Anna Godbersen

"Rumeurs" commence à la suite de "Rebelles" qui se concentre sur Elizabeth et sa "tragique" disparition.

Pour ce tome 2, on suit plus particulièrement sa petite sœur Diana et son évolution (notamment) amoureuse.



J'ai personnellement préféré ce second tome que je trouve plus abouti. Diana est vraiment un personnage attachant, on a envie que les choses se déroulent au plus simple pour elle.



Le cliffhanger nous donne envie de commencer de suite le tome 3.

Si vous aimez Gatsby le magnifique ou encore Sous un ciel d’or (de Laura Wood), je pense que ce livre est fait pour vous. On y retrouve deux amies qui fuient leur quotidien monotone à la campagne pour tenter leur chance à New York. L’une veut devenir chanteuse et l’autre veut retrouver son père, un célèbre contrebandier. Au cours de leur périple, elles vont croiser la route d’Astrid, une jeune fille riche qui a une relation compliquée avec sa mère et son petit ami Charlie.



J’ai trouvé ce roman sympathique, entre les coupes de champagne, les jolies robes et les escapades amoureuses, Anna Godbersen nous montre la vie à New York en 1929, que l’on soit une vendeuse de cigarettes qui rêve de gloire et pourrait se heurter à la réalité du milieu, ou une jeune aristocratique dans une cage dorée. L’intrigue comporte des rebondissements qui m’ont permis de continuer ma lecture avec enthousiasme, mais j’avoue que je ne me suis pas attachée plus que cela aux héroïnes. Certaines de leurs réactions m’ont agacée, mais sans cela, il n’y aurait pas eu d’histoire ! Elles ne sont pas antipathiques, loin de là, mais j’aurais aimé me sentir plus concernée par ce qui leur arrive. L’histoire de Cordélia est sans doute la plus intéressante de ce côté, avec un dénouement qui augure un deuxième tome plein de rebondissements. Mais j’ai apprécié la plume d’Anna Godbersen, son style fluide qui donne vie à l’ambiance folle de ces années où les jeunes filles vivaient pour faire de leurs rêves une réalité même si cela impliquait de terribles désillusions.



Je pense ne pas attendre trop longtemps pour retrouver les trois jeunes filles dans le deuxième tome de la trilogie !
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Sympa mais je ne m’attendais pas à ceci vu la couverture du livre. On reste sur sa fin car on sent comme un gout d’inachevé à la fin des dernières pages. On sent qu’il y a une suite. Ce qui est le cas avec deux romans. Dommage, car j’aurais préféré qu’il y ait une vraie fin et pas devoir trouver la suite pour savoir de ce qu’il en retourne. J’ai aussi peu apprécié le fait qu’on commence de connaitre Letty et Cordelia mais qu’elles se fâchent vite et que chacune vit sa vie.

Lorsque que j'ai décidé de lire ce roman, j'avais besoin d'une lecture sans prise de tête, rapide et fluide et c'est exactement ce qu'il s'est passé avec Rebelles. Durant toute ma lecture j'ai eu des vibes des chroniques des Bridgerton version 2010. Honneur, famille, réputation et paraître sont les préoccupations principales de ces adolescents même si les premiers amours viennent s'en mêler, j'ai bien aimé les croisements amoureux que l'on rencontre mais ma lecture reste bien sans être incroyable car je n'ai pas eu d'étincelles ni pour les protagonistes ni pour l'intrigue et le "petit" suspense dont on comprend vite l'explication. Bref une lecture tranquille et sans prise de tête dont je lirais surement la suite lorsque j'aurais besoin de ce type de lecture.
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Bien que les premières pages nous laisse imaginer un roman d'amour sirupeux à la harlequin, l'auteure nous amène plutôt à voir différemment le rôle des femmes et le pouvoir qu'elles ont sur les hommes, sur la société et sur les relations qu'elles entretiennent entre elles. On prend plaisir à lire la relation amour/haine entre Elizabeth et Penelope, tout en se désolant pour Diana et Henry. Bref, j'ai adoré ce roman, au point de l'avoir relu quelques fois ainsi que les trois suites.

J'ai entendu beaucoup de biens de cette saga et c'est sans attente particulière que je m'y suis plongée.

Entre rivalité, amour, trahisons, complot, jalousie, ... Tout y est pour faire passer au lecteur un bon moment.

Pas de réelle surprise dans le scénario, c'est somme toute, assez basique mais c'était plaisant. Finalement, tout tourne autour d'un seul thème: l'amour. J'aurais peut être apprécié que ce soit plus profond.

Je n'ai pas non plus apprécié cette façon de commencer l'histoire par la fin , ça a soulevé du mystère que j'aurais aimé ressentir arrivée a la fin du premier tome.

Et oui ! Malgré avoir juré qu’on ne m’y reprendrait plus, j’ai lu le tome 2 de cette série girly après avoir eu tant de mal à apprécier le premier opus ! Il faut dire que je m’étais piégée moi-même en emportant ce seul livre chez le médecin où il faut endurer des heures interminables d’attente. Honnêtement, l’expérience fut encore plus douloureuse que lors de la lecture du premier tome : l’ennui s’installant de chapitre en chapitre, j’ai rongé mon frein jusqu’aux dernières pages. Nous retrouvons Cordelia qui s’envoie en l’air (au sens propre !) avec un beau pilote pour oublier un peu sa culpabilité dans l’assassinat de son père, Letty s’est réconcilié avec elle (on n’est pas « best friends ever » pour rien !) et vit à ses crochets dans la belle demeure familiale en attendant que sa copine de toujours lui serve sur un plateau l’opportunité de se produire sur scène et faire connaître ses talents de chanteuse. Enfin, Astrid, l’héroïne n°3, joue au jeu du chat et de la souris avec le sulfureux Charlie, frère de Cordelia et émérite gangster local qui fait tourner à plein régime la petite affaire familiale de vente d’alcool prohibé. Ce tome deux est un peu l’occasion d’entrevoir pour les trois jeunes filles l’envers de la médaille : Cordélia a retrouvé sa famille mais celle-ci pèse lourd dans sa liberté de décider ce qu’elle doit faire de sa vie, Letty tend à réaliser ses rêves de célébrité tout en ne mesurant pas le prix qu’elle devra payer pour cela et Astrid se croit maîtresse du jeu de l’amour en manipulant Charlie sans réaliser que c’est elle-même qu’elle ligote et qu’elle offre en sacrifice au dieu Eros. Il faut 380 pages aux héroïnes pour - plus ou moins ! – réaliser cela. Peut-être suis-je trop vieille pour apprécier ce type de péripéties ? Quoiqu’il en soit, le tome 3 restera loin de ma pile à lire pour l’instant. Pas sûre d’avoir la patience d’endurer encore des heures de lecture ennuyeuse alors que m’attendent moult autres romans que je brûle de dévorer ! Or de ma vue « Tout ce qui brille » !

Premier tome d’une série jeunesse estampillée girly, je suis ici très éloignée de ma zone de confort ! Toutefois, puisque les trois volumes rentrent dans le fonds jeunesse de mon CDI de collège, je me dis qu’il faut quand même avoir une idée précise de leur contenu et me voilà embarquant les trois tomes pour m’y atteler scrupuleusement ! C’était une suggestion d’achat de « grandes » de 3eme et je voulais m’assurer de leur « lisibilité » !

Ce premier tome s’attache à la présentation des trois personnages féminins principaux vivant dans les années 1929-30 aux Etats-Unis en pleine apogée de la Prohibition et des premiers pas des ténors du crime organisé. L’aînée du trio s’appelle Cordelia, fille illégitime d’un célèbre gangster enrichi par la contrebande d’alcool et qui a grandi à la campagne, dans l’Ohio. Au début du roman, elle quitte son époux tout frais sorti de l’église pour s’enfuir pour New York avec son amie de toujours, Letty issue de famille traditionnaliste mais qui ambitionne de faire carrière dans la chanson. Arrivées à New York, les deux amies vont se disputer et prendre chacune leur propre chemin quand Lettie découvre que Cordelia n’a pas fait le voyage par simple amitié pour elle mais dans l’intérêt d’y retrouver son père. Le vieux brisquard fortuné reconnaît très vite sa fille naturelle et l’installe dans sa belle demeure où Cordelia va très vite se liait d’amitié avec la troisième protagoniste de l’histoire, Astrid, fiancée de son tout nouveau frère. Lettie survit chichement en prenant un emploi de vendeuse de cigarettes dans un speakeasy, bar musical clandestin très à la mode.

L’intrigue est assez simple et nous permet de suivre pas à pas les heureux hasards provoqués par les choix de vie des trois jeunes femmes et de découvrir les difficultés rencontrées chaque fois que ces dernières vont tenter de s’émanciper du joug des hommes – famille – père et frère – mais aussi des convenances sociales. L’histoire est assez réaliste bien que la futilité des héroïnes m’ait parfois excédée. Bien évidemment le rôle de la femme à cette époque était particulièrement restreint : entre la fille de joie et la fille de bonne famille, il n’y avait guère de troisième option... Malgré l’intérêt pourrait-on dire sociétal du roman, je m’y suis profondément ennuyée et n’ai pu m’identifier à aucune des trois jeunes filles. Je l’ai fini par acquis de conscience, peu emballée à l’idée d’entamer le tome 2. Trop de considérations vestimentaires, de raisonnements capricieux, de bleuettes sans intérêt bref, une overdose de paillettes et de fumée pour ma part. Mais je le redis : ce n’est absolument pas mon style de lecture et je n’y ai pas trouvé mon compte. Pour des lecteurs appréciant le girly, cette série sera certainement répondre aux attendus du genre tout en les dépassant par les considérations sur le statut de la femme dans ces années-là.

Encore des belles robes et de beaux costumes avec des réceptions de folies ? Oui, mais cette fois-ci nous sommes du côté ouest de la force !

Bienvenue dans la haute société new-yorkaise, un petit Gossip Girl des années 1899. Mariage d’intérêt, tromperie et manigance sont bien évidemment présentes et le roman s’ouvre sur l’enterrement d’Elizabeth le jour même où elle aurait dû se marier avec le beau et convoité henry !

Qui a assassiné la charmante Elizabeth ? Que s’est-il passé ? Le mystère est là !

Ça fait un moment que je n’avais pas lu une histoire avec de la jalousie et je pensais avoir deviné la fin et j’ai deviné à côté ! (Je sais pas pourquoi je n’étonne, je ne devine jamais les fins !)

C’était un agréable moment de lecture un peu dans l’esprit “The Gilded Age”, bien que le roman soit sorti avant, de Julian Fellowes (Downton Abbey).

J'ai trouvé cette lecture un peu frustrante.

J'avais beaucoup aimé le tome 1 et j'étais contente de retrouver cet univers plein de froufrou, de belles robes et de danse et les personnages à qui je m'étais bien attachés. Malheureusement, je les ai trouvé plus qu'agaçants par moment, ils prennent des décisions qui vont forcément mal tourner.

Dans le même ordre d'idée, ils y a beaucoup de scènes prévisibles, même les plus importants retournements de situations, car l'autrice insiste sur des détails, nous révélant alors le retournements de situation qui viendra plus tard.

En bref, le scénario est un peu facile mais l'ambiance est tellement prenante que je veux lire la suite !

C'est un livre vraiment très intéressant. Je n'ai pas lu le tome 1, mais j'ai facilement compris l'essentiel.

J'aime beaucoup le personnage de Max Darby : plutôt mystérieux, et celui de Letty, déterminée de chanter en public et découragée à plusieurs reprises.

J'ai vraiment apprécié lire ce livre, même si au début je n'avais pas tellement accroché : je trouvais l'histoire assez monotone et n'aimais qu'un ou deux personnages / narrateurs, à savoir Elizabeth et un peu Lina. Dans cette critique, je vais vous parler de mon ressenti sur les personnages.



Attention, spoiler possible ! (même si c'est vague)



L'entourage d'Elizabeth m'énervait à la critiquer, si bien que je l'ai tout de suite bien aimée, elle qui ne critiquait (presque) personne. Je dis bien "presque" à cause de sa manie à critiquer son amie Agnès alors qu'elle l'aidait, elle m'a un peu fait pitié. Elizabeth est perçue comme froide et maniérée par sa "meilleur amie", sa sœur et même son présumé fiancé, ils ne cherchent pas plus loin et font des conclusions hâtives sur son comportement.



J'ai détesté Pénélope tout au long de roman, elle illustre parfaitement le rôle de peste voulu, j'imagine, par l'autrice. Dès le début, elle parlait dans le dos de sa "meilleure amie", Elizabeth, alors qu'elle, l'adorait. Je me suis alors dit qu'il devait y avoir un quiproquo, que Pénélope ne devait pas être si gentille en face d'elle, mais si.



Ensuite, parlons de Diana : au début du roman, elle m'agaçait un peu : j'avais l'impression qu'elle voulait défier les "normes" juste pour le fait de les défier, pour ne pas être comme tout le monde, alors je la trouvais un peu superficielle. (mais beaucoup moins que Pénélope !) Mais, plus j'avançais dans le roman, plus elle m'était sympathique : elle était naturelle, amusante, et je l'ai encore plus aimée à la fin.



Pour Lina, c'est un peu le contraire, elle me semblait honnête et gentille au début, mais je l'ai de moins en moins aimée en raisons de ses plans : maintenant, elle me semble fourbe et superficielle. (elle essaye de se faire passer pour une dame de la haute société, comme si c'était le but de la vie...)



Il reste Henry, pour qui je n'ai pas d'opinion radicale, je l'ai un peu plus aimé vers la fin, mais je suis toujours mitigée.



J'ai adoré la fin du roman, tout se passe très vite, mais elle n'en est pas moins intéressante. Je me précipite vers le deuxième tome, en espérant qu'il soit aussi bien que le premier !

Je poursuis la relecture de cette saga avec plaisir. Je me rends compte en la relisant que lors de la première lecture j'ai mélangé deux personnages !

J'ai moins aimé leur escapade en Floride, je préfère quand ils sont à New-York, dans leur "élément naturel". Même si ça ne les empêche en rien d'être fidèles eux-mêmes.

J'avais comme pour le tome précédent complètement oublié la fin qui est pourtant surprenante pour un ou l'autre des personnages.

C'est toujours agréable à lire, le style est vraiment fluide. On passe un bon moment avec ces personnages sympathiques ou pas!

Je serai d'ailleurs triste de les quitter après la relecture du 4e et dernier tome.

L’intrigue de Rebelles se déroule principalement dans les quartiers chics du New-York du XIXème siècle où amour, jalousie, trahison font apparemment partie du quotidien.

Le résumé laisse penser qu’Elizabeth est le personnage principal de ce roman, en réalité cela ne se remarque pas forcément à la lecture du livre. On y suit surtout le quotidien et les aventures sentimentales de quatre jeunes filles et de leur entourage : Elizabeth et sa soeur Diana, Pénélope et Carolina.



Ces jeunes filles essaient, chacune à leur façon, de s’affranchir des contraintes que la société fait peser sur elles. Cependant on peut parfois reprocher à l’auteure des situations et des personnages un peu trop caricaturaux : Diana la féministe convaincue, Pénélope la peste…

Mais heureusement qu’elles sont présentes car elles apportent du relief à l’histoire et empêchent le lecteur de s’ennuyer. En effet, l’héroïne principale, Elizabeth, ne m’a pas vraiment convaincue. Je l’ai trouvée un peu trop plate et transparente au contraire de Pénélope, horrible garce et véritable peste beaucoup plus charismatique.

Si Will et Elizabeth forment un couple touchant, l’intérêt de ce livre réside principalement dans la relation de Diana et d’Henry, deux personnages que j’ai trouvé beaucoup plus intéressants et qui semblent déchirés entre leurs aspirations, leur relation naissante et ce que la société attend d’eux.



Premier tome d’une série comportant trois autres livres, Rebelles n’est pas sans rappeler (énormément) Gossip Girl : des jeunes filles de la bonne société new-yorkaise aiment et se déchirent au beau milieu de fêtes tout en portant de jolies robes. Vu les similitudes des intrigues entre les deux séries, je ne pense pas que ces ressemblances soient le fruit du hasard mais plutôt d’une volonté (assumée ou non) de l’auteure.



Pour moi ce livre alterne entre clichés et originalités. J’ai bien aimé le fait que les chapitres alternent les différents points de vue des protagonistes. De plus, contrairement à beaucoup d’autres livres du même genre, les personnages masculins sont aussi mis en avant, notamment Henry.

L’idée d’assister dès le prologue à l’enterrement de l’héroïne principale était également assez originale et accrocheuse même si, dès les premières pages, on peut déjà se douter de la fin du livre.



Rebelles est un livre agréable à lire mais sans plus. Le côté un peu mièvre semble parfaitement être assumé par Anna Godbersen et ne m’a donc pas vraiment posé de problème. Il ne laisse pas un souvenir impérissable mais est à conseiller à toutes les fans de la série (télévisée et littéraire) Gossip Girl ou aux amateurs de fêtes et de jolies robes.

J'ai poursuivi ma relecture de la saga Rebelles avec ce tome 2. Certains événements sont prévisibles mais ça ne gâche en rien la lecture. Dans ce tome, on n'est plus seulement à New-York, ce qui ajoute encore de l'intérêt au récit. Par contre je ne me souvenais pas de cette fin... J'aurais bien besoin du troisième tome pour m'en remettre !

C'est une relectures que j'avais envie de faire depuis que j'ai lu cette saga à sa sortie. C'est parti !

Je retrouve ces personnages et cette ambiance avec plaisir. L'histoire se passe à la fin du 19e siècle mais c'est très moderne (c'est écrit presqu'aujourd'hui vous allez me dire, mais l'autrice aurait pû se calquer sur le style de l'époque), c'est frais et prenant. Je dirais même addictif. Je déplore le fait que cette saga soit si peu connue.

Je n’en suis qu’au premier tome mais honnêtement.. la saga ne m’attire pas du tout. Le premier tome est prenant au début puis s’enchaînent des informations qui n’ont pas de sens du tout. ! Je vais essayer de lire tous les autres tomes mais pour l’instant, je reste sur ma faim.

On se retrouve plongé dans l'histoire dès le prologue : on se trouve à la sépulture d'une certaine Élisabeth et on se doute qu'il se trame quelque chose d'étrange.

Puis au premier chapitre, on rencontre Élisabeth, bien vivante et en bonne santé. On est alors de retour plusieurs mois avant le prologue. Et on découvre les événements qui vont aboutir à cette toute première scène.

On tombe dans un univers tiré du 18ème siècle, avec des filles de grandes familles qui convoitent des jeunes hommes d'aussi grande famille et participent à des bals pour se faire voir... Parmi ces jeunes filles on suit particulièrement Élisabeth, une jeune fille très belle et très sage, sa soeur Diane, plutôt désinvolte, sa meilleure amie Penelope très belle et provocatrice et enfin Lina sa servante. Et j'allais oublier le plus important Henry Schonmacker, le plus beau et riche célibataire de la ville. Mais dans cette atmosphère de fête, de séduction et de richesse, il n'est pas rare que les histoires se mêlent, s'entremêlent et se compromettent...



J'ai adoré ce premier tome ! C'est vrai que depuis plusieurs mois j'aime beaucoup lire des romans de robes et de paillettes avec des personnages "rebelles" (j'avoue, je ne suis pas très originale sur ce coup-là). J'aime particulièrement suivre l'évolution et les pensées des personnes qui remettent en doute leur société et décide d'aller à l'encontre de ce qu'on voudrait d'eux. L'intrigue est très prenante même si j'avais deviné la fin de l'histoire. J'ai hâte de lire les prochains tomes que je me suis empressé d'acheter. Même si ce tome ne fini pas sur un clifanger je veux savoir comment va se passer la suite de leurs aventures.



Un mélange électrique entre Gossip Girl et les romans de Jane Austen.

Ancienne éditrice de la revue Esquire, Anna Godbersen est critique littéraire pour le New York Times. Elle vit à New York et est l'auteure de la saga best-seller Rebelles, publiée il y a une dizaine d'années chez Albin Michel puis aux éditions du Livre de Poche. Dans cette autre série alliant fiction et Histoire, toujours à destination des adolescents, elle prouve que certains idéaux, comme l’attrait des grandes cités et la tentation de la célébrité ne changent jamais…



Sur fond de gangsters et de prohibition, Anna Godbersen raconte une jeunesse dorée qui s’étourdit dans la fête, l’alcool et les paillettes pour oublier la superficialité d’une vie où rien ne compte plus que de faire la une de la chronique mondaine des grands quotidiens de l’époque. C’est ainsi que vit Astrid, courant de soirées en garden-parties toutes plus extravagantes et débridées que les autres. Cette vie de bohême, teintée d’anticonformisme et d’émancipation féminine, cache pourtant une existence beaucoup plus étriquée qu’elle en a l’air. Les libertés qu’Astrid s’octroie pour défier et contrarier volontairement l’autorité parentale révèlent surtout que tout ce qui brille n’est pas or ! Les apparences sont trompeuses et les autres protagonistes du roman, Cordelia et Letty, qui ont fui leur Midwest en quête d’une vie meilleure, l’apprendront elles aussi à leurs dépens… Le faste, le strass et les paillettes de la mégalopole ne servent souvent qu’à travestir une réalité bien moins reluisante et à abuser les jeunes filles naïves et crédules !



Si le roman m’a paru intéressant et mature pour le jeune public auquel il est destiné, je dois avouer que pour ma part, j’ai trouvé que l’auteure s’était parfois laissé allée à la facilité, notamment en ce qui concerne les retrouvailles de Cordelia et de son père. J’ai regretté également que le dénouement soit aussi vite expédié ! Mais le roman plaira à coup sûr à un jeune lectorat qui ne connaitrait pas encore le roman de Francis Scott Fitzgerald, Gatsby le magnifique, dont on sent qu’Anna Godbersen s’est très nettement inspirée pour sa série. Le manque de complexité de certaines situations, la superficialité de certains dialogues sont largement compensés par des personnages attachants, un rythme sautillant et l’ambiance très bien restituée des Roaring Twenties.



En définitive, Tout ce qui brille constitue donc une bonne entrée en matière pour une série dont on espère retrouver la fraîcheur dans les tomes suivants !
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Avec Un baiser pour la nuit se termine la trilogie d’Anna Godbersen commencée avec Tout ce qui brille et qui continuait avec Une saison à Long Island. Se termine donc ici l’histoire de Cordelia, Letty et Astrid, trois jeunes femmes en prise avec les années folles.



Letty perce enfin dans la chanson, le club de Cordelia cartonne et Astrid épouse Charlie, son grand amour, le frère de Cordelia. Mais tout n’est pas rose, malgré la fête et les strass.



Ce qui est sympa avec cette trilogie c’est l’ambiance de l’époque. La fin des années vingt, la prohibition… Tout va vite, tout brille. On se croirait dans Gatsby le magnifique. C’est dépaysant et plaisant. Je me suis attachée à ces trois filles et j’ai apprécié la fin, même s’il m’a fallu leur dire au revoir. J’ai été contente de faire un bout de chemin à leurs côtés.
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