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sur 156 notes
Je savais, avant même de commencer que la lecture de "Bianca" n'allait pas être aisée. Je l'ai pourtant lu en entier l'espace d'une soirée et je ne suis pas ennuyée. Il n'a pas fait partie de ces livres qui me résistent et dont je ne passe pas les premiers chapitres.

Je trouve très difficile de parler de l'adolescence et plus spécialement des adolescents fragiles sans tomber dans la caricature, le langage "jeune" et les situations classiques d'affrontement avec les adultes. Anne Percin ou Luc Blanvillain ont cette capacité à retranscrire le mal-être des adolescents, ils le font en jouant sur une palette pleine de nuances." Bianca" n'a pas ses "nuances".

le personnage principal, Bianca, est "internée" après une tentative de suicide. Elle a seize ans, souffre depuis longtemps d'anorexie mentale et n'a trouvé que la mort comme échappatoire. Elle nous raconte son quotidien dans une unité pour adolescents qui ne compte que quelques patients. Ses parents, les infirmières, le psychiatre qui la suit, sont "épinglés" en quelques mots. Ils ont souvent un rôle ingrat, Bianca s'en veut d'être dans cet état, elle leur en veut d'être ce qu'ils sont, d'être trop là ou pas assez là. Tout est confus et ses mots expriment rage et colère. Elle ne retrouve une parole tendre qu'avec Lenny, son petit frère de cinq ans ou Jeff, un vieil homme hospitalisé lui aussi en psychiatrie.

Durant les longs mois qu'elle va passer dans cette unité, l'adolescente va connaître l'amour, retrouver les plaisirs de l'amitié et lors d'une séance d'hypnose"providentielle" , remonter à la source de son mal de vivre. Tous les éléments d'un roman "Souffrance du jeune Werther" sont présents mais ils ne suffisent pas. Il manque à cette histoire une singularité, un style, un souffle qui feraient de Bianca une jeune fille pour laquelle je pourrais avoir de l'empathie.


Ce premier roman n'était pas pour moi, un rendez-vous raté


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Bianca de Loulou ROBERT

Ouahhh !!! Ce livre me laisse sans voix !
Un premier roman ? Mais quelle écriture, quel beau livre !

Bianca est dans un hôpital psychiatrique suite à une tentative de suicide. Elle est anorexique. Elle est amoureuse de Simon et amie avec Clara et Jeff, un vieux monsieur.
Elle va nous raconter son chemin vers la guérison, ses doutes, ses angoisses, ses douleurs et celles de son entourage, avec des mots justes qui font mal et qui s'insinuent dans sa vie de jeune fille de 17 ans. Elle grandit, elle devient femme dans cet hôpital où chacun, à sa façon, est différent mais tellement humain.

Ce livre est fort, parfois difficile, voir insoutenable, mais tellement bien écrit. Au fur et à mesure des pesées, des décès autour d'elle et de la souffrance qu'elle dégage et qu'elle ressent, j'ai tellement espéré et souhaité qu'elle s'en sorte indemne. Mais sort-on vraiment indemne d'un mal aussi profond ? C'est la question que je me pose en refermant ce livre...


Extraits :

Ton cas relève de l'obsession. Tu lis pour ne pas penser. Tu te réfugies dans tes livres, ce qui t'empêche d'avancer et de te concentrer sur toi.

Je ne sais plus exactement à quoi je pensais quand j'ai pris ce cutter dans de tiroir de la cuisine. Sûrement pas à Lenny. Je pensais à moi. Certains disent que es gens qui tentent de se suicider sont égoïstes. En un sens, ils ont raison. Mais ceux qui tiennent ces propos ne savant pas ce que c'est de n'avoir goût à rien. D'être mal au point d'en oublier les personnes que l'on aime et d'être prêt à en être séparé pour toujours.

L'éternité c'est chiant et c'est rien. Ce qui n'a pas de fin ne peut exister. On a besoin d'une porte, d'un mur, d'un anniversaire, d'une frontière, d'un cercueil qui marque une limite. Je crois qu'on ne réalise pas vraiment ce que le mot “rien” signifie. Notre cerveau ne peut se le représenter. Pour moi, les gens qui passent à l'acte veulent juste dormir. Une longue sieste pendant laquelle on se souffre plus. C'est ça l'idée que je me faisais de la mort.

Lien : HTTP://lechatquilit.e-monsit..
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Laissons de côté la presse People qui a choisi les belles photos du mannequin pour annoncer la sortie de ce premier roman ainsi que l'aspect « fille de», sinon pour souligner que le journaliste Denis Robert peut être fier de sa fille. Si les podiums et le réseau médiatique ont pu servir à propulser ce roman sur levant de la scène, c'est une bonne chose. Car ce récit mérite vraiment le détour.
Après Branques
https://collectiondelivres.wordpress.com/2016/06/01/branques/
le hasard aura voulu qu'à nouveau un séjour en hôpital psychiatrique soit à nouveau le sujet principal du livre. Cette fois, la narratrice a 17 ans et se retrouve, sur recommandation de ses parents, dans une unité de soins qui va tenter de soigner un profond traumatisme qui a notamment conduit à une anorexie sévère. À ses côtés, deux autres jeunes filles, Clara qui brûle sa vie dans les paradis artificiels et Juliette, une enfant consumée par l'inceste. Parmi les autres pensionnaires, il y a aussi deux garçons, Simon puis Raphaël et un homme âgé, Jeff. Ce dernier explique : «Quand ma fille est partie, ma femme et ma raison m'ont quitté». On ne pourra qu'admirer sa lucidité et son courage quand on saura qu'un cancer est en train de la ronger.
Après le choc des premiers jours, l'observation détaillée d'un personnel soignant fort souvent atteint de névroses diverses et la visite de ses parents dont on dira simplement qu'ils ne sont pas pour rien dans l'état de leur fille, Bianca va nous offrir elle-même le meilleur des résumés: « Alors voilà. C'est l'histoire d'une jeune de dix-sept ans qui à force d'éponger des merdes se retrouve en hôpital psychiatrique. Elle y rencontre un garçon, il devient son meilleur ami puis, sans qu'elle s'en rende compte, elle tombe profondément amoureuse de lui. Il devient le seul. Elle a besoin de lui pour vivre, respirer, mais un jour, il part. Elle n'a plus d'air et ne veut plus continuer. Puis un nouveau garçon entre en scène, il lui fait reprendre goût à la vie, elle décide de ranger l'ancien dans un coin. Et vit sa relation avec le nouveau. Elle finit par tomber amoureuse. Et alors là, coup de tonnerre. L'ancien revient et elle se retrouve dans une pièce au milieu des deux. »
Eponger des merdes, comme elle dit, c'est entre autres voir ses parents se déchirer, sa mère mélanger alcool et antidépresseurs, son petit frère Lenny être ballotté dans une histoire familiale qu'il ne comprend plus, assister au suicide de son prof de sport, retrouvé pendu au bout d'une corde puis une fille de douze ans, qui flottait sans vie dans la piscine.
Avec Simon, puis avec Raphaël, elle va réussir à se construire, aidée également par Jeff et ses encouragements précieux: «il faut vivre fillette. A fond. Ne te gâche pas la vie avec ces conneries de dépression et d'hôpital. (…) Moi je te conseille de tout essayer, de tout aimer et d'être aimée. Trouve ce que tu aimes faire. Et fais-le, fillette ! Sans jamais regarder derrière.»
Si le personnel hospitalier n'apparaît qu'en filigrane, c'est que son rôle n'est guère reluisant. En proie à ses propres problèmes et pulsions, il est davantage là pour surveiller et punir, comme aurait dit Michel Foucault que pour soigner et guérir. Un aspect dérangeant, qui n'a guère été relevé, mais qui n'empêchera pas Bianca de s'en sortir… en nous proposant de réfléchir à la société dans laquelle baignent les adolescents d'aujourd'hui et sur le manière dont ils peuvent se construire.
« En entendant le mot « psychiatrie », j'ai pensé qu'ils m'envoyaient chez les fous. Aujourd'hui je me rends compte que ce n'est pas nous qui sommes fous, c'est le monde qui est fou. Et si on est abîmés c'est parce qu'on s'en est aperçus.
Personne n'est normal, la normalité, ça n'existe pas. C'est juste un mensonge de plus. »
Lien : https://collectiondelivres.w..
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Bianca…. le premier roman de Loulou Robert paru aux Editions Julliard.

Bianca a 17 ans et parce qu'elle ne veut plus vivre elle se retrouve en hôpital psychiatrique. de pages en pages, de jours en jours, nous sommes face à cette jeune fille et son mal-être au milieu d'un système dont on peut se demander s'il est vraiment adapté. Une crise d'adolescence violente et douloureuse que Loulou Robert tente de nous peindre.

J'étais curieuse de découvrir ce livre qui a été encensé dans les journaux, la presse féminine et à la télévision.

Si les premières pages se révèlent prometteuses, j'ai rapidement abandonné les personnages et l'histoire. Des situations et des sentiments racontés avec longueur et parfois pointés de manière un peu caricaturale.

Je ne me suis attachée ni à Bianca, ni à Simon ni à leur amis de galère. Peut-être parce que toute mon enfance mon père qui travaillait en secteur psy me racontait les histoires de ces ados qui souffraient et leur longue quête vers un mieux être. Mais je n'ai pas réussi à trouver des sentiments « vrais ».

Le charme n'a pas opéré de mon côté et de moins en moins au fur et à mesure du livre jusqu'à cette fin que j'ai trouvée un peu bâclée.


Lien : https://emiliaetjean.wordpre..
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Suite à la promotion du livre, Bianca était sur tout les plateaux de télévisions, son auteure Loulou Robert jeune mannequin, Fille du journaliste et écrivain Denis Robert, un père, touche à tout , englué par les procès et blanchi dix après l'affaire sûr la société Clearstream...
Ce Roman chuchote surement la vie de Loulou, celle-ci lors de ses interviews susurre cette part d'elle-même et de fiction, comme chaque auteur écrivant un livre.Puis cette avalanche, ce matraquage marketing, avec pour la plupart des éloges sur cette œuvre m'intrigua puis une enfant d'une personnalité connu aura toujours certain avantage mais ma curiosité littéraire fût trop forte .
Bianca est tristesse, sa vie est une boite perdu dans une autre boite, des boites qui se referment sur des autres boites, ses 17 ans sont vide. un puits de mélancolie, un spleen soudain surgissant de la boite de Pandore d'un Baudelaire farceur. Albert Camus dans Le Mythe de Sisyphe écrit que le suicide est un acte absurde. pour Bianca c 'est un arrêt, juste pouvoir rompre avec cette tristesse inconnue, surgit de nulle part, cette tristesse est là, une ombre de ces actes, une humeur dévoreuse, Bianca dans une marre de sang cesse sa vie pour ne plus être triste et viens rejoindre les Primevères.
Bianca est un cri puissant de vie...
Mot pour maux.
Loulou Robert distille les mots avec justesse puis certains passages vous brûlent de l'intérieur, comme son corps se vidant de sa substance, l'anorexie prend sa vie, doucement les rencontres donneront de la substance et de la chair à cette jeune adolescente. Perdue dans les méandres familiales de parents à la dérive de l 'amour, une mére saoule, d'adultère maladroit, un père peu présent discret et une bulle d'air d'amour avec ce petit frére adorable, Bianca croise la misère des autres, absorbe la tristesse l'entourant telle une éponge!
Ces enfants broyaient par ces adultes égotistes, pervers, méchants....Ces enfants croisent Bianca différente, Bianca est happer par la tristesse, une tristesse sans origine. les autres sont les séquelles de stigmates plus grave; inceste pédophilique, homophobie, violence physique....La mort sera avec l'amour un passage important pour Bianca ...
Un roman inégal, des fragments émouvants surtout avec cet Hommes Jeff. son ange gardien...il sera l'oxygène...Simon sera sa jouissance...Raphaël son soutien ....Et Bianca devra trouver la joie ..cette liberté pour sortir de cet hôpital psychiatrique.....
Un roman fort. une écriture coup poing. des personnages en ruptures, une héroïne fragile auquel nous nous attachons tendrement..
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Il était une fois un royaume dont la princesse s'appelait Bianca .
Il était une fois un palais appelé "Les Primevères", qui n'en était pas un , un palais qui était une unité psychiatrique pour adolescents . (Un palais qui ressemblait au pavillon des enfants fous de Valérie Valère ). A cet étage , il y a Clara, Simon, puis Juliette, Raphaël... et puis ... et puis Jeff , les infirmières et le docteur.
Et puis , bien sûr , il y a Bianca .
Princesse , c'est le surnom que lui a donné Simon, son petit ami , parce qu'elle est belle . Tout le monde le lui dit.
Mais elle est maigre aussi... Très très maigre .
On dit anorexique, même si ce mot ne lui plait pas . Elle est là , parce qu'un mois auparavant, elle a fait une tentative de suicide (une TS pour les intimes) . Oui, en plus d'être très , très maigre... Comme si elle voulait disparaître. Comme si elle voulait rejoindre le vide, le rien .
Il était une fois un palais où tous les enfants étaient fracassés . Mais pas par la vie . Oh non ! Juste par les adultes . Ceux-là même qui étaient sensés les protéger .
Et Bianca raconte très bien la souffrance des autres, la sienne .
Oh oui , elle raconte très bien . L'air de rien, avec légèreté, pudeur, révolte, humour, lucidité , intelligence .
De façon rock & roll, moderne, crue, poétique, classe, aristocratique...Mais Bianca est une princesse...
Alors , je ne sais pas dans quelle mesure ce roman est un roman ou un témoignage . Loulou Robert a 22 ans ou 24 (selon les sources...). Elle est la fille d'un grand journaliste ,comme Bianca , elle est très belle ( dans la vie , elle est mannequin) .
Comme Bianca , elle est très cultivée.
Comme Bianca , elle n'est pas bien grosse...
Mais, on n' a pas envie de lui poser la question tant elle a l'air fragile et aristocratique .
On ne pose pas ce genre de questions à une Princesse... Une princesse aux immenses yeux couleur algues vertes...
Bouleversant et magique !
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Cela commençait plutôt bien.
Loulou Robert avait des choses à faire dire à son héroïne sur son placement en HP (eh oui, encore un livre sur ce sujet !).
Le ton libre, typique de sa génération, rendait le livre piquant, mordant, poignant, attachant.

Et puis cela a traîné en rond et en longueur. L'histoire a fini par souffrir de clichés et l'écriture de maladresses redondantes.
Il n'en fallait pas plus pour que la profondeur du début laisse place à l'essoufflement, à l'ennui…
Quel dommage !

Bianca ne m'a donc pas suffisamment convaincue pour que je défende à 100% ce premier roman.

Lien : http://www.arthemiss.com/bia..
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Une claque littéraire, un chamboulement des mots. Loulou Robert manie sa plume avec d'autant plus de poésie et de finesse que les personnages dont elle raconte l'histoire sont d'un réalisme saisissant.

Dans le littérature française, notamment contemporaine, les auteurs ne parlent pratiquement que de leur nombril et pour beaucoup, malheureusement, ils ne savent plus donner une dimension passionnante à leur ouvrage. Ce qui est loin d'être le cas de Loulou Robert.

C'est un roman magnifiquement osé et réaliste de la douleur des sensations adolescentes. Cette période où le moindre sentiment est amplifié et où rien n'est "banale". Loulou Robert réussi a faire passer toute l'intensité et la force des émotions de cette période de notre vie sans jamais tomber dans les archétypes ou les clichés que l'ont retrouve trop souvent avec ce genre de sujet.

C'est brute, cru, déchirant mais tellement beau. Je suis tombée amoureuse de Simon et Raphaël en même temps que Bianca, j'ai pleurée avec elle, je me suis sentie mal avec elle face à ce monde fou qui prend les lucides pour des aliénés.
Une oeuvre que je vous recommande et qui sort du lot de la masse de livre littéraire français qui se veulent transgressifs mais font pâle figure comparé à "Bianca".

Petite parenthèse concernant l'édition, car malheureusement pas mal de coquilles très visibles se sont glissées dans le livre comme "plaire gonfle" au lieu de "faire gonfler" ou bien "à découverte homosexualité" où il manque carrément des mots. On comprend bien entendu ce que l'auteur à voulu dire mais c'est assez malvenu.

Enfin bref…La démesure du quotidien, la douleur de l'amour, la violence de la douceur. Un bijou littéraire qui m'a secouée et émue, avec son réalisme froid, le récit de Bianca arrive comme un choque et un nouveau souffle de la littérature blanche.
Lien : http://bookymary.blogspot.fr..
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Bianca est une adolescente presque comme les autres. Une tentative de suicide la mène Aux primevère, un hôpital psychiatrique. On arpente aux cotés de Bianca cet établissement dans lequel on croise une vie peuplée de patients et de personnel médical, un chemin vers la guérison.

Loulou Robert use d'un ton délibérément détendu et insouciant pour évoquer un sujet sensible, la souffrance adolescence. le regard frétillant de Bianca, malgré la dépression, lui permet d'évoquer des thèmes aussi difficiles que l'inceste et la violence sans jamais passer par le larmoyant. Il m'a même permis de passer un bon moment.

Bianca est une héroïne à laquelle il est très facile de s'identifier. Elle est intelligente, mignonne, mal dans dans sa peau, mal dans sa vie. J'ai apprécie le fait que Bianca ne soit jamais dans l'excès, jamais dans l'insupportable. Loulou Robert parvient avec beaucoup de justesse et de sensibilité à dépeindre les interrogations, les doutes et les tergiversations adolescentes. J'ai trouvé ce personnage crédible et attachant. J'ai aimé la suivre et la voir grandir. Il est pour moi, la grande force de ce roman.

Bianca est un premier roman sympathique et rythmé. Il se lit très rapidement et je vous invite à le découvrir en toute simplicité.

Lien : https://mesexperiencesautour..
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Je pensais être plus emballée par Bianca de Loulou Robert que je ne l'ai été . Est ce que les louanges entendus à son égard sont liés en partie au fait qu'elle n'a que 22 ans et qu'elle est mannequin (une fille sublime ET en plus intelligente, gardez en pour les autres )) ou est ce que je suis passée à côté de l'histoire de cette ado qui raconte son séjour dans un service psychiatrique suite à une tentative de suicide ?

J'ai lu ce roman, sans déplaisir et très vite (et je sais que les livres que je lis très vite, je les oublie aussi très vite), sans croire vraiment aux personnages, si ce n'est peut être à Bianca qui doit avoir pas mal de Loulou en elle (il est beaucoup question d'anorexie mais peut être que je tire des conclusions hâtives).
Lien : http://www.chocoladdict.fr/2..
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