Citations de Fabien Vehlmann (247)
-Il y a un chalet là-bas, on devrait pouvoir y arriver avant midi.
-Alors allons-y
-Laisse tes sacs dans la voiture Terry, on reviendra chercher ça plus tard.
-Héé, mais j'veux pas que des loups mangent mes G.I Joe, moi!
- Honnêtement, à part toi et Boris, j’ai l’impression qu’on s’est récupéré tous les boulets du clan du requin ! Entre celle-là, l’autre qui pense qu’a ses jeux vidéo, ou ceux qui en fichent pas une…
"_Punaise, Koupchou...J'm'habitue pas à ta tête de fou ! Dans les films d'horreur, le gros psychopat', il est dans la forêt, il dort pas sous la tente !! Tu fais rien comme tout le monde, toi !"
"_A bien y réfléchir. Je suis catégorique : nous avons réussi notre opération ! Car, en définitive, nous pouvions mener ce crime à son terme, mais nous avons choisi de ne pas le faire ! En vérité, nous venons d'accomplir le premier meurtre virtuel de l'humanité.
_L'autre possibilité, c'est que nous ne somme que deux pitoyables bouffons.
_C'est effectivement envisageable..."
Les premières familles sont pénibles, mais on les connaît. Alors que les enfants zombies de Fort-ville, eux...ils me font vraiment flipper...
- Mais, c'est qui cet adulte ? qu'est-ce qu'il nous veut ?
- C'est un serial-killer... avec un nom du genre "le maître des couteux", tu vois ? Qui coupe une tête humaine pour taper contre les vitres de ta voiture, comme dans les légendes urbaines.
- Mais pourquoi il frappe une tête contre les vitres ? Ça sert super à rien !
- Ben... C'est p't'être du morse pour dire : "J'vais tous vous tuer" ?
La porte la mieux fermée au monde est celle qu'on n'essaie même pas d'ouvrir.
"C'est la chambre des peluches, ici ! Tu peux t'jeter partout : tu peux jamais t'faire mal ! Passque les peluches elles sont entre toi et les bosses, tu comprends ?"
"Non, l'homme est décidément le prédateur ultime, et notre passion pour la chasse est destinée à s'affadir lentement du faut même de notre domination sans partage sur le règne animal."
"_Comment ça se fait que ton père avait ce flingue ?
_Je sais pas... mais il disait souvent que les métiers de la banque, c'était la guerre !"
"Arrête d'avoir peur tout le temps, tu veux ?! Y en a marre, ça nous sert à rien !
"_Sincèrement, j'en ai ras la casquette de vos énigmes bidon.
_Tu aurais tord de prendre mes leçons à la légère, Dodji, car que sont la vie et la mort à part une succession d'énigmes ? Et résoudre l'un de ces paradoxes, c'est parfois les résoudre tous."
- J'comprends mieux pourquoi tu veux que personne ne le sache : c'est pas avec ce genre de récit glauquissime qu'on va se faire de nouveaux amis !
Je vais devoir reconstruire mon petit nid... Ce n'est pas grave. J'ai tout mon temps.
-Pauvre Terry ! Il se l'est pris en pleine poire !
-C'était la rencontre brutale entre deux boulets !
- Ça sort d'où ce truc ?
- Il est beau, hein ? J'l'ai trouvé dans la rue, il doit venir du cirque. J'ai décidé que son nom c'est Prince d'argent !
- Ha, ben Prince d'argent vient de lâcher une galette dans le couloir. Il a fait ça tranquille, l'air de rien, sous sa bonne grosse frange... Je suis assez impressionnée.
- Oooh non, Prince, c'est pas bien du tout ! On fait pas popo dans un hôtel cinq étoiles !
- on, je te laisse avec Puduhuk-le-poney.
- T'inquiète, Dodji... Nous on t'aime, même sans pouvoir.
- Et puis t'as quand même une poule, c'est déjà un bon début.
Avant ça, l'événement le plus audacieux de toute ma vie, ça a été mon homélie "les touristes ont-ils une âme?", qui m'a valu d'être presque renvoyé par le diocèse. Tu imagines ?...
La théorie du chat
Un femme de 28 ans, rencontrée dans le wagon-restaurant du TGV Nantes-paris, en juin.
J'ai une théorie sur les hommes : toujours regarder comment un mec carresse un chat.
Un homme qui est attentif aux attentes de son chat, qui le carresse quand il faut, en fonction des mouvements que fait l'animal et de ses petits coups de tête pour demander des câlins , tu peux être quasiment sûre que c'est un bon amant (elle semble catégorique).
A l'inverse, un mec qui réveille un chat pour le carresser d'office, ou qui lui frotte le sommet de la tête alors que le pauvre matou tend désespérément la naissance de sa queue, il a peu de chances d'être attentif au plaisir de l'autre.
(Elle regarde le paysage défiler puis reprend avec un demi -sourire). Bon comme je n'applique pas toujours mes propres théories ou qu'il m'arrive de les mettre à l'épreuve, il m'est arrivé une fois de coucher avec un mec qui tapotait vaguement le dos de son chat, du genre "vite-fait-bien-fait-maintenant-dégage".
(Elle prend un air pincé).
Eh bien, ça n'a fait que me confirmer que ma théorie était infaillible.
- L'idéal serait que votre hiérarchie ne sache rien de notre plan.
- Ça tombe assez bien... J'agis de ma propre initiative. Mais vous, qu'est-ce qui vous pousse à faire cela ?... Cette mission sera extrêmement dangereuse et... Vous avez toutes les chances d'y passer !
- J'avais de la famille en Allemagne. Entre Adolf et moi c'est une affaire personnelle.