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Critiques de Daryl Gregory (140)
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Nous allons tous très bien, merci

J’ai adoré découvrir la plume de cet auteur que j’ai trouvé très fluide et agréable. Le rythme du récit est très lent, il y a peu d’actions et pourtant, c’est accrochant. Plonger dans ces discussions remplies d’angoisse était génial ! Tout va s’accélérer à la fin pour finir en explosion !



Très accès sur la psychologie, j’ai trouvé que c’était une très bonne idée et que ça rendait très bien de rassembler des grands traumatisés dans un cercle de parole. De voir comment les expériences de chacun sont partagées et comment ça influe sur chacune de leur vie, c’était intéressant !

L’ambiance est donc très lourde, et il y a vraiment des descriptions affreuses, ça m’a vraiment fait froid dans le dos et c’est si rare que ça m’arrive. J’ai vraiment ressenti la souffrance des personnages, c’était terrible.



Un récit avec de grandes inspirations Lovecraftienne (entre autres) que j’ai beaucoup aimé retrouver. Le côté fantastique est très bien amorcé et entre dans l’histoire de manière fluide, sans paraître être de trop. Les adorateurs de fantastique et de Lovecraft, je ne peux que vous conseiller de foncer !



Le petit plus dans mon édition, c’est l’interview de l’auteur à la fin qui m’a permis de mieux comprendre son œuvre. Je lirais d’autres de ses œuvres sans hésiter ! C’est un gros coup de cœur que me restera en mémoire longtemps !



Et vous, auriez-vous des œuvres à inspiration Lovecraftienne à proposer ?



À la prochaine !

Une effroyable journaliste...
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Nous allons tous très bien, merci

Un court roman fort original, dans le fonds comme dans la forme, opérant habilement au niveau de son récit comme de son analogie globale.

Daryl Gregory y utilise subtilement son argument fantastique à la fois à la surface du récit pour nourrir ses péripéties, mais aussi et surtout de manière allégorique pour aborder très élégamment la question du trauma et de ses conséquences sur ses personnages. Une très belle manière de montrer que les histoires ne s'arrêtent pas toujours là où on le voudrait, et que les happy ends ne dépendent que de cielles qui les vivent ou non.
Lien : https://syndromequickson.com..
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Nous allons tous très bien, merci

J'ai eu l'impression de plonger dans un comic. L'auteur voulait raconter "l'après" de personnages héroïques ayant vécu le pire, sous forme de thérapie de groupe. On découvre ainsi chacun petit à petit, et le fil les reliant se déroule...

C'est particulier mais vraiment bien ficelé (c'est le cas de le dire!).
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Harrison Harrison

Roman d'initiation qui met en plein dans le Mythe ! Humour, horreur et Profonds au rendez-vous. Daryl Gregory taille un agréable moment, certes loin des canons du Lovecraft Club, mais la verve en plus.

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Harrison Harrison

Ce n'est pas compliqué, vous me mettez Lovecraft sur la quatrième de couverture ou à défaut le champ lexical qui a forgé son oeuvre, des mots comme profondeurs, grand ancien, ou encore horreurs tentaculaire et vous avez déjà captivé mon attention. Ajoutez à cela une édition soignée avec effet relief sur la couverture créé avec une sorte de papier glacé délicieux au toucher et les illustrations intérieurs de Nicolas Fructus, gothique et glauque juste comme il faut et vous tenez un ouvrage plein de promesses. Reste à voir s'il va les tenir parce qu'une belle édition ne suffit pas toujours à assurer une belle lecture.



Daryl Gregory avait déjà su me séduire avec son premier roman L'éducation de Stony Mayhall qui possédait cependant un ton plus mature et tendre. Avec ce quatrième ouvrage l'auteur s'essaie à un jeu d'équilibriste dans un univers très codifié et il faut reconnaître qu'il sait doser les différents éléments de son récit même si de manière personnelle j'aurais préféré que l'univers lovecraftien soit plus présent.



Le récit oscille tout au long de ses 300 pages entre le récit d'aventures, le récit initiatique, la comédie et le récit d'horreur. Ce dernier élément sera celui qui restera le moins développé. C'est un peu dommage surtout que la description du collège de Dunnsmouth laissait entrevoir une atmosphère bien glauque, digne des meilleures nouvelles de Lovecraft mais malheureusement pour moi l'auteur a décidé de laisser cette prometteuse ambiance dans les abysses et de se concentrer sur d'autres aspects de son récit.



Et une fois que mon petit cœur de lecteur eut digéré le fait que l'univers de Lovecraft resterait juste une toile de fond je dois reconnaître que j'ai passé un agréable moment de lecture. L'auteur parvient à nous passionner pour le destin de ce cher Harrison au carré qui se remet bien vite des étrangetés auxquelles il doit faire face à tous les coins de rues. Entre humour décalé et enquête façon club des cinq chez les gothiques le livre est suffisamment divertissant malgré le manque d'épaisseur de son atmosphère.



Quant au final il m'a laissé un arrière-goût d'inachevé, un côté brouillon qui tranche avec le reste du récit plus maîtrisé. Cependant malgré le côté inabouti de ce final il m'a quand donné envie de retrouver Harrison dans le roman Nous allons tous très bien merci dont le présent ouvrage est un prequel.
Lien : https://culturevsnews.com/
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L'éducation de Stony Mayhall

Après la premier épidémie zombie, une famille recueille un bébé zombie qui va grandir avec eux, et devenir quelqu'un ... de bien ?Je suis assez étonné par ce roman.D'abord, parce qu'il ne s'agit pas tant d'une histoire de zombie que d'une histoire de famille : Stony cherche, dans tout le roman, à protéger ses siens, et montre tout le temps l'amour qu'il a pour eux. Du coup, forcément, l'angle "roman de zombie terrifiant", n'est plus vraiment là où s'attend.Parce que c'est aussi un roman, une métaphore, sur la discrimination : Stony est pourchassé, et ses semblables sont abattus à vue, simplement à cause de leur état de zombie. Pire encore, dans une vision digne de Menguélé, le camp de détention de zombies est avant tout une ode à la cruauté humaine, où le sadisme stupide des gardiens n'est qu'un écho assourdi des "expériences scientifiques" de ce bon docteur.Tout cela est bel est bon. Qui plus est, de nombreux passages sont d'une émotion rare. Alors pourquoi est-ce que je n'arrive pas à me défaire d'une sensation diffuse de loupé ?Ca n'est certainement pas à cause des dilemnes moraux de Stony. Il se sent coupable de l'apocalypse zombie, et c'est peut-être partiellement vrai, mais pas grave du tout puisque ça entre dans le cadre fictionnel.En fait, je pense que c'est plutôt à cause de la façon dont l'auteur, à plusieurs reprises, joue avec le quatrième mur. En soi, ça n'est pas un problème. Ce qui en fait un souci, c'est qu'il n'y a pas de régularité. En fait, j'ai l'impression que ces passages sont plus des accidents qu'une volonté propre de l'auteur de faire une ellipse ou quoi que ce soit d'autre ?Ca en fait quand même un sacrément bon roman, mais peut-être pas un chef d'oeuvre. En tout cas, merci à la salle 101 qui m'a recommandé de lire cet auteur.
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L'éducation de Stony Mayhall

Oh, non, encore un livre de zombies ! Ça devient lassant, à la fin...

Oui, sauf que là...

Sauf que là, c'est pas vraiment un livre de zombies.

Enfin, si. Mais pas que.

Déjà parce que, contrairement à d'autres livres surfant sur la même vague, là, il y a du style. Un style, même, celui de Daryl Gregory, qui m'a tout de suite aidé à entrer dans l'histoire, le genre de style qui vient vous ouvrir la porte, vous emmène jusqu'à un fauteuil bien confortable et qui vous dit, "installez-vous bien tranquillement, je m'occupe du reste".

Et il y a ce personnage de Stony Mayhall, mort-vivant qu'il réussit à rendre plus humain que les vivants-pas-encore-morts, et c'est ça qui donne tout son charme à l'histoire, ce jeune mort-vivant qui s'interroge sur sa propre condition et sa position dans la société, tiraillé entre les vivants qui l'ont recueilli, élevé, éduqué, et les morts-vivants qu'il va rencontrer et auxquels il se sent lié.

Un livre très intéressant, loin des clichés du genre, qui mérite qu'on lui accorde notre attention.




Lien : https://www.mille9cent84.com..
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L'éducation de Stony Mayhall

Je ne suis habituellement pas fan des histoires de zombies, mais ce roman m'a bien plu. Peut-être parce qu'il nous fait suivre la non-vie de Stony, un zombie pas comme les autres, découvert bébé dans les bras de sa mère morte et qui a la particularité de grandir et de devenir adulte. Le récit m'a bien plu.
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Legenderry Green Hornet

Une belle couverture cartonnée qui donne envie d’ouvrir l’ouvrage, du papier glacé et une colorisation impeccable. Les éditions Graph Zeppelin nous offre ici le premier volume d’une histoire alternative du héros Green Hornet (Le Frelon Vert, en version française) et son super associé Kato. En plus ici, c’est d’autant plus intéressant, car on est invité à (re)découvrir ces deux personnages sur Legenderry, un univers steampunk.



À Big City, le milieu du crime est grouillant, d’autant plus depuis que la Dame Voilée (Lidia Valcallan et anciennement Miss Murder) a mis la main sur les hautes sphères du crime et qu’une mystérieuse secte, menée par le dieu Tik-Tok, fait disparaître des personnes. Sans oublier un nouveau venu dans la partie, l’héritier du Roi du Meurtre qui s’invite, car il a bien des choses à régler avec la Dame Voilée et il veut récupérer son trône.



Les criminels avancent rapidement leurs pions dans l’ombre, jusqu’à ce que notre héros vert, Britt Reid, en entende parler et se retrouve entre les feux d’une guerre de gang. En plus, cela n’arrange rien à son affaire, mais un mystérieux commanditaire a mis sa tête en jeu. Mais ces problèmes ne lui enlèvent pas son caractère enjoué et sur de lui.



Une fois qu’on a commencé, on ne peut clairement plus s’arrêter. Ce premier tome est très dynamique. On passe par les différentes factions et gangs de la ville pour comprendre qui sont les différents antagonistes. Rapidement, il est mis en exergue que les personnages principaux n’ont pas qu’un seul visage, ce qui met en valeur leur personnalité. Ce mélange nous permet alors de nous immerger dans la magouillerie ambiante des coins malfamés de Big City tout en empêchant notre héros de faire du sur-place.



Ce rythme effréné est vraiment un plus, et le tout est stylisé par l’accent steampunk et les costumes d’époque (oui, on a un faible pour les dirigeables et les calèches mécaniques). Les graphismes sont un vrai plaisir pour les yeux tout comme la colorisation qui reste dans des tons concordant avec l’atmosphère dégagée par ce comics.



En tout cas, même si la conclusion est un peu rapide, il est certain qu’on nous a donné irrémédiablement envie de lire la suite ! Elle s’annonce plus terrible que jamais, au vu de la promesse proférée. Et puis, on va également nécessairement s’intéresser un peu plus à cette collection Legenderry, car notre curiosité a été plus que titillée.
Lien : http://onirik.net/Legenderry..
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L'éducation de Stony Mayhall

j'ai adoré!

Difficile de lacher le livre une fois les premières pages parcourues. L'histoire se tient, les personnages sont bien campés, on ne retrouve par contre pas les bases habituelles du roman zombie même si certains points sont présents. Il s'agit d'une fiction (ha oui?) dans laquelle les personnes contaminées ne se comportent en monstres sanguinaires que les 24 à 48 premières heures. Par la suite, en dehors d'une amnésie plus ou moins importante pour certains, ils redeviennent totalement capable de penser et de "vivre" normalement, étant alors maitres de faire leur choix quant au fait de mordre et contaminer d'autres humains car ils n'ont pas besoin de se nourrir. Ils peuvent par contre utiliser leur esprit de manière supérieure (je n'en dirai pas plus). Au final, j'ai totalement accroché avec cette vision du monde zombie, beaucoup plus réfléchie que bien des romans du genre. L'écriture est fluide, l'histoire prenante, les personnages attachants ou du moins bien "vivants", on tourne les pages, on veut savoir, on réfléchit avec Stony, on le suit et puis....on tourne la dernière page avec regret. Je le conseille vivement!
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L'éducation de Stony Mayhall

Une immersion au sein de la population des morts-vivants avec ses dissensions, ses luttes intestines et ses relations avec les "souffleux". Une histoire où l'on éprouve cependant une certaine tendresse pour Stony, ce MV pas tout à fait comme les autres.

Un bémol toutefois : les récurrents changements de période ne facilitent pas la lecture.
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La planète des singes - Intégrale

Tout d'abord perdu dans l'histoire, je me suis vite replongé dans l'univers des Planètes des singes. Ce comic très bien dessiné, nous permet de répondre à certaines interrogations que l'on aurait pus avoir en ne regardant que les films. Il permet ainsi de compléter nos connaissance sur cette univers. Je le recommande chaleureusement!
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L'éducation de Stony Mayhall

Quand on croit qu’il n’y a plus rien à dire sur certains mythes, il y a toujours un auteur pour nous prouver le contraire. L’éducation de Stony Mayhall est une histoire de zombie où il n’est pas question de tuer mais de préserver. C’est une histoire de politique, de secrets, de familles… La famille au sens large.



L’histoire se déroule sur plusieurs années, n’hésite pas à plonger dans des travers les plus sombres, comme pour compenser l’absence de douleur physique qu’éprouve Stony. Son âme, elle, s’en prend plein la tête, et nous donc ! Oscillant entre rire et tension, le rythme est excellent. Le récit se découpe en parties (en arcs, même, car chaque partie est une aventure entière dans le grand tout de la vie de Stony).



La fin s’entrevoit dès le début et, pourtant, il est impossible d’en deviner les étapes. La qualité des personnages, la tendresse de leurs relations, tout ça fait qu’il est très difficile de lâcher le roman. Les pages s’envolent, Stony va plus loin dans la communauté zombie, la communauté humaine. Il en apprend davantage sur lui, sur le monde.



Vous l’aurez compris (ou non, parce que parfois je m’exprime comme un pied), l‘éducation de Stony Mayhall est une histoire originale, étonnamment envoûtante, tristement sombre, nerveusement drôle… Une histoire avec tellement de positif que j’ai du mal à vraiment vous trouver du négatif. Ça n’a rien à voir avec the Walking Dead et, pourtant, les ingrédients d’une bonne horreur sont là.
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Nous allons tous très bien, merci

Ce petit bouquin de 200 pages se lit à une vitesse hallucinante, et la raison est simple : on est tenu en haleine, on veut savoir !



Dans un style très direct, Daryl Gregory nous plonge dans ce groupe qu’il a mis en place, ce groupe composé de gens cassés et traumatisés par ce qu’ils ont vécu. Mais pourquoi les réunir ?



Au fur et à mesure, on en découvre plus sur chacun, sur leurs expériences. On s’y attache, malgré leurs côtés monstrueux ou simplement différents. Harrison est toujours sur la défensive, agressif, mais se laisse apprivoiser par Greta (ou bien c’est l’inverse ?) tandis que Martin se dévoile peu à peu et Stan apprend à parler de ce qui lui tient vraiment à cœur. Mais détrompez-vous, ce n’est pas uniquement un roman sur la vie et les relations des personnes en marge de la société. Si tous ces personnages sont meurtris, c’est parce qu’ils ont été en contact avec des entités d’un autre monde. Et on ne tarde pas à comprendre qu’elles ne sont pas si lointaines que ça…



Un petit coup de cœur que je vous recommande !
Lien : https://pandaschronics.wordp..
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Harrison Squared

Un roman solide et volontiers inventif, un vrai moment de plaisir de lecture, mais qui ne cherche jamais à réinventer le genre ou à s’imposer comme une référence du genre.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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La planète des singes, tome 3

Un triptyque habile et superbe.
Lien : http://www.bdencre.com/2013/..
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La planète des singes, tome 2

Il y a une telle tension dans ce récit, très palpable. Le tout servi par un suspense et une ambiance fort réussis. C'est magnifiquement mis en images par le talentueux Carlos Magno, un artiste à suivre. Ici, il arrive à rendre certaines scènes assez spectaculaires et impressionnantes.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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La planète des singes, tome 2

Cette aventure, habilement structurée, est admirablement mise en images. Le trait est précis et offre des personnages expressifs et des planches détaillées. Le découpage et le cadrage fournissent un dynamisme et une fluidité de qualité.
Lien : http://www.bdgest.com/critiq..
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La planète des singes, tome 2

Avec ses personnages ne versant jamais dans le manichéisme, l’autre atout de ce comics est le graphisme de Carlos Magno. Son trait précis est plus détaillé que la moyenne des titres américains, si bien qu’il ne peut que ravir les lecteurs européens, avides de décors fouillés et de planches riches.
Lien : http://www.bdencre.com/2012/..
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La planète des singes, tome 1

Un aspect inédit et inattendu de la saga !
Lien : http://www.bdencre.com/2012/..
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