Je disai donc que pendant quelques années je ne savais réellement rien de Calvino, comme s'il avait connu une sorte de suspension physique. Les Cosmicomics - je l'avoue - m'étaient parvenues comme une chose irréelle et interlocutoire. À présent, il me réapparait, non seulement comme vrai, mais comme plus vrai que jamais, avec son dernier livre [Les Villes invisibles] qui non seulement est le plus beau, mais beau dans l'absolu. (p. 46)
Italo Calvino
Les Villes invisibles
28 janvier 1973
PIER PAOLO PASOLINI / UNE VIE VIOLENTE / LA P'TITE LIBRAIRIE