Citations de Kochka (184)
1. Ces bonbons seront des baisers de papa.
2. On en prendra un au hasard chaque soir au moment du coucher.
3. Après, bien sûr, on ira se brosser les dents.
4. Les bonbons au citron seront de petits baisers.
5. Les bonbons à la fraise seront des moyens baisers.
6. Ceux au chocolat seront des baisers maximums !
Comme c'est étrange une réapparition. C'est encore plus étrange qu'une disparition. Telma ne sent plus son corps et elle oublie où elle est. Elle retombe trois ans en arrière, quand il est parti un matin.
Telma se souvient des coups de téléphone nerveux. elle l'a cherché toute la nuit et tous les jours qui ont suivi.
Il est magique et beau c'est un livre qui parle de confiance entre deux personnes différentes et j'adore!!!
Loin de ses racines, à l'écart du monde, elle s'est vidée de sa sève.
Elle a beau être toute fine, elle est parfois plus solide que lui.
C'est vrai, vous savez, sans la peur, les monstres n'existent pas.
"quand les gens ne sont plus là, on croit qu'ils sont morts alors qu'ils sont seulement cachés. Les défunts sont dans nos coeurs"
Je la regarde tendrement car je commence à comprendre : elle est étrangère sur la Terre et pour elle cette vie est trop dure. C'est pourquoi sa tête et ses yeux sont ailleurs. Mais quand la musique s'élève, elle veut bien atterrir. Avec la musique c'est plus doux. La musique adoucit les moeurs. (p.67)
C'est ça se faire tireur de fil... c'est poser sur l'autre un regard si confiant et si doux qu'on l'aide à se déplier à l'endroit où il était froissé, comme on le ferait avec une marionnette de papier
Le cœur blessé, à la récré, Achille se tient isolé.
Il était une fois il y a fort longtemps un grand empereur de Chine.
L'imperfection n'avait pas sa place autour de lui.
Au sein de son palais recouvert de belles tuiles jaunes vernissées, chaque objet était choisi.
On y mangeait dans des porcelaines fragiles, des peintures rares ornaient les murs, et aux fenêtres pendaient les tissus les plus lourds et les soies les plus fines.
Et il en allait de même dans ses jardins colorés. Des pivoines les paraient abondamment au printemps, des fleurs de lotus s'ouvraient tels des coffrets en été, des chrysanthèmes ravissaient les yeux en automne, et l'hiver dévoilait ses pins et ses fleurs de prunier.
Jusqu'à une certaine distance, tout était parfaitement réglé.
Jusqu'à une certaine distance car, pour dire la vérité, les jardins étaient si grands que le jardinier lui-même n'était jamais allé jusqu'au bout.
Il s'était arrêté aux forêts feuillues et profondes qui couraient jusqu'à la mer.
Une mer bleue où des embarcations s'activaient.
Il y a des moments dans la vie où ce qu'on croyait solide s'effondre...
Où que la vie t'emmène, Nani, n'oublie jamais d'où tu viens, mais va !
Emma
Réduisez tout à une graine et le monde tiendrait dans un sac
Ne vous sentez jamais étrangers sur une terre étrangère, car ce qui est étranger effraie, et la peur fait naître des monstres...
Au-dessus de son berceau, on suspend un mobile d’oiseaux. Brelin est fasciné. Sans bouger on dirait qu’il les libère et les oiseaux s’envolent dans le ciel de ses yeux.
Alors, elle et Godefroi se levèrent, et, main dans la main, ils s'en allèrent sur leur chemin. Leur royaume était en eux, ils n'avaient plus qu'à le faire éclore, et chacun pour l'autre en était la clé.
Alors, le sommeil l'approcha à pas de velours tel un chat, et, comme un voleur inversé, il déposa à ses pieds un rêve rempli d'un message codé.
Et, chaque fois qu'il pensait à elle, son cœur fondait comme de la neige au soleil, ou comme ces petites baies rouges que sa mère cuisait sur des tartes.
Entre chien et loup, la nuit était en train d'arriver.
Hanna aimait la fraîcheur de l'aube et les oiseaux qui tirent le soleil du sommeil en appelant à tue-tête la lumière !