Caroline Quine

pareil que club des cinq ou Fantômette Alice détective fait partie de mon enfance et de mes premières lectures j'y pense avec nostalgie

Souvenir souvenir. Elle était mon héroïne après le club des 5.hâte que ma fille les découvre.

The Quest Of The Missing Map

Texte français : Claude Voilier

Illustrations : Albert Chazelle



ISBN : Non Indiqué et probablement inexistant à l'époque de l'édition



Le thème de la carte - souvent déchirée en deux et qui révèle la position d'une île mystérieuse recelant un trésor tout aussi mystérieux - a toujours fourni un thème de choix pour le littérature dite "de jeunesse" - et même pour la littérature tout court. Dans les pays anglo-saxons, le must est atteint sans conteste par le grand Robert-Louis Stevenson avec son "Île au Trésor" dont, jusqu'ici, je l'observe non sans étonnement, Nota Bene ne comprend aucune fiche. Lacune des plus graves à réparer au plus tôt car qui, parmi vous, lecteurs, ne se rappelle avoir dévoré en son enfance les aventures de Jim Hawkins et s'être posé quelques questions ambiguës sur son amitié tout aussi ambiguë avec le célébrissime Long John Silver ? Je me rappelle d'ailleurs que ma première lecture de cette oeuvre se fit elle aussi ... sous la jaquette d'un volume de la Bibliothèque Verte - je devais être en CE2 à l'époque, c'est vous dire. Ce qui fait qu'il faudra que je me le relise - dans la collection d'origine avec une boîte de Kleenex à mes côtés ou bien en Livre de Poche : qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse ? Et yo-oh-oh ! Une bouteille de rhum ! ...



De ce thème de la carte au trésor qui a des longueurs et des longueurs d'avance, filant avec détermination, sur ses petites pattes frétillantes, devant les héros qui s'essoufflent à sa recherche, Mildred Wirt Benson, alias Caroline Keene, et, en France, pour des raisons inconnues, Caroline Quine, s'en saisit en 1942 pour l'intrigue de sa "Treasure Island" et l'un des scenarii de la série "Nancy Drew" qu'elle réalisa. Mais signalons que le roman ne sortit en France qu'en 1966, chez Hachette, avec les changements de noms d'usage, Nancy étant devenue notamment Alice Roy. Signalons aussi qu'une bonne partie de l'intrigue se déroule néanmoins à terre puisque, à l'origine, Alice doit d'en être mise au courant par son père, James Roy, sollicitor de profession. Une jeune cliente, Ellen Smith, venue le consulter, n'est autre que la fille de l'un des propriétaires de la carte indiquant la longitude et la latitude magiques. J'écris "magiques" parce que, comme toujours chez Benson dans ce genre de situation, si l'île se retrouvait et si l'on y découvrait le trésor, cela sortirait Ellen et sa mère d'une situation pécuniaire on ne peut plus "fil du rasoir."



Actuellement, pour mettre un peu de beurre dans les épinards quotidiens, Ellen donne des cours de musique et, justement, est sur le point d'accepter la proposition de Mrs Chatham, une belle quadragénaire sympathique mais assez capricieuse, et complètement dépassée par les faits et gestes de sa fille, la jeune Trixie, une enfant qui sait se montrer aussi aimable que sa mère quand elle le désire mais visiblement hyper-active et trop habituée à obtenir absolument tout de sa génitrice pourvu qu'elle boude assez longtemps afin d'atteindre à son but pour changer du jour au lendemain son comportement de petite fille "pourrie-gâtée" et devenir l'une de ces "petites filles modèles" si chères à Mme de Ségur.



C'est en raison de ce caractère aussi bourré de piquants qu'un cactus mexicain mais aussi parce qu'elle juge l'enfant trop impressionnable et la maison où elle doit lui donner ses cours bizarre et presque inhospitalière en dépit du statut social très aisé qui s'y étale partout, qu'Ellen Smith hésite fortement à s'engager. Puis, les leçons se dérouleraient dans le Pavillon de Musique, bâtiment "à part" qui fascine et terrifie en même temps Trixie, laquelle le déclare parfois "hanté." Mais, si l'enfant se trompe sur l'origine des choses étranges qui se déroulent dans le pavillon, elle ne ment pas : le piano, par exemple, est capable de jouer tout seul, sous les yeux stupéfaits d'éventuels spectateurs ...



Mais tout cela nous éloigne de la carte au trésor, me direz-vous. Oui ... et non. (Je ne vais pas tout vous raconter, tout de même. ) Sachez seulement que le père d'Ellen avait un jumeau et que les deux frères s'étaient partagé la carte. Or, bien entendu, tandis que mourait le père d'Ellen, son jumeau, lui, s'était déjà fondu dans la foule américaine depuis des lustres.



Et sa moitié de carte avec lui ...



Ah ! certes, pour atteindre à cette fameuse île, Alice aura à affronter bien des tribulations et à franchir bien des obstacles parfois dangereux. Elle réussira, bien sûr mais non sans avoir tenu son lectorat en haleine pendant un peu plus de deux-cent-cinquante pages, en tous cas dans l'édition 1966 parue chez Hachette. Il faut tout de même le faire avec un thème aussi ... bateau (sans jeu de mots stupide.)



Personnellement, je préfère de loin "Alice au Manoir Hanté", qui date de 1930 et dont je finirai bien par vous parler un jour dans cette rubrique. Mais il y a des similitudes entre les deux intrigues - également avec celle d'"Alice et le Clavecin" d'ailleurs : Mildred Benson devait avoir un faible pour les spectres et plus encore pour les instruments de musique qui jouent tout seuls en public. Cela, il faut le dire, pour notre plus grand plaisir car, même si l'on a vieilli, même si l'on connaît les ficelles du livre, on est toujours heureux de les retrouver, énormes (pour les ficelles) et inchangées. Ne sont-elles pas, en fait, un peu de nous-même - de ce nous-même désormais si loin sur la route mais qui palpite encore, naïf et plein d'illusions, tout au fond de notre coeur ?



Un peu, soit. Rien qu'un peu. Mais si précieux dans le fond ... Bonne relecture ! :o)

Au lac Tahoé, Alice retrouvre Katie, qui participe au concours de sky nautique. Mais à chacun de ses passages, son équipement est saboté. Qui lui en veut personnellement ?

Alice participe à un tournoi de golf lors de ses vacances. Lorsqu'elle pert sa balle fétiche dans la forêt, près d'un pont elle découvre une boîte à bijoux dans le ravin. Il s'ajirait de bijoux volé, et son père James Roy est justement sur l'affaire. Alice voudrait bien dépasser ce pont pour voir ce qu'il y a plus derrière, mais un fantôme se cache dans la forêt.

Ce livre est une réunion de choses perdues qui sont retrouvées par Alice. Des jumelles orphelines sont adopter par un couple égoïste qui les adopte juste en vue de leurs projets de carrière. Entre des forts sentiments pour les jumelles, une fausse accusation, c'est une lecture agréable.

Un autre tome de la série policière Alice Roy, il nous conduit tout droit vers l'un de mes pays favoris, l'Écosse. C'était le premier Alice que j'ai lu, je l'ai relu pour le challenge ABC et j'en suis très contente, ce fut une bonne relecture. L'intrigue est sympathique, le tout se laisse lire agréablement, j'espère un jour mettre la main sur d'autres tomes de cette série.



L'histoire nous présente un héritage de famille disparu, Alice et son père se rendent sur les lieux, accompagnés des amies de la jeune détective. Ensemble, ils vont devoir faire face à des imprévus, une sombre affaire de faux et d'escroquerie, de vols de moutons, des sabotages dangereux, des tentatives d'assassinats. Cette enquête s'est avérée simple, dans le sens où l'antagoniste principal est dévoilé très vite, mais elle recèle de tant de points disparates que le fil rouge fut compliqué à extirper. Sans compter les dangers très intéressants et sombres sur lesquels nos personnages vont devoir se frotter.



J'ai adoré le chemin que nous fait emprunter l'auteure, elle sait nous plonger au cœur de l'Écosse, de son folklore et de ses coutumes, ça m'a fait très plaisir de relire toutes ces informations intéressantes sur ce pays. Le kilt, les cornemuses, les fantômes, les vieilles ruines, tout est bien écrit pour dépeindre les mystères et le charme de ce pays fascinant. L'immersion est réussie, il en va de même pour rester accroché à l'enquête, l'auteure sait nouer et dénouer les fils, lancer des fausses pistes, elle nous mène aisément, j'ai eu dû mal à trouver le fil conducteur de cette histoire.



La plume de Caroline Quine est très soignée, fluide et subtile ; d'une grande accessibilité sans être simpliste. L'environnement, les personnages ou encore les émotions ressentis, tout est dépeint avec une justesse simple et facile à lire, je me suis directement plongée dans l'ambiance singulière de cet opus. Les dialogues sont très bien construits, on cerne très bien certains protagonistes rien qu'en lisant leurs propos.



Les personnages sont très attachants et humains, l'antagoniste majeur est très brillant, son plan est subtil, j'ai apprécié le découvrir dans les dernières pages du récit. En général, qu'ils soient principaux ou secondaires, les protagonistes apportent un petit quelque chose. Je pense à leur nouvelle amie rencontrée, Fiona, très charmante et sympathique, courageuse et amicale. Comme d'ordinaire, Marion et Bess forment un tandem formidable, toujours là pour épauler et seconder Alice dans ses enquêtes, elles sont différentes, on peut les croire stéréotypées, mais elles demeurent loyales et sympathiques. Je les aime beaucoup. Alice reste très débrouillarde, humaine, généreuse et intelligente. C'est une détective géniale, volontaire et perspicace, j'ai aimé la voir devant ces nouvelles péripéties.



En conclusion, j'ai passé un bon moment de lecture, il restera particulier à mes yeux, c'était mon tout premier Alice, il parle d'un pays que j'aime, il est rythmé de rebondissements et de révélations bien menées. Les personnages sont attachants et bien décrits, le style est agréable à lire, accessible et l'intrigue se révèle passionnante à découvrir page après page.
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Un jour, Alice reçoit de sa tante Cécile un beau bracelet en or agrémenté de cinq petits chevaux. Le bijou aurait appartenu à une artiste de renom. Au même moment, le cirque Sim s'installe en ville pour quelques jours : voilà un peu d'animation en perspective. C'est avec une excitation non dissimulée qu'Alice accompagne le petit voisin à la parade des artistes et des animaux ; à cette occasion, elle remarque que le patron du cirque Sim, M. Karl, n'a pas l'air commode et que Lolita, la petite trapéziste qui tient lieu de mascotte, tire un peu trop la tronche pour que ce ne soit pas douteux. Parallèlement, son bracelet intrigue, et un clown semble en savoir long sur l'origine du bijou. Une enquête s'impose pour Alice !



Si Alice et ses amis ont quand même vieilli et prêtent à rire pour le jeune lecteur du XXI°siècle, on ne va pas se le cacher, il faut bien reconnaître que l'action est au rendez-vous du début à la fin, et que l'enquête est bien menée. Bien sûr, l'héroïne bénéficie de quelques retournements de situation et d'heureux hasards très capillotractés, mais sa vivacité d'esprit et son "expérience" des "malfrats" fait plaisir à lire. On comprend que la série des Alice ait eu autant de succès auprès des jeunes dans les années 1960-1970 et suivantes. A présent, l'effort d'adaptation à fournir pour ceux d'aujourd'hui est plus important, à tel point que les aventures d'Alice prennent une dimension presque historique : de la même manière qu'on se sent téléporté dans une autre ère lorsqu'on lit les aventures de Sherlock Holmes et de Hercule Poirot, Alice nous plonge dans les Etats-Unis de la première moitié du XX°siècle, une époque où l'on s'envoie des télégrammes et où on court chez sa mère pendant des bornes pour passer un coup de fil.


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La Dame à la lanterne : fantôme ou créature de chair et de sang ? Alice a bien sa petite idée, mais encore faut-il la prouver... Rien de tel qu'un petit tour sur le terrain pour recueillir des preuves ! Alice et ses fidèles amies, Bess et Marion, se font engager dans le musée où sévit le mystérieux fantôme. Les méchants n'ont qu'à bien se tenir !



Dans mon enfance, Alice était une de mes héroïnes préférées. Pensez-donc : une jeune fille intelligente, courageuse, entêtée mais surtout une détective amateur démêlant tout un tas d'affaires mystérieuses ! Tout était réunit pour je m'attache à cette héroïne. Des années après, j'éprouve toujours un certain plaisir à relire ces aventures, même si elles me semblent bien moins excitantes et effrayantes que quand j'avais 8 ans !

Ah, Venise... Qui n'a jamais rêvé d'y passer quelques jours en amoureux ? Alice, Bess et Marion comptent bien profiter de leur séjour, d'autant leurs amis Ned, Daniel et Bob doivent les rejoindre bientôt. Quelle n'est pas leur surprise lorsqu'elles apprennent que les trois garçons sont en prison ! Pas question pour elles de rester les bras croisés.



Rien de tel qu'un changement de décor pour donner un petit coup de fouet à l'intrigue. Dommage que l'auteur ne nous décrive que très brièvement la ville. Alice et ses amis circulent beaucoup dans Venise, une carte aurait été la bienvenue afin de pouvoir suivre leur parcours. Mis à part cela, il est agréable de suivre cette aventure menée aussi bien par les filles (Alice, Marion et Bess) que par les garçons (Ned, Daniel et Bob) !

Ah cette série des "Alice détective"... Toute ma jeunesse!!! Eh oui, j'étais déjà accro des " thriller/policier" pour enfants. Lol...

Très passionnant, et en plus il s'agit d'un manoir hanté. Moi qui adore les histoires de fantômes, j'ai été servie dans ce livre. Mais j'ai remarqué certaines incohérences avec le livre précédent, comme les noms des personnages qui changent, et du coup j'étais perdue à certains moments.

Livre très passionnant. On découvre la première rencontre entre Alice et Ned, très charmant jeune homme. J'ai tellement aimé ce livre que j'ai lu les 200 pages en un jour.

Une héroïne qui a fait de moi une fan de livres à intrigue

On découvre dans ce livre une jeune femme très intelligente qui adore enquêter. Ayant déjà résolue de nombreuses enquêtes, cette fois, son amie Jany lui parle d'un parchemin qui cache un message à élucider. Le père de Jany a reçu en plus un appel anonyme qui leur demandait d'enquêter sur ce parchemin. Alice accepte bien sûr, et grâce à son don et à l'aide de ses amis, elle va découvrir le message. Et le parchemin cache un vrai secret qui a brisé une famille. Alice, petit à petit, indice à indice, va réussir à mettre un terme au mystère. J'ai été absorbée par toute cette enquête.



Deux points négatifs : le premier est que le livre est très court, et le second, que l'histoire se finit trop vite. A peine on a découvert la vérité qu'on est à la fin du livre. J'aurai aimé avoir un petit épilogue.



Je me suis informée sur le livre et quelle surprise en découvrant qu'il existe plus de 140 livres sur toutes les aventures d'Alice, une vraie collection. Et j'en possède que quatre. Et ce livre a paru aux Etats-Unis pour la toute première fois en 1977, titre original, The Strange Message in the Parchment. Il est le cinquante-quatrième de la série américaine Alice. Le tout premier livre qui s'intitule Alice détective a paru en 1930. Ces livres sont très vieux et cela m'a fascinée.

Voici la toute première enquête de mon héroïne détective préférée Alice, parue à l'origine sous le titre The secret of the Old Clock et où Alice s'appelle Nancy Drew. Retrouvez les différentes couvertures françaises et d'ailleurs sur mon blog!
Lien : http://aliceroy.canalblog.co..

"Alice, voudrais-tu venir avec moi à Hong-Kong?" lui demande son père. Alice n'hésite pas une seconde, d'autant moins que son camarade Ned Nickerson est déjà là-bas... et qu'il y a du mystère dans l'air. Rien ne lui fait peur: ni le voyage, ni le danger des recherches dans une ville étrange, semée d'embûches. C'est devenu une habitude: Alice s'est acquis une telle renommée par son habileté à résoudre les énigmes qu'on l'appelle à l'aide chaque fois que surgit un problème embarrassant. Plus les mystères s'épaississent, plus Alice y prend de plasir. Aidée de ses inséparables amies Bess et Marion, elle vit à Hong_Kong des heures d'angoisse et d'émerveillement.



Une aventure de mon héroïne détective préférée Alice en Chine. Différentes couvertures et illustrations sont à retrouver sur le blog!
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"Je voudrais que vous m'aidiez à retrouver mon neveu, déclara la vieille dame très digne qui recevait Alice, Marion et Bess, en son palais du Grand Canal. C'est un jeune homme brillant. Un artiste. Il a été kidnappé." La jeune détective et ses amies ont rêvé de vraies vacances dans la cité des Doges, mais elles ne resteront pas sourdes à la prière de la duchesse Dandolo. Le labyrinthe des ruelles et des canaux n'aura plus de secrets pour elles quand elles finiront par débusquer celui qui s'acharne sur une des plus anciennes familles de la ville...

Une aventure de mon héroïne détective préférée à Venise... Les couvertures et illustrations sont sur mon blog...
Lien : http://aliceroy.canalblog.co..

C'est le seul Alice que j'ai apprécié étant enfant.

Je n'ai pas lu tous les titres d'Alice, mais une bonne partie, je ne vais pas tous les mettre ici!

Celui parce que le titre justement me paraissait "étrange"; je n'arrivais pas à comprendre (avant de le lire!) comment elle pouvait se rencontrer elle même ; le titre était une énigme à lui tout seul !