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J'ai fini de lire les deux tomes de ces années douces qui résonnent encore en moi. Cela fait partie de ces lectures dont on aimerait dire qu'elles sont vraiment excellentes mais ce n'est pas tout à fait le cas car il y a forcément des choses qui déplaisent. On ne perd pourtant pas une miette dans la lecture car Jiro Taniguchi sait y faire dans la mise en scène même lorsque l'action est inexistante. Son dessin est toujours aussi magnifique car on arrive à percevoir les différentes émotions. Non, ce n'est pas ça ! Je ne suis pas parvenu, non pas à croire à cette histoire d'amour, mais à accepter les personnages et surtout leurs réactions face à certaines situations données. Cela m'a quelque peu exaspéré.

Je vais tenter d'expliquer plus en longueur ce que je viens de dire comme j'ai un peu de temps. Les deux protagonistes principaux sont une séduisante femme célibataire de 36 ans et un vieil homme veuf approchant sans doute les 70 ans. le point de vue sera celui de la femme dont on a l'impression qu'elle est en position dominée face aux caprices d'un vieillard qui fut autrefois son professeur. Ils ont l'habitude de fréquenter un bar afin de s'adonner à corps perdu dans leur boisson locale. Quand c'est le moment de payer, l'auteur insiste pour savoir qui paye l'addition comme si c'était un détail très important alors que cela ne l'est pas. Il y a d'autres détails qui me font dire que c'est très matérialiste comme approche. Est-ce alors dans la culture japonaise ? Cela m'a paru lourd et indigeste, voire pas très romantique.

A l'heure où j'écris ces lignes, un terrible tremblement de terre suivi d'un tsunami dévastateur et vraisemblablement d'une catastrophe nucléaire sans précédent ont frappé l'archipel du Japon. Or, dans la bd, comme chez beaucoup d'autres auteurs japonais, il y a toujours une référence aux catastrophes passées ayant touché le pays. On apprendra qu'un marché local a été durement frappé par un typhon 40 ans auparavant dans la vie du professeur. On apprendra que telle maison a été construite selon des normes parasismiques importantes. Bref, c'est jusque dans leur culture ! Par ailleurs, l'homme est construit selon le modèle de l'imperturbable qui essaye de garder tout ses sentiments en lui. J'aurais envie qu'il se lâche un peu à l'image d'un peuple qui ne bronche pas d'un pouce face au danger. Ce stoïcisme m'énerve quand on pourra y voir du courage et de la témérité. Attention, est-ce vraiment utile de préciser que mon « on » n'engage que moi bien entendu ?

La fin de ce roman d'amour m'a également déplu dans la mesure où le fantastique surgit par la grande porte pour envahir un récit tout à fait crédible. Cette transformation en autre chose m'a totalement dérouté.

Pour autant, j'en garderai un bon souvenir car cela avait en germe de grandes possibilités. Après, il faudra accepter le fait qu'une cueillette de champignons ou l'achat de poussin sur un marché soit un moment de pur bonheur où l'on s'extasie. Conversation futiles et déambulations nocturnes alcoolisées au programme ! Qui est partant ?
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Taniguchi est un orfèvre : il allie l'excellence technique à une poésie littéraire subtile.
Il réalise la fusion entre la bande-dessinée du Levant et celle de l'occident.
Ces petites histoires qui fonctionnent comme des haïkus dans leur sobriété et leur efficacité poétique, et son attachement à la description du quotidien pour révéler les complexités de la condition humaine sont japonais.
Un certain "fonctionnement" de la page dessinée et son style au trait élégant et au classicisme parfait sont européens.
Ces nouvelles dessinées sont des flâneries à deux mais il plane sur cette relation entre la jeune femme et son ancien professeur un mystère que l'on ne sait nommer parce qu'il en a été voulu ainsi par l'auteur.
Où prend source ce sentiment entre les deux personnages et en définitive, quelle en est la nature ?
Et nos sentiments propres quels sont-ils et d'où nous viennent-ils ?
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Tsukiko a 37 ans, elle est célibataire, et dans le café où elle a ses habitudes elle rencontre un homme sérieux et élégant, de plus de 30 ans son aîné.
Cet homme, elle le connaît, il a été son professeur de japonais.
Ils deviennent vite complices : "Plus de trente années nous séparent … mais je me sens infiniment plus proche de lui que de certains amis du même âge que moi.", et prennent l'habitude de se retrouver dans ce troquet, au hasard de leur emploi du temps, puis finissent par faire des sorties ensemble.

Jirô Taniguchi adapte à travers ce manga le roman de Hiromi Kawakami "Les années douces" et se lance dans la rencontre amoureuse.
La narration est faite du point de vue de Tsukiko et plutôt que d'appeler son professeur par son prénom, elle ne cessera de le désigner par "maître" : "Je l'appelle "le maître". Sans majuscule, le maître, simplement.", "Je ne pourrai jamais l'appeler Professeur Matsumoto. Pour moi, c'est ce sera toujours le maître. Même si, en bonne et due forme, je devrais dire le professeur Harutsuna Matsumoto.".
Au début, la conversation s'engage doucement puis très vite c'est une complicité qui se noue entre les deux personnages que tout oppose, ou presque.
Tsukiko est attachante, elle est normale, ni jolie ni moche, ne fait pas de sport, aime la bonne cuisine et a de nombreux défauts.
Quant au professeur, il est amical, toujours sérieux, emmène partout avec lui une mallette et a une grande connaissance culturelle.
Très vite, le lecteur comprend que Tsukiko développe un sentiment amoureux à l'égard du maître, mais tout doucement, sans précipitation, en apprenant à connaître l'autre.
Et même lorsqu'elle revoit un garçon, ancien camarade de classe, c'est encore au maître qu'elle pense : "En fait, c'est le maître que j'avais en tête.".
Il y a beaucoup de pudeur dans ce récit, ainsi qu'un côté intimiste.
Jirô Taniguchi a eu le souci du détail, que ce soit au niveau des expressions des personnages, de l'intérieur des maisons ou de la cuisine.
Car la nourriture occupe une place importante dans le récit et le détail est poussé tellement loin que j'en ai eu l'eau à la bouche.
Il n'y a pas de couleur, uniquement du noir et blanc et cela renforce l'histoire, sa beauté ainsi que celles des images.
Les dessins sont magnifiques, j'ai pris énormément de plaisir à lire ce récit où le bonheur est fugace et où il faut savoir le saisir lorsqu'il se présente.

Avec "Les années douces", je me suis décidée à faire une incursion dans l'univers du manga et je suis sous le charme de cette histoire d'amour naissante, très belle, avec un graphisme de grande qualité.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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[Tome 1 et 2] : Tsukiko, trentenaire, vit seule lorsqu'elle rencontre un de ses anciens professeurs, plus âgé, dans l'habituel troquet qu'elle fréquente après son travail. S'ensuit une suite de rencontres et rendez-vous plus ou moins voulus, entre Tsukiko et celui qu'elle appelle le Maître, qui vont donner naissance à une affection profonde et sincère.

Quel plaisir de retrouver Tsukiko et son Maître, cette fois-ci dans un manga en deux tomes ! L'adaptation est fidèle et les chapitres correspondent à ceux du roman, c'est-à-dire un chapitre par rencontre ou promenade avec le Maître (excepté les deux derniers qui sont adaptés d'une courte et très jolie histoire d'Hiromi Kawakami publiée séparément, mais avec les mêmes personnages). On retrouve les mêmes situations et certains dialogues, accompagnés cette fois-ci des attitudes physiques des personnages, notamment des réactions du visage que le mangaka a su rendre très réalistes. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé le trait, fin et élégant, de Taniguchi qui illustre à merveille l'atmosphère que j'avais ressenti en lisant le roman : un sentiment épuré, simple, pudique, une douce et délicate mélancolie. J'ai beaucoup aimé voyagé dans le Japon d'Hiromi Kawakami, dessiné par Taniguchi, entre les repas dans les bars (toutes ces spécialités me donnent très envie) où le saké coule à flot et, les promenades à la fête des cerisiers ou en forêt pour la cueillette des champignons. Ce très beau manga m'a donné envie de replonger dans le roman !

Lien : http://leschroniquesassidues..
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L'histoire raconte celle de Tsukiko, une jeune femme célibataire qui retrouve par hasard, au troquet où elle a ses habitudes, l'un de ses anciens professeurs de lycée, Harutsuna Matsumoto. Les deux protagonistes, bien qu'ayant trente ans de différence, se rendent compte qu'ils apprécient la compagnie l'un de l'autre. Ces rencontres qui, au début, étaient purement dues au hasard puisque tous deux avaient leurs habitudes dans ce même troquet et, le plus souvent, à la même heure, vont bientôt être provoquées comme par exemple pour la cueillette des champignons, pour le marché ou encore pour aller admirer les cerisiers en fleurs lors de la réunion des anciens professeurs et élèves du lycée. Tsukiko, qui est une femme solitaire et assez renfermée, se prend d'affection pour cet homme qu'elle a pris l'habitude d'appeler "maître" mais où ces rencontres vont-elles bien pouvoir les mener ? Recherchent-ils uniquement de la compagnie et quelqu'un avec qui parler ?
J'ai trouvé ce premier tome absolument envoûtant car les personnages sont extrêmement attachants et de plus, le lecteur découvre, au fil des saisons, les traditions et la culture japonaise.
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Las années douces... Ou le manga qui traînait par chez moi depuis un certain temps... et ou en l'attrapant après avoir lu un autre roman de l'autrice, je me suis posée la question de si je l'avais déjà lu ?... réponse j'en sais rien du tout...

Pitch :
Tsukiko trentenaire en phase descendante ( plus vers les quarante que les vingts) est seule... célibataire (endurcit pourrait-on même dire). Et dans un des restaurants où elle mange souvent, elle va faire une rencontre, la rencontre d'une personne d'un autre temps, d'un autre lieu, d'une autre époque... un ancien professeur du lycée... et entre des radis marinés et des bières fraîches, ils ont les même goût pour certaines choses, une relation va commencer à se tisser, même s'il elle n'arrive pas à l'appeler autrement que Sensei, traduit en maître ( perso j'aurais plus vu professeur que Maître, mais bon...)

Alors alors alors.. bon bon bon...
Vous sentez la difficulté à se lancer dans une chronique ?...
Non ?
Elle est pourtant bien réelle...
Que dire sur cette histoire ?
Premièrement que ça donne faim. Mais terriblement faim, le côté j'ai l'eau à la bouche, moi aussi je veux aller dans ce petit resto qui paye pourtant pas de mine.. Les japonais et leur culte de la nourriture, leur amour de la bouffe... comme moi, là-dessus on a un point commun !
Deuxièmement... que... je suis imperméable à la romance... là je suis bien sûre, que ça soit de la romance humoristique, tragique, choudidou.. j'en ai rien à cirer.. Une horreur...
Pour celui-là, c'est pas que c'est mou du genou.. non... le côté flânerie, introspection, balade dans la nature sous le ciel étoilé.. non.. c'est pas ça, ça je m'en accommode très bien, je suis habituée (j'en ai lu d'autres)...
Nan le truc, c'est que je me suis complètement désintéressé de cette histoire... qu'ils se mettent ensemble ou qu'ils partent chacun de leur côté je m'en fichais comme de mon premier slip... vu que c'est quand même la base de la trame narrative, c'est un peu... dommage ?

Pour le problème de la soit-disant différence d'âge, là pareil peu me chaut. Elle est quand même plus que trentenaire, et donc fait ce qu'elle veut avec son coeur et ses fesses...

Il faut admettre aussi, qu'il y a sans doute bien plus de questions sur ce qui fait de nous des humains, sur le sens que l'on donne à la vie, les chemins que l'on emprunte, Tsukiko malgré son âge ne s'est pas encore trouvé, doute, se pose des questions quand à sa place dans l'univers, et se débat avec des sentiments qui franchement sont clairs comme de l'eau de roche, le côté « nan mais là t'es jalouse bichette... ». Les japonais et les émotions, les sentiments, à chaque fois sorte de terra incognita pour eux, quand ils se trouvent face à face, même pour les plus simples. Bon je généralise en disant les japonais (et les généralités c'est le mal je sais) mais bien souvent dans leur écrits, la question revient souvent, l'apprentissage des sentiments que l'on porte en soi, et leur acceptation.
Et cette question est intéressante au demeurant, mais accolée avec une romance plate ça ne m'émeut pas un copec...

Alors je regardais le reste... les dessins de la ville, Taniguchi est comme d'habitude très bon, il a son style, on ne va pas revenir là-dessus (même si pour celui-là, y en a aucun que j'ai envie d'agrandir pour mettre dans mon salon). Oui je regardais les habitudes de la vie... Et franchement ça m'a donné faim, envie de voir des cerisiers en fleurs, de faire des pique-nique.. mais ça s'arrête là...
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J'ai emprunté ce manga de Taniguchi que je n'avais encore jamais lu à la médiathèque.
Une jeune femme trentenaire, indépendante et un peu rêveuse, croise, dans le bar qu'elle fréquente certains soirs, un homme qui fut son professeur de lettres au lycée.
Elle va nouer une belle amitié avec celui qu'elle appelle "le maître" et qui, malgré trente ans de différence, partage de nombreux goûts, notamment culinaires avec elle.
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Depuis la découverte, il y a 5 ou 6 ans, de L'orme du Caucase, j'ai emprunté ici et là quelques volumes de bandes dessinées de Jirô Taniguchi, avec toujours autant de plaisir. Ce dernier ouvrage est de plus tiré d'un roman de Hiromi Kawakami, dont j'ai apprécié La brocante Nakano et Manazuru . de quoi le conduire très vite entre mes mains ! J'ai retrouvé aussitôt le trait délicat qui permet de faire de si belles balades dans Tokyo, l'art du détail, le coup d'oeil porté aux petites choses douces de la vie. Cette BD découpée en neuf chapitres qui sont autant de rencontres permet de savourer l'histoire à petites doses qui laissent à chaque fois un léger sourire de bien-être ! Rien de bien compliqué, une jeune femme, Tsukiko, célibataire un peu solitaire, reconnaît un jour au restaurant un de ses anciens professeurs. Elle n'appréciait pas spécialement ce « maître », elle n'était pas une élève particulière pour lui, pourtant, ils se retrouvent avec plaisir soir après soir, même si leurs rencontres ne sont que le fruit du hasard. Ils prennent plaisir à partager de petites choses, de bons repas, des verres de saké, une promenade au marché, une cueillette de champignons, une fête des cerisiers en fleurs. Toutes choses qui donnent envie de partir au Japon séance tenante !
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A travers des détails travaillés et des traits nostalgiques et tendres, Jirô Taniguchi parvient à retranscrire la sévérité des gestes, l'apparente retenue inter-générationnelle qui existe au Japon et la tendresse qui unit avec sincérité les deux principaux personnages. Entre sentiments et jugement des autres, le récit initialement écrit par Kawakami prend ici corps grâce au talent et à la maîtrise visuelle de Taniguchi. Une alliance intéressante pour un album sensible. Une plongée dans l'interdit, les non-dits et le fossé générationnel qui, au lieu d'éloigner les êtres, les rapproche imperceptiblement. Une plongée vers le vide, la solitude et la tendresse qui ressort imperceptiblement des personnages de Taniguchi, comme une empreinte nostalgique laissée par des personnages en mal de douceur et d'amour. Un roman plein de poésie qui, sans être le meilleur du maître, n'en demeure pas moins émouvant.
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Ça faisait quelques temps que je n'avais pas lu un titre de Jiro Taniguchi, ça me manquait. Celui-ci est pourtant un peu différent des derniers que j'ai pu lire car Les années douces est l'adaptation d'un roman d'Hiromi Kawakami, un titre très "tranche de vie" où l'on suit les rencontres d'un professeur à la retraite et d'une de ses anciennes élèves qui se sont recroisés par hasard des années plus tard.

Dans ce titre, Taniguchi laisse libre court à toute la poésie et la finesse dont on le sait capable depuis Quartier Lointain et le Journal de mon père. Les petites scénettes mettant en scène les deux héros rappellent bien l'ambiance mélancolique de ces deux titres, sauf qu'ici l'histoire est plus filante et tenue, puisque nous n'avons droit qu'à des instantanés de la vie des deux personnages principaux. On les voit donc se rencontrer régulièrement dans un petit troquet où ils partagent un repas aux mets traditionnels, partageant ainsi également leurs solitudes, celle d'une jeune célibataire pour Tsukiko et celle d'un vieux professeur divorcé pour M. Matsumoto. Au fil des rencontres une relation très particulière se noue entre eux sans qu'aucun ne puisse y mettre les mots, ni eux, ni nous lecteurs, et pourtant on sent bien l'importance qu'elle revêt. C'est très touchant de les voir évoluer et se rapprocher, surtout que cela se passe lors de moments typiquement japonais mais qu'on peut aussi transposer chez nous : soirées au bistrot autour d'un verre et d'un repas, sortie au marché, randonnée à la montagne, discussion autour du sport national, rencontre pour le Nouvel an, soirée sous des cerisiers en fleurs, etc. Les seuls reproches que je ferais, c'est tout d'abord que l'histoire est très très calme, quasi linéaire, sans presque aucune tension narrative et que ça peut freiner certains lecteurs, et ensuite il y a très peu de personnages gravitant autour d'eux, voire aucun, ce qui donne un sentiment de huis clos qui enferme trop l'histoire à mon sens et qui la rend répétitive parfois.

Pour ce qui est des dessins, on est dans la norme de ce que sait faire Taniguchi. Sans surprise, on retrouve son trait fin et sa ligne claire typique entre Japon et Occident. Les décors sont soignés, les personnages quoique peu bavard parfois sont très expressifs et leurs regards et gestes en disent long. On sent dans son dessin toute la retenue et la réserve typique des Japonais qui rendent les rencontres entre ce professeur et son ancienne élève si fortes en sentiments non dits.

En conclusion, j'ai apprécié l'ambiance poétique et mélancolique de ce titre ainsi que l'angle de l'histoire mettant en scène les rencontres entre un professeur à la retraire et son ancienne élève devenue adulte. J'ai aimé assister à la naissance de cette relation qui se noue entre eux. Après, je trouve quand même l'histoire très lente et l'absence de tension narrative rend la lecture un peu fade par moment, ce qui fait que ce n'est pas mon titre préféré de l'auteur même si ça reste un très joli titre.
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