Citations de Jean Dufaux (1681)
Donne au peuple du pain et des jeux, il ne se révoltera pas. Donne-lui la peur et l’inconfort, il se baissera pour prendre un pavé au sol.
- Aucun homme n’est sorti de ta couche en maugréant, maîtresse.
- Oui. Ils sont vite assouvis. Esclave ou empereur, leur distance est courte. Mais ils croient nous combler… L’essentiel est dans l’illusion.
Lorsque l'on touche au pouvoir, on ne peut échapper aux injustices. Le pouvoir s'appuie sur les injustices et sur la peur. Cela sera toujours ainsi...
Méfions-nous des illuminés qui prétendent posséder la seule vérité. Une vérité unie et bétonnée.
Mmm… Le sang d’un esclave. Je ne connais rien de meilleur. Ça me rappelle une vigne sur les flancs de l’Etna. Un vin épais, sauvage… qui jamais n’apaise la soif…
[ETES-vous capable de SUIVRE...?]
"Je suis ce que je suis.
Mais je ne suis pas ce que je suis.
Car si je suis ce que je suis,
je ne suis pas ce que je suis.
Qui suis-je ?"
(Introduction)
- Le ciel est encombré de dieux. Notre Seigneur n’a pas la prétention de dîner avec Jupiter ou de courtiser Junon. Il demande juste une épine.
- !?? Une épine !?
- Oui. Celle qui est plantée dans le cœur de chacun, celle qui empoisonne le cœur de chacun. Tu dois la sentir bouger parfois…
Je ne suis pas un seigneur. Mais un gladiateur. Je n’édicte pas des lois, je brise des os. Compris ?
Les fous de Dieu seront toujours des fous. À Rome de chercher les siens.
Tu verras que Txlaka sourit. Il sourit car il connaît le chant de la chair à vif, de la peau qui s’arrache, des plaies offertes au soleil…
A présent il faut m'oublier. La Blanche que tu as connue t'appartient à jamais. La Blanche que l'on viendra chercher n'est plus à personne, car elle est à tout le monde.
Tu vois, depuis mon départ, j'ai appris bien des choses. Et je sais à présent, que le Mal est au cœur de l'Amour. L'Amour n'est qu'un leurre, une faiblesse, un collier de chien autour de nos illusions...
"L'on reste toujours maître de nos silences, Corbilus. La parole, elle, nous enchaîne."
L’incendie qui ravagea Rome en ce mois de juillet 64 dura 6 jours et 7 nuits. La pourpre fit fondre l’or…
- le...le prophète est passé par ici ?
- il n'existe nul endroit dans DUNE TOWN où le prophète ne soit passé, Spiagudry, vous devriez savoir cela...
(Dieu du ciel, il [Valjean] est devenu plus sauvage encore que par le passé ! Je me demande si j'ai bien fait de m'adresser à lui...)
- Nous y sommes, voici le train...son nom doit vous être familier...
- LA DURANDE !!!
- eh oui, messieurs ! Rien ne se perd dans l'œuvre des grands poètes, encore moins dans celle du prophète...
Il arrive toujours un moment où c'est dans la démence que l'on trouve le remède.
Les cartes du désir et de l'ambition sont les plus longues à parcourir.
Manger ou être mangé, tel sera ton combat désormais.
Soit Cortés revient vainqueur, il a réussi à défaire les troupes de Panfilo de Narvaez et c'est un triomphe, nous resterons des Teules, des immortels...
Soit de Narvaez remporte le combat, et il se peut que Cortés ne revienne pas à Tenochtitlan. Nous serons alors livrés à nous-mêmes. Au coeur d'une cité qui très vite, ne songera qu'à nous éliminer, nous effacer de sa mémoire...
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Voici ma vision : j'ai goûté au sang du jeune Seamus. La clameur sera haute et de brumes ses couleurs. Il sera l'épée, il sera la blessure...
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