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Citations de Eckhart Tolle (436)


L'air que vous respirez est la nature, tout comme le processus même de la respiration.
Portez attention à votre respiration et prenez conscience du fait que vous n'y êtes pour rien. C'est la respiration de la nature. Si vous deviez vous rappeler de respirer, vous mourriez bientôt ; si vous tentiez d'arrêter de respirer, la nature prévaudrait.
La façon la plus intime et la plus forte de vous relier à la nature consiste à prendre conscience de votre respiration et à apprendre à y maintenir votre attention. C'est salutaire et profondément valorisant. La conscience passe alors du monde conceptuel de la pensée au domaine intérieur de la conscience inconditionnée.
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Le lâcher-prise vient lorsque vous ne demandez plus : " Pourquoi cela m'arrive-t-il?"
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La plus grande partie de la souffrance humaine est inutile. On se l’inflige à soi-même aussi longtemps que à son insu, on laisse le mental prendre le contrôle de sa vie.
La souffrance que vous créez dans le présent est toujours une forme de non-acceptation, de résistance inconsciente à ce qui est.
Sur le plan de la pensée, la résistance est une forme de jugement. Sur le émotionnel, c’est une forme de négativité. L’intensité de la souffrance dépend du degré de résistance au moment présent, et celle-ci, en retour, dépend du degré d’identification au mental. Le mental cherche toujours à nier le moment présent et à s’en échapper.
Autrement dit, plus on est identifié à son mental, plus on souffre. On peut également l’énoncer ainsi : PLUS ON EST A MEME DE RESPECTER ET D’ACCEPTER LE MOMENT PRESENT , PLUS ON EST LIBERE DE LA DOULEUR , DE LA SOUFFRANCE ET DU MENTAL.
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Eckhart Tolle
Incroyable mais vrai. Les humains constituent une espèce dangereusement désaxée et très malade.
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Eckhart Tolle
Dans l’un de ses livres, Carl Jung rapporte une conversation qu’il avait eue avec un chef amérindien lui soulignant que, de son point de vue, la plupart des Blancs ont le visage tendu, le regard fixe et un comportement cruel. Ce chef indien disait ceci : « Ils sont toujours en train de chercher quelque chose. Mais quoi ? Les Blancs désirent constamment quelque chose. Ils sont sans cesse troublés et agités. Nous ne savons pas ce qu’ils veulent. Pour nous, ce sont des fous. »
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Ainsi, quand vous observez une pensée, vous êtes non seulement conscient de celle-ci, mais aussi de vous-même en tant que témoin de la pensée. A ce moment-là, une nouvelle dimension entre en jeu. Pensez que vous observez cette pensée, vous sentez pour ainsi dire une présence, votre moi profond, derrière elle ou sous elle. Elle perd alors son pouvoir sur vous et bat rapidement en retraite du fait que, en ne vous identifiant plus à elle, vous n'alimentez plus le mental. Ceci est le début de la fin de la pensée involontaire et compulsive.
Lorsqu'une pensée s'efface, il se produit une discontinuité dans le flux mental, un intervalle de "non-mental". Lorsque ces décalages dans la pensée se produisent, vous ressentez un certain calme et une certaine paix.
C'est le début de votre état naturel de fusion consciente avec l'Etre qui est, généralement, obscurcie par le mental.
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Pour vous faire réaliser que vous avez permis au temps psychologique de prendre possession de vous, il vous suffit de faire référence à un critère simple. Demandez-vous s’il y a de la joie, de l’aisance et de la légèreté dans ce que vous entreprenez. S’il n’y en a pas, c’est que le temps a pris le dessus, que le moment présent est passé à l’arrière-plan et que la vie est perçue comme un fardeau ou un combat (…) Etre libéré du temps, c’est psychologiquement ne plus avoir besoin du passé pour assumer votre identité ni de l’avenir pour vivre votre plénitude
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Dans l’état de conscience normal non éveillé, c’est à dire quand on s’identifie au mental, le pouvoir et l’infini potentiel créatif qui sont dissimulés dans le présent sont complètement éclipsés par le temps psychologique. Votre vie perd alors sa vitalité, sa fraîcheur et son sens de l’ émerveillement
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Je voudrais exprimer mon amour et ma gratitude au plus grand des gourous, la vie
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Si vous apprenez à accepter et même accueillir la fin dans votre vie, qui paraissait inconfortable au début, prend une ampleur profondément paisible. En apprenant ainsi à mourir au quotidien, vous vous ouvrez à la Vie.
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Chaque fois qu'un silence vous entoure, écoutez-le.
Remarquez-le, tout simplement.
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Chaque fois que je suis saisis par un accès de fureur, au début je m’en afflige et me méprise, ensuite je me dis : quelle chance, quelle aubaine ! Je suis encore en vie, je fais toujours partie de ces fantômes en chair et en os.. »
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p.30: Dites toujours oui au moment présent.
La clé c'est de mettre fin à l'illusion du temps, parce que le temps et le mental sont indissociables.
Quand vous êtes identifié au mental, vous êtes prisonnier du temps et une compulsion vous incite à vivre en fonction de la mémoire et de l'anticipation: préoccupation face au passé et au futur.
La compulsion naît du fait que le passé vous confère une identité et que le futur comporte une promesse de salut...ils sont tous deux des illusions.
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p.38: Vous ne pouvez être libre que dans l'instant présent.
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p.41: Fixez votre attention sur le présent et dites quel est le problème maintenant. Inconsciemment le mental adore les difficultés parce qu'elles vous confèrent une sorte d'identité.
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p.47: Il est donc essentiel d'introduire dans votre vie plus de conscience dans des situations ordinaires où tout se passe relativement en douceur. Ainsi, vous intensifierez votre capacité à être présent.
p.48: Tout ce qui est inconscient se résorbe lorsque vous envoyez la lumière de la conscience sur tout cela.
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p.58: Pour rester présent dans la vie quotidienne, il faut être bien ancré en soi, bien enraciné. Sinon, le mental vous entraînera dans son flot comme une rivière en furie, car son mouvement d'entraînement est incroyable. Je veux dire habiter votre corps totalement. Avoir constamment votre attention en partie fixée sur le champ énergétique de votre corps. Sentir votre corps de l'intérieur, pour ainsi dire. La conscience du corps vous fait rester présent et vous ancre dans le présent.
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Aucune relation ne peut s’épanouir sans le sentiment d’ampleur qui accompagne le calme. Méditez, ou passez du temps ensemble en silence
dans la nature. En vous promenant, ou assis dans la voiture ou à la maison, coulez-vous dans votre calme commun. Ce dernier ne peut et ne doit pas être créé. Il suffit d’être réceptif au calme déjà présent, mais généralement couvert par le bruit mental.
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La sagesse accompagne la capacité d’être calme. Il suffit de regarder et d’écouter. Rien de plus. Le calme, le regard et l’écoute activent en vous
l’intelligence non conceptuelle. Laissez la quiétude diriger vos paroles et vos gestes.
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As long as the present moment is seen as an obstacle, there can be no end to problems.
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