Christian Guillerme

Bien que j’ai trouvé le début assez lent.. j’ai quand même apprécié suivre cette histoire. Elle met bien en lumière comment la folie peut engendrer beaucoup de malheur. Une fois que l’action se met en place, il se passe pas mal de choses et tout se décante.

Niveau plume de l’auteur, elle est fluide, ça se lit vite et facilement, les chapitres sont courts donc c’est hyper pratique pour le dévorer.

Etage 46 n’est pas seulement un roman qui se lit, il se vit, il se visualise. Etage 46 est digne des films d’action, Christian Guillerme ne vous laisse pas le moindre moment de répit au cours de votre lecture. Si vous êtes claustrophobe et/ou si vous avez la phobie des ascenseurs, alors vous risquez d’avoir des sueurs froides en lisant ce livre.



Imaginez-vous coincé dans un ascenseur, la veille d’un week-end alors que tout le monde est parti, et quand vous appuyez sur le bouton afin d’entrer en contact avec une personne qui pourra vous aider à sortir, une voix modifiée vous tient des propos qui mettent vos nerfs à rude épreuve. Stressant, non ? C’est ce que vit Patrick.



Pensant que c’est son ami et ancien collègue tout juste retraité (le pot de départ s’est terminé il y a peu) qui lui joue un mauvais tour, il va vite déchanter lorsqu’il comprend que ce n’est pas une mauvaise blague.



A partir de ce moment-là, Patrick va s’interroger sur les raisons de sa séquestration ainsi que sur l’identité de son geôlier. Il va douter de tout. Il lui faut absolument trouver une solution pour sortir de sa cage d ‘acier car il pressent que les choses pourraient dégénérer.



Vous l’aurez compris, la tension monte crescendo dans ce huis clos. Au moyen de chapitres courts, Christian Guillerme joue avec nos nerfs et nos angoisses. Tout comme Patrick, on s’interroge, on échafaude des plans, on se demande comment on réagirait dans une telle situation et quelle solution on trouverait pour se sortir de ce mauvais pétrin.



Cependant, bien que la deuxième partie soit remplie d’action, j’ai trouvé que ce n’était pas réaliste, notamment certaines scènes et surtout la fin. Néanmoins, grâce au rythme et aux rebondissements, je ne me suis pas ennuyée et j’ai beaucoup apprécié cette lecture.



Si vous recherchez un thriller qui vous tient en haleine, qui va à 100 à l’heure, qui joue avec votre stress et que vous n’êtes pas regardant sur les invraisemblances, alors n’hésitez pas à monter dans l’ascenseur pour rejoindre le 46ème étage, mais avant pensez à prévenir votre entourage, on ne sait jamais…
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Si vous êtes ascensumophobe, Etage 46 risque de vous mettre très mal à l’aise.

Si vous ne l’êtes pas, n’hésitez pas un instant, il est excellent !

Etage 46 est un thriller psychologique résolument original et singulier, et j’ai vraiment apprécié ce roman !

Après un pot de départ entre collègues, au 45ème étage d’un immeuble de bureaux du quartier de la Défense à Paris, Patrick se retrouve coincé dans un ascenseur, seul. Et il va vite s’apercevoir que ce n’est pas une blague de mauvais goût orchestrée par ses collaborateurs.

La panique commence à monter lorsque Patrick se rend compte qu’il est véritablement pris au piège par un individu mal intentionné et retors. La cabine devient alors pour lui une geôle infernale dont il va absolument devoir s’extraire.

Concocter un thriller sans temps mort, anxiogène, prenant, et riche en rebondissements, malgré l’unicité du lieu où se déroule l’action – un immeuble de la Défense, était une gageure pour l’auteur, et il a su la relever avec brio. On a ici un parfait huis-clos, oppressant et tendu à souhait !

L’équation gagnante de Christian Guillerme ?

Des chapitres courts + des cliffhangers = un page-turner

Une très belle réussite !

🎉Sortie aujourd'hui 🎉

Merci aux éditions L'oiseau Noir pour l’envoi de ce thriller !



« Nos actions passées finissent toujours par nous rattraper. Chacune d’elles, chaque pensée, chaque parole s’additionne à la précédente et rien ne disparaît ; c’est le karma, et le tien est mauvais. »



Patrick, designer dans une grosse société en plein cœur de la Défense à Paris, est décrit par ses collègues comme étant le bout en train de l’entreprise, celui qui fait rire à longueur de journée, toujours souriant.



Lors d’une soirée de départ en retraite d’un de ses collègues proche, Patrick va se retrouver bloqué dans l’ascenseur de l’immeuble de son travail, seul. Pensant à un simple dysfonctionnement, il va vite déchanter au bout de quelques heures en comprenant que sa présence n’est pas due au hasard, mais qu’il est retenu contre son gré.

Va alors s’en suivre une perte de repères et une incompréhension totale face à cette situation.



Il va devoir trouver une solution des plus rapides pour sortir de ce guet-apens, puisque ses nerfs vont être mis à rude épreuve tout au long de l’intrigue.



Le lecteur plonge dans ce huis clos suffoquant dès les premières pages, où les pièces du puzzle vont s’emboîter au fur et à mesure de la lecture. Par moments, le rythme est un peu plus lent, ce qui permet au lecteur de relâcher un peu la pression pratiquement omniprésente.



J’ai vraiment apprécié le travail déployé sur l’aspect psychologique des personnages, cependant, certaines scènes ne m’ont pas toujours pleinement convaincue, bien que l’ambiance de ce thriller soit constamment angoissante.



Le lecteur partage le stress et la peur des personnages qui interviennent tout au long du récit, et participe à ce jeu malsain et anxiogène qui se joue devant eux, et qui rend finalement, cette lecture si addictive.



Se retrouver coincé dans un ascenseur ? Rêve ou cauchemar ? Tout dépend avec qui on s’y trouve 😉


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Voilà un roman qui ne fait pas de promesses en l’air.

Après un prologue et un premier chapitre gentillet, on entre dans le feu de l’action. Au sens figuré, n’est-ce pas, parce qu’en fait, l’action est psychologique. On en connaît les retombées mais on ne la voit pas. Dans ce chapitre, Christian œuvre chirurgicalement. Comme un sadique qui nous fait des entailles dans la peau avec un scalpel extrêmement bien affûté, comme un tatoueur qui laisse ses aiguilles glisser sur notre peau pour tracer cette ligne de contour du dessin, la douleur est là, précise, lancinante aiguë. Pourtant on s’y habitue et on veut qu’elle continue.

Et là, arrive un chapitre qui apaise tout ça pour nous apporter d’autres renseignements, j’avoue, c’est la chose qui m’a le plus déplu dans l’histoire. D’être totalement immergée dans cette scène, presque en apnée ou pour en être violemment extirpée. Mais ceci est purement personnel et ne gâche en rien la lecture. Il faut juste s’immerger dans la suite.

L’histoire est construite, réfléchie, travaillée, il y a juste un peu trop de détails « superflus » à mon goût mais que les amateurs de musique seront sûrement ravis de lire.

Cependant, malgré ces deux bémols, ma lecture m’a captivée. La psyché de l’Homme, complexe au possible, fait partie intégrante du récit et donne le rythme que l’action n’a pas réellement pendant une grande partie. Pourtant, et ceux qui me connaissent resteront sur le cul que je dise ça tant j’aime quand ça bouge, mais c’est tout une partie qui nous immerge totalement dans le décor.

Eh bien, la suite m’a récompensée ! Quel combat épique et quelle préparation !

Je ne donnerai pas plus d’infos sinon vous n’aurez rien à lire. Je dirai uniquement que beaucoup d’auteurs de fantasy galèrent pour décrire les scènes de combat. Christian réussi ce passage avec brio ! Réussissant à décrire autant les actes que les pensées des différents protagonistes sans perdre le lecteur. Et pour ça, monsieur Guillerme, BRAVO !

Vous l’aurez compris, j’ai beaucoup aimé ma lecture. Et vous, oserez-vous sauter le pas et vous lancer dans cet univers sombre qu’est l’être humain ?

Second roman de cet auteur que je lis, je remercie vivement les éditions Taurnada de me l'avoir proposé. Ce sera malheureusement un retour en demi-teinte. Un roman noir, dramatique mais pour moi pas un thriller.



Et effectivement, aussi, comme pour le premier livre lu "Urbex Sed Lex", j'attends d'être à 50% du livre pour qu'enfin il se passe quelque chose qui sera finalement trop fort. Comme un pavé dans la mare… L'auteur nous décrit la petite vie de trois personnages, à qui je n'ai pas su donner d'âges. L'histoire en soit est assez machiavélique et tortueuse. J'attends d'un thriller qu'il me percute dès le début et que la suite parte en cascade dans le psychologique ou dans la terreur en nous dévoilant au fur et à mesure de la lecture des indices parcimonieusement.



Le titre est bien adapté, le thème peu ordinaire, bien écrit, est respecté. Les chapitres sont entrecoupés de flashbacks. Le résumé en accord sans trop en dire sur le livre. Voilà un retour bien personnel qui n'engage que moi. Certes, un roman noir, un roman dramatique mais qui peine dans la longueur. Dommage! Le sujet était intéressant et effectivement de nos jours tout ne se passe pas comme sur des roulettes. Notre société d'aujourd'hui et la relation entre les personnes devient de plus en plus difficile. Je suppose que c'est ceci que l'auteur veut nous démontrer ici. La montée en violence, en puissance assez rapide lors de déconvenues ou de mauvaises transactions…






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Globalement, j'ai bien aimé l'histoire mais j'ai relevé quelques petits bémols. D'abord la construction : j'ai d'abord lu le dénouement avant de revenir au commencement. De ce fait, le suspense est inexistant. Même si j'ai aimé le scénario, j'aurais préféré ne pas savoir la fin en premier. Je pense que cela aurait eu un effet plus addictif. Ensuite, j'ai manqué de repère dans le temps (comme trois semaines plus tôt... ou vendredi 10 septembre...). Cela m'aurait permis de me situer plus facilement, c'est plus visuel. Enfin, j'aurais aimé en savoir davantage sur le psychopathe, être plus dans sa tête et moins tournée vers la vie personnelle de Manal. Malgré cela, j'ai passé un bon moment : les émotions sont vives et percutantes. Dynamique, le récit est parlant car cela pourrait arriver dans la vraie vie... Entrainante, la plume de Christian Guillerme est agréable à lire.

(avis complet sur le blog)
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Après avoir lu Transaction, on n’achètera plus jamais sur un site de revente d’occasion avec remise en main propre. De peur de tomber sur un fou… Surtout qu’on a tous eu à faire à des arnaques au moins une fois dans sa vie ^^ Le début du récit fait très bien transparaitre la paranoïa et l’angoisse qui touchent les personnages et le retour au commencement dans le chapitre suivant, pose les bases de toute la tension qui va planer sur le récit désormais.
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Un prologue qui donne le ton. Des premiers chapitres synonymes de paranoïa, de peur et de décision ultime. Puis le retour en arrière et la découverte de comment tout a commencé. Comment le mal a trouvé racine dans une personnalité déjà limite. Comment une simple arnaque va engendrer le mal sans retour en arrière possible.



Le fond de l’intrigue est bien trouvé et la personnalité du tueur bien travaillée. Grâce à l’alternance des protagonistes au fil des chapitres on voit où chacun en est. Lorsque certains sont inconscients du mal, trop occupés par leurs affaires de coeur, et que le dernier voit sa peur grandir. Lorsque le mal ne cesse de croître et devient plus déterminé que jamais.



Un récit d’ambiance où la trame et le déroulement de l’intrigue m’ont séduite mais où je regrette un détachement total pour les protagonistes. Des personnalités que j’ai trouvé assez énervantes et pour lesquelles je n’ai pu ressentir la moindre empathie.

Un roman très court, voire une nouvelle, où les traits de caractère des personnages ne sont pas travaillés. Cette critique est d'ailleurs récurrente .

Reste que l'action est prenante, même traitée sur un thème rebattu... On se laisse prendre par ce récit.

Un thriller, un vrai ! Pour se mettre dans l’ambiance, il suffit de s’imprégner de l’image de couverture et ensuite de tourner les pages. Les débuts de l’histoire sont assez calmes : le lecteur a le temps de cerner la personnalité des quatre amis urbexers. Cela s’accélère très vite : la tension est déjà perceptible dès l’arrivée sur les lieux du challenge, l’endroit est sinistre à souhait, les descriptions nous y plongent à merveille. De plus, tout se passe de nuit, dans l’obscurité où rodent des ombres. Et quelles ombres ! J’ai eu l’impression de lire ce roman en courant, j’étais totalement intégrée à l’équipe formée par ces deux couples d'amis piégés au coeur de ce sanatorium immense.

Très bon découpage en chapitres courts, au rythme effréné. À côté du monde de l’aventure de ces jeunes urbexers, il y a ce monde horrible de ceux qui se croient tout permis pour atteindre la jouissance suprême au mépris de la vie et de la souffrance des autres.

Je serais bien tentée par l’Urbex mais de jour et surtout pour faire de belles photos

J'ai beaucoup aimé ce roman, bien que j'aurais préféré que l'auteur laisse plus de place à la partie "urbex". Durant le premier quart, nous découvrons les personnages, leur activité et la proposition mystérieuse. Cette partie m'a semblé un peu trop longue, mais toutefois nécessaire notamment en ce qui concerne les explications sur l'urbex et la description du sanatorium de Dreux. Bien documenté, l'auteur nous entraine complètement dans les lieux. Curieuse, j'ai aussi regardé des images sur Internet pour mieux me rendre compte. J'ai aimé que cela se déroule dans un endroit existant et lire des anecdotes véridiques. Une fois les personnages au sanatorium, l'intrigue se fait plus pressante ; l'atmosphère change, devient pesante et sombre. Dynamique, le reste de l'histoire se dévore jusqu'au bout : impossible de s'arrêter ! Soignée, la plume de Christian Guillerme fait passer un bon moment de frayeur…

(Chronique complète sur le blog)
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Urbex Sed Lex – Christian Guillerme chez Taurnada



Du très bon cru que cette virée dans le monde des urbexers.

Pour être franche avec vous, je n’y connaissais pas grand-chose.Il y a des gens que l’on appelle des “urban explorers” qui comme leur nom l’indique, adorent explorer des endroits où personne n’irait s’aventurer.Des bâtiments abandonnés, des ruines ou encore des sanatoriums désaffectés, comme c’est ici le cas pour nos 4 urbexers.

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2 couples d’amis qui pratiquent cette activité depuis plusieurs années, et qui se font contacter, via leur site internet, par une personne leur proposant 8 000 € chacun pour passer une nuit dans ce sanatorium.Après moult hésitations et discussions, difficile de dire non, ils décident de se lancer, pour un ultime kiff avant de tirer leur révérence à ce monde somme toute assez risqué et dont ils pensent avoir fait le tour.Seulement voilà, pour une telle somme d’argent, tout ne peut pas être aussi simple.

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Ils viennent de nouer un pacte avec le diable qui va les mener droit en enfer.Mais ça, ils ne s’en doutent pas...du moins pas à ce point!C’est rythmé, ça dépote et on y laisse sa chemise, ou plus…Le style de l’auteur est vif et absolument adapté à cette course effrénée dans les dédales de ce labyrinthe terrifiant. En plus, moi qui adore apprendre en lisant, découvrir des trucs totalement dingues et bien j’ai été servie.L’auteur sait de quoi il parle et s’est extrêmement bien documenté.Comme c’est bien ficelé!Je me suis clairement amusée à aller faire mes petites recherches sur google dès que je voyais un quelque chose qui me turlupinait,et ça j’adore!

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On est dans la vraisemblance, des faits avérés,rien de rocambolesque ou de tiré par les cheveux.

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Une très belle découverte, 250 pages qui se lisent d’une traite et qui vous donneront de belles sueurs froides.
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Deux jeunes couples dont la passion est de visiter des lieux abandonnés pratiquent ensemble depuis quelques années l’Urbex. Il faut dire que le thème est excellent, le principe de l’Urbex à savoir visiter des lieux construits par l’homme et abandonnés, cela en toute illégalité est déjà limite, car bien souvent, s’ils sont fermés au public ce n’est pas sans raison. Un jour, ils sont contactés anonymement pour relever un défi qui devrait leur rapporter gros. Alors qu’ils hésitent, leur curiosité est la plus forte mais, tout le monde le sait, c’est un très vilain défaut. Alors que la soirée débute, ils feront tout pour relever le challenge mais rien ne se présente comme ils l’avaient espéré. Arrivé à donner autant de densité à un thriller, en à peine 250 pages, c’est déjà une réussite. Quand en plus, on trouve des personnages bien campés avec un chacun leur caractère et leur savoir faire, c’était passionnant. Le rythme et l’action sont omniprésents, on rencontre de vrais méchants et ça fait du bien de voir toute la stratégie mis en place pour tenter de sortir de l’enfer. J’avais l’impression d’être dans un jeu de plateforme tant il y a un côté scénique dans l’écriture de l’auteur. J’aurai bien aimé avoir un plan des lieux pour mieux m’imprégner de la topographie et mieux suivre le déroulement de l’action. J’ai trouvé un intérêt croissant à voir ce groupe de quatre tout tenter pour survivre. Il y a des surprises, des rebondissements et une sacrée montée d’adrénaline pour le lecteur même si je n’ai pas quitté mon fauteuil. Le prologue nous plonge direct dans le ressenti et dans la course effrénée même si l’on ne sait pas encore contre qui on doit lutter, c’est déjà complètement affolant et mon attention a été captée ainsi du début à la fin. Cette atmosphère anxiogène est parfaitement rendue. Je n’ose même pas m’imaginer vivre la soirée que Théo et Chloé, Fabrice et Carine, vont subir, c’est glauque à souhait. Bonne lecture.
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Ça y est ? Vous êtes confortablement installé dans votre fauteuil ? Les provisions à portée de mains ? Chips . Check ! Bière artisanale. Check ! Du bio bien sûr !

Ok ! Vous êtes donc parés pour attaquer « Urbex Sed Lex » . La soirée s’offre à vous comme les 250 pages du livre . Un livre que nous pourrez lâcher des yeux un seul instant une fois lancé . Prévoyez donc , peut-être ...deux bières ou un thermos de café , au choix .

En route pour des heures d’actions, de frissons et d’émotions fortes...vous êtes prévenus !



Bienvenue dans le monde de l’urbex , cette discipline sportive à haut risque qui consiste à explorer des locaux industriels désaffectés, pourvu que l’adrénaline soit au rendez-vous. Si vous avez peur du vide . Si vous êtes claustrophobe. Passez votre chemin !

Des explorateurs qui bravent souvent l’interdit en escaladant d’anciens bâtiments publics au péril de leur vie, en sautant de toits en toits ou en déambulant dans des souterrains humides , peu sûrs .L’ivresse des sensations qui affole le palpitant, mais offre tout son soûl de dopamine n’a pas de prix !



Deux couples de trentenaires font partie des adeptes de la discipline.

Fabrice et Carine , Théo et Chloé vivent pour leur art et un beau challenge leur est proposé sur un plateau ce jour-là par un anonyme, via internet : découvrir des énigmes disséminées dans un sanatorium désaffecté. Trente huit milles euros à la clef à se partager !

Comment refuser une telle proposition ?

Mais le jeu en vaut-il vraiment la chandelle ? Qui est cet individu ui peut leur offrir une telle somme pour quelques heures de nuit passées dans ces immenses locaux en ruine ?

N’ont-ils pas trop présagé de leur témérité ou une surprise de taille les attend-Ils pas sur site ? Un guet-apens ?

Peut-être est-il tout simplement trop tard pour revenir en arrière…





Autant le dire tout de suite : ce scénario qui a émergé de l’esprit quelque peu perturbé de Christian Guillerme c’est du lourd !

Après la,mise en jambe initiale, la tension monte crescendo . Les ( pauvres ) protagonistes comme les lecteurs découvrent peu à peu l’horreur de la situation. Pas de pitié pour l’immobilité mais attention à rester à couvert ! La mort rôde et guette sa proie .

L’auteur , inexorablement , met l’ensemble de ses protagonistes sous une pression extraordinaire et les pousse dans une tourmente psychologique insoutenable. L’intensité dramatique atteint son paroxysme.

De son côté le lecteur se retrouve complètement scotché, aimanté par l'attente des prochains événements qui font faire basculer l’histoire d’une manière ou d’une autre , sans qu’on soit totalement certain qu’un ultime rebondissement ne survienne au dernier instant..

Après il sera toujours temps d’aller souffler un peu ….et de reprendre ses esprits.

La tour infernale

C’est le jour J pour Philippe, celui de son départ en retraite. L’inévitable pot de l’amitié est organisé dans l’une des salles de réunion de la boîte, avec le non moins inévitable discours du manager et du principal intéressé ! Comme il se doit, Philippe remercie ses collègues, et notamment Patrick, avec lequel il a partagé de bons moments et dont il apprécie particulièrement l’humour décapant. Tout ayant une fin, chacun rentre chez soi. C’est vendredi, il n’y a plus grand monde dans la tour de bureaux lorsque Patrick emprunte l’ascenseur. Et puis c’est la tuile : l’ascenseur se bloque entre deux étages ! Michel appuie sur le bouton d’appel mais rien ne se passe, et il a beau s’acharner frénétiquement sur cette alarme, personne ne répond. Les minutes s’écoulent… lentement, très lentement… Jusqu’au moment où, enfin, une voix ! Le voici sauvé ! Mais cette voix ? C’est celle de Philippe ! Lui aussi s’essaierait-il à l’humour ? Un humour noir, très noir et franchement, le coup de la panne, c’est une mauvaise blague, très mauvaise !

Voici un court thriller noir que je déconseille formellement aux claustrophobes et à ceux qui souffrent d'ascensumophobie (je suis allée voir sur internet, c’est le nom spécifique de cette phobie) ! Pour les autres, n’hésitez pas à emprunter l’ascenseur de l’enfer avec Patrick et Philippe. C’est bien fichu, angoissant, sanglant et très noir, et même si j’avais un peu deviné où l’auteur (machiavelique à souhait !) voulait m’emmener, je n’ai pas boudé mon plaisir.

Un grand merci à Netgalley et à l’éditeur L’Oiseau Noir, pour la découverte !

#Étage46 #NetGalleyFrance

😱😱 😱‼️‼️‼️ Oh là là.... si vous aimez les émotions fortes, ce livre est pour vous !!! Un suspens époustouflant qui nous tient en haleine non-stop pendant toute la durée de cet épouvantable cauchemar vécu par Patrick et dont on ne s'imagine pas le dénouement final. L'intrigue est menée de main de maître et nous fait vivre intensément une expérience angoissante tout en nous procurant des sueurs froides et assurément des cauchemars ces prochaines nuits !!! Un thriller qu'on n'oublie pas....

L'effet 'whaou' je l'ai ressenti en lisant ce livre quasiment d'une traite, impossible de lâcher Patrick, coincé dans un building par un psychopathe démesuré!



Deuxième roman que je lis de l'auteur (Transaction en 2021) et je suis scotchée par sa plume hyper addictive, ne laissant aucun répit à ses personnages ou au lecteur de souffler 30 secondes.



Une mauvaise blague, un collègue coincé dans un ascenseur, une voix synthétique qui intervient, et une nuit en enfer s'ouvre... brrr, on se laisse vivre au cœur de cette cabine de l'horreur et cette voix qui semble détenir le pourquoi du comment.



Je me suis beaucoup attachée à Patrick, sa détresse de ne rien comprendre, son angoisse d'être enfermé, de ne pas savoir combien de temps, et si une issue sera possible. Ses envies d'un ailleurs et d'un échappatoire, ses questionnements, sa colère, ses moments où il se sent déconnecté, ses interactions avec la voix...



ET le psychopathe dans tout ça? Je vous laisse le découvrir !!!



Un roman intense, magnifiquement noir! J'ai adoré et bien plus! J'adore tomber sur ce genre de pépite.



Enjoy!
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⚠Thriller...⚠ thriller...⚠ thriller



VER...TI...GI...NEUX!!!😱😱



Oh punaise comme dit ma petite fille !! Et c'est peu de le dire, vous comprendrez pourquoi en le lisant!!!



Pour cela je vais en premier lieu remercier @loiseaunoir_editions et @netgalleyfrance pour ce SP mais surtout l'auteur Christian Guillerme qui m'a scotchée!!



L'action se situe dans une tour au 45 étage lors du pot de départ en retraite de Philippe entouré de ses collègues dont Patrick, le collègue bout en train toujours prêt pour une bonne blague et dont tout le monde apprécie sa bonne humeur.



Mais à la fin de cette soirée lorsqu'il se retrouve seul enfermé dans l'ascenseur, il commence à s'interroger quelqu'un lui aurait il préparer une petite surprise... ou bien a-t-il raison de sentir la panique et l'effroi qui commence à se répandre dans ses veines???



Cet ainsi que tout commence, on engloutit chaque chapitre à une vitesse vertigineuse pris par ce huit clos captivant et haletant, difficile de vous en dire davantage sans divulgacher l'intrigue mais je peux vous dire que vous ne prendrez plus jamais l'ascenseur sans avoir une pensée pour Patrick!



De nombreux rebondissements vont intervenir dans le récit pour entretenir le suspense avec brio et on a beaucoup d'empathie pour Patrick prisonnier de cette tour infernale mais pourquoi ?

Là est la question...



Alors êtes-vous tenté ??? L'avez-vous lu?



#booksta #instabook #netgalleyfrance #etage46 #thriller #loiseaunoir

Un avertissement pour débuter : mieux vaut être ni phobique des ascenseurs ni claustrophobe 😂. Par contre si vous aimez les thrillers psychologiques bien angoissants, vous serez servis ! On est ici sur du hi-level 😆



Patrick était au pot de départ de son collègue Philippe et, sur le point de partir accompagné de sa collègue Ambre, il retourne dans l'immeuble où il travaille, rappelé par son collègue.

Il reprend l'ascenseur, et tout d'un coup, le voilà pris au piège à l'intérieur... Il croit d'abord à une mauvaise blague mais très vite il va prendre peur... Si c'est une mauvaise blague, elle a quand même assez duré ! On est vraiment ici dans une course contre la montre, Patrick réussira-t'il à s'échapper ?



L'auteur parvient à instaurer un climat vraiment angoissant, voire anxiogène. J'avais peur que toute l'intrigue se déroule uniquement dans l'ascenseur et que notre intérêt s'essouffle. J'ai été vite rassurée de ce côté là.



Christian Guillerme nous mène ici par le bout du nez et j'ai trouvé ce thriller psychologique particulièrement bien mené. Je dirais même que son intrigue est machiavélique ! Le début est un peu déroutant mais c'est justement pour mieux nous perdre ! Les questions que l'on se pose au fil de notre lecture ont une réponse à la fin et j'ai aimé ça.



La plume de l'auteur est fluide, captivante et vraiment cinématographique, on visualise aisément les lieux, on vit et on lit réellement en apnée certaines situations 😱.



C'est une très belle découverte, un huis clos riche en rebondissements que je vous conseille sans aucune réserve, simplement si vous le lisez, ce sera à vos risques et périls !