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Citations de Elise Fontenaille (248)


"Le Joueur de flûte de Hamelin"... l'histoire d'un jeune homme mystérieux, surgi un soir de nulle part, il joue du pipeau devant les enfants du village, ils le suivent, envoûtés... il les entraîne vers la rivière, et ils se jettent à l'eau.
J'ai rêvé du joueur de Hamelin : il avait le visage de Vlad... nous, on était les enfants du village virtuel, et la rivière de pixel c'était la Mort. (p.47)
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Malina… Quel sort cruel que le tien. Toi qui n’étais qu’amour… Trahie par les tiens - tous les tiens. Et c’est toi que l’on accusa de traîtrise !
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- Te voilà avec une soeur... dit Gallou à l'enfant, en les contemplant. C'est vrai qu'elles se ressemblent, la fillette et la renarde...

Même pelage roux, même regard noir, même sauvagerie.

Le soir, elles dorment ensemble. Le jour, elles jouent.

Inséparables.
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Même si Jesse fait la une des journaux du monde entier, le retour au pays ne sera pas aussi triomphal que prévu.
Les athlètes vainqueurs de l'équipe américaine ont été reçus à la Maison-Blanche. Tous, sauf Jesse Owens qui n'a même pas reçu de télégramme de félicitations de la part du Président Franklin Roosevelt.
Les élections approchent et Roosevelt redoute de perdre les suffrages des Etats du Sud s'il salue la performance d'un sportif noir -même s'il est le plus grand athlète du monde.
Pour les racistes, Jesse Owens est avant tout un nègre. Ils ne voient pas ses exploits : rien que la couleur de sa peau.
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je l'ai trouvée dans mon jardin, un été, tout bébé. C'est sa mère, une chatte errante, qui l'avait déposée là, rien que pour moi, pour me consoler d'avoir eu un petit frère braillard, moi qui étais fille unique jusqu'à huit ans.
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La liberté de bondir, de courir, de nager ! Tout ce que j’aimais, tout ce à quoi j’allais devoir renoncer.
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« Un petit indien mort de plus ou de moins, les blancs n’ en avaient pas grand-chose à faire... »

Sébastien DB
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Un homme venait de marcher sur la Lune pour la première fois et nous, nous jetions au feu des os de bêtes sauvages pour y lire notre avenir.
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"Me raser la tête, c'était un peu me tuer. Tuer l'Objiwé en moi."
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"Me raser la tête, c'était un peu me tuer. Tuer l'Objiwé en moi."
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« En Namibie, rien ne rappelle le génocide des Hereros et des Namas. Aucune plaque, aucun monument aux morts, aucune trace. Tout à été détruit, brûlé, effacé. Mais les Allemands, eux, sont toujours là »
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Il nous aimait, mes sœurs et moi, à sa façon. Mais il avait une bête en lui - un démon. L'alcool, sûrement, mais pas seulement. Un démon, en lui, bien profond. Profond-profond, un puits de terreur. À se pencher sur son eau noire, on risquait de basculer, et de tomber dedans.
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Certains deviennent flics parce qu'ils veulent rendre le monde meilleur d'autres deviennent vandales parce qu'ils veulent rendre le monde plus beau.
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Du plus loin que je me souvienne, papa m'a toujours tabassée. Pas un jour sans une volée de coups.
A force, j'y étais presque habituée.
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Comme toujours en politique, les buts humanitaires ne sont qu’un prétexte, ils servent à justifier de puissants intérêts économiques et financiers.
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Tony nous a fait un cours sur le guerilla gardening : ça vient des States, là-bas des terroristes verts font pousser des plantes dans les friches industrielles, sur les terrains vagues, en pleine ville, n'importe où... Partout où on peut planter des graines, sur les toits, et parfois même le long des murs.
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Sur les parpaings, y avait une fresque, juste devant chez nous : une maman assise par terre, ses gosses serrés autour d'elle, et devant eux, un grand type en survêt qui lance un bouquet de fleurs sur des CRS coffrés derrière leurs boucliers, comme si c'était une bombe...
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C'est là que j'ai compris que j'étais devenu une légende : le voleur aux pieds nus. Je supporte pas d'être enfermé, même mes pieds n'ont jamais supporté les souliers...A l'école déjà, ça me posait problème... les flics avaient dû relever mes empreintes sur le sol des maisons, dans la poussière; c'est le surnom qu'ils m'ont donné.
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J'ai pas peur des animaux, c'est l'homme que je crains.
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On m'appelait Birdy, celui qui s'envole, celui qu'on ne peut pas enfermer.
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