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Critiques de Frédéric Bézian (94)
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Docteur Radar, tome 2 : Terreur en Italie

Alors que rôde un bandit machiavélique comme Fantômas et rusé comme Arsène Lupin, l’Europe des années 1920 a raison de trembler.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Docteur Radar, tome 2 : Terreur en Italie

Avec ce tome 2, Terreur en Italie, j’ai pu apprécié l ’histoire à sa juste valeur. Les protagonistes du scénario de Noël Simsolo sont connus et leur visages, si expressifs, reconnus. Le Docteur Radar, en méchant « qui veut conquérir le monde », s’inscrit dans une tradition établie et sa mégalomanie n’a d’égale qu’une prétention hors norme.



Épisode échevelé que ce 2e tome avec beaucoup d’actions, un orang-outang pas très gentil, un bain d’acide, une chanteuse lyrique qui ne se démonte pas, etc. Pas le temps de respirer grâce au rythme prenant du début à la fin.



Les dessins de Frédéric Bézian s’expriment pleinement une fois que le lecteur a identifié les personnages et leur implication dans le scénario. Le style, réussi, est toujours une sorte de savant gribouillages en 2-3 couleurs et noir, très noir. Et cela colle parfaitement avec décorum des années 20-30.



Je me demande bien combien de tomes sont prévus.
Lien : http://livrepoche.fr/docteur..
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Docteur Radar, tome 2 : Terreur en Italie

Un second volume qui démontre bien que cette série risque de marquer le lecteur curieux.

Fortement conseillé !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Docteur Radar, tome 2 : Terreur en Italie

Avec les coups de crayon de Bézian, ciselés voire acérés et si caractéristiques, la narration est remarquablement servie par le dessin dont le lecteur appréciera la fluidité et le rythme tout aussi haletant que le scénario.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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Docteur Radar, tome 2 : Terreur en Italie

Début des années 20, Ferdinand Staub reprend sa recherche du terrible docteur Radar. L’aventure va le mener jusqu’à Milan.



Dessin anguleux, tiré au couteau, couleurs en aplats aux teintes contrastées, l’atmosphère est sombre et inquiétante. L'ambiance a un ton désuet, avec des policiers en imper et chapeau melon, une cantatrice d’opéra, de vieilles voitures des années 20, quelques chemises brunes qui surveillent la cité italienne, un héros tout droit sorti des romans feuilletons du début du XXe siècle, et un méchant dans le genre de Fantomas.



C’est cet aspect rétro qui donne tout le charme de cette aventure, avec une pointe de dérision sur ce genre littéraire à débusquer entre les cases. Les angles de vues sont en perpétuel mouvement, les postures des acteurs nous rappellent le cinéma muet de l’époque, le ton est théâtral et spectaculaire, les dialogues insufflent une dramaturgie exagérée et redondante : “Ma bombe est d’une puissance colossale” dit-il avec la main levée et les doigts crispés devant son visage.



Personnellement, j’aime beaucoup le graphisme sec de Bezian, un curieux mariage entre Piet Mondrian et Honoré Daumier. Ce style s’accorde à cette aventure, il est à l’image de cette période des années 1920, innovante en peinture, en création graphique, riche en inventivité et encore bercée par un romantisme sombre et lyrique avec ses feuilletons populaires.



Simsolo et Bézian renouvellent ce genre avec une certaine fraîcheur et une tension nouvelle, loin des académismes. Personnellement, j'aime ce type de prises de risques, et là, c’est très réussi.



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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

Je n'ai pas lu les précédents donjon monstres, ni la totalité des Donjons Potron-minet/Zénith/Crépuscule, mais j'ai quand même pu me situer dans la chronologie de l'histoire.



On suit deux frères gardiens d'une entrée du donjon du grand Khan.

Ils ont le cerveau complètement lavé par l'éducation cruelle qu'ils ont reçue, suivant une espèce de code d'honneur totalement absurde, et obéissant aveuglément aux ordres. Zéro esprit critique, zéro bon sens. C'est terrifiant.

Le pire, c'est que c'est une parodie de ce qui existe et a existé ailleurs (genre les jeunesses hitlériennes, les coréens du Nord, tout ça tout ça...). Vous me direz, le job d'une parodie c'est justement de tourner en ridicule une réalité.



J'ai trouvé le coup de crayon beaucoup moins net que dans les autres Donjons que j'ai pu lire. Je suppose que c'est voulu. Ça matérialise la brume qui occulte les esprits des personnages.



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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

Les frères Görk et Krag sont deux soldats de la Géhenne qui gardent une entrée secrète de la Forteresse Noire. Un jour que Görk était de repos, Krag n’a pas réussi à empêcher le passage d’un intrus. Il est donc condamné à mort et c’est son frère Görk qui a été choisi pour exécuter la sentence …



Tout simplement l’un des plus grands chefs d’œuvres de la série ! Par le scénario déjà, qui se focalise sur un personnage lambda inconnu jusqu’alors dans la série. Par le mode de narration original (en voix-off uniquement, avec une absence de dialogues). Par la noirceur absolue des propos et des situations, qui n’exclut pourtant pas l’humour (noir et cynique, forcément). Et surtout par le traitement graphique de Bézian, dont le trait brut, sauvage, hachuré, écorché, va complètement de pair avec la noirceur du scénario. Un "Donjon" immense qui a bénéficié d’une version agrandie en noir et blanc où la magnificence des dessins est d’autant plus visible.
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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

J'aime beaucoup la série Donjon mais cet épisode est vraiment incroyable.

Même sorti de la saga, il se suffirait presque à lui même tellement il est atypique et dense.

Pas de dialogue dans ce tome, toute la narration se fait par voix-off.

Le trait est nerveux, brut et sert admirablement un récit particulièrement sombre sur la manipulation de masse, l'aveuglement et le fanatisme.

La version que j'ai est en couleurs mais il semblerait qu'il existe une version en noir et blanc qui, à mon avis, doit être encore plus marquée et marquante.

Bézian signe ici un tome qui ressort indéniablement de l'ensemble tant son ambiance est pesante et sombre. On est loin de l'humour un peu loufoque des premiers tomes de Zenith.

Une vraie réussite.
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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

Encore un volume bizarre de chez bizarre : pas de connexion avec le Donjon (sauf le passage éphémère de Marvin ) , une ambiance sinistre aggravée par un dessin qui ne l’est pas moins .Les aventures de Görk et Krag deux dragons- soldats de la Géhenne, aux ordres de grand Khan n’illustre rien d’autre que l’imbécilité et le fanatisme de Görg .Décevant.
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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

On ne retrouve pas les personnages courants de l'univers de Donjon mais finalement je m'y retrouve complètement.

Le titre est sombre, agressif. L'ambiance est pesante ! Pas de place au hasard, on est sur une oeuvre qui pourrait être indépendante et qui bousculerait beaucoup d'autres oeuvres du 9e art !

La question centrale est ce dilemme de devoir suivre les ordres, répondre à sa fonction et à sa tâche ou suivre la voie des sentiments, donner la priorité à sa liberté de pensée.



Sans en parler le titre soulève des questions sur des formes de totalitarisme, de manipulation des masses, de la pensée individuelle au sein de la pensée collective.



Le meilleur tome de Donjon ? Je sais pas, mais un tome marquant ? Certainement !
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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

Voilà, cela fait maintenant une dizaine d'heures que j'ai terminé Des soldats d'honneur, et je me retrouve comme deux ronds de flan pour écrire une chronique. Je ne sais absolument pas par quel bout prendre mon ressenti et toutes les sensations qui se bousculent au portillon de mes petits doigts gourds dont l'oeil est rivé sur le pas en avant que va faire la littérature... Voilà que je me mets à écrire comme le maire de Champignac, l'heure est grave.



La BD nous présente deux frères, Görk et Krag, gardes dans le Donjon. Ils s'ennuient, car ils n'ont rien à faire. Ils aimeraient bastonner, trucider et manger leur adversaire. Mais il se présente tellement peu de monde. On comprend vite que l'obéissance au Grand Khan est ultime, cruciale et ne peut être remise en question.



Or, un jour, un gaillard se présente. Görk est de repos. Krag se fait défoncer et laisse passer l'intrus. Il sera châtié pour cela. Et c'est son frère qui est chargé de l'accompagner jusqu'au désert, de lui couper les ailes et de le laisser mourir. C'est un honneur pour Görk de mener son frère vers un juste châtiment. Obéir au Grand Khan est un honneur suprême. Sauf que les choses ne se passent pas toujours comme prévu...



Ce tome bouscule pas mal de choses. L'honneur, l'obéissance, le respect, les traditions... voilà déjà un bel ensemble de concepts qui se font sauvagement revisiter par les auteurs. le fait qu'il n'y ait pas de dialogue, mais que tout le récit se fasse en voix "off", raconté par Görk, cela ajoute à la dramatisation de l'ensemble. Sfar et Trondheim au scénario... c'est du lourd. Les présupposés graphiques de Bezian m'ont rebuté au départ, et ont fini par s'immiscer profondément en moi à mesure que je m'immergeais dans le récit. C'est prenant et déstabilsant en ce qui me concerne. J'adore ça.
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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

Cet album de la série est assez déconcertant.

Le graphisme est brut, agressif, vif, les personnages sont des silhouettes hachurées nerveusement, les couleurs restent dans des tons naturels et neutres, de gris et d’ocres. Pas de phylactères, et un texte en voix off. Le récit est raconté par le personnage principal, et on constate très vite qu’il ne brille pas par son intelligence. Gorg et son frère Karg, soldats de la Géhenne, sont entraînés et conditionnés pour garder une porte du donjon. Karg faillira à sa tâche et Gorg devra alors l’exécuter. Le récit est sombre, morbide, il y a une pointe d’humour qui accompagne le récit, un humour très cynique, autour de la situation du soldat conditionné à exécuter les ordres sans se poser de questions. Gorg ne s’en pose pas la moindre, mais en suivant ses réflexions, on s’enfonce mollement dans cette ambiance, ça fonctionne parfaitement, le dessin s’accorde à la noirceur du récit, on se retrouve en accord avec les pensées de Gorg, la cruauté et l’horreur ne nous troublent même pas alors que les ordres contradictoires posent de véritables problèmes. Il y a une lenteur, une torpeur dans le rythme et l’ambiance qui nous anesthésie. Notre pensée, dans un premier temps, ne va pas plus loin que celle de Gorg et au final, on en ressort bouleversé. Le rapprochement est peut-être osé, mais ça m’a fait penser à “La mort est mon métier” de Robert Merle.

Sans doute un des plus sombres épisodes de la série, Sfar et Trondheim réalisent un coup de maître en proposant un récit grave et pesant. Le travail de Bezian renforce cet aspect de façon remarquable, très juste, se concentrant sur l’essentiel. Cette histoire, c’est surtout un ton et une atmosphère pour illustrer un propos loin d’être léger.

Tous les albums de la série Donjon sont différents, chacun possède ses particularités, certains semblent sortir du cadre, comme celui-ci, et la surprise est au rendez-vous pour notre plus grand bonheur.
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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

Superbe album. Peut être le meilleur de l'univers donjon.



Une grande histoire: obéir aux ordres ou faire parler ses sentiments ???

Deux frères seront confrontés à ce choix.

Le dessin brut et le trait nerveux de Bézian colle parfaitement à l'histoire. Ce style renforce la tragédie de l'histoire. De plus pas de phylactère. Seulement un très court texte expliquant la pensée d'un des héros.

Touts ces détails renforcent la noirceur du propos, une vraie réussite. Du grand art.

Ces soldats cruels s'humanisent à nos yeux. On attends, à chaque page, le retour aux sentiments du héros. On les aime...



Ça faisait longtemps que je n'avais pas été secoué par une bédé.

Magnifiquement magnifique.
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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

Un des Donjons Monster les plus sombres, il relate l'histoire de deux frères gardes du grand Khan. L'un faillit à sa mission, l'autre doit exécuter la sentence, lui arracher les ailes et l'abandonner dans le désert où il doit mourrir. Tout ne se passe pas aussi facilement que prévu...

Le style de Bézian et ses traits sombres s'adaptent bien à cet épisode.
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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

Quel choc ! Quelle collision ! Le trait de Bézian et l'univers de Sfar et Trondheim nous offrent un Donjon très atypique, mais bougrement réussi. Le destin de ces deux frères, leur rencontre avec le Roi poussière, tout concourt à faire de cet album un titre aussi singulier qu'incontournable. Ne surtout pas se priver de la lecture de la version N&Bl.

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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

Ah, qu’il est fort ce duo Sfar-Trondheim. D’une voix-off aux mots simples et aux raisonnements primitifs, il nous livre un récit profond et sombre. L’histoire tragique de deux frères, Görk et Krag, soldats de la Géhenne et aveuglément dévoués au Grand Khan.



Une obéissance absolue aux ordres d’un supérieur qui par le passé à poussé des gens à ouvrir des robinets de chambres à gaz et qui dans ce tome surréaliste va pousser Görk à tuer son frère sans vraiment se poser trop de questions car son honneur et sa fierté de soldat sont en jeux. Une soumission absolue, un raisonnement absurde qui fait abstraction des liens fraternels qui les unis. Des actes dictés par des lois stupides qui conduisent à des démarches barbares et un Gork qui finira bourreau, mais également victime de ses actes.



La noirceur du récit se retrouve dans une colorisation sobre et triste. Je trouve le dessin de Bézian ("Ne touchez à rien"), sorti du contexte de cette histoire, plutôt mauvais. Un trait hachuré, une accumulation d’égratignures bâclées, c’est d’ailleurs le seul dessinateur dont j’ai gommé la dédicace tellement je trouvais le dessin mauvais.



Mais, bizarrement, ici ça passe. Peut-être parce que le dessin n’est qu’en arrière-plan de cette voix-off qui nous tient du début à la fin et que les éraflures de Bézian renforcent la noirceur du récit et la tristesse qui emplit le lecteur face à l’incompréhension, le gâchis et la bêtise de ces deux frères.



Bref, un excellent tome très sombre qui traite habilement de sujets profond (comme la mort et la religion) et dont graphiquement j’ai surtout apprécié le décalage entre le texte et l’image.

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Donjon Monsters, Tome 10 : Des soldats d'ho..

Donjon Monsters, Tome 10

BD

Sfar, Trondheim & Bézian



Ce dixième tome de Donjon Monsters se déroule en 95, et donc très proche de l'ère Crépuscule. Et c'est d'ailleurs ce qu'on y retrouve, si on est encore dans l'ère Zénith, cette dernière touche à sa fin et le grand Khan est déjà en place.

Dans ce tome, nous allons suivre la vie de deux frères soldats. Deux gardes du grand Khan qui ont pour mission de protéger un chemin secret menant au donjon. Ce chemin étant secret, jamais personne n'y passe, et les deux frères s'ennuient à garder ce lieu. Pourtant, un jour, un individu va passer par la et la vie des deux garde va changer.

Un tome assez particulier, que ce soit au niveau de la narration, qui ne comporte aucun dialogue et où tout est raconté par un narrateur (l'un des deux frères), mais aussi par le dessin qui est assez spécial, pas un dessin auquel j'accroche, mais qui au final colle bien au récit et qui me convient pour cette histoire.

Un bon tome que j'aurais pris plaisir à lire avec un humour auquel j'ai particulièrement accroché.
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Karoo (BD)

Libre adaptation du roman de Steve Tesich que j’ai aimé pour ce côté anti-héros attachant. Consultant dans le cinéma, la vie de Karoo va basculer quand il reconnaît la voie d’une figurante qui va le ramener au temps de l’adoption de son fils. Un graphisme aux traits acérés qui va bien avec le cynisme de cette histoire.
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Karoo (BD)

Cet ambitieux portrait d’un homme sans cœur et à l’esprit tordu, déchiré entre commerce et création, est remarquablement adapté (revisité est un mot plus juste), jusqu’à sa chute vertigineuse, par un Frédéric Bézian au plus fort de sa narration et de son graphisme.
Lien : http://bdzoom.com/146440/act..
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Karoo (BD)

On est dans le milieu du cinéma. Saul Karoo est au service des producteur et est script doctor, c’est à dire chargé de retoucher les films au montage pour les améliorer, il passe derrière les grands réalisateurs, sans scrupules, c’est un personnage cynique et désabusé qui traîne sa nonchalance et son alcoolisme dans les cocktails mondains, imbu de lui-même, sans empathie pour ses proche, un personnage profondément antipathique, mais tout ce milieu est assez imbuvable. Cette histoire est une quête vers une rédemption impossible. Des scènes d’Ulysse apparaissent en parallèle, ou parfois en filigrane, comme pour rappeler ce retour vers les origines, vers un fils dont il ne s’est jamais occupé. Le trait est brut, avec des effets de reflets, des lignes sèches, l’ambiance épurée et froide, des aplats viennent rehausser l’ambiance déjà cassante, comme une bichromie, le noir en trait, en aplats, sans nuance et des espaces d’aplats géométriques de couleurs, une seule couleur par doubles planches, parfois un orange ou un vert, ou un bleu… L’architecture est très présente, vaste et moderne, ce graphisme fait référence à Frank Lloyd Wright, comme pour rappeler une certaine prétention avant-gardiste de ce milieu et son ambition artistique. Le style, le rythme, cela finit par devenir poétique, on est totalement enveloppé dans l’ambiance, évoluant pourtant un milieu assez déplaisant. Karoo finit par être touchant, pathétique dans sa tentative de changement, on est bouleversé, mais pas vraiment pour lui, parce que c’est surtout une histoire sur l'échec, celui de la vie sur celui des apparences.

Sombre et beau.
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