Citations de David Walliams (69)
En revanche, les repas chez Papi étaient infernaux. Il les appelait "rations" comme pendant la guerre, et ne mangeait que de la nourriture en conserve. Pour préparer le dîner, il prenait deux boîtes au hasard dans son placard et les vidait dans la même poêle.
C'était un éléphant.
Un grand, un gros, un gigantesque,
un éléphantesque éléphant.
C'est l'histoire d'un garçon qui s'appel Alfie et qui n'a pas toute ses dent.Son père travailler dans une mine et ce retrouve dans un fauteuil roulant.Ils étais très pauvre.Le jeune homme détester aller cher le dentiste il cacher toute c'est demande de rendez-vous sur une armoire.Dans le collège d'Alfie le dirécteur présente la nouvelle dentiste elle arrivat avec son charios qui grinçait, puis elle offrit des bonbon a tout le collège.Quelque jour plus tard Alfie vis une ombre le lang demain il vas voir l'agent qui ne crus pas a son histoire mais une terible découverte vas tout boulverser .
Si vous voulez vous pouvez aller dans la cabane à outils.
Vraiment, c'est affreusement gentil, jeune mademoiselle Chloé, merci beaucoup, répondit l'homme avec un grand sourire.
Même la Duchesse sembla japper merci, ou au moins chouette!
Mais dis-moi, poursuivit M. Kipu, tu es certaine que ma présence ici ne dérange pas tes parents?Je ne voudrais surtout pas m'imposer.
Chloé déglutit, embarrassée par le mensonge qu'elle était sur le point de proférer.
Non, non, cela ne me dérange pas du tout. Simplement, ils sont très pris et ils s'excusent de ne pas pouvoir vous accueillir personnellement.
J'ai choisi cet extrait car on ne sait pas ce qui va se passer.
batell31
Sheila, elle, n'avait pas un sou. Oui, l'autre hippopotame s'appelait Sheila. Un beau matin, elle annonça...
-Je veux être le premier hippo sur la lune!
-Mais, Sheila... tu n'as pas de fusée, lui dit son amie la girafe.
-Il suffit d'en construire une, Béa, répliqua Sheila.
Oui, la girafe s'appelait Béa.
-C'est comme ça chez les hippos: on rêve en grand!
Son pull était plein de trous ; son blazer déchiré à plusieurs endroits ; son pantalon, trop court pour lui. Néanmoins, son père lui avait toujours appris à l'arborer [son uniforme] fièrement. Sa cravate effilochée était toujours nouée à la perfection.
Auriez-vous, par hasard, une tatie terrible ? Une tatie qui ne vous laisse jamais regarder votre émission de télévision préférée le soir ? Ou qui vous force à avaler jusqu’à la dernière miette son immonde tarte à la rhubarbe, alors qu’elle sait pertinemment que vous détestez la rhubarbe ? Peut-être donne-t-elle un gros baiser baveux à son caniche avant de vous donner un gros baiser baveux, à vous ? […]
Eh bien, si horrible que soit votre tatie, question horreur, elle n’arrivera jamais à la cheville de la tante Alberta.
- Je regardais sous ton matelas parce que... commença papa d'abord mal à l'aise, puis en colère. Ce que je cherchais n'a aucune importance. Je suis ton père. Je peux fouiller sous ton matelas quand je veux!
Il termina son discours sur le ton victorieux que les adultes adoptent souvent lorsqu'ils sont conscients d'être dans leur tort.
Joe rouvrit les yeux et sourit. Il n'en revenait pas ! Il avait failli embrasser une fille !
Ben était absolument incapable d'imaginer sa grand-mère jeune. Il l'avait toujours connue sous la forme d'une vieille dame. Il se figurait même qu'elle était née vieille dame. Que des années plus tôt, quand sa mère lui avait donné naissance et avait demandé si c'était une fille ou un garçon, la sage-femme lui avait répondu : "C'est une vieille dame !"
- Oui. En fait tu es magnifique. Tu sais quoi ?
- Quoi ? demanda Dennis avidement.
- Je suis persuadée que tu pourrais bluffer n'importe qui habillé comme ça. Tu as vraiment l'air d'une fille.
- Tu crois ? Tu es sûre ? dit Dennis avec un nouveau regard pour sa silhouette dans le miroir.
- C'est trop dangereux ! déclara sa mère. C'est la mort assurée.
- Mais rester ici, c'est aussi la mort assurée... argua Alfred.
- Se faire lancer par un canon sous l'eau, c'est encore plus la mort assurée, estima Enid.
- Comment une mort assurée pourrait-elle bien être encore PLUS assurée qu'une mort assurée ? demanda Alfred.
Tandis qu'il quittait la salle à pas feutrés, Alfred se retourna et vit l'OCTOMATE percuter les gardes DE PLEIN FOUET. Il les fit tous tomber à la renverse et se mit involontairement à en gifler un avec sa main à caresser les corgis.
PLAF ! PLAF ! PLAF !
La victime essaya de retenir son bras, mais celui-ci lui resta dans les mains.
- Oh, non ! s'exclama le robot. Je ne pourrai plus jamais caresser de corgis !
Le pauvre OCTOMATE n'avait désormais plus que six bras, ce qui en faisait un sexomate, mais nous ne nous attarderons pas sur ce nom.
Le palais de Buckingham avait connu des jours meilleurs. Mais bien que les tapis soient usés et que le papier peint se décolle, l'endroit restait malgré tout exceptionnel. La chambre du prince n'était meublée que d'antiquités. Alfred y dormait dans un lit à baldaquin, en pyjama de soie... mais le lit grinçait et le pyjama était plein de trous.
À la cuisine, on trouvait tous les plats que l'on puisse imaginer, à condition que ce soit en conserve.
"Rules don't apply here," laughed Lisa.
"Dennis, you can be whoever you want to be!"
Dennis hadn't been so happy in years. All these girls chatting to him, making him feel special. He was in heaven.
Cette part est déjà plus grosse que le gâteau dont elle provient.
Il faut que tu comprenne que l'argent ne résout pas tout, Joe.
Ce n'est pas l'argent, le problème. Je me fiche de l'argent...
Non, c'est le fait qu'elle ait pris ta générosité comme un dû.
Joe releva la tête pour la regarder dans les yeux.
Exactement !
Mr Kipu
L'auteur du livre est David Walliams L'illustrateur est Quentin Blake Il s’agit d'un roman Résumé ça parle d'un SDF qui vie sure un banc. Une petite fille passe toujours devant lui. Un jour elle lui parla. Il lui demanda d'aller lui chercher des saucisse et de lui les chofer. La jeune fille alla chercher a manger. Elle pris des saucisse. Le soir elle cacha des saucisse dans sa serviette. Sa sœur la dit a ces parents et lui on dit de les remettre dans sont assiette. Elle débarrassa la table et alla parler du SDF à son père. Il en parlère et sa mère lui a dit de quoi parler-vous. Le père répondu qu'il parler d'une chose secrète. Elle alla emmener les saucisse au SDF. Il vecure heureux.