Dans Une histoire d’amour et de ténèbres, l’auteur convoque tous les personnages de son enfance, parents et grands-parents, famille, voisins et amis, en re-créant un monde disparu. Il mêle son présent au souvenir des siens, européens convaincus ayant fui l’antisémitisme pour s’installer à Jérusalem, où l’émigration ne ressemble pas au paradis annoncé (intellectuels polyglottes condamnés à parler un hébreu hésitant, à exercer des tâches ingrates, à vivre dans un certain dénuement...).
Ce texte inclassable, à la structure complexe, composé de récits enchâssés, d’épisodes drôlatiques et de scènes émouvantes ou pathétiques, mêle la chronique intime et l’Histoire. Le suicide précoce de la mère d’Amos, souvent évoqué au cours du roman, clôt ce récit magistral d’une enfance aux premiers jours de l’Etat hébreu.
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Très envie de demander à l'auteur pourquoi avoir choisi de faire ce portrait de femme... pourquoi l'hystérie, la somatisation, la dépression ?
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(Lecture partagée du 04 avril 2017)
Il s’agit d’une autobiographie qui commence en 1944. On apprend beaucoup de choses sur l’installation de l’Etat d’Israël, le poids du judaïsme notamment pour les femmes.
C’est un livre extrêmement bien écrit. Le style est foisonnant et riche. On trouve par exemple des descriptions de deux pages sans ponctuation, ce qui rend la lecture un peu ardue parfois. Le récit n’est pas linéaire, il y a des retours en arrière, des répétitions et on se perd parfois dans les noms étrangers.
Cependant il faut « s’obstiner », ce roman passionnant mérite vraiment qu’on le lise jusqu’au bout.
Livre recommandé par « Lectures partagées ».
(à noter : il existe une adaptation cinématographique de ce livre, avec Nathalie Portman)
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Cet essais est à mon goût beaucoup trop long : le sujet traité est trop délayé
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Le roman est divisé en deux parties à peu près égales: "L’hiver" et "Le printemps" et, si j’avais apprécié la première, la seconde m’a encore davantage plu. Un excellent livre.
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Un recueil de nouvelles, plus ou moins liées entre elles. Dans l'atmosphère particulière des kibboutz en Israël.
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A première vue livre pour enfants, Soudain dans la forêt profonde cache en réalité un message écologique et idéologique assez fort, servant de métaphore à la façon actuelle dont la nature est traitée.
Néanmoins, les contes ne possèdent pas la profondeur d'un roman, et le style reste ici plat, les personnages inintéressants et l'histoire ennuyeuse voire parfois même moralisatrice au possible. Un coup d'essai raté, qui ne vaut d'être lu que par son courte taille.
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J'ai détesté ce livre.
"Amos Oz nous raconte l'hilarante existence d'un dilettante..."
Je me suis laissée convaincre par le dos du livre.
Je n'ai pas ri une fois. Il ne se passe rien dans le livre. C'est lent et inintéressant.
J'ai essayé de me concentrer le premier quart du livre mais c'était à mourrir d'ennui. Le personnage évoque une histoire de politique (juifs arabes palestine) dont je ne me sens pas du tout concernée.
Je l'ai fini avec peine pensant qu'il se passerait enfin quelque chose mais rien du tout.J'ai fini par sauter de nombreux passages pour en finir au plus vite.
Un mauvais moment de lecture. Ouf, je viens de commencer un nouveau livre, je vais mieux.
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Une évocation très intéressante de la vie au kibboutz
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L'histoire d'Amos Oz dans la grande histoire des Juifs. Un beau cas de résilience.
A lire absolument.
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Emouvant, une écriture envoutante.
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"Soudain dans la forêt profonde" est à la fois un conte et un apologue.
Il vise plutôt les enfants comme un conte mais défend aussi une opinion en disant qu'il faut se respecter les uns les autres et qu'il faut lutter contre les discriminations comme un apologue.
J'ai aimé ce livre car c'est un récit fantastique avec les animaux et les chimères et j'ai bien aimé l'opinion donné du livre, qu'il faut lutter contre les discriminations. J'ai apprécié que le niveau de langue était courant et que l'histoire était facile a comprendre. J'ai aimé les personnages qui était tous différents, qui avait tous leurs rôles.
Cependant, l'excipit m'a déçu, j'ai trouvé qu'on restait sur notre fin même si le mot "demain" qui clôt le récit nous rappelle l'optimisme des personnages.
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