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Critiques de Durian Sukegawa (716)
Les délices de Tokyo

De sa couverture à sa dernière page ce roman me rappelle certains kdramas que j'ai pus regarder.

L'histoire est douce, belle, poignante et avec un soupçon de magie. La magie de la cuisine, la douceur des fleurs de cerisier, la puissance des mystères et des croyances.

Le gros bémol c'est que l'histoire est beaucoup trop courte. L'histoire de Mme Yoshii est très développée, le récit aurait été enrichi en développant l'histoire de la jeune Wakana et celle de Sentarô. Dommage. Mais le roman reste un bon moment de lecture coloré, odorant et poétique. Gourmands attention une envie de déguster un dorayaki vous poursuivra.
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Les délices de Tokyo

Rien de neuf sous le soleil de Tokyo, le romancier Durian Sukegawa joue avec les astuces littéraires classiques de toute histoire qui gravite autour d'un secret : suspense sur sa nature, palette d'émotions lors de sa révélation, flashbacks éclairants. Alors certes, le récit met en avant une problématique historique et taboue du Japon (qui n'existe pas que dans ce pays, d'ailleurs). Impossible de vous la révéler, ce serait la divulgâcher. Cependant, j'ai trouvé la leçon sur la déconstruction des préjugés un peu banale et attendue. Les effluves poétiques rattrapent heureusement les personnages voulus denses mais aux contours finalement assez lisses.



Les Délices de Tokyo constituent une jolie petite histoire qui emprunte des chemins faciles pour arriver à une douce fin. Comme la fameuse pâte de haricot coincée entre deux pancakes, ce roman est agréable à déguster entre deux lectures plus épaisses ou graves. Une belle collation, mais pas un livre trois étoiles.
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Les délices de Tokyo

Les délices de Tokyo est un livre très poétique. Au Japon, un jeune garçon travaille dans la réalisation et la vente de pâtisseries japonaises. Il rencontre un jour une vieille femme qui va tout simplement changer sa vie. Une histoire assez dur mais vraiment très belle. Une histoire qui permet de se rendre compte que, même si cela ne se voit pas, certains préjugés sont ancrés dans les esprits de certaines personnes. Un très beau livre.
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Les délices de Tokyo

Une autre des mes découvertes de la littérature japonaise. Un choc! Une belle leçon de vie et d'amour.
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Les délices de Tokyo

Sentarô, un jeune homme au parcours de vie chaotique, vend à des clients de moins en moins nombreux des pâtisseries traditionnelles japonaises qu’il confectionne sans motivation, sans soin et sans talent. Conséquence logique de la piètre qualité des produits qu’il propose : la boutique dont il a la gérance est au bord de la faillite, les dettes s’accumulent et l’avenir est problématique.



Jusqu’au jour où, comme dans un conte, Tokue, une étonnante petite vieille surgie de nulle part avec ses doigts crochus et son regard étrange, insiste pour se faire embaucher avec un salaire de misère. Comme dans un conte, encore, Tokue qui sait “écouter la voix des haricots” et faire chanter la pâte, accomplit des miracles : les clients se précipitent pour goûter ses pâtisseries au goût divin dans lesquelles on perçoit comme un supplément d’âme.



Mais, comme dans un conte, toujours, les doigts déformés de Tokue dissimulent un secret, un mal caché, contagieux peut-être, et terrible - comme le dit le vent mauvais de la rumeur qui bien vite emportera sur son passage la bienveillance, la compassion et la tolérance pour laisser place à la défiance et à la peur.



Et Tokue disparaîtra comme elle était venue, comme disparaissent dans les contes les fées, les bonnes sorcières et les esprits surgis de nulle part pour donner, le temps d’une parenthèse, un petit coup de main aux humains en difficulté. Mais, tandis que nous découvrons son histoire terrible et bouleversante, elle continue à veiller de loin et laisse à Sentarô, en plus de son savoir-faire et de son expérience, un dernier cadeau très précieux : une attitude intérieure nouvelle qui lui permettra de trouver son chemin de vie et le courage de son accomplissement.



Même si le style, purement factuel et sans beaucoup de recherche, ne m’a pas particulièrement séduite, j’ai néanmoins beaucoup aimé cette histoire gourmande de pâtisserie et d’amour de l’art culinaire qui nous parle aussi d’amitié, de tendresse, de courage et de résilience et nous offre avec beaucoup de douceur une leçon de sagesse, à l’écoute profonde des choses et des êtres, jusqu’à capter le murmure discret des haricots…



Un beau roman à déguster délicatement comme une friandise, dans une dilatation subtile de tous nos sens.



[Challenge MULTI-DÉFIS 2019]

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Les délices de Tokyo

Agréable à lire, parfois un peu déroutant à l'image du Japon.

Tous les cagots n'étaient pas en Béarn!
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Les délices de Tokyo

Depuis le temps que j'entendais parler de ce petit roman, c'est enfin chose faîte, je l'ai lu !



Ce roman semble n'être que douceur mais comme souvent dans la littérature japonaise derrière cette douceur se cache beaucoup de noirceur et de critiques.



J'ai adoré suivre le quotidien de cet homme dont le métier ne le passionne pas et qui découvre petit à petit les coulisses et secrets de la pâtisserie grâce à une vieille dame. Cette vieille dame est très touchante de par sa volonté d'aider ce jeune homme, de parler aux jeunes filles venant à la petite échoppe. Elle avait contracté la lèpre et était guéri pourtant les gens continuent de la regarder, de vouloir l'éviter et de la mettre au ban de la société comme elle le fut pendant quasiment toute sa vie. Il est triste de voir comment le gouvernement a traité les gens atteint de la lèpre, les a arraché à leur foyer, à leurs familles sans qu'ils ne puissent jamais les revoir. C'est très impressionnant surtout quand on voit l'époque où les camps d'internement ont été enfin fermés.



Les scènes de confection de pâtisseries sont très agréables à lire, très poétiques. J'ai beaucoup aimé la relation entre la vieille dame et le jeune homme, la façon dont ils se confient peu à peu l'un à l'autre avec beaucoup de pudeur.



Petit bémol concernant la fin où je me serais bien vu lire encore plusieurs pages.


Lien : https://labullederealita.wor..
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Les délices de Tokyo

Livre lu en 2018, notice faite pour mon club de lecture :

" Un joli moment de lecture qui nous conte la rencontre insolite entre deux

êtres. Sentaro gère une minuscule pâtisserie à Tokyo et travaille pour

rembourser ses dettes. Tokye, une vieille dame aux doigts déformés est

engagée pour faire décoller les ventes de dorayakis. Les dorayakis sont des

pâtisseries traditionnelles japonaises qui se composent de deux pancakes

fourrés de pâte de haricots rouges confts. Tokye a le secret d’une pâte

exquise et les ventes explosent... mais Tokye a un secret qui va être

découvert par l’entourage.

Ouvrez ce livre : vous allez voyager au Japon, vous allez cuisiner et vous

allez être spectateur de cette belle amitié. Quand vous l’aurez fini, vous

pourrez aussi visionner le flm qui est une très belle adaptation du roman."
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Les délices de Tokyo

Une histoire bien dosée en sucre et en sel tout comme comme la pâte de haricots rouge que cuisine depuis 50 ans Mme Tokue Yoshii.
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Les délices de Tokyo

Touchant.
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Les délices de Tokyo



Doraharu, marchand de dorayaki. Cette première ligne du roman pourrait en être le sous-titre.

Doraharu accepte de prendre avec Tokue, pour l’aider, une très vieille femme qui connaît le secret de la cuisson des haricots servant à la confection des dorayakis. Une amitié naît de leur promiscuité dans la petite boutique. Cette recette va lui amener de nouveaux clients jusqu’au jour où un l’un d’eux prévient la propriétaire que Ikui est une ancienne lépreuse. Doraharu, la mort dans l’âme, doit s’en séparer. Avec une jeune fille, un peu abandonnée par sa mère, un peu cabossée, comme Doraharu, ils vont aller à la recherche de Tokue, découvrir un monde caché, insoupçonné.

Dans ce livre charmant, Durian Sukegawa raconte l’ostracisme, les préjugés, l’amitié dans un langage poétique, très humain. Un livre que j’ai dégusté qui a enchanté une soirée.

J’ai lu ce livre cet été, dans une période un peu difficile et cela m’a fait un bien fou. Il m’en reste ce petit rien de poésie lorsque je repense à ma lecture
Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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Les délices de Tokyo

Je n'ai pas vu le film, et n'ai lu que peu des critiques publiées ici. (Accessoirement, j'ai commencé par lire avec plaisir l'autre livre de Durian Sukegawa traduit en français).

J'ai surtout entendu parler de gentilles ados et de gentilles vieilles dames, de pâtisserie, de la subtilité des ingrédients et de leur travail avec amour. Alors, oui, cette enveloppe est jolie, beaucoup de pétales de cerisiers, de sucre, un peu de sel pour le contraste. Une lecture un peu mièvre pour adolescentes écolos qui postent des photos de chatons, en somme.

Mais ce n'est pas le sujet du livre. Il s'agit ici de l'exclusion, dans ce qu'elle a d'atroce, d'arbitraire et surtout d'irréversible. C'est déjà visible à propos de Sentarô, qui payera longtemps ses erreurs de jeunesse, bien qu'il ait rencontré un bienfaiteur. C'est surtout le cas de la vieille Madame Yoshii. Je vous laisse découvrir les détails, mais il me semble que l'auteur dénonce un scandale d'état, créé par les autorités et amplifié par la xénophobie* de toute la population japonaise. L'auteur n'en fait pas trop, chacun est libre de comprendre ou non, d'être frappé ou non ; je ne crois pas que ce genre d'attitude soit inconnu chez nous.

À lire, malgré les apparences.



*Il ne s'agit pas de racisme (encore que ce mot soit mis à toutes les sauces : les vieux sont ils une race????), mais de la peur de ce qui est différent, étrange, étranger.
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Les délices de Tokyo



Un vendeur de dorayaki, spécialité japonaise fourrée à la pâte de haricots rouge, fait la connaissance de Tokue Yoshii. Cette vielle dame va apprendre à Sentaro le secret de la préparation de sa pâte de haricots rouge, mais lui faire découvrir surtout, le plaisir de sa réalisation. Au fur et à mesure, ils vont se connaître, s'apprivoiser. Ils finiront par se confier sur leur vie et leur passé.



Il y a de la magie dans la littérature japonaise. D'une simple histoire de dorayaki, nous plongeons dans les saveurs culinaires du Japon, dans l'intimité des émotions et des sens. La culture japonaise est connue pour son respect des traditions, cette capacité à faire "façade" et garder une distance avec l'autre. On retrouve beaucoup de délicatesse dans les échanges entre Tokue et Sentaro, beaucoup de sagesse également.



L'écriture est simple, délicate et pleine de douceur. Pas de raffinement excessif hormis dans la description de la cuisine. Il y a une mélodie particulière, un respect des produits et de la réalisation. Le personnage de Tokue a tout à offrir, on ressent ce besoin de faire parti de quelque chose, on le comprend d'autant plus lorsqu'on connaît son histoire. Elle a énormément de chose à apprendre à Sentaro puis à Wakana. Ces personnages sont attachants, humains. On a envie de continuer le voyage avec eux.



Durian Sukegawa arrive à nous étonner et nous surprendre alors même qu'en lisant le livre, on se doute un peu des événements qui vont se produire. Il y a une petite pointe de pression, on aimerait déjà changer certains événements de l'histoire et de l'Histoire. Un livre qui se déguste, accompagné de thé et pourquoi pas de dorayaki, ou tout autre pâtisserie.



En bref :



Un livre tout en douceur et raffinement, d'une grande simplicité mais qui nous offre un panel d'émotion et de saveurs à partager. Un auteur qu'il me tarde de retrouver.


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Les délices de Tokyo

très belle histoire
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Les délices de Tokyo

C’est la semaine du goût, et on a puisé dans nos souvenirs de lecture pour choisir les romans les plus gourmands... On commence avec une pâtisserie qu’on aime particulièrement : les dorayakis japonais, liés pour toujours au roman de Durian Sukegawa, Les délices de Tokyo ! - - -

Dans un coin de Tokyo, le jeune Sentarô prépare et vend des dorayakis, ces petites pâtisseries japonaises à base de pâte de haricot rouge. Peu passionné par son métier, il subit le morne quotidien de sa boutique, dont la faible clientèle ne suffit pas à rembourser ses dettes. Un jour de printemps, Tokue, une vieille dame aux doigts déformés, se présente avec une demande inhabituelle : mettre son savoir-faire au service de sa cuisine. D’abord sceptique, Sentarô accepte son aide après avoir goûté son incomparable pâte de haricots rouges. Bientôt, c’est tout le quartier qui se précipite pour déguster les savoureuses pâtisseries confectionnées par Tokue. Odeurs, chaleur, crépitements, textures... Si Durian Sukegawa met délicieusement nos sens en éveil, c’est pour mieux nous parler du temps qui passe, de transmission et de générosité, tout en explorant un pan méconnu de l’histoire de son pays. On en sort apaisé et revigoré, certain que les dorayakis n’auront plus jamais tout à fait la même saveur...
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Le rêve de Ryôsuke

Le rêve de Ryôsuke ou l'histoire d'une renaissance.

Quand on fait la connaissance de Ryôsuke, il est introverti, mal dans sa peau, sa vie lui semble sans saveur et elle ne lui a pas fait trop de cadeau jusque là. Que va t'il donc chercher sur cette ile ? Pas vraiment sûr qu'il le sache lui même.

Il va y faire plusieurs belles rencontres, avec des humains déjà, Tachikawa et Kaoru deux jeunes venus travailler avec lui sur cette ile et avec qui il va partager de bons et de mauvais moments. Avec Hashi, qui a connu ses parents et qui lui donnera les bases pour qu'il tente à son tour de réaliser le rêve de son père. Mais aussi avec la nature sauvage de cette ile et avec ses chèvres.

Ces chèvres qui vont être le pivot de son évolution, à travers la fabrication du fromage (le rêve de son père : faire du fromage de chèvre comme en France), à travers les relations qu'il va nouer avec elles (les sauvages et celles d'Hashi), à travers la lutte impossible face aux coutumes locales tellement ancrées au Japon, jusqu'à sa seconde naissance et son nouveau départ.

Les personnages secondaires sont très typés, un peu comme dans les Shonen, chacun endosse un caractère bien tranché facilement identifiable et un peu sans surprise (la raison de mon demi point en moins, sinon c'était 4 étoiles).

Tout au long du livre on se trouve dans une espèce de mélancolie, un monde en demi teinte, avec des sentiments comme assourdis, les quelques moments de joie sont vite éteints. Cette ile, sa nature sauvage, sa forêt de Banians, ses cavernes, semble être les seuls coins de ciel bleu. Mais petit à petit on sent l'étincelle poindre chez Ryôsuke et on est avec lui, on veut qu'il se libère.

La fin du livre m'a laissé sous un rayon de soleil, les lourds nuages au loin imaginant les avenirs possibles avec un large sourire aux lèvres, même si comme le veut la vie, rien ne sera facile.
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Les délices de Tokyo

Quelle belle histoire ! Sentarô vendeur de dorayaki mène une vie sans grande envergure et travaille comme un forçat à la fabrication de ces patisseries japonaises très prisées par les clients de passage. Jusqu'au jour où une veille femme lui demande de l'employer pour une somme dérisoire. La rencontre de ces deux êtres si différents se transforme en une histoire pleine de tendresse, de curiosité et de respect. Tokue, la vieille dame cache un secret que Sentarô finira par découvrir . Le secret est souvent un ingrédient incontournable des romans mais celui-ci est plutôt inattendu et ouvre un éventail d'émotions, de beaucoup de pudeur et d'altruisme. Le décor est enchanteur et le cycle de la floraison des cerisiers scande les saisons et le temps qui passe. Ce petit voyage au Japon m'a enchantée et je me suis vraiment régalée.
Lien : http://newcathzette.eklablog..
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Les délices de Tokyo

Au départ, je suis allée à la bibliothèque pour emprunter le film dont j’avais entendu parler. Ne l’ayant pas, j’ai pris le livre. Je ne suis pas déçue, l’écriture proposée par Durian Sukegawa alterne subtilement description et dialogue. La plupart des pages parcourues se passe dans le huis clos de la boutique de dorayaki mais point besoin de grand déplacement. J’ose à peine vous parler de Sentarô et de Tokue de peur de vous dévoiler des éléments de leur vie respective, de leurs souffrances, de leurs questionnements, de leurs sentiments.

Je peux vous dire que ce livre est une magnifique leçon de vie.
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Le rêve de Ryôsuke

Alors que j'avais adoré son précédent roman et que j'attendais surement beaucoup de celui ci j'ai été déçue de ne pas arriver à m'attacher à un personnage ni à l'histoire. Il est pourtant très bien écrit .
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Les délices de Tokyo

Sentarô tient une échoppe qui vend des dorayakis, petites pâtisseries japonaises à la pâte de haricots. Il se rêvait écrivain, mais après une enfance de petit délinquant et un séjour en prison, il a dû se contenter de cette vie morne et sans saveur. Un jour, Tokue, une vieille dame mystérieuse, insiste pour l'aider à confectionner les gâteaux. Sa discrète présence bouscule le quotidien et l'avenir de Sentarô.

Ayant raté l'adaptation cinématographique de ce roman, film aux critiques élogieusses, j'ai été attirée par le roman. Et mon avis est mitigé: la belle histoire d'amitié et le destin tragique de ces personnages auraient dû m'émouvoir, mais ce ne fût pas le cas. Je pense avoir une difficulté à rentrer dans les romans japonais en général, exception faire de ceux d'Haruki Murakami, le moins japonais des auteurs japonais. Pour les autres, je reste souvent en lisière du récit , comme spectatrice des sentiments sans les ressentir. Difficile à expliquer, mais je vais faire une pause dans mon exploration de la littérature japonaise.
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