Citations de Christophe Arleston (997)
— Regardez-moi ce petit monsieur tout recroquevillé ! Sache que je ne t’en veux pas pour ta manœuvre, cette situation se produit régulièrement et me donne l’occasion de vivre des moments intéressants. Il est même possible que je prête à l’avenir quelque assistance à tes projets, ou tout au moins que je te conseille, si maintenant tu te consacres pleinement à ton ouvrage.
— Ah ?
— Que Fiollulia brise des cœurs, c’est son affaire. Mais qu’elle rende inopérants les galants qui envisagent mon entremise, c’est inadmissible. Tu vas donc t’appliquer à renvoyer ton sang là où il était et à me procurer du bonheur. Je veux de la robustesse et de la fringance !
— Je suis navré de ce malentendu, vraiment. Je vais faire de mon mieux. J’ai eu une absence.
— Alors tâche d’avoir maintenant une présence ! Approche, je vais t’aider.
L’Agent Subalterne comprit que le shaman se livrait à une activité interdite dans la plupart des contrées civilisées : l’alchimie. Une science beaucoup trop dangereuse pour être tolérée. La magie est affaire d’artistes, qui, dit-on, parviennent lorsqu’ils sont au sommet de leur talent à déformer les trames de la réalité. L’alchimie, elle, est d’une autre nature. Elle relève de la sorcellerie. Il ne s’agit que de combiner des éléments liquides, solides ou gazeux pour obtenir – le plus souvent avec du bruit et des sourcils disparus – un résultat néfaste. Les alchimistes avaient la fâcheuse habitude d’empoisonner leur environnement, quand ils ne le faisaient pas exploser, et peu de sociétés acceptent sereinement des cratères de plusieurs dizaines de mètres dans des quartiers habités. À Slarance, l’homme qu’elle avait sous les yeux aurait été jeté dans un cachot. Pour sa propre sécurité. Le peuple, lui, aurait construit un bûcher sur lequel il aurait dû monter nu. On avait cessé de brûler des alchimistes habillés, il se dégageait toujours d’étranges fumées lors de leur combustion, et des déflagrations d’intensité variable pouvaient survenir.
— Vous ne la faites pas exécuter, Monseigneur ? demanda Zéphyrelle.
— Il ne faut pas montrer au peuple qu’on peut couper la tête à des représentants de la noblesse, cela donne des idées. Mais on ne la nourrira plus que de bière, et elle ira croupir sur la paille humide d’une geôle sordide.
— Mais vos cachots sont parfaitement sains !
— Je demanderai à Pufflo d’en salir un.
Le Luberon, c'est un petit paradis au coeur de la Provence où le bobo parisien qui mange des légumes oubliés et bios côtoie le riche Hollandais en tongs et chaussettes qui fait des barbecues cancérigènes...
"Oh vous savez moi, depuis que j'ai pris cet avion à Roissy et que j'ai atterri sur ce monde dans ce qui était finalement un dragon, je relativise beaucoup le mot Impossible."
- empruntez la voie du lombric à l’automne.
- faudra se tortiller ?
- on tue, on brûle, et après on viole !
- naaaan ! Ça c’est ce que vous avez fait l’autre fois,
- ah oui, c’est vrai que c’était pas terrible, la fin...
Le bateau s’est mis en route !
Si quand j’avance il se recule, comment veut-il que je l’accule ?!?
Les enfants ! Cette eau est mouillée ! Ne vous approchez pas du bord !
- c’est... impossible ! Jamais une Trolle sauvage ne se laisserait traire !
- oui, je pense que c’est à cause de ce détail que l’enchantement est tombé dans l’oubli...
- vous appelez ça un détail, vous ?
Ouh làààà ! Tu réfléchis trop, ma pauvre Puitepée !
Tu n’aurais jamais pu être chef !
La seule chose dont les trolls aient peur, enchantés ou non, c’est de l’eau. Ça lave, ça ne sent pas, c’est sain : c’est insupportable.
- nous les délivrerons bientôt !
- lorsque ce jour sera venu, je fêterai ça en tuant plein de gens !
- elle est morte.
Et arrête de bouffer des gens qu’on connaît !...
...c’était son mari ! Ça ne se fait pas !
- Ben quoi ? Il est mort, je suis sûr qu’il aurait été content de servir à quelque chose !
... Jamais un troll libre n’a travaillé !
C’est comme boire de l’eau ou manger des légumes : c’est indécent ! Obscène !
Lanfeust et sa légendaire épée
- Au sol ! Mains dans le dos ! On ne bouge pas !
Les riches trouvent toujours des causes ridicules, juste pour ne pas donner aux pauvres.
- Hypnotiseur : Ah ! Une contre-hypnose ! C'est complexe ! Et ça coûte très cher...
BAF !
- Hypnotiseur : Non, là, ça sera gratuit.
- Grand-père Nicolède : La magie n'est pas là pour être distrayante, Cixi.
- Cixi : Pfft ! Ça va ! Tu m'as déjà fait cinquante fois la leçon !
- C'ian : Papa ! Que fais-tu debout ? Tu devrais te reposer !
- Grand-père Nicolède : Pfft ! Ça va ! Tu m'as déjà fait cinquante fois la leçon !