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Critiques de Ahmadou Kourouma (217)
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Allah n'est pas obligé

C'est l'histoire d'un jeune garçon, un orphelin de 12 ans nommé Birahima qui devient un enfant soldat . Après avoir vécu dans la rue avec sa mère qui meurt d'un uclère à la jambe, il doit retrouver sa tante au Liberia. Il part de la Guinée son pays natal, en companie de Yacouba. Pendant ce voyage qui dure trois ans, Birahima devient enfant-soldat et Yacouba devient feticheur. Il traverse beuacoup d pays (la Guinée, le Sierra, Leon et le Liberia). Birahima garde en tête qu'il doit retrouver sa tante.



C'est un roman qui parle de la guerre tribale et qui dénonce aussi les nombreux coups d'états qui déstabilise les pays, et sont une cause de cette guerre.

Le roman montre beaucoup de violence, mais le narrateur ajoute ausssi de l'humour. Le narrateur est le personnage, Birahima, ce qui rend le roman plus crédible et plus émouvant.



Cependant je n'ai pas aimé ce livre car je ne suis pas rentré, dès le départ dans l'histoire.



Dina.KLH-ALM
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Allah n'est pas obligé

"Allah n'est pas obligé" est le récit de Biramiha, jeune garçon d'une dizaine d'années, obligé de partir vers le Liberia pour rejoindre sa tante après la mort de sa mère. Il va très rapidement se faire enrôler par un chef de guerre du coin pour survivre, et va recevoir une kalachnikov et de la drogue pour mieux combattre. Il continuera à se faire enrôler de faction en faction au gré des évènements, pour se rapprocher au plus près de sa tante.



Le récit est dur, on découvre le quotidien de tous ces gens qui se trouvent dans les zones de guerre civile depuis des années : massacre des clans adversaires, viols collectifs, anthropophagie, petits chefs de guerre qui se succèdent. La situation politique n'est pas triste non plus : les pays voisins qui pourraient intervenir sont également dirigés par des dictateurs, et les armées qui sont censées apaiser les choses tirent dans le tas à la première échauffourée sérieuse. Les principales richesses du pays sont souvent aux mains des étrangers, qui collaborent pleinement avec les petits tyrans du secteur. On ajoute à ça la survie des vieilles superstitions (la mère de Biramiha meure d'ulcère pour avoir refusé d'être soignée par un docteur blanc, on excise et on circoncit à tout va, les soldats enfants et adultes se bardent de grigris avant de partir au combat, ...) qui se mélangent à l'islam et au catholicisme pour achever de noircir le tableau.



Ce livre a le mérite de traiter un sujet passé souvent sous silence : on connait la réalité des enfants-soldats et que les zones du Liberia et de la Sierra Leone ne sont pas très stables, mais de manière assez vague.



Par contre, j'ai trouvé que la narration laissait à désirer. le style change au fil du récit : très "petit nègre" au début, beaucoup plus littéraire à la fin. Les explications de certains termes entre parenthèses sont amusantes au début, mais lassent vite à partir du deuxième chapitre. Et enfin, des jurons ponctuent chaque chapitre, mais ça n'a pas toujours de sens à ces moments du récit. Tout ça donne un peu l'impression que le livre a été publié sans être relu attentivement.
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Allah n'est pas obligé

Allah n'est pas obligé, Ahmadou Kourouma



Avis argumenté



Malgré la lenteur et les répétitions dans ce livre je l'ai bien aimé car il était instructif et m'a tenu en haleine. De plus le titre « Allah n'est pas obligé » qui dans le ,livre se transforme en « Allah n'est pas obligé d'être juste avec toutes les choses qu'il a crées ici-bas » m'a tout de suite plu étant donné que c'était une phrase qu'utilisait beaucoup mon grand-père.



Dans l'histoire, ses changements de clans dans la guerre tribale étaient récurrents, lents et auraient vite pu m'agacer et me lasser mais ça n'a pas été le cas car l'auteur a réussi à y inclure des spécificités telles que les noms des parti, de leurs représentant ce qui m'a permis de rester accroché pour en savoir plus. L'histoire se passe en 1950 c'est donc proche de nous.



La lecture du livre m'a plu parce qu'elle elle était fluide car il n'y avait pas de mots difficiles ou d'un autre dialectes ou langues étrangères qui n'étaient pas traduis et expliqués, le texte était bien construit et non hachuré par des actions soudaines. Tout au long du texte, l'auteur parle de manière familière et comme il le dit « comme un nègre qui parle mal français ».
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Allah n'est pas obligé

Histoire captivante d'un enfant malinké de 10-12 ans. Élevé par une mère handicapée, Birahima est confié, à la mort de celle-ci, à sa tante Mahan. Celle-ci vit au Liberia et le narrateur, accompagné par Yacouba, part la rejoindre en 1993. Le Liberia est en proie à des guerres tribales dirigées par quatre grands bandits: Doe, Taylor, Johnson et Koroma. Chacun de ces chefs a des enfants soldats à sa solde. Birahima va devenir un small-soldiers au service de plusieurs de ces meurtriers. Il fait le même constat à chaque fois : les enfants soldats sont drogués voire forcés de tuer leurs parents en guise de rite d'intégration. En continuant à chercher sa tante qui a fui les massacres après l'assassinat de son mari, jusqu'en Sierra Leone, le narrateur dresse un tableau effrayant des guerres tribales et du règne de l'argent. Il remet en cause les interventions internationales à distance (ONU, ECOMOG, embargo) qui n'aident pas la population mais la font souffrir encore davantage. Le style du récit est très original car ponctué de gros mots et proverbes africains ou de définitions des termes "compliqués". De fait, l'enfant-narrateur s'est vu offrir plusieurs dictionnaires et s'en sert pour constituer son témoignage cocasse et terrible. Ce roman dénonce efficacement l'excision des filles, l'amputation d'innocents, la dépendance à la drogue et la mort d'enfants embrigadés à travers plusieurs oraisons funèbres. Des destins tragiques sont ainsi brossés sans pathos dans une langue à la fois savante et familière, s'adressant à un lectorat varié (blancs colons, noirs indigènes sauvages d'Afrique, francophones p. 9) . Le narrateur souhaite en effet, comme Rabelais, divertir tout en instruisant. Le titre "Allah n'est pas obligé" revient comme un leitmotiv dans l’œuvre dès lors que des atrocités sont mises en avant. Les croyances sont toutes présentées de façon acerbe par un narrateur qui les assimile subtilement à des superstitions meurtrières, à des prétextes utilisés par certains chefs pour assurer leur tyrannie, à des leurres n'empêchant pas de mourir. Bref, un récit aussi original qu'enrichissant.
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Allah n'est pas obligé

Le Liberia, La Sierra Leone, c'est vraiment comme ça. Sauf que ces enfants sont devenus des adultes.
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Allah n'est pas obligé

J'ai eu beaucoup de mal à lire ce roman, en raison du style, de la narration, le point de vue de l'enfant dans un parler petit nègre, et beaucoup de répétitions, de phrases ritournelles décodées, parfois sans nécessité. Ceci dit, même si le mode de narration me semble mal choisi, la dénonciation de la corruption, du système politique, des conflits et guerres avec des enfants soldats justifie ce roman terrible et cauchemardesque.
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Allah n'est pas obligé

Pas intéressant
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Allah n'est pas obligé

Ce livre a été une grosse baffe dans la gueule (en restant poli). On y suit Bihirima, petit garçon libérien qui est entrainé dans la spirale des enfants soldats en Afrique. On voit de l'intérieur l'ambiance de ces milices, de ces enfants qui ont vu trop de choses beaucoup trop tôt. Ça fait vraiment froid dans le dos. Quand on a 9, 10, 11 ans, on n'a pas la construction mentale d'un adulte et quand on voit des horreurs tous les jours, on s'y habitue et ça devient normal. L'auteur s'est mis dans la peau d'un de ces enfants-soldats et c'est vraiment saisissant et bouleversant.
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Allah n'est pas obligé

Un livre particulièrement saisissant, intéressant, faisant voir une réalité connus de tous, soit les enfants-soldat, sous un angles intéressant et directement plongé au cœur du problème, le narrateur étant lui même un enfant-soldat. Un livre à lire, permettant une très bonne introduction à ce fait.
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Allah n'est pas obligé

redoutable lecture ! ne laisse pas indemne
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Allah n'est pas obligé

C'est à hauteur d'un enfant, un petit gars, Birahima, ni plus ni moins qu'un gamin que l'on va découvrir une face bien sombre de l'histoire récente de l'Afrique de l'Ouest.



Birahima dont la mère vient de décéder doit partir avec sa tante pour le Libéria. Celle-ci ayant du s'enfuir, à charge pour cet enfant de la retrouver, c'est avec un féticheur Yacouba, qu'il part pour traverser des pays qui ne vivent qu'au son des Kallach. Ce gamin pour survivre va se retrouver enfant-soldat.



Le style est un peu surprenant au départ mais finalement colle parfaitement au héros, il permet quelques apartés joliment politiques sans avoir l'air d'en faire.



J'ajoute que pour ma part, les proverbes et expressions africaines m'ont réjouie , j'aime ce français parfaitement français mais différent qui habite la francophonie.



Un roman dérangeant.



On a un peu oublié aujourd'hui, ces enfants soldats aux regards troubles portant des kallachs quasiment plus grandes qu'eux, que sont-ils devenus c'est ce que je me demande après la lecture de ce livre.
Lien : http://theetlivres.eklablog...
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Allah n'est pas obligé

Ce roman m’a fait découvrir le sort des enfants-soldats en Afrique. J’ai reçu cette histoire comme une claque en pleine figure.



On y suit l’itinéraire de Birahima. Du Libéria à la Sierra Leone, il se retrouve enfermé dans une spirale de violence.



Ahmadou Kourouma est ivoirien et nous livre cette histoire écrite dans le « parler africain », ce qui rend le récit encore plus réaliste. Les horreurs de la guerre y sont décrites crûment, sans aucune concession...



la suite sur http://leslecturesdeclarinette.over-blog.com/article-664881.html
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Allah n'est pas obligé

A la fois drôle et terrifiant, une "ballade" en Afrique de l'Ouest (Sierra Léone) en compagnie d'un enfant soldat. Où l'on constate que ce que l'on croit savoir est dérisoire, que la vérité est bien plus dérangeante. Les talents de conteur de Mr Kourouma sont exceptionnels.
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Allah n'est pas obligé

Allah n'est pas obligé d'Ahmadou Kourouma ( Points - 224 Pages )



En lisant ce livre, j'ai vécu depuis deux jours dans l'horreur. Oui, dans les tueries, les tortures, les viols et j'en oublie.

Un petit bambin orphelin est emmené au Liberia par un marabout escroc pour retrouver sa tante.

Libéria qui a déclaré son indépendance en 1847

Cet enfant qui raconte sa vie deviendra un enfant-soldat avec une Kalachnikov.

Ces mômes sont drogués pour se sentir forts et tuer sans état d'âme.

Il ira en Sierra Leone, pays en pleine guerre tribale et coups d'états.

Sierra Leone est une ancienne colonie anglaise fondée pour accueillir les noirs américains libérés de l'esclavage.

Pays indépendant depuis 1961.

Les massacres défilent le long des pages.

Pire que des bêtes sauvages, aucune pitié même pour les bébés.

Ces hommes sont des barbares qui croient à leurs gris gris qui les rendent invulnérables aux balles.

Certains mangent le coeur de leurs victimes pour être plus forts.

Durant tout ce récit des années 90, aucun empathie, la folie est partout.

J'ai refermé ce bouquin en étant heureuse de me retrouver tranquillement chez moi loin de ces pays sanguinaires pourris par la corruption.

J'espère qu'aujourd'hui ces pays ont trouvé un régime plus démocratique et que ces pauvres gens puissent vivre en paix.

J'ai gardé de merveilleux souvenirs du Sénégal, de la Cote d'Ivoire où j'ai rencontré des habitants charmants.

L'anarchie conduit au pire où la noirceur de l'âme humaine peut commettre des actes abominables.

A lire si vous avez un caractère solide pour supporter l'enfer.

Mireine







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Allah n'est pas obligé

Très dure, cette histoire nous raconte sans complaisance la vie des enfants soldats dans les pays de l'est de l'Afrique. Le choix du narrateur-enfant est très intéressant et son langage ajoute une dimension supplémentaire à l'intrigue.
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Allah n'est pas obligé

Ce livre est un coup poing à l'estomac, comment des enfants peuvent devenir des fanatiques et utiliser des armes comme on utiliserait un jouet.
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Allah n'est pas obligé

Allah n'est pas obligé est un témoignage cru sur la violence qui a ensanglanté le Liberia et la Sierra Leone dans les années 1990. Le conteur est un enfant-soldat, et heureux de l'être, et l'essentiel du récit sonne vrai. Les massacres au hasard, les conflits ethniques, les retournements d'alliance, l'enfant se retrouve à combattre dans plusieurs camps en fonction des rencontres qu'il fait et des menaces qu'il reçoit. On voit bien que les personnages ne font pas de politique, n'ont pas d'idéologie, il essaient juste d'être dans le camp de ceux qui vont survivre. "Si l'on s'empare d'une mitraillette, c'est avant tout pour manger" disait Ryszard Kapuscinski dans Ebène.

Les conflits du Liberia et de la Sierra Leone se sont achevés à la fin des années 1990, malheureusement ils ont laissé la place à la République Démocratique du Congo où depuis 20 ans, la situation est exactement celle que décrit l'auteur. Même terreur, mêmes massacres, juste à plus grande échelle. C'est la malédiction des pierres précieuses, car ce sont elles qui attirent les convoitises, déchainent la violence et financent les conflits.



Par contre il est difficile de croire qu'un enfant ait envie d'être soldat. La réalité est encore plus cruelle que ce que raconte ce livre, et les enfants-soldats ont tous été tabassés pour leur inculquer la discipline et leur enlever toute velléité de pitié. Sur ce point le récit ne me parait pas très réaliste.



Quant au style, on remarque que l'auteur arrive à mettre de l'humour dans une histoire d'une cruauté sans limite. Par contre l'ajout d'innombrables définitions entre parenthèses, les répétitions, ainsi que le fait de terminer chaque chapitre par une grossièreté, rendent la lecture pénible. Dommage, ce livre ne méritait pas ça.
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Allah n'est pas obligé

Roman réaliste qui donne le frisson. Tout semble vrai, et l'est sans doute. Un enfant-soldat (mesurons déjà l'absurde de cette situation...) raconte avec naïveté et lucidité sa vie de merde dans la guerre tribale, les crânes sur des poteaux à l'entrée de camps, les kalachs aux cous des bandits, les morts atroces, les viols, le hasch, le labyrinthe mortifère des factions politico-maffieuses du Liberia et de Sierra Leonne, le bordel des violences tout azimut. Lecture effarante quand on se dit que c'est aujourd'hui, que ce que nous montre l'actualité, la Côte-d'Ivoire au bord de la déchirure, ça aboutira fatalement (car c'est la fatalité, Allah n'est pas obligé d'être juste dans toutes ses choses ici-bas) à des horreurs comme celles décrites. Que faire ?

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Allah n'est pas obligé

Allah n’est pas obligé est une citation du Coran : non, pour le croyant le créateur n’est pas responsable de nos malheurs terrestres et ce serait blasphémer que de prétendre le contraire.

Musulman sincère Birahima l’orphelin se répète cette sourate au cours de son périple dans une Afrique déchirée par la guerre civile. Il vivait en Cte d’Ivoire. Il traverse Guinée, la Sierra Leone le Liberia pour retrouver une tante, une deuxième famille après la mort de sa mère. Chemin faisant il affrontera les horreurs de la guerre civile, tuera, violera se droguera. Mais il est lucide.

« Quand on dit qu’il y a guerre tribale dans un pays, ça signifie que des bandits de grand chemin se sont partagé le pays. Ils se sont partagé la richesse ; ils se sont partagé le territoire ; ils se sont partagé les hommes. Ils se sont partagé tout et tout et tout le monde entier les laisse faire. Tout le monde les laisse tuer librement les innocents, les enfants et les femmes. »

Enfant de la rue sans peur ni reproche, enrôlé, de force à 12 ans il devient enfant-soldat, un parmi d’autres, ni meilleur ni pire, cruel, sans morale, sans guide ni repère. 

Ce livre puissant nous révèle sans fard une vérité cruelle sur un moment de l’histoire dans un continent déchiré. Les scènes de violence et de massacres sont insoutenables et c’est pourtant dce qui s’est passé dans la réalité, et se poursuit aujourd’hui encore, ici et ailleurs.
Lien : https://livre.fnac.com/a1259..
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Allah n'est pas obligé

Cette histoire est celle de Birahima, un jeune garçon qui nous raconte sa vie avec ses mots -avec sa mère malade, au village, les traditions, les croyances africaines. A la mort de sa mère, il se retrouve au Liberia auprès de Papa Le Bon et ses enfants soldats où il est plutôt protégé jusqu'à ce que ce dernier décède et que les enfants doivent partir, livrés à eux-mêmes avec leurs armes.



C'est donc l'histoire de la guerre au Liberia, des enfants laissés pour compte et des différents mouvements "politiques".



Je dois dire que j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce roman et je me suis arrêtée à la moitié...



Tout d'abord à cause du style : c'est une voix enfantine qui parle et qui ne cesse de s'interrompre et de faire des apartés pour expliquer les mots ou expressions qu'il utilise soit en donnant un synonyme en français, soit en expliquant les mots africains ou anglais. Ce qui au début était amusant est vite devenu répétitif et pénible pour moi.



De plus, cette façon de raconter l'histoire donne une tonalité assez légère parfois amusante alors que les thèmes abordés sont très sombres. J'ai été gênée par ce grand écart entre le fond et la forme.



Enfin, par moment j'avais aussi l'impression de lire un documentaire mais assez obscure car je ne saisissais pas toujours ce qu'il en était des groupes politiques et les sigles et chefs de guerre...



J'ai aussi eu du mal à m'attacher au personnage principal, sa naïveté (fausse naïveté?) m'a plutôt énervée. J'ai eu du mal à suivre, je m'y perdais...



Cette lecture fut un échec et c'est le premier roman Goncourt des Lycéens qui me déçoit.



Sur le même thème j'avais apprécié (malgré la dureté du sujet) "Le chemin parcouru -Mémoire d'un enfant soldat"
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