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Citations de Alice McDermott (108)


Il flottait dans la pièce une odeur de lotion après-rasage et de savon, reliquats de la douche prise entre le déjeuner qui avait suivi l’enterrement et la visite chez Maeve. Ces effluves cédaient peu à peu aux relents de curry, d’oignon et d’ail émanant du repas tardif de quelque voisin immigré. » p 220 a 18
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Flanquez un coup de pied à un juif à New York, et vous entendrez un autre juif hurler de douleur à Tel-Aviv, mais flanquez un coup de pied à un Irlandais, et ses compatriotes n’ouvriront pas la bouche et se protégeront même le postérieur, persuadés qu’ils en méritent d’autres. » p 222 a – 14
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Dans le contexte d’une vie ordinaire, d’une vie dont les triomphes sont modestes et personnels, dont les épreuves sont relativement banales, aussi mesurées dans leur douleur que dans leurs remèdes, la prétention à l’exclusivité en matière d’amour exige à la fois une certaine sorte de courage et une bonne part d’illusion. » p 259 a – 7
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Billy et Claire n’étaient pas oubliés, ils n’étaient pas moins regrettés, mais ils étaient maintenant silencieux. Dans les rêves, leurs visages n’étaient plus tournés vers eux, permettant ainsi à la vie de ceux qu’ils aimaient de reprendre son cours. » p 299 a 10
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En prendre une autre, encore une autre. Des quantités. Jamais assez.
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Elle projetait d'échanger sa propre âme immortelle contre le bonheur mortel de sa mère.
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« Défense de cracher », lisait-on sur une pancarte au-dessus de leur tête, la preuve, en quelque sorte, qu’ils pénétraient dans un royaaume exotique et dangereux où les autochtones pouvaient à tout instant enfreindre l’interdit.
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Cette pensée nous stupéfia:tant de choses demeuraient non dites en ce temps-là .Tant de choses étaient en jeu.
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La vie d'une Sœur soignante est l'antidote aux ambitions du diable.Une vie pure et immaculée.
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Il existe une faim, avait dit sœur Illuminata à la fille.
« Une faim de réconfort », selon l’expression que se rappelait notre mère.
Mais le vocabulaire de la sœur en ces matières – le corps, la chair, ce qui se passait entre les hommes et les femmes – était limité. Tout comme son expérience.
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« Je l’aime comme ma fille, dit-elle, sans atténuer la dureté de son ton, comme si l’amour était aussi un devoir désagréable. Le mariage la canalisera peut-être. Pas le couvent. »
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« Certaines femmes se marient sans avoir la moindre idée de ce qu’implique le mariage, dit-elle. Et certaines souffrent. Portent des bébés tous les ans. D’autres imposent la souffrance à leur mari. »
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« La souffrance ne dissimule pas la vraie nature de quelqu’un, ajouta-t-elle. Au contraire, elle la révèle. »
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Peut-être pas une beauté, mais possédant de beaux cheveux bruns qui étaient mouillés et plaqués en rubans noirs ici et là sur son front pâle et sa gorge blanche. Malgré le bruit de la pluie dehors, il entendait les voix douces des religieuses dans la chapelle. Elles chantaient « O Salutaris Hostia », un cantique qu’il connaissait depuis l’enfance.
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« Une enfant de couvent, ce n’est pas comme un chat de couvent. Elle n’est pas un animal domestique. »
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Prononcer ses vœux signifiait laisser tout le reste derrière soi : la jeunesse, la famille et les amis, tout l’amour qui n’était qu’individuel, tout ce qui dans l’existence nécessitait un regard en arrière.
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Les désordres produits par les corps mortels des sœurs se voyaient quant à eux dans les innombrables serviettes hygiéniques et les longs sous-vêtements jaunis aux aisselles et à l’entrejambe.
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On ne pouvait pas attendre d’une femme ayant sa propre famille et ses propres problèmes qu’elle s’occupe indéfiniment des malheurs d’une autre.
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Sally se rendit compte qu'elle avait bien meilleure allure dans son uniforme de serveuse ; son tablier et sa coiffe lui donnaient l'air plus propre, plus intelligent, même. Un visage et un corps faits pour servir. p.243
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La cour en contrebas était remplie d'ombres profondes et des mouvements de petits oiseaux gris, et quand elle y plongea le regard, l'abattement qui la saisit la prit par surprise. p. 26
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