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Critiques de Ahmadou Kourouma (217)
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Allah n'est pas obligé

J'ai eu beaucoup de mal à lire ce roman, en raison du style, de la narration, le point de vue de l'enfant dans un parler petit nègre, et beaucoup de répétitions, de phrases ritournelles décodées, parfois sans nécessité. Ceci dit, même si le mode de narration me semble mal choisi, la dénonciation de la corruption, du système politique, des conflits et guerres avec des enfants soldats justifie ce roman terrible et cauchemardesque.
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Allah n'est pas obligé

Voyage d'un enfant dans un pays en guerre, un seul rêve pour lui, devenir un enfant-soldat... Triste rêve.

L'écrivain nous conte cette histoire à l’image d'un enfant et utilise notamment plusieurs dictionnaires pour nous donner la définition des mots qu'il estime compliqués, ces passages sont très touchants.

J'avais déjà lu ce livre à l'occasion du Goncourt des Lycéens et il m'avait déjà beaucoup marqué notamment par la violence vue d'un enfant.

Par contre, l'histoire politique m'a paru bien complexe et j'avoue avoir perdu un peu le fil...
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Allah n'est pas obligé

Allah n'est pas obligé, Ahmadou Kourouma



Avis argumenté



Malgré la lenteur et les répétitions dans ce livre je l'ai bien aimé car il était instructif et m'a tenu en haleine. De plus le titre « Allah n'est pas obligé » qui dans le ,livre se transforme en « Allah n'est pas obligé d'être juste avec toutes les choses qu'il a crées ici-bas » m'a tout de suite plu étant donné que c'était une phrase qu'utilisait beaucoup mon grand-père.



Dans l'histoire, ses changements de clans dans la guerre tribale étaient récurrents, lents et auraient vite pu m'agacer et me lasser mais ça n'a pas été le cas car l'auteur a réussi à y inclure des spécificités telles que les noms des parti, de leurs représentant ce qui m'a permis de rester accroché pour en savoir plus. L'histoire se passe en 1950 c'est donc proche de nous.



La lecture du livre m'a plu parce qu'elle elle était fluide car il n'y avait pas de mots difficiles ou d'un autre dialectes ou langues étrangères qui n'étaient pas traduis et expliqués, le texte était bien construit et non hachuré par des actions soudaines. Tout au long du texte, l'auteur parle de manière familière et comme il le dit « comme un nègre qui parle mal français ».
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Allah n'est pas obligé

Birahima est un jeune garçon que des circonstances familiales conduisent au dur « métier » d’enfant-soldat. Nous commençons par faire la connaissance du jeune garçon dans son village natal. En dépit de la lourde infirmité de sa mère, l’enfant vit relativement bien. Après la mort de celle-ci, nous le suivons dans sa nouvelle vie. Au Libéria puis en Sierra Leone, Birahima participe à des pillages et des massacres. Il semble conscient des atrocités auxquelles il participe, mais se montre fataliste. L’enfant n’est pas sans cœur et pleure ses camarades morts, ce qui ne l’empêche pas d’exécuter sa tâche d’enfant-soldat avec une certaine fierté. On comprend, à la lecture de ce texte, comment une telle dualité est possible. Ces enfants ont un passé assez lourd, sont approvisionnés en drogue dure pour tenir le coup et sont conditionnés à tuer sans scrupule.



Quelques mots sur le style qui fait l’originalité du texte mais peut dérouter. Le narrateur Birahima s’exprime en « petit nègre » (l’extrait que je cite en donne un aperçu). Après une courte période d’adaptation je me suis faite à ce style particulier. Par ailleurs, j’ai bien apprécié les petites notes d’humour, jurons… qui ponctuent le récit et détendent l’atmosphère. Certaines scènes sont si pénibles que ces petites parenthèses sont les bienvenues.



Le thème est intéressant et l’histoire de ce jeune garçon éclaire bien sur la réalité des enfants soldats mais j’ai trouvé la lecture assez fastidieuse, notamment la seconde partie. L’histoire politique des deux pays et des nombreux clans qui s'entretuent prend beaucoup de place dans le récit, l’entrecoupant constamment. Quelques repères m’auraient suffit. Je dois avouer que j’ai sauté quelques pages à plusieurs reprises pour revenir à l’histoire personnelle de Birahima, plus évocatrice à mes yeux de la terrible situation de ces pays d'Afrique.



Je n’ai donc pas été totalement séduite par ce livre, qui a obtenu de nombreux prix (dont le prix Renaudot et le Goncourt des lycéens), mais je ne regrette pas pour autant cette lecture très instructive.
Lien : http://sylire.over-blog.com/..
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Allah n'est pas obligé

Cool
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Allah n'est pas obligé

En préambule, ce livre a été multi primé, des lecteurs l’ont apprécié, ceci n’est qu’un ressenti.

Je n’ai rien compris. Pourquoi ce style, pourquoi ces parenthèses permanentes ? Pour se mettre à auteur d’enfant, pour alléger l’atmosphère ? Le texte en est devenu illisible, dès la deuxième page, j’ai sauté toutes les parenthèses. Pourquoi toutes ces redites ? Pour la tradition orale du conte ? C’est tellement indigeste. Sur le fond, on a plus une liste d’exactions qu’autre chose. J’ai appris sur le conflit et les protagonistes, c’est extrêmement intéressant et édifiant mais j’ai eu une lecture diagonale pour en extraire les infos.

Sur le même thème, Johnny chien méchant d’Emmanuel Dongala.

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Allah n'est pas obligé

Histoire captivante d'un enfant malinké de 10-12 ans. Élevé par une mère handicapée, Birahima est confié, à la mort de celle-ci, à sa tante Mahan. Celle-ci vit au Liberia et le narrateur, accompagné par Yacouba, part la rejoindre en 1993. Le Liberia est en proie à des guerres tribales dirigées par quatre grands bandits: Doe, Taylor, Johnson et Koroma. Chacun de ces chefs a des enfants soldats à sa solde. Birahima va devenir un small-soldiers au service de plusieurs de ces meurtriers. Il fait le même constat à chaque fois : les enfants soldats sont drogués voire forcés de tuer leurs parents en guise de rite d'intégration. En continuant à chercher sa tante qui a fui les massacres après l'assassinat de son mari, jusqu'en Sierra Leone, le narrateur dresse un tableau effrayant des guerres tribales et du règne de l'argent. Il remet en cause les interventions internationales à distance (ONU, ECOMOG, embargo) qui n'aident pas la population mais la font souffrir encore davantage. Le style du récit est très original car ponctué de gros mots et proverbes africains ou de définitions des termes "compliqués". De fait, l'enfant-narrateur s'est vu offrir plusieurs dictionnaires et s'en sert pour constituer son témoignage cocasse et terrible. Ce roman dénonce efficacement l'excision des filles, l'amputation d'innocents, la dépendance à la drogue et la mort d'enfants embrigadés à travers plusieurs oraisons funèbres. Des destins tragiques sont ainsi brossés sans pathos dans une langue à la fois savante et familière, s'adressant à un lectorat varié (blancs colons, noirs indigènes sauvages d'Afrique, francophones p. 9) . Le narrateur souhaite en effet, comme Rabelais, divertir tout en instruisant. Le titre "Allah n'est pas obligé" revient comme un leitmotiv dans l’œuvre dès lors que des atrocités sont mises en avant. Les croyances sont toutes présentées de façon acerbe par un narrateur qui les assimile subtilement à des superstitions meurtrières, à des prétextes utilisés par certains chefs pour assurer leur tyrannie, à des leurres n'empêchant pas de mourir. Bref, un récit aussi original qu'enrichissant.
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Allah n'est pas obligé

J'ai lu ce livre du 18/09/2016 au 23/09/2016.

J'ai lu ce livre pour les cours et je vais être honnête avec vous : je l'ai détesté.

Pour plusieurs raisons, 1) la vulgarité car oui tout le long, le narrateur parle d'un langage très populaire et très familier avec des insultes (souvent en africain).

2) des phrases répétées xx fois et de la même façon, j'avoue lire 3 pages avec un paragraphe identique juste un mot qui change, cela est très ennuyant.

3) de la barbarie, dans le récit, le narrateur nous raconte xx récits cruels les uns et les autres.

4) Un récit qui m'a perdu car le narrateur explique quelque chose mais on sait pas si, c'est en ce moment-même si c'est avant ou après l'instant présent de l'histoire.

Pour conclure, je ne le vous conseille absolument pas de le lire mais après faites comme vous voulez. J'ai un peu apprécié le côté pédagogie et une seule pensée régnait durant cette lecture : Faut que je le finisse vite, c'est un supplice.



Ma note : 2.5/10
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Allah n'est pas obligé

Un livre des plus originaux sur la folie des hommes.

C'est avec une écriture belle et qui sort de l'ordinaire que l'auteur nous narre une situation dramatique de pays ou régne l'horreur et la violence des guerres tribales. Avec cette écriture atypique et légère, ces situations sont atténuées, dédramatisées jusqu'à les trouver acceptables, ce qui justement pose problème et mauvaise conscience, d'en sourire !
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Allah n'est pas obligé

L’existence des enfants soldats m’a toujours désolée ! Je dois avouer que je connaissais leur existence mais je n’y connaissais pas grand chose, mis à part ce que j’y avais vu dans l’excellent « Blood Diamond ». J’ai donc sauté sur l’occasion quand Sylire et Lisa ont proposé le thème de l’Afrique, et que ce livre a été choisi. Mais je suis plutôt déçue…je m’attendais tellement à un témoignage bouleversant et à un livre époustouflant que j’en ai été vraiment déçue.



L’histoire en elle même est tout ce qu’il y a de plus réaliste, c’est un témoignage qu’il faut vraiment lire dans cette optique. Bien évidemment, j’ai été touchée par l’histoire de Birahima, par sa vie tragique et par tous les bouleversements qu’il a vécu, mais visiblement pas assez pour être profondément touchée comme je m’y attendais. J’ai lu ce témoignage avec beaucoup de recul, et cela m’a empêché de rentrer totalement dans l’histoire. Je n’ai pas été transportée par le récit, et je n’ai pas pu m’imaginer la dure réalité des enfants soldats.



Pourtant, la réalité des enfants soldats est bien mise en œuvre par l’auteur. Son écriture permet de bien comprendre la situation en Afrique, elle est presque explicative. Cela est très pratique pour tenter de comprendre la politique dans les différents pays qu’a traversé le personnage principal. Mais cela n’a pas suffit à me faire entrer dans l’histoire, dommage !



De plus, je n’ai pas réussi à m’attacher au personnage principal même si je n’ai pas pu m’empêcher de me dire que c’était vraiment inhumain d’envoyer des garçons ou même des filles à la mort. Le sujet est terriblement révoltant, et je pense qu’il aurait dû être traité différemment. Ceci dit, je lirais bien un autre livre de cet auteur.
Lien : http://sunset-avenue.herobo...
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Allah n'est pas obligé

Birahima est un enfant des rues "sans peur est sans reproche", il a dans les douze ans. Il va connaître ce que presque aucun occidental adulte n'aura jamais l'occasion de vivre. Au pays, en Côte d'ivoire, non loin de la Guinée Il vit avec sa mère. Promiscuité, insalubrité, hygiène inexistante,faim. Sa mère se meurt, suite à une blessure mal soignée,amputée d'une jambe, réduite à la solidarité de la communauté. Sa mère décédée, Birahima sans va courir sa chance par les chemins. Guinée, Libéria, Sierra Leone, Côte d'Ivoire. Durant ses pérégrinations, il rencontrera beaucoup de personnes qui l'aideront et partageront son sort Vu son âge, ses connaissances, et ses qualifications, une seule option s'offre à lui : devenir un enfant soldat. Kalachnikov à l'épaule il sert un clan, une tribut, au gré de la chance et des conditions de survie. Il change de camp continuellement selon les opportunités qui s'offre à lui. Un jour il combat pour un chef de guerre, un autre jour il est dans le camp d'en face. Et ce n'est malheureusement pas les opportunité qui manque. Guère civiles, guerres tribales, instabilités foncière et coup d'état, il va vivre l'horreur absolue. Il raconte son histoire, définit les mots qu'il emploie et qu'il trouve difficile par différents dictionnaires qu'il a récupéré, il clôt souvent ses confessions par des interjections ordurières dans son dialecte ou de proverbes et d'incantations à Allah



Allah n'est pas obligé est un livre dur qui incarne les maux de nombreux états d’Afrique; famine, corruption à tous les étages, coups d'état incessants appuyé par l'armée. Cette plongée passionnante dans la réalité du continent s’appuie sur les faits réels, évoque la venue au pouvoir de différents leader et chefs de guerre qui versent sans tarder dans la dictature, sont renversés par l'homme fort du moment, assassinés ou fuient dans un quelconque pays d'Afrique, emportant avec eux le magot qu'ils se sont constitué au détriment de l'état. Cette plongée dans l'indicible à reçu plusieurs distinctions littéraires dont le prestigieux prix Renaudot. Pour les lecteurs des romans primés, ici il n' y a pas de surprise, c'est un superbe livre.
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Allah n'est pas obligé

Je ne comprendrai jamais comment ce livre a pu recevoir autant de prix littéraires; les 223 pages ne font que conter (avec délectation?) meurtres tous plus sanglants les uns que les autres, viols et autres exactions, sans parler des trafics, vols et autres détournements. "C'est normal puisque c'est la guerre tribale". Cette description brute sans le moindre recul me parait extrêmement pernicieuse; dans le meilleur des cas, ce livre n'apporte rien.
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Allah n'est pas obligé

Le Liberia, La Sierra Leone, c'est vraiment comme ça. Sauf que ces enfants sont devenus des adultes.
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Allah n'est pas obligé

Une découverte issue de la Compagnie des auteurs.



Si vous désirez avoir un superbe podcast qui vous fait découvrir plein de choses de culture générale et qui vous fera sûrement sortir de vos sentiers battus concernant vos lectures, je vous conseille vivement l'émission de radio La compagnie des auteurs. Le principe : chaque semaine, sur 4 émissions, vous aurez le droit à un auteur. Et on va tout décortiquer, sa vie, son oeuvre, ses potes, tout.



Et donc une semaine, c'était le tour d'Ahmadou Kourouma. Déjà, en découvrant sa biographie, je me suis dit que j'aurai adoré rencontré ce mec ! Ensuite, j'ai un peu écouté sa liste de livres et je me suis encore dit que cela allait vraiment être l'idéal pour avoir un petit ovni dans mes lectures du mois de Janvier. J'allais lire de belles lettres. Et qui plus est, j'ai été de suite attiré par le titre de : Allah n'est pas obligé (d'être juste dans toutes les choses qu'il a créées ici-bas). J'ai trouvé cette vision de dieu particulièrement juste mais aussi très réaliste. Et on devrait tous en prendre du recul





Dans le quotidien des enfants soldats.



Et ainsi, en lisant ce livre. J'ai enfin redécouvert la poésie dans chaque page. Chaque mot est pesé et pourtant, le vocabulaire n'est pas élaboré, l'histoire pas compliqué. On raconte la vie d'un enfant soldat, de son point de vue. Et c'est cet exercice de style que j'ai adoré. J'ajoute même, j'aurai adoré l'écouter en audio.



Bref, si vous aimez l'Histoire, les belles lettres, sortir de vos sentiers battus, la totale. Je vous conseille vivement Ahmadou Kourouma. Et je vous conseille aussi vivement de vous poser deux secondes sur ce livre : Allah n'est pas obligé. Car il est très inspirant à sa manière
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Allah n'est pas obligé

Allah n'est pas obligé est mon préféré de A. Kourouma.



J'ai vraiment adoré Birahima. Pourtant, l'histoire n'est pas tendre. Ce jeune garçon est pris dans la guerre. Enfant soldat, il va commettre des atrocités, sans prendre la mesure de la gravité de ses actes.



A lire. Mais à mettre dans des mains averties. Fin de collège? Début du lycée.
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Allah n'est pas obligé

Malgré l'étendue des prix reçus, pour ce livre. Je peux souligner deux points qui m'ont dérangés dans cette lecture. Premièrement, il explique tous les mots et personnellement, cela m'a agacé! On part du principe que le narrateur ne sait rien ou presque et fait partager ses observations aux lecteurs. Revenons sur le deuxième point, il y a une certaine répétition dans les phrases, dans les faits (ex : cas de Sita). Toutefois, il décrit parfaitement l'enrôlement des enfants soldats à la guerre et à leurs conditionnements.

Je pense que ce titre est intéressant au niveau thématique même s'il faut d'armer de courage.
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Allah n'est pas obligé

Le narrateur, un enfant-soldat, raconte à la première personne les guerres civiles du Libéria et du Sierra Leone. Un récit incroyable, terrible et drôle à la fois, porté par une langue inventive, qui mêle la petite histoire du jeune narrateur et des personnages secondaires qu'il rencontrés dans son pénible sanguinaire à la grande Histoire de la prédation des jeunes Etats d'Afrique de l'ouest au lendemain des indépendances. Dans le fond comme sur la forme, un roman essentiel.
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Allah n'est pas obligé

Lecture très difficile et éprouvante, puisqu'elle nous raconte l'histoire de Birahima, jeune Ivoirien, enfant-soldat. Tout y est raconté sans concession... de son embrigadement, en passant par sa formation et ses crimes... Il faut avoir le coeur bien accroché, parce que rien ne nous est épargné... Mais c'est le genre de lecture nécessaire, afin de comprendre le monde dans lequel nous vivions... Malheureusement composé de ce genre de crime contre l'Humanité... Je ressors troublé de ma lecture. Les mots frappent forts et frappent dur... Les prix attribués à ce récit sont amplement mérités !
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Allah n'est pas obligé

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Allah n'est pas obligé

...pas possible pour moi.

Le "parler/écrit" comme s'il s'agissait d'un enfant j'ai du mal.

Beaucoup trop de répétitions dans la narration, beaucoup trop de parenthèses qui se répètent.

Au final j'ai tenu 15 pages, un peu déçu tout de même car le sujet m'intéressait et s’annonçait prometteur.
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