lectrices qui l'ont lu à 12 ans seraient bien déçues de le relire à 30. Enfin, je l'espère. Je l'ai par curiosité et parce que l'occasion fait le larron, mais je ne vais pas m'infliger les autres tomes.
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Hum Twilight... Dire que la première fois que j'ai vu cette couverture c'était avant l'adaptation au cinéma, personne hurlait ou faisait la queue pendant des heures pour avoir leurs volumes. Non, tout le monde passait devant avec une indifférence non feinte, seul quelque personne "courageuse" lisait le résumer pour finalement le laisser dans son rayon.

Et me voila aujourd'hui ayant cédée à l'appel du formatage littéraire "si tu as pas lu ce livre, c'est que t'ai pas normale", à écrire une critique sur un livre qui pour ma part me laisse dubitative.

Bref que dire… L'histoire et l'action ce met en place doucement, même trop doucement. Dés les premières lignes, on à le droit à une grosse tranche de Bella angoisses and co. Normal vous me direz l'histoire est de son point de vue !! Mais bon il y a partage et partage.

Comble de tout au bout de 200 pages toujours pas l'ombre d'un vampire ! Ah, si ! Une petite rencontre avec un certain Carlisle à l'hôpital. Sans oublié les micros rencontre avec Edward qui lui court après tout en lui répétant de ne pas chercher à s'approcher voir s'attacher à lui (complexe le vampire quand même…). Et qui, grâce à ces moments nous gratifies de dialogues vide d'intérêts à faire pleurer les plus hautes envolées littéraires.

De même la présentation des lieux et des personnages trainent sur des pages et des pages, plombant ainsi le déroulement de l'histoire (c'est mon avis bien sur). On a compris que la ville de Forks est connue pour son sale temps, qu'Edward est un "beau gosse" énigmatique doté d'une capacité émotionnelle digne d'une huitre asthmatique à l'électro-encéphalogramme plat.

Donc ils sont ou les vampires ??! Ou est l'action ?
Bah,les vampires... Ils vont et viennes.... Ils apparaissent au hasard des paragraphes pour aussitôt fuir deux lignes après.
L'action…. Elle ne démarre véritablement que vers la fin du livre. Je ne m'attendais pas à un truc genre "Rambo" Edward VS "Rocky" Jacob !!! Mais une chtouille de peps aurait été pas mal.

Que dire de plus... Un livre lu pour essayer de comprendre l'engouement d'un phénomène mondiale. Dont la lecture ne me laisse plus que perplexe face à la folie que cette série engendre. le fait que je ne suis plus une adolescente éploré à la recherche de l'amour avec un grand A, explique peut-être mon manque d 'intérêt...
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