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Critiques de Bourbon Kid (1359)
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Le Livre sans nom

Si comme moi, tu es féru de lecture et que tu aimes bien te balader sur Internet, tu as forcément entendu parler du Livre sans nom. Non ? Cet ouvrage est un véritable phénomène d'édition pour deux raisons. Déjà c'est un best-seller. Un vrai. Ensuite, son auteur préfère garder l'anonymat. Ce qui, forcément, excite les imaginations du public et des journalistes. J'avoue que j'ai un peu hésité avant de me plonger à mon tour dans ce roman. Comme tu le sais peut-être, je ne suis pas une grande amatrice de thriller. Et puis, un tel succès a tendance à me rendre méfiante. Je ne suis pas du genre à dénigrer tout ce qui peut avoir du succès -je ne bosse pas à Télérama- mais j'ai plus souvent été déçue que l'inverse. Il aura suffi d'une promenade dans ma librairie préférée -et la critique de Hugo sur Babelio- pour que je craque.



Il aura fallu un seul petit chapitre pour que je tombe dans le récit. Même que je m'y suis vautrée avec délectation. Je comprends parfaitement le succès de ce roman. Je serais même capable de l'encourager. Comment décrire ce western noir et fantastique ? C'est sombre, c'est complètement jubilatoire, c'est très bien mené et c'est drôle. Oui, tout ça. Le roman est tellement complet que je me suis demandée s'il pourrait me faire un petit café. Tout le monde a comparé l'ouvrage en question avec du Tarentino. Il est vrai que c'est un récit qui fait immanquablement penser au cinéma de part son rythme haletant et le talent de l'auteur à nous plonger dans un univers visuel. Au fil des pages, les personnages défilent, tous plus déjantés les uns que les autres. Les répliques fusent et les références à la pop culture, au cinéma, aux séries TV sont légions. Un roman sans doute générationnel, un roman surtout tellement bien ficelé que ça en est énervant. Il faut dire que c'est rare de tomber sur un livre qui soit du pur divertissement dans le bon sens du terme. Furieusement réjouissant tout ça. Bref un coup de cœur.
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L'Oeil de la lune

Si tu tombes sur ma critique par hasard (ou pas)… il se peut aussi que tu aies entendu parler d’un légendaire auteur de critique sur Babelio et pour te faire une idée bien précise de ma connerie, tu es venu(e) jeter un œil... Attention il y a un tome 1, ne te goures pas : ça serait dommage…



Tome 2



Tu préfères mourir avec un canon scié enfoncé dans le derrière, ou…attendez, attendez la suite, attendez encore un peu : ou être torturé pendant 18 piges dans une vieil………….



BANG… Tu es mort trou duc… Fallait te grouiller merde, au lieu de faire ta bonne sœur outrée…



BANG…tu en as repris une en pleine tronche, parce que je n’aime pas trop les bonnes sœurs outrées…



Re-bienvenue à « Santa Mondega » gros… j’espère que tu t’es un peu renseigné avant de crever ici…



Si tu es très premier degré, un peu intello coincé… Si tu trouves rien de choquant aux bermudas en tissu, aux chemisettes à rayures et aux petits souliers vernis… si tu trouves bizarre et répugnant de te triturer caché sous la couette… en fait si rentres dans cette caricature, tu n’es certainement déjà plus là…



Allez on va faire comme-ci tu étais courageux et que tu débarquais de l’arche de Noé…Mais ouvres bien grand tes yeux de « sainte-nitouche » si tu veux rester vivant encore un peu…



Avant de trancher dans la bidoche, il ne faudra pas te formaliser, je vais écrire des trucs un peu familier, parfois vulgaire : t’es winner ou un looser ? C’est toi qui choisis tête de pieu, si tu aimes bien les raclures maléfiques : vampires, loups garous, momie, clowns, épouvantails, il faut ce qu’il faut… Pas vrai ?



Donc ici : à « Santa Mondega », tu débarques par curiosité et tu y restes pour crever… Il serait préférable de rester debout quand tu vas pisser, et ce sans baisser ton froc, histoire de courir plus vite, pour essayer de t’échapper… Même on sait toi et moi qu’il est déjà trop tard…



Là-bas, le plus compliqué c’est de déterminer comment tu vas finir, en règle générale tu douilles un peu… tu voudrais bien pleurnicher histoire de soulager ton petit côté fillette, mais tu n’as plus de langue, de toute façon tes larmes ne coulent plus : tu n’as plus de yeux non plus… éventuellement il te reste tes bras pour ramper, parce que courir tu ne peux plus non plus : tu n’as plus de jambe… Ouais comme tu dis gros : « c’est la merde »



Là-bas je te le répète : on ampute, on torture, on écorche, on évide, on décapite, on explose … Quoi qu’il arrive tu vas saigner un peu et très longtemps…



Par contre c’est jamais glauque, ni malsain, c’est juste tripant, hilarant, tordant, grinçant, jouissif, corrosif, incisif et franchement pas très catholique…



Dans le même style il y a la "bible" : l'histoire d'un brun ténébreux en culotte qui se fait humilier, fouetter et crucifier vivant sur une croix géante...Peut-être que vous connaissez ? un peu trop premier degré à mon gout, un truc pour taré si vous voulez mon avis...



Au nom du père du fils et du saint esprit…Même si c’est pas très « sein » tout ça…(jeu de mot)



Amen les copain



Fin (peut-être…)

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Que le diable l'emporte

J'aime énormément les parutions de cet auteur toujours à ce jour Anonyme cependant pour moi en arrivant au 7ème tome cela commence à s’essouffler.



Evidemment comme d'habitude tous les personnages sont réunis pour une lecture ou il ne faut rien chercher de cohérent, il y a des anges, des vampires, des portes de chambres mystérieuses, le fameux bar le Tapioca, mais cela ne me dérange pas plus que cela.



Le gros point noir pour moi se situe sur les personnages et ce qu'ils font par exemple le vu et revu de Sanchez pour ces nouveaux clients ou le fait qu'il est des problèmes de transit et que les toilettes en font les frais au bout de la quinzième page à ce sujet je crois avoir bien compris....



Les rôles féminins sont également tellement cliché Jasmine est toujours toute nue ou presque et toujours plus qu'aguicheuse et Beth et toujours aussi empotée....



Une lecture détente mais je pense que si l'auteur ne fait pas évoluer ces personnages il va perdre son public.



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Le Livre sans nom

Le bourbon Kid c'est (dans l'ordre) une capuche, une voix rocailleuse, un verre de bourbon sur le comptoir d'un bouge infréquentable, la vidange du verre en seul shot, un gros flingue dans chaque main et... le carnage. La méthode la plus efficace pour faire baisser le nombre d'affreux pas beaux de Santa Mondega. Quoique, il y a de la concurrence.



« Le livre sans nom » au départ c'est une couverture qui m'intrigue. J'aime beaucoup la photo, une sale gueule, mal rasée, clope au bec, les traits en partie dissimulés par le manque de lumière, par le noir qui couvre au minimum 50% de la couverture.



Puis viennent les premières pages lues. Je suis désarçonnée. Le roman est surprenant, inclassable et au début j'ai du mal avec le style. Je tourne les pages et hop je suis happée, noyée. Clairement ce livre n'est pas de la grande littérature. Âmes sensibles s'abstenir, ça saigne. Coincé(e)s du popotin, merci de passer votre chemin.  



L'écriture est rythmée, crue, visuelle, cinématographique, bourrée d'humour noir, très noir même. C'est décalé, décadent, absurde. Une série B sur papier ? Un hommage à Tarantino ? Ou un western spaghetti des temps modernes ultra-violent et macho ? Le tout servi avec une touche de fantastique (des vampires, des vrais, pas de la Bit-lit pour fillettes).  L'histoire en une phrase? "Santa Mondega" est le trou du cul du monde, un bled peuplé d'un ramassis de "raclures" qui dégomment comme elles respirent.



Les personnages sont de vraies caricatures, mais c'est fait pour. L'auteur n'a pas peur des surenchères, de l’excès. Des mâles avec de gros .. flingues. Des personnages féminins insignifiants, des cruches... mais bonnes, bien gaulées. C'est le principal non ? (Mesdames il faut du second degré j'ai dit hein ? Sinon on passe son chemin.) Mon petit préféré ? Putaxxx Elvis quoi !!! Elviiiiiis ! He's back!! Bon OK, pas pour très longtemps, mais c'est l' jeu ma pauvre Lucette.



Quant à la fin du roman, j'avoue que je n'ai pas vu venir le seigneur des ténèbres!!! Surpriiiise! Mais pour être franche cela me rassure. Vu que c'est du grand n'importe quoi, pour deviner la fin il faut avoir l'esprit sacrément dérangé à mon humble avis. Enfin, je suis assez curieuse de lire la suite, la fin de celui-ci est juste une invite pour le tome 2.



Pour conclure, ce n'est pas un grand chef d’œuvre, l'écriture est plutôt moyenne, les personnages des caricatures déjà vues au ciné, mais l'histoire est rythmée et addictive, l'auteur nous balade et pas besoin de siffler un bourbon pour avoir le tournis. Et ça me plaît bien comme ça. Quant à la fontaine d'hémoglobine, de boyaux et de cervelles explosées, elle provoquera rapidement des haut-le-cœur aux plus sensibles !



PS : Pas très châtié mon langage pour cette chronique, c'est une tentative d'hommage à Elvis, que voulez-vous !!
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Bourbon Kid

Pour moi, le Bourbon Kid, c'est génial. Alors c'est sûr, ce n'est pas ce qu'on peut appeler de la « grande littérature ». C'est parfois très « pipi-caca », et puis il y a toujours du sang partout, des têtes qui se font pulvériser, des créatures écoeurantes venus d'outre-tombe, des blagues potaches et de l'humour noir, très noir. Mais qu'est-ce que c'est bien ! Franchement, je suis fan de cette saga et de ses personnages récurrents. Certains sont énervants mais ils sont toujours attachants. Et je suis ravie d'avoir retrouvé Sanchez parmi ses acolytes et non plus tout seul comme dans la nouvelle que j'ai lue il y a peu : Sanchez : Un conte de Noël.



Ce septième opus fait encore la part belle à de nombreuses références cinématographiques, même si cette fois on passe du policier au film d'aventure puisqu'on est clairement dans l'esprit d'Indiana Jones avec la recherche d'un objet sacré lié au Christ. Ici, les « méchants » (je mets des guillemets parce que le concept « gentil / méchant » a été pulvérisé également) sont les quatre Cavaliers de l'Apocalypse et Caïn, le fils fratricide d'Adam et Ève. Les références mythologiques et religieuses sont donc nombreuses et étrangement, le diable, qui porte le nom de Scratch, est un personnage qui force la sympathie. Qui aurait cru qu'il ferait appel à Dieu dans un moment de détresse où il se trouve au fond du trou ? Enfin, quel bonheur de retrouver les membres des Dead Hunters et, surtout, le Bourbon Kid lui-même avec sa voix rocailleuse et sa réputation du pire serial killer que la Terre n'ait jamais porté !



Depuis le Livre sans nom, j'ai toujours passé de bons voire d'excellents moments de lecture grâce à l'imagination sans limite de mon auteur anonyme favori. le huitième opus, Que le diable l'emporte, est déjà dans ma PAL et je sais qu'un neuvième, intitulé Santa Mondega, doit sortir en septembre prochain. J'en suis déjà ravie. de toute façon, tant que cet auteur anonyme écrira, je le lirai. Avec lui, je suis dans ma zone de confort. Parfois, ça fait du bien d'y traîner un peu.
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Le Livre sans nom

Il me manque certainement un tas de références cinématographiques pour pouvoir apprécier ce polar déjanté à sa juste valeur mais qu'importe, j'ai tout de même passé un très bon moment en compagnie de cette bande de fous furieux !

Les amateurs du genre ( Tarentino et compagnie) en parlent très bien et je ne saurai faire mieux...

Un petit mot sur les personnages, peut-être...



Qu'il soit flic ou truand, voyante ratée ou tenancier de bar qui en pince pour une belle créature amnésique, moine ou champion du ring, ils sont tous un peu frappadingues et complètement loufoques mais néanmoins attachants.

J'ai surtout aimé Dante et Kacy, qui m'apparaissent un peu comme des Bonnie and Clyde, bien malgré eux.



En espérant retrouver ces deux-là dans le tome 2 s'il me prend l'envie de le lire un de ces quatre matins ... Après une soirée bien arrosée peut-être ??
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Le Pape, le Kid et l'Iroquois

Elvis, Rex et le Kid veulent empêcher l’Iroquois de tuer le pape mais il faut peut être pas se fier à cette idée, les choses sont peut être différentes.

Une ambiance, un style bien particulier comme les tomes précédents. Je dois avouer que mon préféré est le tome 5 « psycho killer », en plus j’avais eu un vrai coup de cœur pour la couverture. (Je n’ai pas lu tous les tomes précédents, ils n’ont pas encore croisé mon chemin, peut être un jour…. Bon il faut aussi que je trouve les tomes suivants. Si je me souviens bien il y en a 8 au total. Et vous avez-vous lu tous les tomes ? Lequel est votre préféré ?

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Le Livre de la mort

Ah enfin je l’ai lu… j’avoue que j’attendais avec impatience la suite des aventures du Bourbon Kid. J’étais franchement restée sur ma fin à la lecture du cimetière du diable, le 3e tome de la saga… car ce n’était absolument pas la suite de l’œil de la lune, 2e du nom…. Et franchement monsieur Anonyme nous avait laissé en pleine action, en plein désarroi… et… avec un culot insensé, il nous emmène loin de Santa Mondega pour une balade au cimetière du diable… bon ok, pas désagréable à lire, mais zut… moi j’attendais la suite !

Ouf, avec ce 4e tome, le livre de la mort, on a enfin la suite de l’histoire… on sait enfin ce que deviennent tous nos « héros » favoris… et franchement, j’ai pris encore beaucoup de plaisir à lire ces aventures assez déjantées de vampires, loups-garous et autres créatures du mal, de notre cher Bourbon Kid, JD pour Beth lol et même on reprend plaisir à suivre ce gros bêta de Sanchez etc.

Le rythme est bien mené et on a enfin quelques réponses à nos multiples interrogations et certains méchants finissent par mourir (quoiqu’à Santa Mondega, on n’est jamais vraiment sur de ce genres de choses lol)…

bon, Anonyme a le chic de finir sans vraiment finir… y aura t il une suite ? j’aimerais bien… je me sens un peu chez moi à Santa Mondega et j’y retournerais bien. LOL

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Santa Mondega

J'avais vraiment détesté le tome 8 de cette saga, si bien que je ne voulais pas poursuivre la série que j'aimais pourtant beaucoup au départ... Finalement, j'ai voulu l'emprunter à la médiathèque en voyant que le mot "FIN" à la toute fin du roman n'était pas suivi cette fois de "(peut-être...)".



Alors je me suis lancée dans ce qui était visiblement le tout dernier tome de la saga Bourbon Kid. Nous retrouvons les personnages en assez mauvaise posture puisque Scratch, le diable en personne, est bien décidé à décimer les Dead Hunters... Ces derniers vont devoir affronter les armées de Scratch et une grande question se pose : qui va gagner...?



Même si l'ambiance est toujours fun et pleine d'action, je trouve cette fois encore que le style d'écriture a perdu en qualité puisque les intrigues sont moins intéressantes. C'est toujours aussi déjanté mais je trouve que l'auteur en fait parfois trop. J'étais même un peu agacée par le Bourbon Kid, un peu trop dans sa posture du mec qui n'aime personne et qui est mystérieux... C'était un peu lassant.



Malgré tout, ce tout dernier tome était sympa, avec l'arrivée d'un nouveau personnage haut en couleur, Arizona. Mais si j'avais tant détesté le tome précédent, c'était en raison des propos problématiques - principalement sexistes et homophobes... Et j'ai trouvé qu'il y avait encore beaucoup d'humour sexiste et homophobe, même s'il était nettement moins présent, ça gâche un peu la lecture... Le côté scato aussi est toujours un peu pénible et trop présent à mon goût.



Même si je critique, je suis contente d'avoir été au bout de cette série parce que la fin est plutôt réussie et que l'auteur a offert à ses lecteur•rices un final assez époustouflant ! Dommage que les blagues sexistes, homophobes, etc., viennent ternir une saga qui serait bien meilleure sans, et qui gagnerait à ne pas tremper autant dans l'humour scatophile !
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Le Livre sans nom

Je l’ai depuis quelques temps dans ma pal mais je ne m’étais toujours pas risquée à le lire, n’étant pas sûre de l’apprécier. Il aura fallu que je le trouve en audiobook pour tenter l’expérience. À l’époque de sa sortie, mon ex avait dévoré les 4 tomes. Pour ce premier tome, il s’agit de 6 audios de 1h30 à 2h chacun.



À l’écoute de ce roman, je comprends mieux pourquoi je n’avais pas sauté le pas plutôt. C’est vulgaire et grossier à foison. Du fait du bar du début, j’ai cru être dans un western jusqu’à ce qu’un des personnages mentionne L’arme fatale et Mel Gibson. L’histoire se déroule donc dans une période plus proche. Mais elle est étrange, on change souvent de narrateur et les bonds dans le temps sont fréquents, un peu trop à mon goût. Malgré tout, l’histoire m’intrigue, mais je ne sais que penser du reste. Après une écoute de 3h de ce roman inclassable, c’est certes très violent et vulgaire à souhait. Pour certains, ce genre est jouissif. Pour ma part, je m’y ennuie entre tous ces tueurs à gages à la poursuite d’une pierre de légende et deux flics qui essayent de résoudre les enquêtes liées aux meurtres et aux cadavres sanguinolents que les premiers laissent derrière eux. Comment dire que pour moi, c’est trop exagéré pour être un minimum crédible. J’aime le mélange des genres mais celui-ci n’en fait pas partie (burlesque, policier et fantastique). Mais dans cette histoire, c’est surtout le loufoque qui me gêne car je ne le vois pas… Je ne constate qu’une exagération des faits et gestes de chacun mais l’histoire n’avance que par le fait des flots de sang et des tueries… Pas trop mon kif… J’avais 3 des 4 tomes en ma possession, je crois qu’ils vont partir à l’échange, en boite à livres ou autre.



Comme vous l’aurez compris, ce roman aura été une déception mais je ne suis pas plus surprise que ça. Depuis sa sortie, je ne m’y étais pas intéressée. Il a donc été abandonné au bout de 3h d’écoute. Si vous êtes amateurs de ce genre de romans (loufoque et dans l’excès), je vous conseille donc de le découvrir pour vous en faire votre propre avis. Pour ma part, je change de registre.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Que le diable l'emporte

[Chronique complète sur le blog].



TW : Viol, homophobie, transphobie, sexisme, racisme, validisme.



Une fois n’est pas coutume, je vais faire une chronique très, très négative. Terminé il y a près de cinq mois, je n’ai toujours pas décoléré par rapport au dernier tome de la série Bourbon Kid, saga que j’affectionnais tout particulièrement avant.



Malgré tout, j’ai trouvé certains points positifs au livre : l’intrigue était bien menée – quoiqu’un peu longue et plus ennuyante que les précédentes -, la fin me donnerait presque envie de lire la suite, les révélations étaient inattendues. Mais cela ne suffit pas pour aimer un livre.



J’ai détesté. C’est un des pires livres que j’ai lus.



Jusqu’à présent, j’avais apprécié l’originalité, le côté déjanté et surprenant, les intrigues mêlant le dégoût, le suspens, et une dose d’humour, un humour gras, potache, parfois lourd, mais qui me plaisait.



Sans rire, je soupirais quasiment à chaque page. Il a été pénible de parvenir au bout de ma lecture, tant les propos oppressifs s’enchaînaient, sans que jamais ce ne soit remis en question par le narrateur externe ou qui que ce soit dans l’histoire. L’humour trop scatophile du précédant tome m’avait saoulée mais j’avais passé outre, mais là, c’est tout bonnement inacceptable.



Alors oui, vous direz peut-être que j’étais prévenue, parce qu’il est prévenu que ce livre n’est pas « politiquement correct » mais je dois dire que je ne vois pas en quoi tenir des propos dénigrant les minorités serait original et subversif, quand c’est ce que nous voyions tout le temps dans les médias, à la télé et les produits culturels. Et l’auteur a dépassé les bornes à ce niveau.
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Que le diable l'emporte

Une abbaye énigmatique, une pièce violette dont l'accès est interdit, d'étranges nonnes tueuses et sans tête... Le Bourbon Kid va devoir user d'ingéniosité! Il revient en force avec ce nouvel opus! Je suis peu habituée à ce genre qui pour moi vire vers la comédie et pour cette raison j'ai passé un bon moment. Les dialogues sont cash, les scènes rocambolesques, le langage est...fleuri (Si vous voyez ce que je veux dire...) et les personnages sont complètement zinzins! Prenez garde au diable, à Dracula, aux dead hunters...



Si vous avez un minimum de second degré, vous passerez un bon moment avec le Bourbon Kid! Je pense soit on adhère soit pas. (...)



Ma page Facebook Au chapitre d'Elodie
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Le Livre sans nom

Vu le nombre de critiques sur ce livre, je ne reviens pas sur l'histoire.

Pour le moi, Le livre sans nom est du pur divertissement, un livre sympa qui ne prend pas la tête. L'écriture est à la limite du "parler", comportant de nombreux dialogues au vitriol, les personnages sont stéréotypés et gonflés à la testostérone, il y a beaucoup d'actions, de rebondissements, de fausses pistes. J'ai beaucoup ri aux premières 100 pages, parce que c'était du "nouveau" : la galerie de "héros" proposée est assez éclectique pour que les mélanges du genre soient savoureux (on trouve, entre autres : un sosie d'Elvis Presley, des moines, un patron de bistrot amoureux, une amnésique, deux policiers dont un spécialisé en paranormal et l'autre obsessionnel concernant une affaire non résolue, des amoureux un peu voleurs, une pierre précieuse, une éclipse à venir, et tout un tas de gangster tous plus forts les uns que les autres…). Tous sont des "méchants", certains le sont plus que d'autres, et puis voilà !

Après l'effet de nouveauté, j'ai trouvé que le récit s'essoufflait, qu'il y avait quand même des longueurs, mais les dernières pages, dans lesquelles l'intrigue avance vite, a su sans difficulté raviver mon attention.

Et puis, j'ai oublié de parler du Bourbon Kid, personnage mystérieux, quasiment mythique, légendaire, dont on ne connait que les on-dit sur la majeure partie du livre, et qui aura un rôle majeur à tenir pour dénouer tout ce fourbi. On en apprend pas mal sur lui, dans les dernières pages. De quoi donner envie d'en apprendre plus, un de ces jours, quand j'aurais envie de bonnes bastons et de morts à tous les coins de rue, en lisant "L'œil de lune" !

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Le Livre sans nom

Ébouriffant.D’abord ,une mise au point pour le futur lecteur.Si vous n’aimez pas Tarantino.,M’en in Black,Lucky Luke ,les westerns de Sergio Leone.Si vous n’aimez ni les saloons, ni le bourbon ni les fusillades.Si vous avez détesté 1275 âmes de Jim Thomson ou l’île du point Némo de Robles Faites des économies: n’achetez pas ce livre

Pour les autres, en route pour Santa Mondega, drôle de village où il y a trop d’éclipses et beaucoup trop de méchants, des méchants ordinaires mais aussi de vrais méchants.Il y a deux petit moines, une pierre mystérieuse et un gars bizarre.Bourbon kid ,pas alcoolique,oh que non,Evitez toutefois de lui offrir un bourbon ou alors cachez vous derrière le bar du saloon car cela le contrarie vraiment.Vous voulez savoir pourquoi. Accrochez vous,n’oubliez pas votre humour et en route pour cinq cent pages de bonne lecture.
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Le Livre sans nom

Titre : Le livre sans nom

Auteur : Anonyme

On est en plein dans l’inconnu. Allez, c’est parti.

Waouh, c’est sanglant !

Les cadavres ne se comptent plus à Santa Mondega, en particulier au Tapioca, le bar où l’on n’aime pas trop les étrangers.

Chacun tire plus vite que son ombre, ça tombe comme des mouches.

Et puis….la pierre de lune, convoitée par les pires criminels…. et puis, les vampires et les loups-garous…. et puis la mystérieuse éclipse sanguinaire qui survient tous les cinq ans.



Des crimes à tire-larigot, des vampires… des ingrédients qui, si je les avais connus avant m’auraient fait dédaigner ce livre.

Et bien mal m’en aurait pris car j’ai passé un excellent moment.

J’ai adoré cette lecture, me délectant de chaque nouveau chapitre.

C’est magistralement bien écrit et malgré les centaines et les centaines de morts, il n’y a, paradoxalement, aucun temps mort.

L’histoire, bien que complexe est parfaitement maîtrisée et le suspense est au rendez-vous jusqu’à la dernière page.

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Le Cimetière du diable

Lorsque, j’ai envie de me détendre, et de me soulager de certaines lectures horriblement lassantes, ou affreusement monstrueuses.

Je me réfugie toujours dans les bras du Bourbon kid…



Heureusement pour moi, je n’en suis qu’aux tomes 3, il m’en reste 6.

Et ainsi je pourrais encore m’exiler dans la finesse et la délicatesse des mots de sanchez, et les douces caresses de mon héros le bourbon Kid…



Dans ce tome j’y ai retrouvé des chanteurs morts, un retour aux sources, comme Kurt Cobain (mon chouchou), elvis, Freddie Mercurry, Michael jackson et bien sûr la somptueuse Judy Garland…

Une fresque pleine d’humour noir.

Un parfait moment de détente.



Bonne lecture !


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Le Livre sans nom

Légende urbaine, le Livre sans Nom est une tuerie. N'attendez plus et lisez-le au péril de votre vie même s'il transpire de la sueur, de la pisse, du sang et de la merde. Si vous aimez le bourbon, le whisky, la bière, le café ou même si vous préférez boire de l'eau, passez la porte du bar de Sanchez, ce centre névralgique de la ville de Santa Mondega, qui rappelle pas mal Santa Monica, le Terminus de la route 66(6). Ne vous étonnez pas si vous rencontrez le sosie d'Elvis ou les Hell's Angels, il s'agit de rencontres habituelles. Etonnez-vous plutôt du reste et tenez-vous prêts parce que tout le monde vous regarde dans ce bar. Les habitants n'aiment pas trop les étrangers dans votre genre par chez eux. Serez-vous le plus rapide à dégainer votre flingue ? Mais prenez votre temps. Finissez donc votre verre avant comme dans tout bon western qui se respecte. Il y a de très bonnes références ciné' dans ce livre et profitez (p.81) d'une bonne discussion entre les deux flics, Miles Jensen et Somerset. Leurs noms m'a bien fait rire, ça fait Seven. C'est vrai qu'il y a quelques scènes trash dans ce livre mais on est loin du snuff movie auquel je m'attendais ( Ouais, j'osais pas l'ouvrir ce livre et chaque fois qu'il me regardait dans ma bibliothèque, j'avais les chocottes. Mais en fait non, même pas peur !) La violence est sublimée, esthétisée comme dans un Tarantino. Et lire ce bouquin c'est comme lire un scénario de Tarantino, mais ce n'est pas comme voir un de ses films puisque les deux films que j'ai vus qui ressemblent le plus à ce livre sont True Romance ( écrit par Tarantino mais réalisé par Tony Scott) et From Dusk Till Dawn (écrit par Tarantino mais réalisé par Robert Rodriguez). Même s'il y a un côté Kill Bill, Boulevard de la Mort. Série A, série B, du kitsch et du cool tout à la fois. La preuve en est qu'Elvis, le King, n'accepte un contrat que moyennant de l'argent et une Cadillac rose. Rock'n'roll baby ! Bref, si vous aimez les grandes gueules, les vraies, les réparties que seuls des piliers de bar peuvent lancer, comme “ Sainte-Marie-sur-une-Harley”, que vous voulez voir sur un ring les catcheurs les plus fous, the Sons of Anarchy, lancez-vous parce que c'est vraiment cool. Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer.

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Le Livre sans nom

Recette sans nom :

Prenez un peu de polar, de fantaisie et de SF. Ajouté quelques vampires. Remuez le tout assez fort pour que les balles en argent et les héros se télescopent et vous émerveillent. Réservez la préparation.

Dans un plat à part faites fondre du Tarantino sauce Une nuit en enfer, Robert Rodriguez saveur Sin City et un Clint Eastwood bien méchant. Ajoutez à la préparation, faites cuire et vous obtenez un aller simple pour une fantastique lecture.

C'est frais, c'est palpitant, c'est incroyable et c'est bon !

L'anonyme réussit un coup de maître avec le premier volume des aventures du Bourbon Kid. Les personnages sont flamboyants, et attachants on en oublierait presque que le héros est un serial-killer.

Les dialogues empreints d'un humour corrosif font mouche à chaque fois.

On se laisse emporter par l'auteur et on suit ce récit complètement fou où se télescope plusieurs univers pour notre plus grand bonheur. Le rythme est endiablé et l'intrigue en sous main est prenante. On la croirait carrément bordélique mais le roman repose sur une écriture proche du scénario d'une série télévisée et son découpage est parfaitement rythmé. Point d'amateurisme ici.

Les références sont nombreuses et on assiste à la naissance d'un nouvel univers basé sur la pop culture de ces dernières années. Une référence notable par exemple : l'univers du jeu vidéo. Les méchants se succèdent et on assiste en guise de conclusion au fight avec le dernier boss.

Tout est fait pour qu'une relation de connivence auteur-lecteur, où l'un s'amuse à chercher les références laissé par l'autre, se crée.

Bref, c'est génial.
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L'Oeil de la lune

On retrouve avec un certain plaisir les personnages qui ont survécu à la fin du "Livre sans nom". Ce deuxième opus, qui se déroule toujours dans la ville de Santa Mondega, est aussi déjanté, dynamique et bourré de rebondissements que le premier. Il est toujours question de pierre bleue et de bourbon kid. Difficile de lacher ce livre ou de reprendre son souffle tant l'action ne faiblit pas. La fin est assez inattendue et donne très envie de découvrir la suite...
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Le Livre sans nom

Non mais c'est quoi cet ovni ????

Extrait du guide du routard spécial Santa Mondega :

Charmante bourgade paumée on ne sait pas trop où (et il vaut mieux).



Climat : plutôt sanguinolent, très sanguinolent. Entre nous, je n'ai pas souvenir d'avoir lu un roman avec autant de cadavres, qui plus est en très mauvais état.



A visiter : la bibliothèque municipale a de beaux ouvrages, certains rares.



Où boire un verre : Au Tapioca pardi ! Evitez la flotte, ça fait mauvais genre, mais n'oubliez de fumer, ça fait cool. En revanche, à part un pauvre chocolat chaud aperçu au coin d'une page, personne ne mange dans ce roman. vous allez devoir vous y faire.



Les coutumes et fêtes locales : grosse bringue à l'occasion des éclipses qui reviennent tous les 5 ans. Pensez à prendre un déguisement. Beaux combats, fête foraine et taux d'alcoolémie exceptionnel. Déjà que la moyenne est élevée à Santa Mondega, on atteint des sommets.

Côté langage, allez-y franco sur les insultes, putain !!



Personnages pittoresques : Bourbon Kid, un type mystérieux qui a commis une affreuse tuerie quelques années auparavant. Des personnages peu recommandables tels qu'un patron de la mafia, un réceptionniste voleur, une nana qui résiste aux balles et s'endort pour plusieurs années comme la belle au bois dormant, des chasseurs de prime, des moines pas si pacifistes que ça et mon préféré : le tueur à gages habillé comme Elvis.



Légendes locales : il semblerait que la ville soit infestée de créatures obscures, notamment des vampires.



Monnaie d'échange : la pierre de la lune que tout le monde se dispute, laissant derrière elle une trainée de cadavres.



Et après ça vous avez encore envie de le lire ? Vous avez raison. C'est complètement déconnant, plutôt drôle. Un petit côté Tarantino assez sympa. Pas très bien écrit, mais on s'en fout putain !!



Alors, faut-il le lire ? Oui !! Lâchez prise. Gros kiff si vous n'êtes pas hypersensible à l'hémoglobine.







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