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EAN : 9782021427127
432 pages
Seuil (12/01/2024)
3.68/5   33 notes
Résumé :
March a commis l’irréparable : il a entretenu une liaison avec la femme de son frère. Après deux ans d’exil, il décide de revenir dans sa petite ville natale, Olympus Texas. Mais son retour est loin de ravir l’ensemble des membres de la famille : sa mère, qui a elle-même été trompée moultes fois par son mari, ne lui a pas pardonné ; son frère rêve de régler la chose à coups de poing ; les jumeaux, enfants illégitimes de son père, se trouvent impliqués dans un accide... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
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Les histoire d'A, les histoire d'A les histoires d'amour finissent mal en généraaaaallllll. Ca pourrait être la bande son d'Olympus Texas. Ce livre est arrivé jusqu'à moi par une MC privilégiée pour laquelle je remercie beaucoup babelio et les edition du Seuil. Une saga familiale américaine dépoussierrée. Pourquoi pas ?

Comment vous dire, c'est un peu Dallas, attention, je pose le cadre : Alors Peter est marié avec June avec qui il a eu une petite fille prénommée Théa, et deux fils Hap et March mais entre Hap et March il a eu des jumeaux Arlo et Artie mais pas avec June avec Lee. Vous suivez ? Comment ça un divorce ? Ah ben non, trop cliché! non tout ça en étant marié. D'ailleurs il est toujours marié avec June mais ce n'est pas vraiment la fête. Surtout que March a couché avec Vera qui n'est autre que la femme de Hap. Oui le frère vous suivez un peu, faites un effort quoi !Bon le frangin qui s'était exilé suite à sa connerie monumentale revient dans son bled paumé parce qu'il veut vivre là et pas ailleurs. Mais vous vous doutez bien que c'est un peu tendu quand même.

Et là vous vous dites mais elle est folle elle nous a tout divulgué. Et bien oui, enfin non. Enfin je suis un peu folle oui mais non je n'ai rien divulgué, parce que ça, ce n'est que le début, la base de l'histoire quoi. Mais alors qu'est ce qu'elle a bien pu nous raconter l'autrice pendant 432 pages ? Et bien elle décortique la psychologie de chaque personnage jusqu'à obtenir un tableau d'ensemble assez réussi je dois dire. C'est finement étudié et le décorticage de cerveau et l'analyse des sentiments humains est maîtrisé. On ne tombe pas dans les clichés, c'est original. Oui mais voilà à se promener dans la tête de tous ces gens il faut bien dire que je me suis un peu ennuyée.

Je vous l'accorde il y a quelques rebondissements et une histoire en parallèle mais les états d'âme de machin ou de bidule ne m'ont jamais tenus en haleine bien longtemps il faut bien le dire. Mais je pense aussi que je suis passé à côté de plein de choses par manque de références. L'autrice cite souvent Les métamorphoses d'Ovide, je ne l'ai jamais lu donc ça n'aide pas. D'après ce que dit le bandeau c'est une version revisité de la mythologie, ah mince, il faut croire que j'ai tout oublié en la matière je n'ai pas saisi les référence. Encore passée à côté… L'étude des mécanismes de l'amour sous toutes ses formes… encore passé à côté !

Et puis la fin non mais oh, vous me prenez pour un perdreau de l'année là ? C'est pas un peu facile tout ça? Je n'y crois pas mais alors pas du tout. Comment ça je n'y comprends rien à l'amuuuuur ben oui évidemment je viens de le dire !

Je pense donc que je n'ai pas su apprécier ce livre à sa juste valeur donc je passe une annonce : Livre jaune pétant recherche amateur de mythologie, de psychologie et d'Amuuuuuurrrr pour rencontre et plus si affinité. Plume agréable et originalité au rendez vous. Pas sérieux s'abstenir !
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Ouvrage reçu lors d'une opération Masse critique privilégiée, je tiens tout d'abord à remercier babelio ainsi que les éditions du Seuil pour m'avoir permis de découvrir cette auteure d'exception (désolée je sais que je radote - c'est peut-être l'âge que sais-je - surtout ne vous fiez pas à ma photo de profil car j'ai non seulement changé de couleur de cheveux depuis,, chose dont voue vous fichez royalement mais j'ai surtout pris une dizaine d'année dans la figure depuis - mais le mot autrice me fait toujours autant grincer des dents=. Ici, nous nous plongeons au coeur de l'Amérique, dans la petite ville d'Omympus où tout le monde connaît tout le monde et où les ragots vont bon train.
Peter et June semblent avoir la famille idéale avec leurs cinq enfants mais là encore, les apparences sont trompeuses. March, l'un de leurs fils revient après plus de deux ans d'absence, ayant fui cette petite bourgade en espérant obtenir le pardon de son frère, suite à la liaison qu'il a eu avec la femme de ce dernier. Cependant, Hop n'est non seulement pas prêt à pardonner aussi facilement mais de nouveaux problèmes vont se greffer au sein de cette famille. C'est Artie et Arlo cette fois-ci qui vont se déchirer, les jumeaux que Peter a eu avec une autre femme. Là encore, June a pardonné mais elle n'arrive pas elle non plus à en faire autant avec son fils March. Pourtant, cette femme qui a elle-même été trompée ne peut admettre que son fils marche dans les pas de son père. Ici, lorsque Arlo propose à sa soeur de la suivre dans une nouvelle tournée en tant que manager (lui est musicien), elle ne va pas vouloir. Pourquoi ? Parce qu'elle file le parfait amour avec Ryan et cel, son frère ne peut pas l'entendre. Eux qui ont toujours été fusionnels, il ne peut pas concevoir à ce qu'elle préfère un autre homme à son jumeau et il va la pousser, inconsciemment ou pas, à faire une chose qu'elle et lui regretteront toute leur vie et eux, ne sont pas prêts de réconcilier...tant qu'Artie ne sera pas prête elle aussi à pardonner !

Un roman puissant extrêmement bien écrit qui m'a fait un peu penser à l'écriture d'Harper Lee avec son "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur" (je parle uniquement du style d'écriture et de l'ambiance de fond mais pas des thèmes qui sont abordés ici). Un roman familial dans lequel le lecteur découvre tout ce qui se trouve dessous les apparences et j'ai vraiment adoré. Je ne peux donc que vous recommander cette lecture ! Quant à moi, si j'avais plus d'une vie (une seule ne me suffira pas pour lire tout ce que j'ai envie de lire), j'irais volontiers un peu plus creuser dans les écrits de cette auteure très prometteuse !
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Il vous rappelle quelque chose ce jaune, n'est-ce pas ? C'est Doriane, @yaena qui, la première, a attiré votre attention sur lui. En vrai, il ne tire pas du tout sur le vert, c'est un jaune or. Un bien beau jaune donc ; par-dessus une silhouette de maison dans un fer à cheval. Et un titre Olympus Texas.

Voilà, c'est à peu près tout ce que je peux dire de positif sur ce livre et je ferais bien d'arrêter là cette critique car la suite ne promet pas d'être élogieuse. Alors que ce jaune est vraiment très réussi, lui.

Si, je peux encore vous dire que je suis au regret d'admettre que Doriane s'est trompée. Quand elle a chroniqué ce roman, elle a affirmé mordicus que ce livre était bon et que c'était elle qui n'était pas faite pour lui. Une sorte de rendez-vous manqué, dû en partie au fait que notre amie n'ait pas le goût des romans psychologiques ni la culture classique requise pour le savourer. Je ne suis pas d'accord. Pas d'accord du tout. Ce livre est tout simplement mauvais. Ca n'a rien à voir avec Doriane ou avec moi.

L'idée, rigolote peut-être, trois minutes, sur un coin de table, consiste à délocaliser les dieux de l'Olympe au fin fond d'un Texas contemporain. On s'amuse déjà des collusions cocasses. Jupiter aka Peter est devenu agent immobilier. Toujours tombeur de ses dames et coureur impénitent, il fait ses petites affaires avec les desesperate houswife du coin. Dont Lee, plus connu sous le nom de Leto, heureuse mère de la déesse de la chasse Artémis, dite Artie et de son jumeau Apollon ou Arlo. Parmi les légitimes, Mars, dieu de la guerre, le tout petit frère d'Athéna (Théa) et de Héphaïstos (Hap), dieu du feu, des soudures et donc… garagiste, ah ! ah ! Si vous vous souvenez de vos cours de 6e, vous aurez en tête que Mars fricote avec la femme d'Héphaïstos, la belle Aphrodite (Vera) et que ça ne fait pas que des heureux.

Junon (June), la régulière, ayant pour animal totem la vache, on la met à la tête d'un troupeau. Au Texas, c'est cohérent. Et comme elle a pour animal emblème le paon, on en fourre le jardin. Ca, j'ai trouvé que c'était réussi. Comme avec le jaune de la couverture, ce sont les deux seules choses qui m'ont plu, autant le noter. Par contre, que viennent faire le vétérinaire et Bryan dans l'histoire ? Bryan is not in the kitchen. He's in love with Artie ce qui est un contre-sens manifeste ou une relecture audacieuse d'Ovide et compagnie. Quant au véto, il en pince pour la daronne. Ce qui n'est pas très orthodoxe non plus. Mais qui fait des développements.

Alors, ç'aurait pu être drôle. Ou intéressant. Quand Giraudoux réécrit les circonstances du déclenchement de la guerre de Troie transposée aux temps modernes afin de mettre en scène l'inéluctabilité du Fatum, c'est magistral. Quand Cocteau joue sur l'histoire d'Oedipe dans la Machine infernale et mêle l'ordinaire à la grandeur inexorable du mythe, c'est efficace. Et quand ce sont les Monty Python qui reprennent les légendes arthuriennes ou le Nouveau Testament, c'est à mourir de rire. le problème n'est ni dans la volonté de pasticher ni dans celle de transposer à une autre époque. Elle est dans le sens que cela confère au livre.

Et là, il n'y en a aucun.

Car en important tous ces braves gens au pays des bars de bouseux et du culte de la bagnole, Stacey Swann a purement et simplement gommé le destin. Dans la mythologie grecque, il y a quelque chose à penser de l'union de la guerre et du désir charnel, de la fertilité inouïe d'un géniteur presque priapique. Et par-delà le sens que l'on peut donner à ces unions, quelque chose à faire de l'idée qu'incarne chacune des divinités. D'une chasseresse vierge et farouche, du côté de la nuit, gardienne des chemins et des passages, on ne peut pas faire une gamine folle de son premier crush ! Enfin, si, on peut bien sûr, ce n'est pas interdit. Mais on n'a juste rien compris.

En transformant les dieux de l'Olympe en monsieur et madame tout le monde avec leur problème de fesses et de fin de mois, Stacey Swann n'est pas drôle, elle n'est pas inspirée non plus. Elle ne nous dit rien. Longuement. Elle parvient à ce petit miracle de nous ennuyer avec des histoires qui auront tenu en haleine des centaines de générations, à réduire à de l'inanité consternante ce qu'avaient de mystérieux et instructif ces grands récits sur les origines du monde. C'est petit, mesquin, galvaudé et ce n'est même pas fait exprès. Un terne massacre.

Non, vraiment, si vous voulez réfléchir au pouvoir des mythes jusqu'à aujourd'hui, lisez le magistral le coup du fou d'Alessandro Barbaglia, là, c'est quelque chose !

Finalement, ce livre ne me sera cher que pour une seule chose, c'est Doriane qui me l'aura gentiment envoyé, pensant qu'il me plairait. Voilà qui lui confère au moins une jolie signification : celle de l'amitié.
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Après un exil volontaire de deux ans, March revient à Olympus une bourgade du Texas où vit sa famille. Son retour va bouleverser pas mal de choses.

Un roman qui raconte le naufrage d'une famille qui se désintègre peu à peu. Des retours sur le passé de chaque membre permet de comprendre comment on en est arrivé là. Stacey Swann nous plonge pendant sept jours dans la vie des Briscoe, leurs blessures enfouies, leurs ressentiments , leurs désirs. Un drame familial fascinant avec des personnages complexes où personne n'est vraiment tout blanc ni tout noir. Un roman qui a été pour moi une belle surprise.

Je remercie Babelio et les éditions du Seuil de leur confiance.
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Olympus, riante ville de huit mille habitants est un bled paumé du Texas.
C'est là qu'est né March, qu'il y a vécu, qu'il en est parti et qu'il y est revenu deux ans plus tard. Mais qu'est-ce qui l'a poussé à s'exiler dans un autre état alors que cette ville, qui est son berceau, semble tellement lui tenir à coeur ?
Quelques mots sur sa famille ne seront pas de trop pour en comprendre la raison. March a un frère à peine plus âgé que lui et qu'il a longtemps adoré, Hap. Son père, agent immobilier, probablement l'homme me plus important de la ville, avait quelques problèmes aves sa braguette. Il en a résulté une paire de faux jumeaux, Arlo, musicien en passe de devenir (peut-être) célèbre, et sa soeur, Artie, qui l'a accompagné sur les routes avec son groupe car c'était elle qui s'occupait des tournées. Elle en a eu marre n'aspirant qu'à rester dans sa maison et à jouer de la chasse et de la pèche, notamment en qualité de guide. Détail : elle a longtemps castré elle-même les veaux qu'elle élève. Ces deux enfants illégitimes ont cependant été considérés comme frère et soeur par March et acceptés au sein de la famille. le couple composé de Peter et June a aussi eu une fille, l'aînée, qui a préféré s'éloigner aussi loin que possible de sa chère famille. March y est peut-être pour quelque chose. Faut dire que dès sa plus tendre enfance, il a eu tendance à piquer de mémorables colères qui pouvaient se révéler lourdes de conséquences. Une fois la crise passée, March ne se souvenait de rien. Mais cela n'empêche nullement ce brave garçon d'être adoré par son demi-frère et sa demi-soeur. Hap, son frère aîné est marié à une femme splendide au caractère bien trempé : Vera.
Vous me suivez toujours ? Oui ? Alors venons-en à ce qui a motivé l'exil volontaire de March… Qu'est-ce qui pourrait foutre en l'air les meilleures relations familiales ? Vous ne voyez pas ? Allons faites un effort ! … Ah ! Je sens que vous avez deviné, surtout si vous avez lu la quatrième de couverture ! Pourquoi son frère aîné rêve-t-il de lui redessiner le portrait ? Rappelez-vous ! Hap est marié à Vera, et Vera est probablement la femme la plus sublime des lieues à la ronde… Alors ? Vous ne devinez toujours pas ce qui s'est passé pour que des relations familiales se dégradent à ce point ?

Critique :

Voilà le genre de livres que je n'aime pas lire, mais je ne m'attendais pas à ça lorsque j'ai accepté la proposition de le recevoir grâce aux éditions du Seuil et de Babelio que je remercie pour leur amabilité.
Je n'ai pas apprécié les très longues descriptions de ce coin perdu du Texas (qui doit ressembler à beaucoup d'autres dans l'état). J'ai découvert des espèces botaniques qui m'étaient totalement inconnues, mais je ne suis pas fan de flore.
Les personnages du roman, malgré leurs fortes gueules, m'ont paru creux et je n'ai éprouvé aucune empathie pour eux. L'intrigue basée sur le cocufiage traine en longueur. Quand après cent pages, on en est toujours à la mise en place, j'ai envie de m'enfuir vers d'autres lectures aux intrigues plus prometteuses.
Dans ce roman, les femmes sont aussi viriles, si pas plus, que les hommes. Elles sont dopées à la testostérone.
L'autrice, dont c'est le premier roman, Stacey Swann, a pondu une romance à la texane et il faut attendre bien trop longtemps pour voir un événement venir bousculer un peu plus cette famille texane et apporter un semblant d'intrigue où l'on peut se demander si face à l'adversité, les différents membres de la sagrada familia seront en mesure d'enterrer leurs différends et faire front commun.

Navré de casser la belle unanimité des critiques précédentes.
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critiques presse (1)
LeMonde
22 février 2024
Ecrite en référence (lointaine) aux Métamorphoses d’Ovide (Ier siècle), cette saga américaine explore en profondeur les tourments psychologiques des nombreux membres de ce clan, à l’épreuve des trahisons, des drames et de la violence.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
"_Vous n'interrogez pas la bonne personne. Je ne pense pas que l'amour inconditionnel soit un sentiment humain.
_Vraiment ?
June a tendance à penser la même chose, mais elle ne l'a jamais dit à voix haute.
_La pulsion première chez n'importe quel mammifère, et je m'en tiens aux mammifères parce que c'est mon domaine, c'est d'éviter la douleur. Il en faut beaucoup pour dépasser cela. Pourtant, les gens, et les animaux, le font en permanence. Ils risquent leurs vies pour sauver leurs enfants. La douleur émotionnelle, c'est différent. Si on vous renvoie au visage votre amour, cette rivière d'amour inconditionnel, vous pouvez aisément éviter la douleur en coupant l'eau."
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"Il imagine une vie privée de la présence constante des son fils. Comment n'a-t-l pas compris plus tôt que le fait d'avoir un enfant avec une autre personne vous place dans une position de vulnérabilité que seul un ignorant ou un idiot peut accepter ? Ou bien une personne amoureuse, ce qui est presque pareil."
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"Elle n'avait pas encore compris que l'amour était une création de deux personnes et que, les personnes étant d'une manière ou d'une autre toujours déficientes, l'amour lui-même présentait forcément des défauts."
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"_Je ne pensais pas que tu viendrai voir la parade"
_J'adore Noël, dit-il. Et qu'est-ce qui fait plus Noël que des tracteurs décorés de lumières clignotantes.
_Le Père Noël et un bonhomme de neige conduisant un 4 X 4 ? suggéra Vera."
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"Elle s'aperçoit qu'elle ne peut pas lui dire la vérité, purement et simplement, comme elle l'avait prévu. La vérité ressemble à un acte de violence dirigé contre lui, qu'elle ne peut se résoudre à commettre."
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