Annie Lavigne

Avis général :



On grandit et on tombe amoureux au fil des pages et des aventures de Morgan et des personnes qu’elle rencontre.



Le début du premier tome est très poétique, l’autrice manipule les mots à la perfection. Ses description sont incroyable. Mais le temps de la poésie s’essouffle lentement pour laisser place au récit. Une très belle histoire d’amour de premier amour. Morgane découvre ce qu’aimer signifie, elle apprend à donner son coeur, même si ce n’est pas toujours à la bonne personne.



Le tome 2 marque un tournant dans la vie de Morgan elle quitte tout pour voyager en Europe sur les pas de Dracula. Elle y fera la rencontre de Maeva et de sa famille. Elle trouvera l’amour. Elle se laissera a nouveau submerger par ce sentiment si beau.



L’autrice fini avec un tome 3 incroyable, mon préférée sur les 3. Et oui notre belle et fougueuse héroïne se rend compte ce qu’est le véritable amour. Il lui aura fallut du temps pour le réaliser, mais la vie c’est ça aussi : parfois on a besoin de partir, changer d’air pour ce rendre compte que tous ce qu’on souhaiter était juste sous nos yeux. Qu’on peut être aveugle parfois.





L’autrice nous dépeint les premières fois, les premiers amours de façon remarquable. Elle fait évoluer sa plume en même temps que l’héroïne, on passe de poésie au début du tome 1 à quelques choses de plus cru à la fin du tome 3. Les scènes de sex sont de plus en plus détaillé. Une très belle trilogie qui se lit rapidement et facilement. Parfois j’aurais aimée que l’autrice complique plus la vie à son héroïne. Mais ce sont des très bon livre pour se perdre dans la quête de l’amour sans se poser de question. Une super lecture FeelGood comme j’aime.

Le début du premier tome a eu un peu de mal à démarrer et j'ai forcément pris plus de temps à accrocher à l'histoire mais dès le moment où Julien part, l'histoire prend une autre tournure (qui je l'avoue du point de vue amour, ne m'a pas forcément fait rêver). Morgane devient indépendante au fur et à mesure mais pour moi dès le départ, elle ne faisait pas les bons choix mais ça c'est mon avis de lectrice qui n'était pas contente de la tournure que prenaient les choses 🤣.



Toutefois, l'autrice a su montrer que l'adolescence n'était pas un long fleuve tranquille et qu'on n'avait malheureusement et heureusement pas la même vie, le même passé. Morgane est touchante en son genre et c'est en cela que j'ai aimé la voir s'affirmer face à Alexandre puis à Enzo et pour finir à James. Le premier tome m'a fait passer un bon moment même si je n'étais pas toujours en accord avec les pensées de notre héroïne. Le deuxième tome m'a énormément plus, notamment le personnage d'Enzo qui sortait des sentiers battus ! Dès la rencontre, je voulais qu'elle finisse avec lui ! Mais elle a encore décidé de repartir et rencontre James, qui est très charmant mais ne m'a pas fait autant rêvé qu'Enzo 🥰.



Le petit bémol que j'ai noté et qui est vraiment présent dans tous les livres et qui selon moi gâche un peu la lecture, ce sont les longues descriptions des paysages, des discussions ou alors des pensées de Morgane.



De plus, le fait qu'une adolescente aussi jeune parcours autant de pays m'a laissé un peu perplexe. Après nous sommes dans une fiction et tout est donc possible !



En tout cas, très belle découverte ! J'ai passé un agréable moment en la compagnie de Morgane et de ses conquêtes.

Tout d'abord, je remercie Annie Lavigne pour m'avoir permis de découvrir Avana.

Autant le dire de suite ce fut un cœur de cœur dès les premiers chapitres.

Je me suis laissé emporter dans ce monde de magie, de sorcières, de druites de mages. J'ai aimé côtoyer les déesses et les dieux invoqués. Je me suis laissé emmener d'un pays à l'autre, de peuples en peuples.

C'est un univers riche rempli de personnages qu'on aime ou qu'on déteste mais qui ne laisse pas indifférent.

Et enfin pour finir, quel plaisir de rencontrer Avana de la voir grandir et lutter entre le bien et le mal qui l'habite.



Si vous aimez les univers pleins de fantasy, de magie, de ténèbres et de lumière alors cette saga est faite pour vous.

Le commentaire de Cathy :

Sur la terre d'Érin, naît Avana, elle est née d'une sorcière et d'un dieu. Frustrée que son père adoptif ne lui transmette pas l'enseignement des druides elle va partir pour la Scottie où elle va apprendre les secrets de la foi Antique. Ayant essayé de délivrer sa mère Avana va être rejeté par son peuple, va t'elle résiste à l'appel du seigneur Zha'hor . Ce premier tome de la trilogie Avana est très bien fait, l'auteure m'a de suite conquise avec son univers et je me suis de suite senti bien avec les différents personnages de l'histoire. Avana est très attachante et j'ai adoré suivre son cheminement et sa façon de réagir face aux décisions qu'elle doit prendre. Un premier tome qui laisse présager une très bonne saga, je file lire la suite.
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Je tenais tout d’abord à remercier chaleureusement Annie Lavigne et le site Simplement Pro pour l’envoi de ce service presse numérique.

Malheureusement, mon avis sur cette lecture est en demi-teinte. Je vais commencer par vous parler des éléments qui m’ont moins plu pour terminer sur une note positive avec ce qui m’a davantage séduite.

Au départ de l’intrigue se dessine une prophétie. Celle-ci promet aux Seigneurs Fomorés de l’En-deçà un accès rapide et efficace aux terres des hommes afin d’envahir et d’asservir ces derniers. Seule condition requise : le sang d’une jeune femme mi déesse, mi mortelle. Celle-ci sera tout à la fois le salut et la malédiction des Seigneurs Fomorés comme des hommes, puisque si elle permettra aux premiers de conquérir la terre, elle sera également la seule à pouvoir les vaincre et les repousser dans les profondeurs qu’ils n’auraient jamais dû quitter.

Si j’ai aimé la trame de cette intrigue, le rythme et la construction de celle-ci ne m’ont pas convaincue. L’enchainement, trop rapide, de différentes situations a engendré, chez moi, une sensation de scènes plaquées les unes à la suite des autres sans réel lien entre elles (même si ce n’est pas le cas pour toutes, loin de là !). J’avais l’impression de voir une succession de tableaux défiler devant mes yeux sans que je puisse m’y attarder assez longtemps pour comprendre tous les tenants et aboutissants de chacun d’entre eux ! La fin m’a, par contre, parue mieux « dosée » à ce niveau et j’y ai, de ce fait, davantage accroché !

Je n’ai pas non plus compris cette obsession du père adoptif de l’héroïne, et par ricochet de l’ensemble de ses proches, de lui cacher ses véritables origines (d’un côté lumineuses par l’entremise de son père, le dieu Lug et d’un autre sombres de par sa mère, une sorcière maléfique). Selon la prophétie donc, Avana est celle qui causera la défaite ou la victoire des hommes sur les Seigneurs Fomorés. Son père adoptif connait parfaitement ces enjeux puisqu’il est lui-même druide et devin. Dès lors, je ne comprends pas l’intérêt de lui taire les conditions de sa naissance. Je peux concevoir qu’il répugne à les révéler à une enfant de 8 ans mais je ne saisis pas pourquoi il continue à se taire une fois qu’elle atteint l’adolescence puis l’âge adulte. La frustration d’Avana est très vite devenue mienne à ce niveau ! Je pense que l’intrigue aurait pu être tout aussi intéressante si l’héroïne avait été mise au courant. D’autant qu’elle aurait pu, à ce moment-là, faire ses choix en âme et conscience….

Quant aux personnages, j’ai un avis mitigé dessus. Avana est intelligente, instinctive et courageuse. Toutefois, elle est aussi très changeante et si, bien sûr, ses origines peuvent expliquer ce trait de caractère, elle l’est trop pour que j’arrive à m’y attacher ! J’ai souvent eu l’impression que la jeune fille se laissait porter par des forces intérieures qui la submergeaient, petite poupée sans volonté ballotée d’une extrême à l’autre. J’exagère un peu le trait mais il n’empêche qu’elle ne m’a pas semblé maitresse de ses choix mais plutôt irrémédiablement tirée vers l’Ombre ou la Lumière, presque sans qu’elle ne s’en rende compte ! Et j’ai trouvé ça dommage et un peu réducteur.

Je lui ai clairement préféré Emroth bien que ses sentiments vis-à-vis d’Avana m’aient parfois paru « trop » également. C’est, en tout cas, un jeune homme intègre, un brin naïf mais foncièrement bon qui mérite le respect. Les mages élémentaires ont également réussi à me séduire de par leur personnalité marquée et très intéressante.

De façon générale, j’aurais aimé que les émotions et les relations des personnages soient davantage développées et/ou plus subtilement amenées. Amour, colère, amitié arrivaient parfois trop vite et trop brusquement.

Pour terminer sur la fameuse note positive, je dirais tout d’abord que la plume de l’auteure est fluide et très agréable à lire ! J’ai beaucoup aimé, entre autres, ses descriptions poétiques et imagées liées aux « élémentaires ». Le narrateur est omniscient ce qui permet à l’auteure de ne pas uniquement se concentrer sur le personnage d’Avana mais de s’attarder également sur d’autres protagonistes tout aussi important pour l’histoire.

L’autre gros point positif, c’est l’univers aux accents celtiques que j’ai énormément apprécié ! Les druides, les sorcières et le petit peuple y ont une place importante, tout comme les quatre éléments. Riche et bien construit, il se révèle petit à petit au lecteur au fil du récit. L’auteure nous entraine aussi bien dans le Sidh aux côtés des Tuatha de Danann que dans l’En-deçà près des Seigneurs Fomorés. J’ai particulièrement goûté les descriptions contrastées de ces deux mondes : l’un fait de lumière, de joie et d’amour ; l’autre au contraire, fait d’ombre, de violence et de luxure !

En bref, une lecture en demi-teinte pour moi ! Il y avait de bonnes idées et l’univers est très intéressant, malheureusement, de mon point de vue, l’intrigue manquait de rythme et de cohérence et les sentiments des personnages de développement. Cependant, ce sont mes impressions personnelles, d’autres lecteurs ont été beaucoup plus réceptifs que moi à ce roman ! Je ne vous le déconseille donc pas ! Si le résumé et les thématiques vous tentent, n’hésitez pas ! Je serai ravie ensuite d’échanger avec vous !


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Un premier tome très intéressant, qui pose les base de la saga tout en alignant les rebondissements.

J'ai beaucoup aimé le personnage d'Avana, loin d'être lisse : cette jeune fille est née avec un lourd bagage, et elle va devoir mener ses propres combats pour ne pas céder au mal qui sommeille en elle. Au fil du récit, on ressent de plus en plus son dilemme et son incompréhension, qui l'éloignent de ses proches et de la "bonne" voie.

L'univers est bien construit, on devine déjà qu'il va se densifier par la suite. J'aime énormément la culture irlandaise et son atmosphère toute particulière, c'était donc un vrai plaisir de m'y plonger dans une version plus féérique et inquiétante à la fois.

Je n'ai pas grand chose à dire sur la plume, elle ne m'a pas marquée particulièrement mais elle accompagne agréablement l'histoire. J'attends la suite avant de me prononcer sur les autres personnages, qui sont au second plan par rapport à Avana.

Bref, ce premire tome est très divertissant et promet de belles choses pour la suite ! Le scénario est moins prévisible que ce que je croyais, et je me demande ce qu'Avana va devenir dans le futur. Lecture sympathique donc, je continuerai volontiers la saga !

Le tome 1 de « Avana » propose à ses lecteurs de plonger au coeur du folklore Irlandais et celte. Ainsi l’histoire se déroule en Irlande (bien évidemment) et quelque temps en Scottie. On suit alors les tranches de vie de l’héroïne, de sa naissance à sa mort, de ses pérégrinations, sa maturation, ses apprentissages, à ses illusions et désillusions … Autant vous le dire tout de suite, ce que ce premier tome vous propose, c’est avant tout de suivre l’avancée d’un personnage perturbé !



L’auteure prend le temps de poser son cadre, de narrer la construction de son univers sans en faire trop.



Toute l’intrigue tourne autour de son personnage principal, et après-tout pourquoi pas ? Une enfant, puis jeune fille et enfin femme, qui ignore tout de ses origines et qui se débat avec son conflit intérieur. Un tumulte dont elle ne connaît ni l’origine, ni la raison, duquel elle ne saurait se prémunir, ignorante de son propre sort.



L’intrigue est donc très simple, mais amenée de sorte qu’on a envie d’en apprendre davantage. Même si le dénouement est annoncé dès le début du livre, on est curieux de comprendre comment la protagoniste en arrive à s’égarer.



En conclusion, une histoire que j’ai appréciée, même si quelques points m’ont questionné. Je suis curieuse de voir comment évolue son héroïne et même les Hommes de cet univers. Un Monde, pour ne pas dire, des Mondes, tout entiers, biens pensés et riches. Le folklore est savamment exploité, tandis qu’on constate du travail d’articulation de l’auteure.



Un moment lecture qui ravira certainement les amateurs de légende, de mythologie et de magie.



Pour une chronique plus détaillée, cliquez sur le lien vers mon blog !
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Un récit qui m'a intrigué et m'a séduit. L'auteure s'auto-édite et fait sa publicité sur différentes réseaux sociaux.



La Prophétie du Druide est le premier tome d'une trilogie qui se campe en Irlande au début de notre ère. Alors que les Ulates et les Connachtas se font sempiternellement la guerre, une puissante sorcière décide d'aider les Fomorés, ancien peuple ténébreux d'Irlande, à revenir sur l'île Verte. Pour cela, elle conçoit un enfant avec Lug, dieu-Lumière dont le peuple à chasser les Fomorés autrefois. L'enfant à naître, Avana, est recueilli par Amorgen, puissant druide d'Irlande qui a prononcé une prophétie : Avana s'alliera aux Ténèbres mais peut également sauver l'Irlande et sa population.



Ce récit est jalonné de mysticisme, de magie, d'ésotérisme. Les éléments, la science des druides, la sagesse des premiers rites dans les cromlechs, tout cela prend corps dans ce premier tome. L'histoire se déroule autour de la vie d'Avana, sa formation et ses choix jusqu'à ce que la Prophétie s'accomplisse. Les personnages secondaires ont toute leur importance également.

Le récit est court et rythmé par des chapitres courts eux aussi. Il n'y a pas un seul instant de longueurs.

Le seul bémol est un aspect manichéen très très prononcé, selon moi.



Ce premier tome m'a séduite et c'est avec plaisir que je découvrirai la suite de cette trilogie.



#BlossomSpringChallenge

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#ZodiacLectureChallenge

Challenge Trivial Reading VI

Challenge Mauvais Genres 2020

Challenge Séries 2020

Challenges Multi-auteures SFFF

Challenge 50 objets 2019-2020

Challenge A travers l'histoire 2020

Chouette : Un livre qui se passe en territoire celte avec des druides, des sorcières et une nature omniprésente !

Et ben non. Quelle déception...

J'ai eu l'impression de lire un conte pour enfants. Et encore, pour très jeunes enfants, genre maternelle. Tout est très simpliste dans ce livre : L'histoire, les personnages et jusqu'à l'écriture.

Donc oui, IMMENSE déception pour moi qui en attendait beaucoup. Vite lu (heureusement), vite oublié. Je referme ce 1er tome et sûre, je ne lirai pas la suite.

Un premier tome entre fantasy et dark-fantasy.







Les premières pages nous plongent immédiatement parmi les Dieux de la tribu de Dana, imprégnant l’atmosphère d’une magie à la fois douce et cruelle - cruelle, car c’est aux côtés d’une mauvaise sorcière que nous traversons la frontière des deux mondes ! Nous suivons donc Avana, l’héroïne, dès sa conception.







Nous apprenons rapidement qu’elle succombera aux Ténèbres et ouvrira les portes démoniaques sur la terre avant de se repentir… Annie Lavigne maitrise parfaitement le suspense lié à cette prophétie. Les pages se tournent (je ne les ai pas vues défiler !) et une question demeure : quel élément la déclenchera ? Car Avana n’a pas une vie facile et les causes d’un passage du côté obscur s’enchainent. Ainsi, de voyages en rencontres, elle grandit et s’instruit. La - ou plutôt, les - romances saupoudrent le tout de délicatesse, mais aussi d’émotions plus poignantes. Comme dans tout bon roman de fantasy, les personnages secondaires prennent une place de plus en plus importante au fil du récit.







J’ai particulièrement apprécié les enseignements druidiques et de sorcelleries. À vrai dire, les valeurs développées (interconnections des êtres, forces féminines et masculines, etc.) m’ont passionnée. J’ai presque eu l’impression de recevoir ces instructions en même temps qu’Avana !







J’ai beaucoup aimé l’écriture d’Annie Lavigne, qui rend compte avec justesse et précision des sentiments des protagonistes, mais aussi des décors et des scènes en général. Le vocabulaire est varié et les phrases, bien construites ! Ce roman fantasy assez court (210 pages) se lit vite, un poil de détails supplémentaires n’aurait pas été de refus, je dois dire ! Notamment lors des quelques paragraphes où l’on suit Emroth.







En bref, je recommande chaudement La prophétie du Druide.
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Avana est une jeune fille qui a été élevée dans le secret de sa naissance par un druide très puissant.

Elle souhaite être initiée par celui-ci et acquérir ainsi la magie convoitée des druides.

Mais cela lui est refusé car Avana est tiraillée entre sa part d'ombre et sa part de lumière. Etant encore trop instable, le grand druide ne veut pas prendre le risque de laisser cette connaissance aux mains des Ténèbres.

Au fond d'elle, Avana sait qu'elle est différente et décide de mener sa propre quête.



Avana est un personnage que j'ai eu du mal à cerner, à la fois naïve et immature mais aussi provocante et aguicheuse. Une personnalité parfois agaçante et égoïste qui peut effectivement s'expliquer par son jeune âge et sa part d'ombre émergent, mais qui du coup ne me l'a pas rendue très attachante.

Avana, pendant son voyage découvrira la magie à travers les éléments. Elle entrera en symbiose avec chaque représentant de ces éléments, mais du coup la description a été un peu rapide pour moi. Sans doute faut il y voir une évidence liée à la nature même du personnage.

J'ai apprécié les passages concernant l'entraînement d'Avana chez la sorcière. Entourée de ses acolytes, elle a enfin intégré un groupe, elle s'anime et cela la rend moins distante. Cependant, la séparation est un peu brutale et sans réelle explication, surtout concernant Valmir.

Si on parle beaucoup d'Avana, il y a un personnage qui a également son importance dans ce récit. Emroth, l'ami d'Avana, est un jeune druide dont l'évolution est intéressante. Fort de ses nouveaux pouvoirs, il rejoint les élémentalistes afin d'affronter le mal.



Au final, une lecture agréable, une plume plaisante. L'auteure a su doter son personnage d'une dualité intéressante. On ressent bien les hésitations d'Avana et le combat intérieur qu'elle mène.

Quelques passages auraient mérités d'être davantage exploités mais la trame pose bien les bases. Les pouvoirs prennent naissance, aussi bien du côté d'Avana que du côté d'Emroth, prévoyant ainsi une suite attrayante.

Au début j'ai eu du mal à me plonger dans cet univers car j'avais l'impression d'être avec le personnage de "Léna" dans "16 lunes" . Avana est une jeune fille qui est au milieu. Elle est pas tout à fait lumière, mais pas tout à fait ténèbres. Elle n'a pas vraiment d'équilibre du coup on va lui refuser sa requête d'apprendre l'art de la magie.  Entre de mauvaise main celle-ci pourrait être plus que dangereuse. Nous allons donc suivre Avana qui décide de partir pour sa quête. 



C'est rare que cela arrive mais je n'ai pas du tout réussi à m'attacher à l'héroïne. Pourquoi? Elle est plutôt jeune, (cela ne gêne en rien) mais a un caractère particulier elle est tantôt naïve, puis d'un coup provocante à la limite du vulgaire. Je la trouve très égoïste ce qui ne m'aide pas à l'apprécier. Mais dès qu'elle va réussir à s'intégrer au sein d'un groupe, on découvre une autre jeune femme. 



Certaines descriptions mériteraient d'être approfondis car pour moi elles ont leurs importance, tandis que  d'autre son juste parfaite. J'ai passé un agréable. Je suis une grande fan de fantastique, magie, fantasy en tout genre. J'ai trouvé l'histoire très intéressante et bien imaginé. La plume de l'auteure nous plonge avec quelques difficultés dans cet univers, elle est simple, agréable et fluide. 



Je ne peux pas dire que j'ai eu un coup de coeur pour cette histoire, mais je pense qu'avec quelques modifications, elle pourrait vraiment emporter son lecteur et le faire voyager dans ce sublime univers qu'a créé l'auteure. 



Merci beaucoup à l'auteure pour m'avoir confié son ouvrage. 

Je me suis lancée un peu à l’aveugle dans cette épopée sur fond de mythologie celtique dans laquelle on sent le formidable travail de recherche de l’auteure sur les coutumes, la magie et les croyances.

Le décor, complexe, est planté très vite : on sait dès le début le contenu de la prophétie.

Avana a un grand avenir devant elle, une grande destinée avec deux fins possibles. La lumière et les ténèbres.

Essuyant ce qu’elle estime être des refus à répétition, Avana va essayer de combler sa soif de savoir par elle même, en dépit de ceux qui n’ont pas voulu lui enseigner. Dans cette quête, elle s’éveille à la magie mais, sans personne pour lui révéler sa vraie nature, elle s’expose.

Fragile et en proie à ses émotions, elle réalise malgré elle, sans le savoir, la prophétie.

Je ne peux m’empêcher de me dire que si son grande druide de père lui avait révélé la vérité sur sa vraie nature, sur ses origines, elle aurait été mieux armée pour lutter contre ses émotions et ses sentiments qui l’emmènent vers son Ombre. Ce qui pousse son entourage à la laisser, ce qu’elle vit comme un abandon, alimentant davantage son Ombre.

Cercle vicieux.



Avana a toujours été surprotégée par son père, qui ne l’a jamais jugée assez mature pour recevoir son enseignement.

Se conformant à ce qu’on attend d’elle, elle se comporte souvent comme une enfant irréfléchie et naïve avec cette subtile alternance avec sa part d’Ombre qui l’a rend provocante et arrogante. Lubrique, parfois même.





L’histoire est pleine de magie et de poésie, confortée par une plume fluide et légère.

Pourtant, la narration omnisciente instaure une certaine distance entre le lecteur et les personnages. Et si j’ai espéré qu’il leur arrive le meilleur, je ne me suis pas vraiment impliquée émotionnellement auprès d’eux.

Certains évènements semblent avoir une importance capitale mais qui n’est pas exploitée (peut-être que ce sera le cas dans les tomes suivants) comme la rencontre d’avant avec chacun des esprits des éléments, qui viennent personnellement la trouver pour se présenter et lui enseigner une leçon.

A aucun moment, elle ne revendique ces épisodes auprès de ceux qui refusent de l’éduquer, notamment son père. Or s’il avait su qu’elle avait déjà fait ce genre de rencontre, il aurait peut-être changé son fusil d’épaule.

D'Annie Lavigne, autrice autoéditée à succès, j'avais déjà lu le premier tome de la série La Confrérie du Serpent, et j'ai accepté de me plonger dans une autre série, celle d'Avana, dont le potentiel m'a de suite séduite. Je remercie l'autrice de m'avoir envoyé La prophétie du Druide, qui ouvre cette trilogie fantasy.



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Il y a deux mille ans, sur la terre d'Erin, le druide Amorgen a une vision : celle de la destruction de la terre des hommes par les Fomorés, seigneurs de l'En-Deça, ennemis des Thuatas de Danann, peuple de la lumière et dieux des hommes, qui vivent dans le Sidh. La prophétie du druide ne pourra se réaliser sans la naissance d'Avana, l'enfant de Lug, le dieu lumière, et de la sorcière maléfique Ess Enchenn. L'enfant est recueillie par Amorgen, qui l'élève parmi les Ulates, un des peuples de l'Île Verte, espérant faire d'elle un être davantage tourné vers la lumière. Mais adolescente, Avana découvre ses pouvoirs et se heurte à l'autorité de son père adoptif qui lui refuse l'enseignement druidique et le secret de sa naissance. Se sentant seule et trahie par les siens, tiraillée par sa part d'ombre et son envie de vérité, elle décide de quitter son peuple et se met en route vers la Scottie, où elle parfaitera ses connaissances et entamera le jeu des amours... Abandonnant derrière elle Emroth, ami d'enfance et druide en devenir. Son amour pour Avana sera-t-il assez fort pour l'empêcher de se tourner vers l'ombre ? Avana sera-t-elle vraiment à l'origine de la destruction d'Erin ?



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L'univers celtique de ce roman est séduisant : l'intrigue se passe en Irlande et en Scottie, on y croise des druides, des sorcières, des dieux et créatures magiques, et ce dans différents "mondes" : Erin, la terre des hommes ; l'En-Deça, le royaume de Zha'hor, le seigneur noir ; et le Sidh, là où vivent les enfants de Dana, les dieux des hommes. De plus, la plume de l'autrice est fluide et entraîne le lecteur sans difficultés dans les aventures d'Avana. L'intrigue est certes linéaire mais se sépare en deux dès la moitié du livre : en effet, on va suivre à la fois le chemin d'Avana, mais aussi celui d'Emroth. Ces deux âmes sont amenées à se séparer puis à se retrouver sans cesse. Ces coupures, qui se font plus régulières au dernier quart du roman, apportent un nouveau souffle au récit, qui devient de plus en plus sombre à mesure qu'Avana refoule son côté lumière.



Cependant, le récit souffre de plusieurs défauts. Tout d'abord, l'enchaînement des péripéties est beaucoup trop rapide, sans compter certains passages trop faciles et peu crédibles : par exemple, lorsqu'Avana décide de partir en Scottie, son voyage se passe beaucoup trop bien, elle trouve son chemin, prend la mer et traverse une forêt sans aucun problème alors qu'elle est une jeune fille d'une grande beauté. Je gage qu'il y a 2000 ans, en Irlande, les choses devaient se passer moins facilement. Les actions s'enchaînant brusquement, cela ne nous laisse pas le temps de "voir venir" les choses et de nous imprégner vraiment de l'atmosphère.

Ces changements brusques sont à mettre en parallèle avec les changements d'humeur de l'héroïne. Avana est une adolescente rabrouée et mise à l'écart, naïve et douce, mais sa fameuse part d'ombre prend trop rapidement le dessus, ça ne convainc pas - surtout que ce côté ombrageux est notamment montré par sa libido, la transformant en femme fatale ; c'est beaucoup trop cliché et sexiste. Je trouve ça dommage car ce point de sa personnalité, écartelée entre ombre et lumière, était prometteur. Ce n'est donc pas l'héroïne qui m'a le plus plu, mais davantage ses adjuvants, qui sont Emroth et Amorgen, les sages de la tribu des Ulates.

De plus, l'intrigue comporte certaines incohérences : par exemple, l'épisode d'Avana en Scottie est intéressant car elle prend en assurance et apprend à se défendre et certains aspects de la magie. Mais je n'ai pas compris pourquoi elle n'a pas utilisé ces connaissances dans la suite de l'intrigue.

Ces incohérences et les situations invraisemblables, ainsi que le caractère binaire des personnages, font que ce roman est bancal. La lecture se fait sans accroches mais on ne réussit pas à plonger vraiment dedans.



Malgré ces défauts, ce roman possède un univers enchanteur et saura ravir les amateurs de mythologie celtique et de folklore irlandais.
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Encore un bon livre, une bonne suite. J'ai quand même moins aimé que le premier tome. L'histoire devient très noire et assez répétitive. Je vais quand même donner une chance au dernier tome de la trilogie pour voir !


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Le commentaire de Cathy :

Dans ce deuxième tome, nous suivons la quête d'Emroth et d'autres élémentalistes, ils doivent trouver les 4 éléments qui permettront de sauver le peuple d'Érin. Un étrange brouillard recouvre le pays, il a un effet désastreux sur les hommes, les poussant à faire le mal, Avana va se rendre dans le Connaught pour essayer d'obtenir la paix et surtout pour trouver un terrain d'entente pour combattre ensemble les ténèbres. Ce deuxième tome monte en intensité, Zha'hor se montre de plus en plus fort, les hommes vont tout faire pour oublier les rancunes et se rassembler pour survivre. J'aime de plus en plus le style de l'auteure et surtout son imagination, j'ai la chance de pouvoir lire les 3 tomes d'affiler donc je retourne à ma lecture et vous en parle ensuite.
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Ce tome est définitivement meilleur que le deuxième, mais j'hésite à le qualifier comme étant le meilleur des trois. La finale est très réussie, mais on ne peut pas dire qu'avant les trente dernières pages il y a beaucoup de nouveau. C'est la suite du deuxième, qui est répétitif. Non, somme toute, mon préféré demeure le premier où on prend plaisir à découvrir un univers différent du nôtre. Mais c'est une question de goût.

C'est tout de même une saga très réussie, qui, malgré qu'elle suive la mode des séries fantastiques, a su se distinguer par son originalité.
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Le commentaire de Cathy :



Voilà le moment du combat final est arrivé, qui de l'ombre ou la lumière va gagner ? La terre d'Érin est ravagé par des éruptions volcaniques, les survivants Ulate,s trouvent refuge à Cruachain auprès de leurs anciens ennemis. La quête d'Avana et d'Emroth continu pour essayer de regrouper les 4 éléments. Les combattants de Zha'hor sont de plus en plus nombreux, les hommes vont ils survivrent ? Ce dernier tome est fantastique d'intensité, de tension, jusqu'au bout, j'ai tremblé pour les habitants d'Érin. L'auteure m'a encore une fois complètement embarqué dans son histoire, Avana et son combat intérieur, m'ont beaucoup plus. Annie Lavigne a une plume que je trouve très agréable, elle a su créer un univers liant le fantasy et le fantastique ce qui donne un très bon mélange. Merci à l'auteure de m'avoir permis de lire sa trilogie d'affiler, cela à rajouter énormément de plaisir à ma lecture.
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L'auteur a su me faire vivre l'aventure et la quête trépidante de Viviane et ses amis.

Un roman très agréable à lire avec cependant beaucoup de détail. Finalement on en apprend beaucoup sur l'histoire de notre monde et qui sait, peut être également notre futur
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Viviane Robert est une jeune archéologue. Elle se dédie à son travail depuis toujours. C'est une femme pragmatique malgré les dons qu'elle a développé à son enfance, elle est réaliste et ne croit que ce qu'elle voit... jusqu'au jour où la vérité éclatera.



Un jour, elle reçoit un appel de son père adoptif, Laurent Robert, grand archéologue. Elle doit le rejoindre d'urgence. Il doit lui confier une découverte primordiale voire dangereuse. Alors qu'il est en train de tout lui expliquer, il se fera kidnapper. Viviane, cachée dans l'armoire, assistera à tout. Elle n'arrive pas à croire ce que son père lui a raconté et à ce qu'il s'est passé sous ses yeux. Pourtant, son père semble croire à tout ça, lui est d'habitude comme elle, réaliste. Une histoire de guerre entre des Serkys et des Gardiens. Mais comment tout ça peut-être possible?

Commence alors pour Viviane une quête de la vérité.



Tout d'abord, un grand merci à Annie Lavigne pour ce service presse. C'est la deuxième fois que j'ai la chance de me plonger dans l'un de ses écrits. L'auteure m'a encore séduite avec sa plume fluide et facile à lire. Elle se sert avec brio des événements qui se déroulent actuellement dans notre société pour enrichir son récit. Elle fait de cette historie, une science-fiction détonante. Elle utilise également des événements ainsi que des personnages historiques pour peaufiner son livre. Ainsi, on en apprend pas mal sur le monde et son histoire.

J'ai adoré ce premier tome de La Confrérie du Serpent. Ce fût une lecture agréable qui m'a plongée en plein cœur de cette guerre millénaire entre les Serkys et les Gardiens.
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