François Place

Conte philosophique, un peu Gulliver, un peu Candide, mais la métaphore nous emmène plutôt vers l'écologie et la destruction qu'entraîne l'acte de découverte et sa notoriété, en attirant les gens moins bien, (voire mal intentionnés) avides de profit par exemple !

C'est un long voyage de l'Angleterre vers la Birmanie, puis à travers l'asie, magnifiquement illustré par des aquarelles tout en finesse et en couleurs pastel.

Pour les enfants mais pas uniquement !

Dans ce roman, on plonge dans la fuite d'Olympe de Roquedor, une jeune femme qui vient d'être retirée d'un couvent pour être mariée de force à un vieil homme souhaitant hériter de son château.



Rebelle et déterminée, Olympe est bien décidée à refuser ce mariage et récupérer l'héritage de son père. Elle n'a pas peur de se battre et de courir dans la boue avec sa jupe, et elle va se faire 2 alliés improbables, un vieux soldat bourru et un jeune homme timide, qui vont la soutenir dans sa quête périlleuse.



Un roman d'aventures féministe dans une société patriarcale du 19e siècle écrit dans un style bien travaillé par 2 auteurs et caractérisé par un rythme haletant. A lire pour passer un agréable moment!

Très court roman, écrit et illustré par le talentueux François Place, Le vieux fou de dessin raconte la rencontre entre un petit garçon et l'artiste japonais Hokusai. Peut-être que son nom ne vous évoque rien, par contre, je suis à peu près certaine que vous avez déjà vu son estampe la plus célèbre représentant une énorme vague.

Vous remettez ?



L'enfant, un orphelin que rien ne prédestinait à devenir un artiste, commence son apprentissage auprès du maître qui lui ouvrira les portes du monde flottant. Comme pour beaucoup de disciplines au Japon, l'initiation à l'art sera aussi l'occasion d'une initiation spirituelle et philosophique, une invitation à changer le regard que l'on porte sur le monde.



Clairement destiné à un jeune public (9-10 ans), cet ouvrage m'a semblé un peu trop didactique : certaines scènes ont manifestement été créées pour amener un enseignement quelconque. Pour un lecteur adulte, l'ensemble s'avère un tantinet artificiel.

Cela ne m'empêche pas de le recommander vivement à tous les jeunes lecteurs, surtout s'ils ont une appétence certaine pour la culture nippone.

Magnifique et triste.

Les hommes finissent toujours par détruire ce qui leur est trop différent.

Il vaut mieux taire certains beaux secrets.

Dernier album de François Place cet album nous entraîne dans le Finistère.



C'est Paul jeune adolescent qui nous raconte sa découverte de l'art pictural grâce à sa rencontre inopinée avec le peintre argentin Ricardo Cavallo.

Parti pêcher avec son père il fait la connaissance du peintre dans une grotte. Il est intrigué par le petit format du tableau pour un si grand paysage, par les couleurs utilisées pour peindre des rochers. Ricardo lui explique peindre de petits carrés de taille identique qu'il numérote et assemble pour créer des paysages grands formats. Cette autre façon de regarder le monde fascine Paul et l'amène à participer à l'école de peinture gratuite ouverte et animée par le peintre dans le village.

Ici chacun s'essaye sous le regard bienveillant du peintre qui ne donne pas de cours mais accompagne, donne à voir des oeuvres, met à disposition livres d'art, des objets divers et variés. On crois Vermeer, Picasso, mais aussi un cabinet de curiosité, des croquis tirés de Delacroix.

Les illustrations de François Place sont magnifiques. Energique dans le trait du dessin à l'encre noire, douces grâce aux tons pastels des aquarelles et inventives comme si l'on pénetrait l'esprit de Paul avec un poisson cerf-volant, un paysage damier acidulé, une pleine page de toile texturée et pleine de mouvements.



"Sans les artistes on perdrait quelque chose de la beauté du monde" dit la mère de Paul qui elle aussi peint. Je le pense également et cet album est un très beau portrait de ce peintre qui met aussi son art au service de la création pour tous. C'est aussi un bel hommage à l'art et à la création. Magnifique et intelligent, un album à découvrir et à faire découvrir aux enfants à partir de dix ans.

J’avais très envie de découvrir ce roman avec une jeune héroïne courageuse et déterminée dans une époque où les femmes doivent se faire discrètes et obéir à leur père ou mari. 👑



J’ai toutefois été déçue par ma lecture à cause des nombreuses longueurs du récit. J’ai plusieurs fois hésité à DNF cette histoire. 🤯



J’ai trouvé dommage que les derniers chapitres du roman soient plus palpitants que 90% du reste de l’histoire.😞



Je pense que le récit à la troisième personne n’a pas aidé pour me le faire apprécier davantage. 🖤

Un joli roman-chorale avec une fin poétique et des personnages attachants ! Les romans "ados" permettent vraiment plus de libertés en décloisonnant les genres, c'est agréable :) Par contre, gros bémol pour les nombreuses coquilles et fautes d'orthographe qui parsèment le texte !

La fabuleuse découverte du pays des géants



C'est un roman d'aventures et fantastique. Ce livre s'appelle « Les Derniers Géants » de François Place. Il a reçu en 1992 le Grand Prix SGDL du roman jeunesse, et le prix « Sorcières » dans la catégorie Album en 1993. C'est le premier roman de François Place, auteur également du « Secret d'Orbæ ». Il est écrivain et illustrateur.

Le personnage principal parle à la première personne. Il s'appelle Sir Archibald Léopold Ruthmore, il est explorateur et savant. L'action se passe au XIXe siècle et commence à Londres. Elle se poursuit en Asie, sur une rivière et dans la forêt puis dans la montagne. L'histoire commence chez un vendeur qui vend au savant une dent de géant. Celui-ci trouve une carte dessinée sur la dent qui peut l'emmener au pays des géants. Alors il décide de faire une expédition pour retrouver les géants.

Je recommande ce livre pour ceux qui aiment les romans d'aventures et qui cherchent des livres faciles à lire. J'ai aimé cet album car les illustrations sont incroyables et je me suis bien accrochée. L'histoire est très émouvante car le savant rencontre les géants et c'était son rêve depuis le début de l'histoire. C'est aussi triste et tragique, et je trouve le personnage principal décevant car il a dévoilé l'existence des géants.

C'est un roman à ne pas rater : il permet de s'évader et il est facile à comprendre et à lire.

4/5 : je trouve ce livre très bon.

Un très bel album de jeunesse. Une version grand format avec de sublimes illustrations...

Une dynastie de rois font et défont une tour au confinement du monde.... S'en suit une dynastie de reines qui retabliront paix, culture et sciences

Une bien belle lecture

Une bonne lecture !



J'ai bien aimé ce livre, on entre très facilement dans l'histoire et tous les personnages sont attachants.



Je connais quelqu'un qui l'a lu avant moi et qui n'avait pas vraiment aimé (la personne a abandonné sa lecture). Mais j'ai tout de même voulut tenter ma chance et j'ai plutôt bien aimé.



J'aime bien la façon dont les choses évoluent, l'intrigue, les personnages... L'écriture est fluide. Les suites et les conséquences celle-ci s'enchaîne très bien les une après les autres.



Je me suis un peu perdu à la fin du livre, où je n'étais pas très concentré et me suis embrouillé dans certains passages.



Mais l'histoire est très bien et l'auteur écrit très bien.



Un livre à lire si vous aimez les histoires sur Londres, la reine et les histoires d'amour.

Très bon livre !

Un album sur une thématique attendue : un prince orgueilleux, mais qui bégaie... Et part en guerre pour prouver sa valeur. Ce qui n'arrange rien à son bégaiement. Jusqu'à ce que...

Une réussite du point de vue graphique. Les dessins sont classiques mais expressifs et dynamiques.

Du point de vue de l'histoire c'est cousu de fil blanc...

Un texte très sensible qui est une introduction parfaite à la peinture, la création et l’art, un hommage à la nature et à la beauté des petits détails et des grands paysages.
Lien : https://www.madmoizelle.com/..

Levi-Strauss expliqué aux enfants…



Un érudit, au prix d’un voyage éprouvant, découvre une vallée secrète où neuf géants vivent en paix depuis des milliers d’années, observant les étoiles et retournant dans leurs gigantesques têtes des rêves inconnus. Il deviendra leur ami, les étudiera, apprendra leur langue. Puis rentrera chez lui, publiera ses aventures, se battra pour établir la vérité, triomphera… Avec de terribles conséquences pour ses amis.



Mon fils de trois ans n’est pas encore prêt pour une telle dose de nostalgie et d’amertume, moi-même je ne l’étais pas s’agissant d’un livre étiqueté ‘’enfant’’. Je ne m’attendais pas non plus à tomber nez à nez avec le célèbre dilemme des ethnologues : faut-il préserver l’isolation des peuples n’ayant pas encore été bouffés par la mondialisation, ou au contraire partir du principe que ce n’est qu’une question de temps et aller vivre parmi eux pour enregistrer tout ce qui peut l’être, quitte à accélérer allègrement le processus ? De même, un lieu magnifique doit-il être tenu secret et préservé, ou supposant là encore son caractère éphémère, faut-il révéler son existence pour qu’un maximum de gens aient la chance de le contempler, quitte à ce qu’il recouvre très vite de papiers gras et de boutique de souvenirs made in China ?



C’est sans doute la question que se posent aujourd’hui les premiers voyageurs ayant pénétré dans les royaumes himalayens du Mustang ou du Dolpo. Ou certaines zones d’Amazonie ou de Bornéo. Mais au Brésil, certaines tribus n’ont-elles pas été exterminées avant même d’avoir été répertoriées ? Paysans sans terre, braconniers, chercheurs d’or, bûcherons, éleveurs de bétail, guérilleros, mafieux, trafiquants de drogues… Les menaces ne manquent pas pour ceux qui ne demandent qu’à vivre en paix et à préserver un mode de vie ancestrale.



Livre magnifique aussi bien par ses illustrations que son texte, pour faire découvrir aux enfants à partir d’une dizaine d’années la complexité du monde.

Paul aime aller pêcher avec son père. Il est intrigué car il croise souvent un homme qui se dirige dans les falaises. Il va rencontrer Ricardo, un artiste, un peintre qui va l'ouvrir à l'art et à la peinture. Ricardo est en réalité le peintre d'origine argentine, Ricardo Cavallo.



François Place rend hommage au travail de cet homme passionné qui a ouvert une école d'art au village. Il y convie les villageois. Paul va y rencontrer Lisa, y découvrir que le monde serait triste sans l'art sous toutes ses formes : la poésie, la photo, le théâtre, la musique, la danse, la peinture....



Un très beau récit sur la transmission, la perception des couleurs, du monde à travers l'art; Le dessin est magnifique, on y retrouve la nature mouvementée du Finistère mais aussi un imaginaire magnifique, des dessins à la manière de Cézanne, Goya, Vermeer. De quoi ouvrir l'esprit des plus petits et de leur montrer que les artistes ouvrent à la beauté du monde.



L'album se termine par une rencontre en photos avec Ricardo Cavallo car le personnage existe et c'est une belle façon de lui rendre hommage.







Ma note : 9.5/10

Une héroïne qui n'a pas froid aux yeux dans ce roman de cape et d'épées.



J'ai beaucoup aimé le caractère de l'héroïne Olympe, vaillante jeune fille au caractère bien trempé et éprise d'indépendance, ainsi que la galerie de personnages qui l'entoure, notamment Décembre et Oost qui forment un duo des plus sympathiques.

J'ai également apprécié les dialogues avec l'utilisation d'un vocabulaire adapté à l'époque et d'expressions savoureuses.



C'est frais, rythmé et on ne s'ennuie à aucun moment.



Un roman plein de panache  qui n'est pas réservé qu'aux adolescents et que je ne peux que vous conseiller si vous avez soif d'aventures !

Un nouvel album de François Place est forcément un évènement. Et quand en plus il aborde le thème de la peinture, autant se préparer à être ébloui !

Inspiré par Ricardo Cavallo, peintre qui compose des paysages gigantesques à partir d'une multitude de carrés, "L'enfant, le peintre et la mer" est - évidemment - somptueux.

Au départ, il y a la belle rencontre entre l'enfant et le peinture, qui va permettre d'aborder l'importance du regard de l'artiste et la transmission (qui habitait déjà "Le vieux fou de dessin" il y a quelques années). Car Ricardo accueille petits et grands dans l'école d'art qu'il a créée, où il les encourage et les invite à se plonger dans l'histoire de l'art en leur prêtant ses livres. Un beau projet, qui existe réellement à Saint-Jean-du-Doigt.



J'ai été particulièrement sensible au discours sur le rôle de l'art dans la vie. Ainsi, alors que le papa de Paul pense que le monde serait toujours le même sans art, sa maman pense que "[le monde] serait bien triste sans la poésie, la peinture, la photographie, la sculpture, la musique, la danse, le cinéma, le théâtre...", vision que je partage totalement.

Pour être honnête, je ne suis pas très sensible à la peinture de Ricardo Cavallo (les amateurs ne manqueront pas le documentaire que Barbet Schroeder lui a consacré). Mais cela ne m'a pas empêchée d'apprécier les illustrations pour lesquelles François Place se fond dans son œuvre. Car, et c'est là la beauté de la transmission, l'important est d'inviter les gens à regarder et à trouver leur mode d'expression, même s'il est très différent du "maître".

Pas de doute, François Place a trouvé le sien et c'est toujours un bonheur lorsqu'il nous invite dans son univers.

Bon sang, quel panache !

En attaquant Olympe de Roquedor, je ne m'attendais pas à rencontrer une telle héroïne. Il souffle sur ce roman jeunesse une dimension épique tout aussi flamboyante que celle qui a portée Les Trois Mousquetaires de Dumas jusqu'à notre époque.



D'emblée, on est entraînés dans le sillage de la jeune Olympe, dans une fuite à la fois survivaliste et bouillonnante, à la manière des films de capes et d'épées. Si vous aimez le genre, vous serez conquis dès les premières pages !



Pour ma part, j'ai absolument adoré la galerie de personnages, en contre-pied total de leur époque, abstraction faite peut-être des "méchants", qui tombent un peu dans la caricature (tout méchant n'est-il pas une caricature de lui-même ? Vous avez 3h 😆).



Olympe d'abord, aussi flamboyante que sa chevelure, affiche un caractère bien trempé, héritage d'une éducation libérale et naturaliste, (très) en avance sur son temps. Un modèle de résilience, qui reste cohérent malgré tout (la nana c'est pas Rambo non plus).



J'ai eu un coup de cœur absolu pour ses deux sidekicks : le vieux guerrier mystérieux et philosophe sur les bords, mais qui sait encore cogner dur, et le jeune babache maladroit "dont l'apparence dissimule la valeur d'un diamant d'innocence" (t'as la réf ?)... même c*l nu !



Escapades, cavalcades, duels à l'épée et baston à main nues, chevauchées les cheveux au vent, lynchage sur la place du village, poularde rôtie et tonnelets de bière, rien ne manquera à votre lecture de ce roman d'aventure palpitant. Une petite pépite jeunesse 🤌

Enfermée dans un couvent par son tuteur le comte de St Mêmes durant 4 ans, Olympe de Roquedor en est extirpée par le fils, Foulques, à ses 17 ans pour un mariage forcé. Outrée par cet avenir qu'on lui impose, la flamboyante héroïne décidera de tracer son chemin à la pointe de son épée, accompagnée de Décembre un borgne, et d'Oost un vagabond.



Ce roman écrit à 4 mains est une aventure doudou, pleine d'audace et de courage. J'ai beaucoup aimé l'énergie qui se dégageait de la vaillante Olympe et ses interactions avec Décembre et Oost étaient rafraîchissantes. C'est un roman idéal pour les jeunes ado (12-13 ans) qui ont soif d'aventure et d'émancipation! Cavalcades, batailles, complots et rebellions marqueront votre lecture et vous immergeront dans un écrin vallonné d'arbres et de ruisseaux que vous n'aurez aucun mal à imaginer grâce aux illustrations qui ponctuent le récit. Et petit bonus : il se lit très vite et facilement!

Olympe de Roquedor est une jeune fille qu'on vient tout juste de sortir du couvent pour la marier à un jeune homme un brin bête et prétentieux : le fils du comte de Saint Mesme. Déterminé à l'avoir pour lui seul et sans lui demander son avis, il la rapatrie du couvent à son domaine. Mais lors du voyage ils se font attaquer. Olympe y voit une chance inouïe d'échapper au mariage et de gagner sa liberté : elle fuit le plus vite et le plus loin possible. Mais au cours de son échappée, elle va affronter bien des dangers et rencontrer des personnes qui vont soit l'aider, soit la vouloir morte.



J'ai vraiment beaucoup aimé ma lecture. C'est frais et vif, on ne s'ennuie pas une seule seconde. L'époque est sympathique, ça rappelle en effet les romans de cape et d'épées même si la jeune Olympe est loin d'être une épéiste hors pair. D'ailleurs elle ne se bat quasiment pas du livre. Je dirai plutôt que c'est un livre d'aventures, où une jeune fille s'émancipe et où elle fait ce dont elle a envie plutôt que ce qu'on attend d'elle. Les personnages sont bien travaillés, notamment Décembre et Oost qui à eux deux font vraiment vivre cette histoire. Trahison, secret de famille, pièges, alliances ... un vraiment bon mélange qui fait son effet et qui permet de lire le tout à une vitesse folle ! Une belle découverte.

La France possède un trésor sous-estimé : ses auteurs jeunesse. Biberonnés aux feuilletonistes du 19e siècle, ils renouent avec la longue tradition du roman d’aventures qui a fait rayonner le pays bien au-delà de ses frontières.

Après Timothée de Fombelle, Jean-Claude Mourlevat ou Yann Fastier, c’est au tour de Jean-Philippe Arrou-Vignod et François Place de nous livrer une pépite littéraire, écrite à quatre mains.

Olympe de Roquedor, c’est un peu comme si Les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas avaient rencontré La vouivre de Marcel Aymé. Le pays d’Azeillan, où se déroule le roman, évoque la campagne d’un 17e siècle fantasmé : ses routes poussiéreuses, ses orages soudains, ses sous-bois parfumés, ses croquants superstitieux, ses brigands de grands chemins… rien ne manque pour rendre l’aventure vivante.

Sans parler des dialogues ! Ils sont si fins, si croustillants, si naturels, qu’on rentre d’emblée dans l’histoire. À eux seuls, ils permettent de saisir toute l’originalité des personnages : Olympe, l’héroïne éprise d’indépendance fuyant un mariage forcé ; Foulques , petit nobliau arrogant écrasé par la figure paternelle ; Décembre, irrésistible mélange entre Don Quichotte, Cyrano de Bergerac et Jack Sparrow ; Oost, grand blond dégingandé, un peu stupide, qui fera un improbable allié…

En résumé : 300 pages de pur plaisir, qui laissent quelques questions sans réponse, nous permettant d’espérer une suite prochaine.

Dès 12 ans.
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