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Critiques de Anna Godbersen (260)
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Rebelles

Un superbe premier tome, le démarrage est lent mais c'est normal, ce livre est fait pour nous apprendre à connaitre les personnages. Evidemment j'ai eu un coup de cœur pour Diana ainsi que pour Henry. Elisabeth est un peu terne et donc je suis contente du choix qu'elle fait à la fin. Quand à Pénélope et Carolina j'ai hâte de découvrir ce qui va arriver à ces deux chipies !
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Rebelles



Voilà un an que j'ai terminé cette saga, qui fut pour moi un véritable coup de cœur !

Alors que je venais de lire les Twilight, je ne savais plus quoi lire.

Le tome 1, Rebelles, figurait déjà dans la bibliothèque de ma mère, qui l'avait acheté pour sa couverture (qui est magnifique, je l'avoue), mais qui n'avait jamais vraiment accroché (enfin bon, 17€ pour une couverture...).

C'est alors qu'un après-midi, je regardais le catalogue de France Loisirs, et je vis qu'il était juste à côté de la saga des vampires. Quelle aubaine, je n'eus pas besoin de l'acheter !

Donc bien évidemment, je me suis plongée dans ce roman, pensant et croyant dur comme fer à la présence de vampire ou toute créature similaire. Et c'est en arrivant à la moitié du livre que je me suis dit "Mais il n'y a rien de fantastique (bit-lit ? fantasy ? à l'époque vous m'excuserez) là-dedans !" mais je pris plaisir à continuer, et à finir les quatre tomes.

Et donc finalement non, aucune créature fantastique, rien de tout ça ! Juste des scandales à travers tout Manhattan.



-



L'histoire nous est d'abord mise en place par un prologue, plus ou moins particulier. Celui-ci, nous installe d'abord dans un enterrement. On nous présente donc la cérémonie de funérailles d'Elizabeth Holland.

Puis, on arrive au chapitre un, où l'on se retrouve avec la même Elizabeth, vivante. Le prologue n'étant qu'une projection.



Le roman est divisé en de nombreux chapitres, près de cinquante, mais vraiment court (avoisinant les 3, 4 pages pour chacun). Chaque chapitre switch entre les quatre personnages principaux. On nous présente donc tout à tour Elizabeth Holland, Diana Holland, Penelope Hayes et Carolina Broud, âgées d'environ 18 ans.

Ladies devant la société, c'est devant les cœurs à prendre tels Henry Schoonmaker ou Teddy Cutting qu'elle vont devoir à faire.

Chacune mêlée entre bals, coups bas, rumeurs et romance, sous les feux de la presse et des scandales.



Sincèrement, si on m'aurait proposé de lire ce livre, en me disant concrètement de quoi il s'agissait dès le début, je ne l'aurais jamais lu. Et ça aurait bien dommage, car j'ai finalement a-do-ré !



Les chapitres sont courts, et permettent un rythme rapide à l'histoire.

Parmi les quatre jeunes filles, on a de quoi s'identifier et en préférer plus que d'autres -même si j'avoue avoir été énervée par Pénélope (qui n'a pas eu envie de lui donner une paire de claques ?), détestée Carolina au début, et avoir éprouvé de la compassion pour elle par la suite.

Le cadre, Manhattan en 1900 et vraiment très agréable. Et c'est avec une plume fluide que l'auteure nous le décrit.

Quant à la description, justement, c'est une des perles du livres. Chaque robe portée par les jeunes filles est décrite d'une manière si subtile et si détaillée, qu'on prend vraiment du plaisir à les regarder, ou plutôt à se les imaginer.



Donc, pour en terminer, j'ai eu un véritable coup de cœur pour cette série. Le troisième tome est mon préféré (mais je ne saurai plus dire pourquoi). En revanche, la fin du quatre m'a légèrement déçue. Je m'attendais à un autre dénouement (surtout pour Diana et Henry).



En tout cas, je ne pense pas qu'il faut s'arrêter à ses idées préjugées, car on peut passer à côté de belles découvertes.
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Rebelles

Avec de très courts chapitres qui mettent en avant de manière alternative les divers protagonistes de l’intrigue, Rebelles est un roman facile à lire. Chacun d’entre eux est séparé par une page offrant un rapide élément sur l’histoire : extraits de quotidiens ou de journaux intimes, billets doux écrits rapidement sur un bout de papier ou quelques conseils issus de manuels de savoir-vivre qui introduit le statut du personnage (exemple du personnage de la servante introduite par un extrait du guide Van Kamp d’économie domestique à l’usage des dames de la haute société, Ed. 1899).



On plonge très rapidement dans l’intrigue puisque celle-ci s’ouvre sur l’arrivée des personnages à l’enterrement d’Elizabeth Holland, le 8 Octobre 1899. L’auteur nous suggère que cette mort inattendue n’est pas due à une maladie mais plutôt à un incident soudain. Que s’est-il passé ?



Puis, nous repartons au 17 Septembre où tout commence : une situation financière catastrophique, un père ambitieux, un espoir de mariage brisé … et un bal. Tous les ingrédients pour créer des frustrations dans les jeunes générations dont les parents disposent de l’avenir. C’est également sans compter le poids de la société à porter sur ces jeunes épaules : faire honneur à sa famille et correspondre à l’image de la parfaite jeune fille. Difficile alors d’être soi.
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Rebelles

Pour qui aime ce genre, voilà une série qui change des dystopies !

Elles sont riches, belles et de bonne famille : querelles, amours contrariées, manipulations, jalousies dans le New York du début du 20ème siècle.

Cela reste léger même si à travers le portrait de ces jeunes filles et des jeunes hommes qui gravitent autour d'elles, on a une peinture sociale de la bonne société de Manhattan : son système de grandes familles, noblesse à l'américaine, ses rituels, son esprit de groupe. On pense à Henry James (en bien plus léger bien sûr et le style en moins, même si c'est pas trop mal écrit). On y découvre aussi des beaux portraits de jeunes filles, de la jeune fille de bonne famille amoureuse d'un jeune homme qui n'appartient pas à son monde alors qu'elle est fiancée à un très beau parti, à l'intruse de milieu populaire qui se fait passer pour une riche héritière en passant par celle qui ne rêve que de partir explorer le monde...Chacune est prisonnière des convention sociales et de la mentalité de son époque, certaines acceptent et y placent même tous leurs rêves; d'autres tentent d'y échapper...

Ce qui change des autres séries, c'est que l'auteur sort un peu des sentiers de la littérature jeunesse en général, le beau héros ne finit pas forcément avec la belle héroïne (d'ailleurs, il n'est peut-être pas si héroïque que cela), les histoires d'amour ne finissent pas forcément bien et ce n'est pas parce qu'on obtient la vie rêvée qu'elle ne se révèle pas creuse et insensée.

C'est donc très plaisant à lire et pas si superficiel que cela aurait pu l'être.



A partir de 15-16 ans
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Rebelles

Dans un premier temps, j’ai trouvé l’intrigue de ce roman assez lente. De fait, ce tome permet surtout de présenter et développer les divers personnages, ainsi que les liens qui les unissent. Nous allons ainsi de fêtes en essayages de robes, en passant par les visites dominicales que les bonnes familles se rendent visite les unes aux autres. La midinette en nous trouve son compte dans ces évènements, mais cela manque un peu d’action.



Ainsi, la lecture a d’abord été un peu laborieuse, l’intrigue ne décollant véritablement que dans le dernier quart du roman. Mais finalement, ce tome a atteint son but : j’ai appris à connaître cet univers et ses acteurs, jusqu’à me soucier de leur sort et être très curieuse de savoir ce qui va leur advenir par la suite ! Tous les ingrédients sont là : des complots, des affrontements de personnalité, des amours romanesques…



Plusieurs personnages sont développés par Anna Godbersen. Elizabeth, qui est au centre de ce tome, est une jeune fille lisse et ennuyeuse en apparence, mais en laquelle couve la passion et un véritable courage. Mais sa petite sœur, Diana, est plus attachante : impétueuse et extrêmement vivante, elle a du mal à se plier au carcan du monde dans lequel elle évolue. C’est la plus vraie de tous les personnages, celle qui m’a le plus plu.



Il y a aussi Penelope Hayes, celle que l’on adore détester. J’aurais aimé qu’elle soit une méchante un peu plus fine, alors qu’elle se montre ici assez prévisible et grossière. Du côté des personnages antipathiques, il y a aussi Lina, la servante d’Elizabeth qui se supporte plus sa condition de domestique et voue à sa maîtresse une haine sans bornes.



Quant à Henry, je ne sais pas encore quoi penser de lui : d’abord désinvolte et insouciant, le lecteur lui découvre peu à peu des failles et une sensibilité. J’ai hâte de le voir évoluer par la suite.



Anna Godbersen a une écriture agréable, sans être extrêmement complexe. Elle parvient à restituer le contexte de la fin du XIXe siècle dans l’expression des personnages, les tenues arborées, les loisirs, les bonnes manières déployées… Je me suis trouvée plongée dans l’atmosphère de l’époque, comme si j’avais voyagé dans le temps. Les dialogues mondains sont crédibles et en accord avec les personnalités de chaque personnage. Cette auteure a su créer un univers et lui donner vie. Enfin, j’ai beaucoup apprécié les petites extraits mis en avant au début de chaque chapitre : extrait de journal intime, petit mot, lettre, ou extrait de manuels de bienséance, ils donnent le ton de chaque chapitre de manière assez ludique.



Ainsi, c’est un tome d’introduction pour cette saga, qui comporte quelques longueurs mais nous donne le temps de nous immerger dans le New-York de l’année 1899 et d’apprendre à connaître et à apprécier les personnages. J’ai aimé la fin, et je suis maintenant très curieuse de voir l’évolution de cette histoire.
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Rebelles

Résumé :



1899, New York.

Elizabeth est amoureuse de Will.

Penelope est amoureuse d’Henry.

Diana est aussi amoureuse d’Henry.

Henry doit épouser Elisabeth.

Mais Elizabeth aime Will.



J'ai beaucoup eu de mal à finir ce premier tome d’une série de 4.



On en parle et on en reparle de cette fameuse couverture avec une jolie robe, mais suffit pas qu’un gâteau soit beau pour qu’il soit bon...

Et à l'intérieur ?



Les personnages sont évanescents et caricaturaux à souhait (la soeur ainée obéissante, la soeur cadette rebelle, la meilleure amie peste, le don Juan, le beau domestique).



Elizabeth et Diana sont de très pales copies de Elinor et Marianne.



Les événements sont légers, sans épaisseurs que c’en est ennuyeux.

L’intrigue est tellement cousue de fil blanc que des le premier chapitre, je savais à quoi m’en tenir.



Aucune mention sur le New York du gilded age qu’est censé représenter ce roman.



Si vous voulez un roman qui parle de cette société new yorkaise élitiste, Edith Wharton est pour moi «The Artist» à lire.

Maintenant si vous voulez passer le temps en lisant une bluette sentimentale avec de jolies robes ce roman est adéquat.



Je ne lirais pas la suite. (Mais je zieuterais les couvertures.)
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Rebelles

Elizabeth Holland est jeune, belle, riche, l'avenir est assuré pour elle et sa jeune soeur Diana, comme pour toutes les autres jeunes filles de son âge issues du milieu huppé de Manhattan en cette fin de siècle prometteuse, et pourtant... Derrière les façades opulentes des maisons de maîtres et les jardins exubérants d'une ville en pleine expansion qui abrite aristocrates et parvenus, Anna Godbersen nous fait entrevoir "l'ordinaire" des nantis. Un univers doré peuplé de querelles, de machinations et bâti sur les faux-semblants. Bals et autres cérémonies somptueuses se succèdent et servent à afficher sa réussite et ses plus belles toilettes, les amours se font et se défont au gré des valses, et les apparences dissimulent des secrets bien sombres... Bref, mensonges et décadence sont les maîtres mots de ce récit riche en rebondissements.



C'est sur le décès d'Elizabeth qui s'apprêtait à épouser l'un des plus riches parti de la ville que s'ouvre cette histoire. L'auteur remonte le passé de quelques mois pour nous dévoiler le récit de la vie des filles Holland, leurs craintes, leurs espoirs, l'injustice de leur position dans un monde où seul un mariage de convenance est acceptable et consolide les liens entre les familles.



Elizabeth, de retour aux Etats-Unis après un été passé en Europe, est poussée par sa mère à accepter la proposition de mariage de la famille Schoonmaker, l'une des plus puissantes de la ville, et ce malgré les sentiments profonds qu'elle éprouve pour son palefrenier. Fini les roulades dans le foin, les serments échangés dans l'écurie et les rêves d'évasion avec le beau domestique. La famille Holland est ruinée et seul son nom peut encore lui permettre de sauver les meubles. Elizabeth doit donc se sacrifier et accepter de s'unir avec Henry Schoonmaker. Mais c'est sans compter sa meilleure amie - la vénéneuse Pénélope Hayes - maîtresse en titre du gentleman concerné, et qui n'a pas l'intention de céder son amant pour tout l'or du monde. Quoique riche, Pénélope fait partie de cette classe sociale peuplée de parvenus milliardaires qui ne souhaitent qu'une chose : allier leur fortune aux grands noms de l'aristocratie New Yorkaise. Pénélope va donc monter la pire des machinations pour s'assurer un avenir doré aux côtés de son amant. Sauf que... voilà que ce séduisant jeune homme, libertin et blasé, féru de courses de chevaux et qui aime s'encanailler (le vilain) dans les pires bouges de la ville, cède au regard de feu de la soeur de sa fiancée : Diana ! Le ton est donné : ce triangle amoureux nous réserve de belles surprises !



La suite ici :
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Rebelles

J'ai beaucoup aimé ce premier tome.

Rivalités, luxe, amour, et beauté, tout ce qu'il faut pour faire un roman d'amour digne de ce nom.

Un roman "à l'eau de rose" très plaisant à lire. L'histoire nous emporte et nous donne très envie de connaitre la suite des aventures de ses héroïnes, et par conséquent de se jeter sur le deuxième tome !
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Rebelles

Lorsque que j'ai décidé de lire ce roman, j'avais besoin d'une lecture sans prise de tête, rapide et fluide et c'est exactement ce qu'il s'est passé avec Rebelles. Durant toute ma lecture j'ai eu des vibes des chroniques des Bridgerton version 2010. Honneur, famille, réputation et paraître sont les préoccupations principales de ces adolescents même si les premiers amours viennent s'en mêler, j'ai bien aimé les croisements amoureux que l'on rencontre mais ma lecture reste bien sans être incroyable car je n'ai pas eu d'étincelles ni pour les protagonistes ni pour l'intrigue et le "petit" suspense dont on comprend vite l'explication. Bref une lecture tranquille et sans prise de tête dont je lirais surement la suite lorsque j'aurais besoin de ce type de lecture.
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Rebelles

J'ai beaucoup aimé ce livre, il me fait beaucoup pensé à Gossip Girl mais à l'époque du 18ième siècle avec amour, trahison, noblesse, mode, mariage arrangé, pauvreté...
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Rebelles

Ce livre d'Anna Godbersen me faisait de l’œil depuis un bon moment déjà... Il faut dire que j'aime beaucoup l'époque à laquelle il se situe, fin du XIXè siècle: l'élégance des plus hautes sphères, leurs traditions, leurs codes, leurs ambitions et leurs secrets... Je dois aussi avouer que la robe que l'on voit sur la couverture de l'édition brochée n'est pas pour rien dans mon choix et il est même dommage qu'elle n'ait pas été conservée pour la version poche...



Ce roman nous plonge dans l'univers de ce que l'on pourrait considérer comme l'ancêtre de notre actuelle "jet set".

Chaque chapitre débute avec un extrait soit de journal, soit de lettre, ou encore de billet échangés entre les personnages. On y apprend dès la première page la disparition tragique d'une jeune fille issue d'une de ces grandes familles: Elizabeth Holland. Le livre s'ouvre donc sur une scène de funérailles, toute la bonne société new-yorkaise est en deuil.

Dans les chapitres suivants, nous remontons le temps de quelques mois, et apprenons les évènements qui ont conduit à ce drame.



Les défauts que l'on peut reprocher à ce livre sont une fin trop prévisible (on peut la deviner dès le moment où Elizabeth et Henry se retrouvent fiancés), et des personnages parfois un peu caricaturaux.

L'héroïne (Elizabeth, donc), élégante, bien élevée, est polie à en être presque trop lisse; le séducteur (Henry) est riche, beau et cynique; et la peste (Penelope) est prête à tout pour arriver à ses fins. Mais sous leurs dehors policés se cache leur vraie nature...



Une fois encore, il ne s'agit pas ici de grande littérature, mais d'un roman jeunesse, que pour ma part j'ai trouvé bien écrit, dans un style fluide et rythmé. Je peux même avouer en toute honnêteté avoir passé un très agréable moment, et je pense continuer l'aventure avec les prochains tomes (Rumeurs, Tricheuses et Vénéneuses).
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Rebelles

La vie tumultueuse d’une jeune fille issue d’une famille riche, voilà le contexte. Nous suivons donc la vie d’Elizabeth Holland, mais aussi, plus rarement, celle de sa petite sœur ou celle de sa servante. Elizabeth, pour sauver sa famille de mauvais placements effectués par feu son père, doit se marier avec Henry Schoonmaker, fils d’une famille new-yorkaise extrêmement riche. Elizabeth n’est pas vraiment heureuse de ce mariage arrangé. De plus, sa « meilleure amie », Pénélope Hayes complote contre elle. Pénélope est depuis toujours amoureuse (ou bien très intéressée) par Henry. Nous assisterons donc à des cachoteries, amourettes, fausses amitiés, scandales et désirs de vengeance !



Elizabeth Holland est morte. Et oui, on nous impose d’emblée sa mort. Est ce un moyen de nous déstabiliser, de nous avertir (de ne pas nous attacher à Elizabeth) ou simplement de nous gâcher la surprise ? Je pencherais plutôt pour la troisième possibilité. En effet, je n’ai pas du tout réussi à m’attacher au personnage. Je n’aime pas les personnes hautaines et c’est vraiment un défaut récurrent dans ce livre. Je ne dis pas que ce n’est pas normal, on est en effet à la toute fin du 19ème siècle ! Dès les premiers chapitres, on nous bombarde de nouveaux personnages, de nouveaux points de vue. Il est donc très difficile de s’y retrouver avant le moitié du livre : on suit Elizabeth, Diana (sa petite sœur), Carolina (sa servante), Pénélope et Henry. C’est aussi avec étonnement que j’ai constaté que le langage utilisé par l’auteur n’est pas si différent de celui d’aujourd’hui ! A mon avis, c’est un plus, je n’aurais pas aimé assister à un discours de politesse à chaque dialogue. On pourrait très bien comparer ce livre à Gossip Girl, c’est d’ailleurs la première chose qui me soit venue à l’esprit (quand j’avais enfin compris qui était qui !). Il est donc clair que ce livre appartient au genre Chick-lit (ou roman à l’eau de rose si vous préférez).



En conclusion, ce livre est plutôt plaisant, même si les personnages ne m’ont pas plu. L’époque et le problème des mariages arrangés sont bien abordés. On pourra aussi noter les lettres, articles de journaux, télégraphes et autres petites notes qui précèdent chaque chapitre, comme un rappel du chapitre précédent. Ce qui est très agréable. Je ne conseillerais pas ce livre aux habitués de Bit-lit comme moi, mais peut être à ceux de Chick-lit ?!
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Rebelles

Déjà ce qui attire dans ce livre c'est sa superbe couverture, et sa mise en page bien foutu, ainsi que le résumé derrière (en tout cas moi ça m'a mis l'eau à la bouche). Alors qu'avons-nous là? Une histoire de gens pétés de tunes dans un Manhattan de 1899, avec des personnages fiers, maniérés, arrogant à mourir, et un monde où une femme doit se marier et se la fermer (oupas?) ! Chaque chapitre présente un personnage différent et c'est vachement bien fait. En plus croyez-moi ou non, mais le début commence par l'enterrement d'une des persos principales, la classe non? D'ailleurs ces personnages, parlons-en : Elizabeth Holland, fille modèle, qui connait toutes les bonnes manières sur le bout des doigts (et accessoirement mon personnage préféré) amoureuse de AHA mais doit se marier avec -pas de bol- Henry Schoonmacker ! Diana Holland, sa petite soeur, qui n'aime pas se conformer au règlement, qui se croit romantique, rebelle et désobéissante (personnage que j'ai appris à apprécier au fur à mesure du livre) ! Sa relation avec sa soeur notamment qui évolue et que j'ai particulièrement apprécié. Henry Schoonmacker, sale con arrogant me disais-je au début du bouquin mais qui change =D, doit se marier à Elizabeth contre son gré. Pénélope Hayes, pétasse arrogante qui croit que l'amitié ne sert que ses propres besoins, n'aime que sa petite personne (et accessoirement Henry), détestable personnage =D (mais que j'ai adoré...) Will... Cocher de son état :D trop mignon (je trouve), amoureux de =D... Lina, femme de chambre d'Elizabeth, mais chiante, soûlante, pauvre petite malheureuse. Amoureuse de... Ben devinez :D Bref amour, trahison, mariage, passion, c'est cliché, mais j'adore. Et puis l'écriture est délicieuse.
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Rebelles

J'ai entendu beaucoup de biens de cette saga et c'est sans attente particulière que je m'y suis plongée.

Entre rivalité, amour, trahisons, complot, jalousie, ... Tout y est pour faire passer au lecteur un bon moment.

Pas de réelle surprise dans le scénario, c'est somme toute, assez basique mais c'était plaisant. Finalement, tout tourne autour d'un seul thème: l'amour. J'aurais peut être apprécié que ce soit plus profond.

Je n'ai pas non plus apprécié cette façon de commencer l'histoire par la fin , ça a soulevé du mystère que j'aurais aimé ressentir arrivée a la fin du premier tome.
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Rebelles

J'ai adoré ce livre. J'ai vite été prise dans l'histoire au point de ne plus pouvoir en sortir (même s'il était déjà trois heures du matin) avant de l'avoir fini. J'ai espèré avec Elizabeth, détesté sa meilleure amie, ... J'ai bien aimé le fait qu'à chaque début des chapitres, il y ait une petite lettre, un extrait d'une rubrique d'un journaux mondain, ...
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Rebelles

J’ai hésité à intituler mon billet « Dirty Sexy Money », en référence à la nouvelle série de Canal que j’ai découvert il y a quelques semaines et que j’ai beaucoup appréciée. L’histoire d’une des familles les plus riches de New York, les Darling, qui vivent dans le l’opulence et le luxe. Une série mordante et sarcastique à prendre au 2ème degré, sur la duuure vie des riches (et où ma préférence va à Brian Darling, le prêtre… Enfin, bref, je m’égare déjà…)



Luxe, c’est d’ailleurs le titre original de ce roman américain, traduit par Rebelles en français. On note d’ailleurs un bandeau d’un joli rose girly qui nous annonce que c’est LE livre « insolent et glamour » que « les filles s’arrachent aux USA ». Les filles. Parce qu’il s’agit bien de ça : un roman pour filles. Ados ou ados attardées comme moi.



Rebelles est donc à mon sens un Dirty Sexy Money dont l’intrigue se joue à Manhattan, en 1899 au tournant du siècle. Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils sont pleins aux as et leur vie n’est que luxe, calme et volupté. Enfin, en apparence. Si tout semble lisse, comme peut l’exiger toute société mondaine qui se respecte, les ongles s’aiguisent en réalité dans l’ombre, et les perfidies se trament dans les recoins obscurs des grandes demeures new yorkaises.



Pour être honnête, ce roman est absolument bourré de défauts… que je me permets de lister, parce qu’ils sont trop gros pour qu’on puisse passer à côté :



- En premier lieu, les personnages principaux manquent d’étoffe et sont souvent à l’extrême limite de la caricature : Elizabeth est froide et fade, Pénélope est l’incarnation parfaite de l’odieuse méchante que l’on déteste d’emblée et à qui l’on ne souhaite que du mal (vous savez, c’est par exemple l’Elisa de Candy ou la Lavinia de Princesse Sarah… Ces petites pestes que l’on déteste parce qu’elles martyrisent la douce héroïne…), Henry est le vil et impénitent séducteur etc, etc. Seule peut-être la vive et effrontée Diana tire son épingle du jeu et offre un personnage plus nuancé.



- Il n’y a absolument aucun fonds ou vraisemblance historique dans la société américaine qui est décrite : a-t-on déjà vu des filles de bonne famille glisser des billets dans les mains de jeunes inconnus pour se faire vilement séduire dans les vestiaires ou fumer en cachette ? Les femmes portaient-elles des robes à décolleté vertigineux toute la sainte journée ? Conduisaient-elles elles-mêmes des Phaétons comme des Fangio en jupe ? Je vous dis, ce sont les Darling que l’on a costumé à la mode du XIXème siècle et que l’on fait évoluer dans un décor tendance et suranné.



- Il y a tout au long du roman des poncifs dignes des romans Harlequins (que je n’ai jamais lus, mais c’est tout à fait l’image que je m’en fais… ^^), comme par exemple la riche héritière prête à se damner pour un flirt dans le foin avec son rude mais ô combien sexy palefrenier…



- Le style est scandaleusement mauvais (à moins que ce ne soit le résultat de la traduction, mais j’en doute…). On a ainsi pléthore de descriptions absolument inutiles sur la couleur et la matière des robes de ces demoiselles, le bois des parquets ou le tissu des bergères, l’étoffe des rideaux ou la couleur des chevaux. Etc. Etc. C’est tellement empesé que ça frise le ridicule. Ou qu’on a l’impression de lire le mauvais remake d’une description vestimentaire du catalogue de la Redoute, agrémenté d’un article de Maisons et Jardins :

« Avec sa tenue en faille noire au décolleté carré, à la taille ajustée et sa jupe volantée, elle semblait particulièrement menue à côté de Buck (…). Ils étaient seuls dans le grand salon aux fauteuils français recouverts de soie à rayures bleues et blanches, sous son plafond de huit mètres de haut. »

Et quand ce n’est pas ça, ce sont des répliques de dialogues cultissimement kitsch comme : « Vous avez l’air d’un prolo, Henry. » :) ) Fallait penser à la sortir quand même, celle-là, hein ?



- L’intrigue est cousue de fils blancs et même avec la fièvre de cheval qui me terrasse depuis deux jours, et ma toute petite capacité de concentration, on voit tout de suite de quoi il en retourne et comment les choses vont évoluer. C’en est presque trop facile.



Bon. Ça fait beaucoup tout ça, je vous l’accorde.

Et là, vous vous dites : « Ben, tiens, elle a dû oublier de rectifier la note qu’elle octroie au bouquin. Il y a un incompatible 4/5 qui s’affiche. »… Eh bien non ! J’ai bien mis, et je maintiens, un 4/5. Car je dois humblement l’avouer, bien que bourré des défauts les plus rédhibitoires, j’ai passé un très agréable moment avec ce livre.



C’est une lecture tout à fait divertissante, où les méchants sont vraiment méchants, les gentils, vraiment gentils, les laissés-pour-compte vraiment pathétiques et les histoires d’amour soooo romantic !

Je me suis laissée bercer par le rythme du roman, volontairement « too much » pour me délecter de ces histoires de gosses de riches qui n’ont de préoccupations que l’argent et l’amour. Finalement, à sa mesure, c’est très Sex, Drugs and Rock’n Roll. Les Darling, vous dis-je. Les Darling.



Bon, ok, il faut peut-être se dire qu’on lit ce roman avec seulement 2 neurones de connectés. Mais quand on l’a fait, c’est vraiment stimulant de suivre l’histoire de Diana, Elizabeth, Pénélope, Henry et Will. Chaque chapitre s’ouvre sur un billet « manuscrit » ou un extrait de magazine people de l’époque et on déborde vraiment d’envie de lire la suite. D’ailleurs, je crois qu’il y a un deuxième tome en préparation et oui, j’ose avouer que je connecterai de nouveau seulement deux neurones pour savoir si la méchante Pénélope obtiendra gain de cause… (naaaan, spa possible, mais c’est bon d’essayer de se faire peur…)



Et comme quoi, il m’est arrivé quelque chose que je ne croyais pas possible : trouver un roman mauvais et prendre cependant beaucoup de plaisir à le découvrir. Parce que les poncifs, c’est bon aussi pour le cœur : ça le conforte dans des images sécurisantes… Vanitas vanitatum, et omnia vanitas…


Lien : http://fabulabovarya.canalbl..
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Rebelles

Traitant d’amours clandestines et impossibles dans la bourgeoisie new-yorkaise d’époque, cet ouvrage qui bénéficie d’un buzz médiatique impressionnant sur la toile n’est pas sans rappeler Les liaisons dangereuses de Pierre Chordelos de Laclos, qui a eu un bon siècle d’avance. En effet, le roman épistolaire qu’il a rédigé au cours du 18ème siècle se passait déjà dans les familles riches de la noblesse, mais le récit se situait en France, bien qu’un remake cinématographique pour adolescents l’ait porté à New York il y a quelques années. C’est ce film qui ressemble le plus à Rebelles qui traite des petites histoires personnes de chacun des membres de ce cercle fermé et prisé. Le livre destiné à un lectorat relativement jeunesse se positionne sur un créneau original puisqu’il rentre dans la catégorie « chick-lit » historique. C’est le terme historique qui apporte un vent de nouveauté dans la littérature car si la « chick-lit » est un courant littéraire qui est très en voue depuis plusieurs années, notamment dans la littérature anglo-saxonne féminine, les romans parus se situent toujours dans le contexte d’aujourd’hui. Si l’époque diffère, les ficelles de l’intrigue restent les mêmes à part quelques adaptations historiques qui étaient nécessaires. (...)
Lien : http://oiseausecret.canalblo..
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Rebelles

voilà une série que j'ai bien aimé, voir dévoré.



Comme style, c'est un peu gossip girls, mais version 19 siècle!



On suit la haute société new yorkaise à travers 3 familles:

La famille schonmaker, avec Henri le fils, coureur de jupon qui devient amoureux

La famille hayes, avec penelope, une jeune fille avide de pouvoir et au plan assez démoniaque

et la famille holland avec ses deux filles, diana et Élisabeth, totalement opposé en apparence mais peut être pas tant que ca!



Bref, entre ses 3 familles, des intrigues, des deceptions, des amours impossibles... bref perso j'ai passé un bon moment !
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Rebelles

Soyons clair, ce qui m’a d’abord attiré dans ce roman avant même de lire le résumé en quatrième de couv, c’est justement la couv ! Cette jeune femme avec cette robe magnifique et ce jupon vieux rose qui s’étale sur l’ensemble du visuel… rahhh mon petit côté princesse s’est dit qu’il avait très très envie de découvrir cette saga ! Et puis finalement le résumé faisait également figure de belle promesse, je me suis donc laissée tenter ^^



L’histoire se déroule à Manhattan à la fin du 19ème siècle. Nous faisons la connaissance d’Elizabeth, Pénélope, Diana, Henry etc… des jeunes gens qui ont à peine la vingtaine, tous issus de la haute bourgeoisie new-yorkaise et vivant dans l’apparat et la magnificence. Leur existence n’est en apparence ponctuée que de festins, de fêtes et de visites de courtoisies : Là où l’apparence prime avant la raison et les sentiments. Il y a là toute une palette de sentiments, la traitrise, l’amour, l’ambition, l’avarice… Des sentiments qui flamboient dans l’ombre. En réalité tout le monde en a conscience mais chacun ferme les yeux car rien n’est plus important en ce monde que les faux-semblants, ce n’est que de cette manière que l’on peut grimper dans les échelons de cette société qui n’est fait que de non dit et de manipulations.



Le prologue annonce déjà la couleur et nous amène à penser comment l’histoire va se terminer pour l’un des personnages centrale de cette histoire. Les personnages ne sont pas particulièrement attachants, hormis celui de Diana peut-être qui est la plus sincère et dont le caractère entre à l’encontre de toutes les règles établies par la société. Sa fougue m’a beaucoup plu. Elisabeth malgré ses secrets pourrait être une héroïne dont on se prend d’affection, mais elle cache trop bien son jeu pour que l’on s’apitoie sur son sort. Pénélope est odieuse, manipulatrice, c’est une véritable peste que j’ai aimé détester dès le début. Henry est un égocentrique. Beau certes, mais son côté séducteur alcoolique et jean foutre ma franchement déplu, quand à Will le pauvre Will l’auteure s’attarde trop peu sur lui pour que le lecteur parvienne à se faire une opinion sur la question. (Dommage)



Je ne suis pas une spécialiste de la romance historique, je n’ai pas spécialement vu d’anachronisme même si je doute de la véracité de certaines situations, des tenues vestimentaires décrites ou bien même des dialogues. Soit dit en passant, ces petits détails ne m’ont pas perturbés à la lecture et avec le recul je me dis qu’il s’agit ni plus ni moins d’un vœu de l’auteure qui a probablement souhaité caricaturer cette société…



En bref : Une intrigue à l’issue plus que prévisible mais une lecture agréable. Mon côté « froufrou » a adoré découvrir ce décor somptueux et ces robes fabuleuses. Je me suis délectée de leur méchanceté et de leur trahison et les p’tites touches de fougues de Diana apportent un côté frais qu’il ne faut pas négliger.



Une question me taraude, la peste de Pénélope va-t-elle parvenir à ses fins ? Il me tarde de le découvrir…
Lien : http://www.a-lu-cine.fr/rebe..
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Rebelles

J’ai eu peur au début, je n’étais pas dedans, je ne m’attachais pas aux personnages et comme je le redoutais, le style fort simple qui fait jeunesse me rebutait. Mais passer outre ces détails, quand je me suis enfin décidée à rentrer pleinement dans l’histoire, ça m’a beaucoup plu. Rebelles est le premier tome d’une saga et je pense qu’elle peut être un vrai plaisir à lire.



Un plaisir à lire mais plus particulièrement pour les filles (comme la série Tv d’ailleurs qui plaît quand même plus aux filles qu’aux garçons même s’il y a quelques exceptions) On baigne entre complots et amour et la société américaine est peint selon la société de 1899 : les robes au corset, les bals, les mariages arrangés, les bourgeois d’un côté, les domestiques de l’autre…



On suit la vie de personnes de haut rang (exceptée Lina, la domestique) qui vivent à Manhattan. Et là, ce qui m’a gêné c’est qu’on est en plein dans des personnages caricaturaux. Cliché quand tu nous tiens… Par exemple, nous avons Elizabeth qui doit épouser une personne de sa classe, un dénommé Henri, mais ce n’est pas lui qu’elle aime car malgré le fait qu’il soit beau, riche et séduisant, Elizabeth est amoureuse d’un pauvre, Will, le clocher de sa famille. Puis, nous avons la méchante, la manipulatrice prête à tout pour obtenir ce qu’elle veut et ici, ce qu’elle veut, c’est Henri. Oui celui que sa « meilleure amie » doit épouser. Puis, il y a Diana, la petite soeur de Elizabeth, attentive à tout ce qu’elle voit. C’est d’elle que Henri est amoureux. Et oui pour finir, il y a ce fameux Henri, qui apparaît comme coureur de jupons au début jusqu’à ce qu’il tombe amoureux de Diana. Bon et à côté de cela, nous avons les domestiques et les parents de nos protagonistes qui se mêlent de la vie de leurs enfants comme on le faisait au XIXème siècle.



Quand nous sommes en plein dans les clichés visités et revisités beaucoup de fois, cela peut être agaçant et ça m’avait un peu dérangé aussi au début mais finalement, on s’y habitue et on oublie. J’ai fini par voir en Pénélope la Blair Waldorf que j’aime tant, et on se demande jusqu’où elle va aller pour empêcher ce mariage. Bien sur les ragots viennent à elle mais ici, pas avec le téléphone portable comme dans les temps modernes, on laisse tomber des petits billets par terre ou on les fait passer par de parfaits inconnus qui ont l’amabilité de ne rien lire. C’est amusant, c’est divertissant, c’est léger, c’est simple.



Puis, on arrive à la fin du roman. Ce premier tome se termine de manière surprenante pour le lecteur. On ne s’y attend pas et cela donne énormément envie de connaître la suite. Pour conclure, malgré ses défauts, j’ai tout de même envie de retrouver les vies de nos personnages et de voir ce qu’il va leurs arriver. On découvre en plus de tout le reste que les personnes riches ne nagent pas pour autant dans le bonheur que ce soit dans les rapports familiales, d’amitié ou amoureux. Vous vous voyez vous épouser une personne que vous n’aimez pas car il est de la même classe que vous ? Comment réagiriez vous si votre meilleure amie épousait celui que vous désirez ? L’auteure a su bien mettre en avant ce genre de questions et a su montrer les rapports compliqués qu’il peut y avoir dans la vie. Qu’on soit riche ou non, au fond nous sommes tous pareils.


Lien : http://audreyreadings.wordpr..
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