AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Durian Sukegawa (716)
L'enfant et l'oiseau

L'histoire d'une rencontre inoubliable.



Celle du petit Yôichi et de sa mère Ritsuko avec un jeune corbeau nommé Johnson. Durian Sukegawa dépeint un quotidien sans fards, souvent cruel , pourtant la magie opère. Humanité et animalité s'entremêlent et se confondent, la frontière entre l'homme et l'oiseau disparaît sous sa plume.

Un livre impitoyable et merveilleux.

Commenter  J’apprécie          90
Le rêve de Ryôsuke

Le roman est lent, très lent, mais pas désagréable, pourtant je me suis un peu lassée aux deux tiers et j’ai lu plus rapidement. L’écriture est belle, la quête de Ryôsuke symbolique. C’est une histoire où la vie et la mort se côtoient. Laquelle des deux choisira le personnage ? Qu’apprendra-t-il de ce voisinage ? Pour le savoir, il faut passer par son amitié pour les hommes et les bêtes, sa recherche tranquille, ses échecs aussi.
Commenter  J’apprécie          92
L'enfant et l'oiseau

J'ai découvert l'auteur Durian Sukegawa grâce au film basé sur son roman Les Délices de Tokyo. J'ai adoré cette atmosphère complètement japonaise et poétique, un film qui a réussi à me bouleversée ! J'en ai donc profité pour découvrir l'écriture de Durian Sukegawa grâce à son dernier livre L'enfant et l'oiseau. Et quelle lecture ! On s'attend à un petit conte et l'histoire est vraiment bien ficelée et là encore, une poésie et un attachement instantané aux différents personnages. J'ai beaucoup aimé l'écriture de l'auteur, dans cette poésie japonisante vraiment zen et qui nous met en même temps totalement dans l'action du roman.

Je ne m'attendais vraiment pas à autant aimer cette histoire qui me paraissait très simple et "simpliste" au départ. Une très belle lecture !
Commenter  J’apprécie          71
Les délices de Tokyo

Génial
Commenter  J’apprécie          00
L'enfant et l'oiseau

L'enfant et l'oiseau a été une véritable surprise pour moi. Je m'attendais à une lecture tranquille, qui ne prenne pas la tête. Et j'en suis ressortie complètement bouleversée.

Ce roman nous met dans la peau des personnages. Que ce soit Johnson à sa naissance, à ses premières émotions, ses premiers cris, ses premiers mots et son premier vol. Ou Yoichi et son envie de passer son temps aux côtés du corbeau. Ou même sa mère, son épuisement et ses désirs enfouis…

On se sent en osmose avec les personnages principaux. C'est vrai. Je ne me suis jamais sentie aussi proche d'un animal, d'un corbeau qui plus est. On a accès à ses émotions, à ses idées, ses souvenirs. On le voit grandir et on grandit avec lui.

Et on pleure. On pleure parce que c'est horrible. Et tellement vrai. Oui. Ça nous met en colère. Et ça nous bouleverse.

Et ça pose des questions...
Commenter  J’apprécie          21
Les délices de Tokyo

Livre emprunté la semaine dernière lors d’un café littéraire.

Un petit bijou japonais poétique, délicat, épuré, tout en retenue. Je l’ai savouré...

On retrouve un peu la complicité entre la concierge et la petite fille dans le livre L’Elégance du hérisson de Muriel Barbery.

Je vous le recommande !
Commenter  J’apprécie          10
Les délices de Tokyo

Un petit roman comme un conte, plein de poésie et de douceur.

C'est l'histoire d'une amitié entre une vieille dame, Tokue, passionnée de pâtisserie, et un ancien détenu, Sentôro, devenu vendeur de pâtisserie.

Ils vont se rencontrer devant l'échoppe de Sentôro, pour laquelle Tokue va proposer ces services. Après des débuts difficiles, ils vont se lier d'amitié.

Mais quel est le secret de cette vieille dame pour concocter d'aussi bons Dorayaki, et faire en sorte que les ventes explosent? C'est tout l'art de la transmission du savoir-faire qui nous ai conté ici.



La première partie du roman (la rencontre entre les deux personnages) est très intéressante et elle m'a bien plu.

Par contre, j'ai trouvé la deuxième partie un peu longue et un peu trop philosophique pour moi.

Au final, je n'ai pas été transportée dans cette histoire, sûrement mon côté très terre à terre...

Cela reste toutefois une lecture très touchante.
Lien : https://lecarnetdelecturesde..
Commenter  J’apprécie          130
Les délices de Tokyo

Mon premier livre de littérature nippone. Une jolie découverte. Un récit initiatique sur la transmission, la patience, le temps qui passe, le respect,le pardon, le regard des autres, la discrimination et le sens de l'écoute.

Cette oeuvre se déguste et s'imagine. Elle possède un côté contemplatif qui fait du bien. le style est simple, épuré.Je ressors de cette lecture avec un sentiment d'apaisement tout à fait agréable.

Un livre que je relirai de temps à autre pour prendre du recul sur les stress de la vie quotidienne que nous nous infligeons parfois. Tout doit aller vite, si vite. Pourquoi?

Et si nous nous remettions à envoyer des lettres plutôt que des courriels ou des textos aux personnes que l'on aime? Certains mots peuvent prendre leur temps pour arriver à leur destinataire. Il n'en seront que mieux appréciés. Mettons nous au rythme de Tokue et Sentarô de temps à autre.....



Commenter  J’apprécie          3019
Les délices de Tokyo

Une belle parenthèse dans ce monde de brutes où l’on prend le temps d’écouter des haricots livrer leur secret et déployer leur saveur la plus exquise après bien des labeurs. Le secret des haricots se dévoile petit à petit tout comme la vie de cette petite vieille aux doigts tordus qui va tant apporter à notre cuisinier qui cherche à redonner du sens à sa vie.



Une délicieuse lecture douce-amère qui donne envie d’aller se délecter de délicieux mets japonais inconnus et exotiques. Je n’aurais pas cru un jour avoir envie de déguster une douceur sucrée au cœur de pâte de haricots rouges !



Cette transmission intergénérationnelle sur fond dramatique est une douce leçon de vie qu’on savoure page après page. Un délice !

Commenter  J’apprécie          203
Les délices de Tokyo

Une plongée dans un Japon loin des cartes postales, du côté des "ratés" de la société. Deux exclus (un ex taulard et une vieille malade) sont les "héros" de ce récit. Leur relation, leur soutien mutuel via la pâtisserie sont le fil conducteur du roman. J'ai découvert avec intérêt le sort réservé aux lépreux nippons, et je me suis attachée aux personnages. Mais me reste un goût d'inachevé à la fin de cette lecture, il m'a manqué un petit je ne sais quoi. Je suis restée au dehors de cette histoire.
Commenter  J’apprécie          60
Les délices de Tokyo

Un savoureux moment de lecture qui me donne terriblement envie de goûter aux dorayaki (si vous ne connaissez pas, il faut visualiser une sorte de macaron, mais avec des pancakes à la place du biscuit et de la pâte de haricots rouges à la place de la crème). Ils sont vendus dans une échoppe tenu par un jeune garçon, Sentarô, un peu triste et déprimé. Il est obligé d’y travailler après un passé compliqué, afin de rembourser ses dettes auprès du propriétaire.



Un jour, il fait la rencontre d’une mystérieuse dame, Tokue Yoshii, aux mains visiblement abîmées, qui exprime avec persévérance plusieurs jours d’affilé son envie de confectionner des dorayaki avec Sentarô.



De là, commence une belle aventure entre ses deux personnages très attachants. On se régale, surtout pendant la première partie où la popularité de l’échoppe grimpe en flèche auprès des collégiennes qui s’y rendent régulièrement. Puis, on part également à la découverte du lourd passé de Tokue.



C’est une sorte de fable douce et légère au départ, puis l’histoire prend une tournure plus profonde et sérieuse, et c’est surprenant, un peu comme les nouvelles variétés de dorayaki que confectionnera Sentarô vers la fin du récit...

Commenter  J’apprécie          194
Les délices de Tokyo

En ce moment mes lectures tournent autour de la littérature occidentale. Pour apporter une bouffée d’exotisme, me voici lancée dans ce roman japonais.

Il s’agit d’une amitié improbable qui se noue entre deux personnages que tout sépare : Sentaro, vendeur de dorayaki et Tokue, une vieille dame seule mais qui cuisine divinement bien la pâte d’haricots rouges. L’auteur évoque la solitude des deux protagonistes, porteurs chacun d’un lourd secret: la prison pour Sentaro, la maladie pour Tokue. On découvre à travers son récit un pan de l’histoire japonaise sur le traitement des malades de la lèpre.

Mais je n’ai pas accroché à cette histoire mièvre, pleine de bons sentiments et larmoyante à souhait. Dès les premières lignes, une certaine distance s’est installée qui ne s’est pas résorbée.

Les personnages ne m’ont pas émus ; au contraire, je les ai trouvés plutôt ternes et peu attachants.

Nous avons de longs chapitres qui décrivent la préparation de cet ingrédient. A mon avis il faut être japonais pour comprendre tout ce rituel presque sacré de la cuisine. Le style d’écriture est simple, plat et avec peu de charme. Je n’ai ressenti ni la poésie ni la douceur que beaucoup ont décrit.

A chaque fois les romans japonais me laissent cette drôle de sensation d’être passée à côté de quelque chose et de me trouver dans une zone opaque (pour ne pas dire incompréhensible). Je ressors de ce livre avec un sentiment mitigé. Ce fut une lecture laborieuse que je termine avec soulagement !
Lien : https://leslecturesdehanta.c..
Commenter  J’apprécie          81
Les délices de Tokyo

Que dire tellement ce voyage m'a plu !

Tellement de poésies, de belles images, de beaux sourires, des odeurs, les mains qui cuisine,.. J'étais avec eux. Mes sens étaient en éveil.

Ça fais dubien de lire quelque-chose de différent qui apporte sa petite lumière d'espoir et d'humanité.

Dès passages durs qui m ont fait pleuré. J'ai fait un beau voyage.

Les messages sont tellement fort et nombres d'entre vous ont déjà abordé toutes les raisons pour lequels j'invite le lecteur à découvrir cette œuvre, vite lu et touchante.

Le film est assez collé au livre même si il semble plus froid
Commenter  J’apprécie          00
Les délices de Tokyo

J'ai moi aussi appris à cuisiner les haricots azuki depuis que je m'intéresse à la cuisine végétarienne...elles sont tellement mignonnes ces petites fèves brun-rouge et, de toutes les légumineuses, se sont mes préférées.

Il semble qu'en Asie, elles soient essentiellement consommées sucrées, pétries dans une pâte appelée "an".

Sentarô la sert entre deux pancakes et cette patisserie, que je serais curieuse de goûter un jour, porte alors le nom de dorayaki.

Mais pour Tokué, il s'agit bien plus qu'une siimple recette car, en la préparant depuis tant d'années, la pauvre femme y a gagné une forme de liberté; celle qu'on lui a ravie lorsqu'à qu'à l'âge de quatorze ans, on l'a enfermée dans un sanatorium.

Dans sa boutique, Sentarô cuisine le "an" de façon industrielle pour éponger une dette contractée envers son patron à sa sortie de prison.

Aussi est-il surpris quand, au hasard d'une de ses promenades, Tokue franchit le seuil de son échoppe et, lui déclarant que sa pâte est "sans âme", propose de lui apprendre à "écouter la voix des haricots".

En lui transmettant son savoir-faire, la vieille dame aux doigts crochus lui apprend à changer son regard sur la vie, à s'ouvrir à l'invisible, à entendre l'inaudible.

Pour ces deux êtres qu'à priori tout sépare, la vraie liberté est à ce prix.

Wakana, la petite collégienne qui s'est attachée à eux, l'a bien compris, acceptant comme un symbole de laisser son canari s'envoler craintivement mais avec détermination vers son destin d'oiseau sans attaches.



On retrouve ici avec délectation la délicatesse et le raffinement qui caractérisent l'écriture japonaise.

S'ajoute à celà la sensualité avec laquelle toute préparation culinaire devrait être réalisée et qui est une ode aux précieuses richesses que la terre nous offre en abondance.

C'est aussi une très belle leçon de tolérance.



Tiens ! Il faudra que je prête l'oreille à mes petites pépites rouges lorsque je les déposerai au fond de ma casserole la prochaine fois...
Commenter  J’apprécie          4814
Les délices de Tokyo

Les délices de Tokyo ou comment l'Autre, peut nous transmettre de Belles choses :

grâce à la cuisine, aux cerisiers en fleurs, l'amour, l'amitié, l'empathie et ce malgré la douleur des corps, les tourments des coeurs, l'embarras et l'humiliation.

"Soyez à l'écoute de toutes choses. Tendez l'oreille. Ecoutez. Ecoutez et confectionnez vos dorayaki. Cela suffira pour vous ouvrir de nouveaux horizons".

Car, parfois, heureusement, "dans la vie aussi, il y a des changements de saison".



j"avais adoré le film.

J'ai adoré le livre. J'étais avec Tokue, Sentarô et Wakana, au Japon, abritée sous un cerisier en fleurs tout en en savourant la beauté, la senteur.



La poésie de Durian Sukegawa convoque en nous trouble, émotion, mais aussi calme et sérénité.







Commenter  J’apprécie          131
Les délices de Tokyo

Petit roman qui se lit facilement, très frais au départ mais porte dans une seconde partie sur le mystère de Tokue, sujet plus grave.

Pour aborder le même sujet dans un autre roman, voir "l'île des oubliés" de Victoria Hislop.

Honnêtement, ce roman m'a ennuyé, il ne m'a pas transporté et je n'ai pas envie de lire au autre livre de cet auteur.

Le sujet de la pâtisserie traverse le livre et est extrêmement présent alors qu'au final ce n'est pas du tout le thème principal du livre. La succession de noms donnés aux différentes pâtisseries japonaises est rapidement ennuyeuse sans descriptif plus appuyé. Peut-être que le public cible serait les pâtissiers mais pour les non initiés c'est rébarbatif...

C'est bien dommage, le sujet abordé est très intéressant et le traitement de cette maladie au Japon est une donnée que je n'avais pas.
Commenter  J’apprécie          80
Les délices de Tokyo

Livre touchant et facile à lire.

À mon humble avis, ça manque un peu de profondeur. Les thèmes sont survolés... dommage !
Commenter  J’apprécie          10
Les délices de Tokyo

Très beau petit livre, les personnages sont très attachants et C'est une belle leçon de vie
Commenter  J’apprécie          00
Le rêve de Ryôsuke

Ryôsuke est un homme solitaire, qui prend la décision de quitter son quotidien après une tentative de suicide qui a échoué. Il accepte de travailler pour un contremaître sur une petite île. Une fois que ses compagnons et lui y accostent, ils tentent de faire bonne figure et de participer au mieux à la vie de la communauté, mais cela se révélera plus compliqué qu'il n'y parait. Son père s'étant suicidé, il cherche à réaliser le rêve de celui-ci. Progressivement, Ryôsuke tisse des liens avec des personnes de l'île, et le chemin à parcourir pour réaliser son rêve est long.



L'écriture de Durian Sukegawa est ce qui m'avait fasciné lors de ma lecture du livre "Les délices de Tokyo". Mon erreur est d'avoir voulu retrouver cette même légèreté dans le ton et une écriture qui invite toujours autant à la réflexion et à l'imaginaire. "Le rêve de Ryôsuke est différent, une quête de soi, une recherche d'identité dans un certain sens, car il tente de retrouver son père dans ce voyage.



Ici, l'écriture est différente, les dialogues nombreux, les descriptions également. Nous sommes embarqués sur l'île comme les trois personnages tokyoïtes. Il y a une forme d'oppression, autour de nous : de la végétation, des falaises, la mer à perte de vue, une navette qui ne relie à l'île principale qu'une fois par semaine. J'ai apprécié ce côté assez intrusif, le franc parlé des habitants de l'île.



Cette dernière appartient autant aux habitants qu'aux chèvres sauvages qui y résident. Le rapport à la nature et à ces animaux est plaisant, le propos est juste dans l'envie de protection autant que dans la destruction. Il n'est pas exagéré, la relation avec les chèvres un peu idéalisée sans doute.



Enfin, les personnages sont diversement attachant : tantôt, on souhaite qu'ils se réveillent et prennent de vrais décisions, tantôt, on comprend le rythme de leur vie sur l'île. Je ne me suis pas attachée à un personnage en particulier, malgré les dernières pages du roman qui m'ont paru les plus abouties. On sort de la simple contemplation et le destin se met en marche.



En bref :



Un livre réussi pour un auteur de talent, mais je n'ai pu entrer pleinement dans la lecture. Je n'ai pas pu m'attacher aux personnages et le mode de narration m'a paru discontinu.
Lien : https://lecturedaydora.blogs..
Commenter  J’apprécie          120
Les délices de Tokyo

Douceur, voici le mot qui me revient invariablement à l'esprit lorsque je me remémore ce livre, pur moment de poésie, que j'ai traversé comme sur un nuage.



Sentarô mène depuis sa sortie de prison une vie qu’il n’a pas choisie, loin des ambitions d’écriture qui l’animaient jadis. Au fil des saisons, contraint par une dette qui le lie à la propriétaire, il prépare et vend sans passion dans sa boutique des dorayaki, sorte de pancakes fourrés d'une pâte de haricots rouges appelée An.



Désireux de tromper sa solitude et conquis par ses talents de pâtissière, il accepte d’engager Tokue, septuagénaire au doigts curieusement tordus, qui prépare le An avec une passion quasi mystique. Mais après avoir rapidement fait doubler la clientèle de la boutique, Tokue disparait brusquement, sans avoir rien révélé du secret douloureux qu’elle porte.



Porté par une écriture profondément humaine, délicate et pudique, ce roman est avant tout l'histoire d’une de ces rencontres qui changent la vie, entre deux personnages qui se ressemblent bien plus qu’ils ne l’imaginent. Bouffée d'espoir, Il nous invite à ne jamais renoncer, à rester à l’écoute, à chercher le beau partout et en chacun.



"Vous avez beau tendre l'oreille, peut-être n'entendez vous encore rien, mais je vous en prie, ne baissez pas les bras, persévérez. Quels que soient nos rêves, un jour, on trouve forcément ce qu'on cherchait grâce à la voix qui nous guide, j'en suis convaincue. Une vie est loin d'être uniforme. Parfois, sa couleur change du tout au tout.”



A travers la relation qui nait entre Tokue et Sentarô, et à travers le passé torturé qu’on leur découvre, ce sont également les questions de la transmission et de la résilience qui sont traitées dans la deuxième partie du livre, avec toujours beaucoup de justesse.



Roman que l’on goûte et sent autant qu’on le lit, il est également une très jolie ode aux sens. Un vrai délice.
Lien : https://www.over-booke.com/a..
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Durian Sukegawa Voir plus

Quiz Voir plus

Les délices de Tokyo

Tokue et Wakano font un pacte sous

Le cérisier en fleurs
La marquise de la boutique
La pleine lune
Un arbre du sanatorium

12 questions
84 lecteurs ont répondu
Thème : Les délices de Tokyo de Durian SukegawaCréer un quiz sur cet auteur

{* *}