Dominique Marny

Peut-être que c'est parce que c'est le premier vrais livre que je lis du début a la fin, mais je l'ai vraiment trouvé incroyable, les personnages son attachants, leurs histoires personnelles sont incroyable, l'intrigue et le mystère sont intéressants et les personnages secondaires sont aussi intéressants.

Je recommande. 🤗💫

La villa Hestia est une maison à Biarritz qui appartient à la grand-mère de Valentine, l'héroïne de ce roman. Celle-ci vient y séjourner tous les étés.

Valentine est une jeune veuve et elle retrouve dans cette villa des artistes, des exilés russes et autres membres de la société mondaine...Le reste de l'année, elle le passe à Paris, à gérer l'entreprise que son mari lui a laissé.



L'ambiance de ce roman oscille entre insouciance et mélancolie car la première guerre mondiale est passée par là. Mélancolie car les exilés russes doivent reconstruire une vie, ils ont tout laissé derrière eux, mais Valentine les aidera dans leur nouvelle vie. Puis cette mélancolie laisse place à l'insouciance car une majorité du roman se passe à Biarritz, lors des étés entre amis où l'on fait des rencontres et où l'on consacre beaucoup de temps à la farniente.



L'ambiance si particulière des années folles et de l'entre-deux guerres est très bien restituée et les personnages sont animés d'une telle envie de vivre et se montrent si optimistes malgré tout, que l'on ne peut que ressortir satisfait de cette lecture qui cerise sur le gâteau nous livre les débuts de l'atelier de Coco Chanel!



Merci à #NetGalleyFrance et aux éditions #pressesdelacite pour la lecture de ce beau roman

Ce roman s'inscrit entre saga familiale et tourments amoureux durant les années bouillonnantes de l'entre deux guerres où les gens retrouvent le goût de s'amuser et de se cultiver...assez "feel-good"en fait !

La villa Hestia est une maison de famille bourgeoise où règne une atmosphère joyeuse et où chacun se retrouve l'été au bord de l'océan.

Biarritz est à la mode dans les années 20 où brille  la "jetset" de cette époque.  C'est aussi  sur la côte basque que des réfugiés russes  fuyant la révolution d'octobre tentent une nouvelle vie.  Olga et Vladimir font partie de ces apatrides.

Une vie difficile, pleine d'imprévus et de nostalgie, avait commencé pour ces Russes blancs en exil où s'est éteint l'espérance de regagner leur patrie. Leur bonne étoile sera de croiser Valentine, jeune veuve qui développe le négoce du thé au goût russe. Ils trouvent auprès de la jeune femme et de sa famille, l'amitié et le réconfort  dont leur vague à l 'âme Slave a tant besoin.Ils montrent assiduité et discipline dans le travail qu'on leur propose. Peu à peu ils côtoient "les mondains "  qui fréquentent cette belle demeure et rencontrent d'autres réfugiés, artistes, musiciens, couturiers, affichistes qui ont marqué les années folles.

Quant à Valentine, son cœur bat pour un beau pilote travaillant chez Latécoère. Un homme de "vent, de vitesse et de fuite "'.Bien sur il y a Henri le médecin, pédiatre, séduisant, cultivé..mais la passion sera-t-elle la même.?

Georges, l'aviateur nous dit " sans prise de risque la vie à moins d'intérêt". Mais hormis Valentine qui ose entreprendre, et Olga chez qui on sent beaucoup de sensibilité, je trouve que les personnages sont trop polissés, pas passionnants.

Il y a tout de même une méchante, mais pas longtemps et sans intérêt.

Se lit très facilement, un univers agréable qui peut être un antidote si vous avez l'âme chagrine.

Beau roman avec de belles descriptions de personnages, de lieux et de paysages !

L'auteur nous permet de nous évader du quotidien pour nous transporter entre le Pays Basque et Paris dans les années folles.

La touche russe que partage ces deux régions surtout à cette époque nous permet de voyager et de s'imaginer dans les fastes soirées de cette époque.

Le livre se focalise sur le destin d'une femme après le décès de son mari sans trop en faire et en restant dans un scénario réaliste.

Sur fond de Second Empire, Dominique Marny tisse les liens qui unissent deux jeunes femmes qui refusent de ployer sous les impératifs de leur temps. La première se prénomme Juliette et vit dans le plus célèbre comptoir français qu’est Pondichéry. Créole, elle s’adonne à la peinture pour échapper à sa condition et s’éprend d’un ingénieur agronome français de son âge. A deux, ils aspirent à évoluer loin des jalousies et des préjugés. De son côté, Manon, fraîchement débarquée, s’éprend d’un navigateur solitaire et taiseux. Ce récit qui procure un vaste souffle de dépaysement et d’exotisme parle essentiellement d’amour et d’émancipation. Délestées des droits acquis lors de la révolution de 1789, la gent féminine se retrouve brusquement rabroué dans ses désirs d’indépendance, renvoyée dans le giron d’un père, d’un frère ou d’un époux.

Une biographie très expéditive malgré la quantité d'événements et d'anecdotes qui étaient susceptibles d'être racontés. Le sous-titre m'avait charmé mais je dois avouer que le contenu était simplement passable. On saisit certes la complexité de ce génie tourmenté mais la plume qui le décrit n'a absolument aucune âme. Un ouvrage informatif, c'est tout.

Roman sur la vie de gens ordinaires que le destin entremêle. Dépaysant et agréable à lire.

Un roman dont l'intrigue se déroule durant les années 20, où l'on suit l'ascension sociale d'une jeune artiste passionnée par la création en joaillerie. Intéressant de découvrir les mondanités parisiennes de cette époque, ainsi que l'ambition du personnage principal qui n'hésite pas à sacrifier parfois l'amour pour sa profession.

Sans surprise et en même temps des personnages attachants qui se reconstruisent grâce à l'attention bienveillante qui leur est prodiguée. ça fait du bien.

La lutte d'une femme pour s'imposer dans un monde d'hommes. Des aventures tellement modernes qu'on en oublie que cela se passe dans les années folles.

Hormis la découverte du monde des diamants, ce livre n'apporte rien de spécial.

Tout va bien pour l'héroïne dont les affaires sont mirobolantes en un temps record, les méchants sont très vite éliminés.

Ca manque de sérieux tout ça.

Ah... le "voyage immobile" apporté également par ce livre, quel délice!