Comme toujours Dan Brown maîtrise son récit, bourré de rebondissements. Deception Point est un nouveau page-turner.
Pas déçu.
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Malgré une impression de déjà lu après avoir découvert Anges & Démons, j'ai tout de même trouvé que ce livre était pertinent.
En effet, cette histoire commence avec une mise en scène du début très similaire aux premières aventures de Robert Langdon. De plus, le récit se déroule sur un laps de temps très court, une journée approximativement. Ces deux aspects entraînent une sorte de redondance, peut-être un peu lassante parfois.
Pour autant, Dan Brown a deux gros points forts: un suspense insoutenable et une documentation impressionnante. C'est passionnant.
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On aborde toujours les best sellers avec méfiance , et pourtant ici la surprise est bonne . Certes les ficelles sont trés grosses , l'incohérence est de mise , et pourtant l'on ne peut nier un réel plaisir à la lecture de ce roman . Langdon est un parfait anti héros, le parfait rat de bibliothéque projeté dans une aventure dont la démesure le dépasse. L'intrigue vaut ce qu'elle vaut , pas pire qu'une autre et maintient en permanence l'intéret du lecteur. On ne s'ennuie pas au final , et on se surprend méme à enchainer les chapitres , qui il est vrai ne sont pas trés épais , le style d'écriture n'est certes pas bien complexe , pour autant on passe un trés bon moment à se détendre ici.Une expérience de best seller qui remplit son role haut la main , un livre tonique et prenant , qui remplit bien sa mission : divertir sans prétention .
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L'archétype de l'exploitation cheap de thèmes développés ailleurs avec ambition...
Que dire en présence de l'un des pires exemples (lu par véritable acquis de conscience - la conscience n'étant donc pas toujours un cadeau) d'utilisation racoleuse en mode "ultra-cheap" de thématiques développées ailleurs... Ce que Crichton, tout au long de sa carrière, avait le plus souvent timidement esquissé, Dan Brown le fait en grand et en cynique. Le résultat est à la hauteur : lamentable.
A fuir absolument, pour lire les originaux rusés, habiles et passionnants des "thrillers complotistes millénaristes" : "La trilogie des Illuminés" de Robert Anton Wilson (1975), d'un foisonnement, d'une drôlerie et d'un rythme qui continuent à scotcher trente-cinq ans après, ou "Le pendule de Foucault" d'Umberto Eco (1988), dans lequel l'érudition authentique et l'ironie subtile sont au service d'une grande narration.
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C'est mon premier Dan Brown. Jusqu'ici je n'avais vu que les films du Da Vinci code et Anges et démons (bon ok j'avoue je suis méga fan de Tom Hanks ^^ ).L'intrigue du Symbole perdu tournant autour de la Franc-maçonnerie c'est avec une grande joie que j'ai entamé ma lecture.Passionnée par cette philosophie j'étais curieuse de connaître le point de vue romancé de Dan Brown.
Je n'ai pas été déçue une seule seconde,ce livre est un thriller haletant bourré de codes et de mystères.Je ne peut que saluer l'initiative de l'auteur qui a mis en lumière le fait que la Franc-maçonnerie est avant tout une philosophie avant d'être une quête de pouvoir,avant d'être des vendus,les franc-maçons sont seulement des hommes à la recherche de la vérité et de la connaissance.
J'ai adoré ce livre,brillamment mené par la plumé énergique et intelligente de Dan Brown,je vais donc me lancer dans la lecture de ses autres ouvrages en attendant la sortie d'Inferno au mois de mai.
Une dernière phrase à propos du Symbole perdu,je suis curieuse et j'ai hâte de le voir adapté à l'écran,en espérant qu'il sera tout aussi bon que le livre.
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Paradoxalement il faudrait avoir une solide culture historique pour lire ce roman, car il donne une idée fausse sur quantité de sujets et de personnages historiques (Léonard de Vinci...). Il ne peut qu'induire en erreur des non-avertis. Même pas de la littérature de gare. Il n'enrichit que ses auteurs, éditeurs et vendeurs.
Relisez Homère plutôt !!!
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Cette relecture du "Da Vinci Code" de Dan Brown ne m'a pas autant intriguée qu'il y a vingt ans alors que je lisais mon premier polar ésotérique. Certes, dans le genre c'est plutôt bien fait avec de courts chapitres page-turner qui expliquent que ce soit un best-seller. J'ai trouvé quand même qu'il en fait des tonnes avec des rebondissements qui n'en finissent pas.
C'est l'histoire de la quête du saint graal revue et corrigée par Dan Brown puisqu'il ne s'agit pas de trouver un objet, une coupe comme il est communément admis, mais un secret qui remet en cause les fondements du christianisme. Ce secret est bien gardé par le Prieuré de Sion, une vieille confrérie dont les membres dirigeants avec à leur tête Jacques Saunières viennent d'être assassinés par un membre de l'Opus Dei.
Le conservateur du musée du Louvre a juste eu le temps de mettre en scène sa mort avec codes et symboles adressés à sa petite-fille Sophie Neveu, crysptologue dans la police. Il lui indique qu'elle doit s'associer à l'américain Robert Langdon spécialiste des symboles de passage à Paris.
Et les voilà à la chasse au trésor, ils vont s'y coller poursuivis par la police française et les intégristes du Vatican. On voit que dans ce domaine on peut raconter tout et n'importe quoi puisque rien n'est avéré. C'est une athée qui le dit.
J'ai quand même rigolé quand j'ai lu que Léonard de Vinci protégeait le saint graal en laissant des indices dans ses oeuvres, comme Walt Disney ! Et puis, il y a l'inoubliable Jésus est le premier communiste de l'histoire.
Ce qui ne m'a pas du tout fait rire c'est la caution donnée aux cérémonies sacrées prétendument rites sexuels comme accomplissement spirituel. Des orgies quoi ou ces messieurs se servent d'où la répulsion de Sophie (elle est bien la seule).
Au final, mon avis reste donc mitigé.
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Dans la lignée des mystères de la religion DA VINCI Code se penche sur l'un des secrets le mieux gardé de l'humanité.
Entre historiens, fanatiques et enquêteurs qui arrivera a percer le code et rester en vie ?
Un livre bouillonnant d'intrigues d'illusions et de désillusions.
Saisissant.
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Da Vinci Code, Dan BROWN
Alors, avant toute autre chose j’ai Adoré ❤
Ce que j’ai le plus apprécié est le contexte, historique, religieux. C’est assez grisant d’évoluer avec les deux héros au coeur de sociétés secrètes.
Dan Brown a su me tenir en haleine du début à la fin.
Je ne m’étendrai pas plus sur l’histoire car je pense qu’elle n’est plus à présenter.
Je lis assez peu de roman policier mais ce roman m’a donné envie de m’y intéresser un plus.
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Alors qu’Anges et Démons était passé inaperçu, la sortie de Da Vinci Code en 2002 aux Etats-Unis, et en 20034 en France, a donné naissance à l’un des plus gros succès de librairie de l’Histoire mondiale, moins bien que Le Petit Prince, mais mieux que Mein Kampf. 17 ans plus tard, comment analyser ce succès ?
En France, c’est Isabelle Lafond qui a su pressentir que le marché était mûr pour un tel thriller esotérico-religieux. Mêlant habilement Histoire, mystère, action, énigmes et suspense, le livre entraîne son lecteur dans une course poursuite au rythme si soutenu que l’on ne peut s’en séparer lorsqu’on l’a commencé. Dan Brown truffe le tout de ses connaissances personnelles en cryptographie. Au-delà de ça, les médias ont su exploiter la polémique sur le sens caché de l’histoire, sur la véracité de tel ou tel fait, sur la remise en cause de certaines croyances religieuses… cela ajoute-t-il quoi que ce soit à l’intérêt du roman ?
Aucunement, car il s’agit bien là d’un roman. Comme tel, il tisse habilement sa trame à partir des grands thèmes qui traversent –et divisent- nos sociétés contemporaines : théorie du complot, perte de confiance dans les institutions, revalorisation de la place de la femme dans la société, importance de la culture et de l’histoire, quête spirituelle… pour autant, on ne peut reprocher au Da Vinci code de ne pas être parole d’évangile, ni à Dan Brown d’exploiter les questions idéologiques de son temps pour broder à partir de faits historiques et de références symboliques, religieuses ou artistiques.
Quant à moi, au départ réticent comme pour tout nouveau best-seller, j’ai pris plaisir à lire ce roman bien ficelé, plus porté par ses qualités narratives que par sa thèse soi-disant sulfureuse selon laquelle Jésus et Marie Madeleine auraient eu un enfant, thèse que l’Église catholique s’appliquerait à étouffer depuis des siècles. Je ne le recommande donc ni comme documentaire ni comme de la grande littérature –il est d’ailleurs écrit dans un style simple, pour une lecture facile et rapide- mais comme un moyen de détente agréable, précurseur de nombre de nos séries actuelles.
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Avec « Inferno », Dan Brown nous livre une nouvelle aventure de son héros favori, le Professeur Langdon. On est certes très loin de ses principaux best sellers « Da Vinci Code » et « Anges et démons », Dan Brown délaissant pour une fois dans son intrigue la religion au profit de Dante, le célèbre auteur de la Divine Comédie et de son Enfer.
Quand bien même on a coutume de dire que l'on reconnaît un grand auteur dans sa constance dans ses oeuvres, il faut bien reconnaître qu'après deux oeuvres magistrales (Da Vinci code et Anges et démons) les déceptions se succèdent avec Deception point (qui porte assez bien son nom malheureusement) et Forteresse digitale. Sans égaler ces derniers, cette nouvelle aventure remonte un peu le niveau après un Symbole perdu particulièrement médiocre. Néanmoins, le succès en librairie de cet auteur semble dorénavant jouer à fond sur le côté marketing …
Mais revenons à « Inferno » ! Action, énigmes, courses poursuites à un rythme haletant sont les ingrédients de la recette magique propre à l'auteur. En effet, du moment que l'histoire mette en scène Robert Langdon, on a l'impression de toujours lire le même roman : même type d'intrigue, mêmes styles de poursuites. Les seuls changements auxquels on se trouve confronté sont du côté des protagonistes avec l'héroïne et les symboles. Au final, on en vient à se lasser en raison du manque d'innovation et d'effet surprise, l'auteur ayant une grande incapacité (ne serait-ce pas plutôt une réelle volonté de sa part ?) à se renouveler. Malgré tout, « Inferno » est un bon livre bien efficace pour les amateurs du genre.
Bien que l'on ne s'ennuie pas un instant, et même si les monuments sont souvent dépeints par des lieux communs, Dan Brown nous plonge rapidement au coeur des villes de Venise, Florence ou encore Istanbul, avec un descriptif très (trop ?) détaillé et parfois interminable. Il propose ainsi à travers ce roman : de la culture, du voyage, le thème de la surpopulation mondiale et les pistes radicales pour la contrer. Comme attendu, l'auteur s'est fortement documenté sur ces thématiques et on ne peut que saluer son travail exigeant de recherche pour rendre plausible son intrigue, même si parfois cette omniscience nous perd …
Au final, malgré plusieurs avis et critiques négatives de ce livre, j'ai cependant pris le parti de le lire après un « Symbole perdu » particulièrement déroutant. J'ai ainsi pu me faire une opinion. Dés les premières pages, le suspens s'installe et la course-poursuite / enquête ou compte à rebours démarre sur les chapeaux de roue. Il y a incontestablement beaucoup de descriptions de la ville de Florence ; malgré tout, cela reste une invitation au voyage. C'est donc un avis mitigé que je rends.
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On ne présente plus ce roman célébre...
Ayant découvert Dan Brown par Anges et démons,
Da Vinci Code m'a semblé fade et j'avoue ne pas avoir compris l'engouement international (articles de presse, reportages télévisés, émissions spéciales, livre de décodage du roman et j'en passe...)
pour les mystères et autres codes du roman ni même les tremblements du Vatican pour cet ouvrage.
Alors ok, je vous l'accorde c'est un bon roman d'aventure, le lecteur se laisse facilement embarqué voire même captiver, il voyage grâce aux détails des lieux et autres sites historiques décrits, l'écriture est fluide mais question histoire ça sent un peu le réchauffé quand on a l'habitude de lire ce type de roman, non ?
(désolé pour les fans !)
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Il fallait le faire…. Dan Brown l’a fait en consacrant un énorme thriller (454 pages) au Prieuré de Sion ! The Da Vinci Code (Bantam Press) est assurément le best seller de l’été 2003 pour tous les « researchers » anglo-saxons. Un tel succès du reste que cette œuvre devrait bientôt donner naissance à un film. Espérons aussi une traduction française . Je remercie au passage Stella Maris pour m’en avoir procuré un exemplaire, ce qui m’aura évité de passer un été « idiot ».
Car ce livre est un livre « tendance » qui développe avec un talent évident les dernières thèses à la mode. Un « matériel » mystérieux (documents, reliques ?) aurait traversé l’histoire en provenance de nos amis Templiers qui auraient mis la main dessus à Jérusalem. Un matériel ultra-sensible, susceptible de faire trembler l’Eglise Catholique sur ses fondations. Ce « matériel » bien sûr a trait à la « vraie vie du Christ », à son mariage avec Marie Madeleine et à sa descendance. Soulignons au passage que la partie historique de cette thèse est remarquablement bien étayée, assise sur les évangiles apocryphes, les textes gnostiques, les actes du Concile de Nicée….. etc……. Mais tous les saunièrologues avisés connaissent cette saga, popularisée par l’Énigme Sacrée et qui vient d’être magistralement illustrée par Didier Convard dans « Le Triangle Secret » (Glénat). Une saga qui continue d’inspirer bien des chercheurs (je pense à Christian Doumergue) et notamment les tenants de la piste Bigou ; ce « matériel » aurait été découvert dans l’église de RLC par notre brave abbé Bigou (prédécesseur à RLC de Saunière) qui l’aurait emmené avec lui lors de sa fuite en Espagne, non sans avoir au préalable laissé quelques indications (sur l’endroit où il allait cacher le dépôt ?) à l’attention de ses successeurs. Mais ceci est une autre histoire.
Revenons à notre pavé, en nous arrêtant quelques instants sur les principaux protagonistes :
- Jacques Saunière (mais oui), conservateur au musée du Louvre et retrouvé mystérieusement assassiné…….. Dans une position qui est celle de l’homme « Vitruvian » de Léonard de Vinci. Et en ayant gribouillé avant de mourir un certain nombre de messages codés.
- Sophie Neveu, petite-fille du précédent, et cryptographe à la Police Judiciaire.
- Robert Langdon, professeur américain spécialisé dans le symbolisme. De passage à Paris et invité par Saunière à venir le voir à Paris.
- Sir Teabing, un érudit anglais qui vit dans un château près de Versailles. L’objet de sa recherche et de sa passion : le Saint Graal.
- Mgr Aringarosa, haut dignitaire de l’Opus Dei, chargé de protéger l’Eglise catholique par tous les moyens ou de sauver son organisation de plus en plus contestée par le Vatican ?
- The Teacher, personnage mystérieux coordonnant les actions de défense.
- Silas, un redoutable moine albinos, membre de l’Opus, et homme de main des précédents.
Le Prieuré de Sion est chargé de protéger le Saint Graal et ses secrets. Le Graal est un personnage, Marie-Madeleine. Concrètement, le PoS détient la « Keystone », dépôt précieux qui indique l’endroit où est enterrée la femme de Jésus. Enterrée avec un certain nombre de documents, comme les « Purists Documents », évangiles apocryphes racontant la véritable histoire du prophète, le journal de la Sainte ainsi que le fameux « Q’Document », ouvrage dans lequel le Christ a consigné ses enseignements. Mais le PoS a également pour charge de protéger la « bloodline » ou descendance sacrée de Jésus. Marie-Madeleine était enceinte lors de la crucifixion et a donné naissance à une fille, Sarah, lors de son exil en France. La filiation christique s’est croisée avec la filiation mérovingienne, et les noms de Plantard et de Saint Clair sont évoqués comme faisant aujourd’hui partie de cette descendance.
On va donc assister à une course-poursuite effrénée pour retrouver le précieux dépôt, dans les galeries du musée du Louvre, dans un château versaillais, dans la salle des coffres d’une banque suisse à Paris, mais aussi dans le quartier du Temple à Londres, dans l’abbaye de Westminster et bien sûr à Rosslyn. Tout résumé a tendance à caricaturer et à ne pas rendre compte de la richesse de l’ouvrage étudié. Car le Da Vinci Code est un livre foisonnant, remarquable sur le plan de la cryptographie qui est le véritable fil conducteur de la saga. Il faut à chaque fois décrypter les messages laissés par Saunière, en faisant appel à de vieux codes oubliés, aux mathématiques les plus sophistiquées, ou à des souvenirs…… familiaux, ceux de Sophie Neveu. Il est également fascinant par la place qu’il accorde au symbolisme, véhicule de transmission d’une Tradition Primordiale au travers de l’espace et du temps. Il est perturbant par ses analyses de l’œuvre de Léonard de Vinci, grand initié qui aurait laissé de nombreux éléments attestant de la Thèse. Il est enfin émouvant par la place qu’il accorde à la femme et au « sacré féminin », courant étouffé par des siècles d’obscurantisme religieux. Je n’ai pu m’empêcher de faire le lien, sur ce dernier thème, avec les déclarations de Gino Sandri, chantre actuel du PoS , dans les interviews récemment données à la Lettre de Thot.
On l’aura compris, j’ai adoré cet ouvrage. Certainement parce que beaucoup de livres sur RLC sont tellement fantaisistes qu’après chaque lecture je ne peux m’empêcher de regretter qu’il ne soit pas mentionné « roman » sur la couverture. Et bien voici un roman de qualité, à mettre à une place d’honneur dans sa bibliothèque, aux côtés de « l’Or du Diable » de Jean-Michel Thibaut.
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Gros coup de coeur pour ce livre, un bon roman à suspens, rebondissement et imprévus comme je les aime.
Jacques Saunière, directeur du Louvre est retrouvé mort, accompagné d'une complexe mise en scène. Mêlant énigmes, organisations secrètes, Vatican et Saint Graal, le livre de Dan Brown est simplement surprenant, haletant, et impossible à lacher.
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Ce livre traînait dans ma PAL depuis pas mal de temps et si il y était, c'est tout simplement parce que Dan Brown avait su me conquérir avec ses autres livres, mais là le charme n'a pas opéré.
Ce que j'attends d'un thriller, c'est qu'il me fasse supposer, qu'il me mène en bateau, qu'il ne me laisse aucun répit, qu'à chaque chapitre lu, je me dise : allez encore un et après j'arrête, et là, non, je n'ai pas ressenti tout ça.
Le suspense est présent dans certains passages, mais trop peu à mon goût, Dan Brown a été beaucoup trop technique dans ce livre, des descriptions de procédés astronomiques, géologiques, océanologiques à foison ont rendus cette lecture trop longue, je me suis très souvent ennuyée et pour au final, me dire tout ça pour ça, quel dommage.
Les personnages sont malgré tout plaisants et crédibles, ce que j'apprécie dans un livre, car je déteste le côté caricatural que donne certains auteurs à leurs personnages.
Heureusement que je n'ai pas découvert Dan Brown grâce à ce livre car sinon je pense que j'en serais resté là avec lui, mais connaissant son talent, j'ai déjà acheté son dernier livre "origines" qui m'attend gentiment à la maison.
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Toujours dans l'optique d'aller voir inferno au cinéma et donc de visionner les autres film avant, je me suis attaqué à Da Vinci Code.
Pour le coup j'avais déjà vu le film il y a sept ans, soit à l'âge de quatorze ans. Et pas compris grand chose à l'intrigue. Mais après avoir lu anges et démons et vue le film ensuite il y a une semaine, j'avais bon espoir. Car sans avoir lu le livre, comprendre anges et démons en terme de psychologie des personnages en particulier, est ardu.
Et Da Vinci Code semble pouvoir être dans la même veine. Car le livre s'il est riche en symbole et détails, est pleinement compréhensible. Et bien ficelé. Tout fini par faire sens.
Sinon on a un bon dynamisme, avec un côté très chasse au trésor mais pour le coup avec le cadre parisien lire en anglais était légèrement perturbant. Et les quelques répliques en français manquait terriblement de naturel.
Mais sinon je dois dire avoir passé un bon moment, même si plusieurs points sont plus ... prévisibles que dans la lecture précédente. Comme l'identité du professeur, que j'ai démasqué bien avant la fin. Et je ne crois pas que ce soit lié au film car à part un albinos, un passage de claustrophobie et la révélation finale il n'en restait pas grand chose.
Mais bonne lecture, avec un anglais qui reste assez simple pour que des lecteurs plus hésitants que moi puisse tenter le coup aussi.
Bref pas forcément ma zone de confort habituelle, mais bonne découverte tout de même.
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