Georgia Caldera

Voilà un titre qui m'a de suite attiré, de par son résumé mais aussi par l'envie de découvrir enfin cette autrice pas mal plébiscité. En effet, ce résumé promets beaucoup et m'a convaincu de suite !

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Dans ce roman, l'autrice nous a apporté un mélange des genres que j'ai beaucoup aimé ! On y retrouve de la dystopie, de la mythologie grecque et du fantastique, tout cela merveilleusement dosé. Un mélange qui vaut le détour.

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J'ai beaucoup aimé la plume de Georgia Caldera, fluide et immersive, qui peut devenir tellement poétique ! Ses personnages sont vraiment attachants. Comme beaucoup j'ai eu une grosse préférence pour Verlaine.

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J'ai hâte que le tome 2 sorte au format papier pour enfin connaître la suite de ce roman !
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J'ai beaucoup aimé l'univers de ce roman. Le côté steampunk ajoute une touche d'originalité à ce monde empli de magie.



La plume de l'auteure est très agréable, c'est certain (même si je n'ai pas encore lu les larmes rouges), et le scénario est bien construit.



J'ai eu un peu plus de mal avec les personnages principaux. Andraste est très niaise même si son personnage évolue bien. L'attraction physique de Thadeus pour Andraste est très forte mais ne semble pas explicable. un récit centré sur la romance au détriment peut être du développement des pouvoirs d'Andraste qui sont finalement peu exploités et peu mis en valeur, ce que j'ai trouvé dommage.



Cependant, c'est un 1er tome très agréable à lire, et je me laisserai tenter par la suite.

Ce livre est une catastrophe. L'univers est creux et très peu développé, les personnages sont insupportables avec de la part du personnage masculin des attitudes et des propos extrêmement problématiques, violents, toxiques et misogynes. Le consentement est nié en permanence, le corps d'Andraste et des autres personnages féminins est vu comme une monnaie d'échange, et est un prétexte pour négocier des attouchements via une position de pouvoir (Thadéus est en mesure de fournir un enseignement à Andraste, mais son exigence ? Pouvoir la toucher où il veut quand il veut parce que BIEN SÛR une femme n'est qu'un réceptacle du désir masculin qui s'impose à elle). Et je ne parle même pas des réflexions sur les formes d'Andraste, un coup trop développées et donc pas jolies, un coup juste parfaites pour le regard masculin (bien sûr). Je suis VRAIMENT atterrée par ma lecture après tous ces commentaires élogieux.

Quant à l'histoire en elle-même, elle est creuse. Le dénouement est expédié en une trentaine de pages (surtout que la plupart des "révélations", je les avais devinées quasi dans les 50 premières pages) et manque de fond alors qu'on se traîne en longueurs tout le reste du temps à la poursuite de deux personnages qui sont insupportables.

Décevant, dangereux, un titre qui met en avant une "romance" toxique sous couvert d'attraction plus forte que jamais, justifiant des actes ignobles (et vas-y que je te force à me faire un baiser, et vas-y que je tente de te tuer car tu as tout d'une sorcière, et vas-y que je te force à m'épouser et que je t'enferme parce que c'est moi l'homme et le maître qui décide...).

Je suis profondément déçue et j'ai grande crainte de lire d'autres ouvrages de cette autrice...

Désolée, je vais me répéter par rapport au premier opus Hors de Portée. C'était sympa mais ce n'est pas mon roman préféré de Georgia Caldera. Une grosse impression de tourner en rond, de faire du sur place.

J'adore les personnages torturés de l'auteure. Surtout qu'ici Sonia m'a vraiment touché. J'ai connu un pseudo Geoffrey et aujourd'hui j'ai mon Axel. Une chose que je peux dire, c'est que l'auteure réussit avec brio le portrait de Sonia. Toute sa psychologie est respectée jusqu'à la dernière ligne. Ce besoin de paraitre superficielle, croqueuse d'hommes mais quand une personne gratte un peu, on découvre une réalité tout autre. Mais il y a un mais dans cette romance. J'ai trouvé le tandem Axel/Sonia, too much. Il manquait cette subtilité, j'ai eu l'impression de ne jamais avancer que ce soit dans les deux parties.

J'y crois au coup de foudre, à la difficulté de faire confiance à autrui, à la peur de l'inconnu, la peur de se jeter dans le vide et savoir se pardonner à soi-même. Dans cette duologie, tout est centré autour du tandem mais j'attendais aussi des nouvelles importantes sur Scarlet et Aiden. Je n'ai pas réussi à rentrer entièrement dans cette romance. Une impression de rester sur ma faim. Il me manquait un petit plus pour l'apprécier à sa juste valeur. C'est dommage car il avait un potentiel coup de coeur….

Une trilogie pleine de rebondissements, d’action et de suspense.



Les personnages sont bien travaillés, même si j'ai eu un peu de mal avec Cornelia. Elle est insupportable la plupart du temps, elle ne fait que critiquer Henri alors que c’est elle qui revient toujours en pleurnichant. En bref, un personnage féminin assez fatigant.



Henri, quant à lui est un personnage qu’on apprécie rapidement, mais j’avoue que je n’ai pas compris ce qu’il trouvait en Cornelia aussi bien en celle du passé qu’en celle du présent.



Séraphin a été mon personnage préféré dans le dernier tome.



La plume de l’auteure est un vrai délice et c’est ce qui fait que ces livres sont aussi prenants.



Elle donne du rythme à l’histoire grâce aux alternances entre les rêves et souvenirs de Cornelia, et son évolution dans le présent.



J’ai trouvé le premier tome excellent, les deux suivants légèrement en dessous car un peu plus long. Cependant, chaque tome avait sa part de révélations et de suspense qui fait qu’on ne pouvait plus lâcher le livre.



" Une trilogie pleine de rebondissements, d’action et de suspense qui vous tiendra en haleine du début à la fin.



Si vous aimez les histoires de vampires, laissez-vous séduire par la plume de Georgia Caldera qui ne vous laissera pas indemne. Elle a su créer des personnages forts et attachants dans un univers sombre et un décor des plus enivrant.
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Un second tome que j'ai enchaîné juste après avoir finis le premier tome vu que je l'avais également dans ma PAL pour le Cold Winter Challenge. Et franchement, le second est aussi bien que le premier...



L'histoire reprend alors qu'Emma s'est enfuie de chez Louis après avoir lu un texto. Leur amour encore fragile n'est pas assez fort pour exister face aux démons du passé hantant aussi bien Emma que Louis. Mais après une traversée houleuse, ils vont peut-être réussir à se retrouver et à se confier l'un à l'autre...



Vu que j'ai enchaîné les deux tomes, je n'ai pas eu de problème à me replonger dans l'histoire d'Emma et de Louis. Je dois dire que cette romance est juste trop géniale. Elle est lente et permet de bien comprendre chaque étape de la relation d'Emma et de Louis. Franchement, les thèmes abordés sont dans la continuité du premier tome, mais j'ai trouvé cela génial justement. Bref, une romance géniale est vraiment top que je recommande vivement.



Emma est une jeune femme qui n'a toujours pas confiance en elle. En plus, elle va décider de changer quand elle quitte Louis, pour lui montrer tout ce qu'il a perdu. Pourtant derrière, elle n'est toujours pas confiante et toujours aussi attirée par Louis. Elle est toujours aussi attachante cette Emma, même si elle manque de confiance en elle. Et au fil des pages, elle va se rendre compte qu'elle veut avancer avec Louis, mais que pour cela, elle va devoir se confier. Tu l'auras compris, comme dans le premier tome, j'ai adoré ce personnage.



Louis est complétement perdu quand Emma le quitte et lui fait alors vivre un enfer. Il va essayer de réfléchir et de tout faire pour récupérer celle qu'il aime, mais cela ne va pas être de tout repos. Je dois dire que j'ai beaucoup aimé sa détermination dans ce tome, il fera tout pour Emma et j'adore cela. Louis est un personnage qui a un passé très compliqué, comme Emma et il a du mal à se confier, tout comme elle. Du coup, cela m'a encore plus charmée dans ce second tome. Tu l'auras compris, je suis fan de ce Louis.



Le style d'écriture est toujours aussi addictif et descriptif. La plume de l'auteure est juste géniale et j'ai hâte de découvrir d'autres romans de cette auteure.



En général, un second tome qui est un coup de cœur comme le premier pour cette magnifique histoire entre Emma et Louis.
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Je suis frustrée : ce livre a une suite et se termine en queue de poisson !!! Si je l’avais su, j’aurais attendu que la suite sorte pour lire les 2 dans la foulée !!! Ahhhhhh !!! On reste sur des questions sans réponse, forcément. Il n’empêche, c’est un très bon livre où il est question de remise en question, d’estime de soi, de harcèlement scolaire, de mal être… Louis & Emma ne pourrait pas être plus à l’opposé l’un de l’autre mais tout va être remis en question et ils vont apprendre à se côtoyer puis se connaitre mais tout est loin de se passer sans problèmes. On a tour à tour le point de vue de l’un et de l’autre, ce qui permet de mieux comprendre les personnages mais comme je le disais, certaines questions n’ont pas encore de réponse à la fin du roman et du coup, certains aspect de la personnalité de Louis & Emma reste un peu flou. Si je n’ai pas complètement cerné Louis, Emma, quant à elle, mériterait quelques coup de pieds aux fesses, même si elle ne se laisse pas entièrement marcher sur les pieds. Les personnages sont bien travaillés, c’est bien écrit, maintenant j’attends la suite.

Ce roman m'a d'abord séduite par sa couverture (je parle de la couverture de la première édition du livre, édité à l'époque aux Editions du chat noir). Cette couverture était tout simplement magnifique. Elle attirait l'œil. Comme je suis faible, j'ai fini par lire le résumé et je me suis dit pourquoi pas ! Et je ne l'ai pas regretté. C'est un livre u peu plus sombre que ce que j'avais l'habitude de lire mais il faut parfois savoir sortir des sentiers battus. Cette romance vampirique est absolument fabuleuse et ce premier tome m'a donné envie d'en découvrir plus sur les personnages !
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À la mort de sa mère, Scarlett revient en région parisienne et crée une agence de décoration d’intérieur avec sa cousine Louise. Leur premier client ? Aidan Stern, un vrai mufle ! Mais séduisant… Et frère cadet du premier amour de Scarlett, Romain, qui lui a brisé le cœur au lycée.



Une romance française, une quatrième de couverture tentante, des héros pas plus stéréotypés que la moyenne, Hors de portée avait a priori tout pour me plaire. Une lecture détente, facile, mais qui m’a rapidement déçue.



La faute à qui ? Aux personnages, pas franchement charismatiques et assez agaçants ? À l’intrigue, assez répétitive, qui comporte beaucoup trop de longueurs (on aurait facilement pu couper la moitié du roman) ? Au style de l’auteure, qui accumule phrases nominales et vulgarités (non, répéter « Bordel » et « Connard » ne rend pas la narration plus fluide ni plus vivante) ? À son manque d’humour ? En tout cas, la sauce ne prend jamais vraiment.



Au final, reste l’impression d’avoir lu une pâle transposition française de romances américaines.

C'est au salon des Halliénnales 2014 que j'ai rencontré l'adorable et fantasque Georgia. A la base, j'étais surtout venue pour le premier tome de Victorian Fantasy et puis je me suis dit « Au diable l'avarice ! » et j'ai également pris le premier tome des Larmes Rouges qui m'avait été recommandé par l'auteur Adeline Dias.



Après ce petit intermède 3615 My Life, je peux vous dire que j'ai adoré ce premier tome !! J'espère bien que Georgia sera aux Halliénnales cette année pour que je puisse me faire dédicacer les tomes 2 et 3 !



Bref, entrons dans le vif du sujet ! L'histoire que nous conte Georgia est tout à fait singulière, et moi qui n'aime pas la bit-lit (Twilight m'a refroidie...), j'ai été agréablement surprise d'être ainsi happée par l'histoire dès les premières pages. La première partie du roman est sombre, angoissante, j'avais parfois l'impression de lire du Stephen King (ce qui est un compliment étant donné que c'est un de mes auteurs préférés!). Les réminiscences et les cauchemars de Cornélia sont troublants et, comme elle, on se demande le pourquoi du comment, même si au final, il est assez facile à deviner. L'auteur alterne parfaitement entre descriptions poétiques, phases d'action, rêves et phases de réflexions. Malgré les 760 pages du roman, on a toujours l'impression qu'il se passe quelque chose. De plus, il y a un équilibre parfait entre horreur et innocence, fascination et dégoût. De la poésie dans l'horreur, voilà qui rappelle un peu l'univers onirique de Tim Burton (je pense ici à Sweeney Todd).



En ce qui concerne les personnages, ils sont tous dotés d'une personnalité originale, surtout les vampires. On est loin des vampires-qui-brillent-au-soleil (si vous voyez ce que je veux dire...) : ici les vampires sont à double facette et peuvent se montrer tour à tour attentionnés et cruels. Henri est le personnage que j'ai préféré : mystérieux, sombre, cruel mais loyal. J'avoue avoir eu un peu plus de mal avec Cornélia, ce qui explique ma note. Je l'ai trouvée assez agaçante à pleurer sans arrêt et ses sautes d'humeur intempestives sont lassantes... Malgré tout, elle s'améliore vers la fin et j'espère que le tome 2 la verra plus mature. Les autres personnages sont intéressants, surtout chez les vampires. Je les ai tous aimés (ou j'ai aimé les détester, c'est selon !). Chez les humains, je n'ai pas particulièrement apprécié les personnages secondaires, à l'esprit trop étriqué, comme le père de Cornélia, Nathalie ou Maurice.



En bref, une plume et une histoire envoûtantes, il me tarde de lire la suite !
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Merci à Georgia Caldera pour m’avoir permis de découvrir sa nouvelle saga en avant-première en tant que bêta lectrice. Une saga bien différente des Larmes Rouges mais pas de doute, la plume de l’auteure ainsi que sa façon de faire languir le lecteur sont belles et bien présentes.

Cette fois, nous partons en Angleterre sous le règne de la Reine Victoria. Ce n’est pas l’Angleterre que nous connaissons mais une Angleterre où la magie a tout pouvoir. Au cours de notre voyage, nous allons rencontrer des hommes, des femmes mais aussi des créatures magiques très surprenantes.

Bien que différents personnages nous accompagne pendant ce premier tome, deux personnages sont au centre de cette romance paranormale : une femme, Andraste et un homme, Thadeus.

Je me suis rapidement attachée à Andraste qui est une jeune fille d’une vingtaine d’années, vierge. Pour une fois, sa virginité (bien que celle-ci ne soit pas choquante au vu de l’époque où se déroule l’histoire) est expliqué et logique. Cette demoiselle qui s’est toujours vu cloîtrée au sein du manoir familial est invitée à rejoindre le château royal. Elle va enfin pouvoir vivre sa vie, seule et libre. Enfin presque… Andraste est vraiment intelligente, maline et a un fort caractère. Au cours, de ma lecture, je me suis retrouvée à régulièrement penser comme elle, à m’identifier en quelque sorte à elle.

Thadeus, fils aîné d’un duc, appartient à une famille qui semble avoir une haute importance aux yeux du royaume. Pourtant, cette famille est touchée par une malédiction que Thadeus va essayer de rompre. Cet homme intelligent ne sait absolument pas s’y prendre avec les femmes ce qui va engendrer des scènes assez drôles mais tombant sous le charme d’Andraste dès le premier regard, il va apprendre à se comporter comme un gentleman. J’ai d’abord aimé puis détesté puis aimer… ce personnage masculin.

Les autres personnages de ce roman sont très difficiles à cerner. En effet, l’auteure nous donne que peu d’informations à leur sujet, juste ce qui est nécessaire à la compréhension de l’histoire. C’est très frustrant mais Georgia Caldera sait s’y prendre pour nous frustrer, nous faire languir. Elle sait nous amener à nous poser des questions auxquelles elle donne parfois réponse et d’autres pour lesquelles il faudra patienter.

C’est avec plaisir que j’ai retrouvé le style de l’auteure. Dès le premier chapitre, on cerne l’univers dans lequel va se dérouler l’histoire même si au cours de celle-ci on découvre des nouveautés. Georgia Caldera a fait le choix de nous offrir des chapitres avec des points de vue différents. En effet, les chapitres sont racontés avec le regard des personnages ce qui apporte un plus à l’histoire. La fin de ce premier tome laisse entrevoir une suite avec d’autres personnages. Certes, je suis déçue de quitter Andraste et Thadeus mais d’un autre côté, je ne vois pas trop quelle suite aurait été possible avec ces deux personnages. Qui dit romance paranormale dit scènes érotiques. Si je devais reprocher quelque chose à ce premier tome, c’est peut-être qu’une ou deux scènes supplémentaires n’auraient pas été de trop. Surtout des scènes vues par Andraste. Le premier tome des Larmes rouges n’aborde pas la sexualité, de ce fait, je pensais l’auteure peu à l’aise à ce type de scènes. Ce livre montre bien le contraire. En effet, Georgia Caldera décrit ses passages avec beaucoup de sensualité et d’érotisme sans jamais de vulgarité.

Pour conclure, une nouvelle saga très prometteuse dans un univers où la magie est reine.
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Encore plus addictif que le premier. Dès qu'on le repose parce qu'il est plus que temps de partir au travail et alors qu'on n'a pas mangé, car il est très tard dans la nuit et que le lever est pour bientôt, on n'a qu'une envie c'est de le reprendre pour lire encore un chapitre. Et un chapitre. Et encore un dernier chapitre. Plus de 750 pages lues en trois jours. Vraiment je n'ai jamais vu ça.

Alors oui le deux est encore mieux que le un. Bel exploit !

En effet Cornélia est moins exaspérente et se dévoile peu à peu. Henri reste mystérieux mais on en apprend beaucoup sur lui. Et leur relation est simplement insoutenable pour nous pauvres lectures dont les nerfs sont parfois mis à mal ! Un nouveau vampire fait son apparition et on n'oublie pas pour autant Avoriel.

Un monde vampirique très bien maitrisé et absolument pas cucu. Et l'écriture est toujours fluide.

J'ai vraiment hâte de découvrir le troisième et dernier tome de cette série. Et dire que j'avais hésité à acheter le premier !!!^^

J'ai découvert l'univers de Georgia Caldera par le biais des réseaux sociaux (comme quoi, ça peut être utile), plus particulièrement grâce à ses magnifiques illustrations qui m'ont tout de suite attirée. Alors aujourd'hui, je souhaitais vous parler de son livre qui est une fabuleuse découverte... C'est un énorme, voir gigantesque coup de coeur pour moi, car en aucun cas je ne m'attendais à ce que cette histoire ne m'emporte à ce point. Ce livre a soigné sans problème ma déprime post-Barrons, car depuis ma lecture du dernier tome de MacKayla Lane, j'avais tendance à avoir la tête un peu ailleurs...



C'est l'histoire d'une jeune fille, Cornélia, qui est très mal dans sa peau et veut en finir. Mais sa tentative de suicide va littéralement bouleverser sa vie, car à la suite de cet évènement, elle ne sera plus jamais la même. Tout laisse à penser que Cornélia devient folle à lier : ses cauchemars l'empêchent de dormir, ses visions la hantent et la traumatisent... Et elle ne cesse de penser à ce châtelain : Henri de Maltombes apparu si soudainement dans sa vie. Que lui veut-il, et quelle est la signification de tous ses cauchemars ? Pourquoi ses pensées la tourmentent tant ?



Je trouve le synopsis parfait : clair et intriguant, il attise la curiosité en dévoilant juste ce qu'il faut tout en ne spoilant pas. Vu qu'en ce moment la mode est aux synopsis qui résument la moitié du bouquin, je n'en dirai donc pas davantage dans mon petit résumé personnel. C'est un livre dont il faut découvrir l'histoire par soi-même pour l'apprécier comme il se doit.



Alors, pourquoi ce livre est-il un gros coup de coeur pour moi ?



Et bien parce que j'ai absolument tout aimé...



L'histoire sort du lot concernant tout ce qu'on peut lire en littérature fantastique mettant en scène des vampires. Ça change beaucoup du schéma : "humaine qui rencontre un vampire - elle en tombe amoureuse - ils se battent contre les méchants - ils finissent ensemble et il finit par la transformer". Ici, on retrouve des vampires à leur état le plus naturel : ils sont cruels ! Ils ne cherchent pas à faire copain-copain avec les humains et n'hésitent pas à participer à des orgies de sang. Âmes sensibles, ne vous inquiétez pas, ce n'est pas gore à l'extrême, mais c'est vraiment agréable de retrouver des vampires, des VRAIS ! On en aurait presque oublié leur vraie nature... Il y a quand même quelques "résistants" qui ont du mal à accepter ce qu'ils sont, mais au final on peut dire que ça ne leur réussit pas de contrer leur nature...



Alors oui, c'est encore une histoire de vampires (mais que voulez-vous, je les adore, plus j'en lis mieux c'est !), mais ce n'est pas JUSTE des vampires. Cette histoire est intense en tout ! Intense dans la manière dont elle est écrite, intense en émotions transmises... tellement intense que je n'arrivais plus à lâcher mon livre et que j'étais dans ma petite bulle pendant ma lecture.



Pourtant il n'y a pas beaucoup d'action, car l'intrigue qui progresse lentement se concentre principalement sur la quête d'identité de l'héroïne, mais j'étais comme hypnotisée par l'histoire en elle-même qui alterne la réalité et les songes de Cornélia. C'est très frustrant d'assister à son mal-être et de ne pas connaître les raisons de sa folie. Alors on lit un chapitre, puis deux dans l'espoir d'en savoir plus... dans l'espoir que ses rêves nous révéleront de nouveaux indices. C'est fascinant de progresser dans cet univers très noir, suffoquant... voir même morbide par certains aspects. Certaines scènes sont d'ailleurs particulièrement effrayantes : à vous hérisser les poils de bras !!! J'aurais adoré qu'il y ait encore plus de scènes de ce type. Elles sont décrites avec une telle netteté qu'il est difficile de ne pas se les imaginer précisément... frissons garantis !



Je suis tombée sous le charme de Cornélia : elle paraît si fragile, si douce au début de l'histoire que je n'ai eu aucun mal à m'identifier à son personnage, vivant ses émotions à travers elle. Mais chapitre après chapitre, elle évolue : elle est de moins en moins faible et son caractère se renforce. Et Henri... enfin un vampire digne de ce nom ! Ayant beaucoup souffert par le passé, il est devenu froid comme la pierre (sans mauvais jeu de mot). Leur relation est assez chaste, fragile, donc ne vous attendez pas à une relation olé olé, mais elle n'en est pas moins magnifique. Cornélia, en chassant progressivement l'amertume d'Henri, va lui permettre de s'ouvrir davantage à elle et d'évacuer toute cette rancœur qui le ronge. J'ai vraiment adoré leur histoire, si belle mais si tragique.



En résumé, n'hésitez pas à lire ce livre. C'est une vraie petite perle du genre, alliant gothisme, romantisme, à un univers ensorcelant. Si vous souhaitez plonger davantage dans l'univers de Georgia Caldera, un art-book des illustrations du livre est également en vente aux éditions du Chat Noir. Un vrai plus pour accompagner la lecture... Personnellement j'ai les deux, et je suis très admirative du travail réalisé par Georgia Caldera, qui compte désormais une fan de plus à son actif !
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Whaow ! C’est le premier mot qui m’est venu à l’esprit juste après avoir tourné la toute dernière page des Larmes Rouges. Car c’est le genre de livre où l’on est tellement emporté par l’histoire, au point que l’on y consacrerait volontiers plusieurs nuits blanches pour le lire. Je savais que le roman de Georgia Caldera me plairait, j’avais lu de très bons avis le concernant mais j’étais très loin du compte. En réalité j’ai ADORE, du début jusqu’à la fin. Ce livre est pour moi un très gros coup de cœur... Lire la suite sur le blog.


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Vous connaissez mon amour pour les couvertures et forcément j’ai craqué pour ce visuel.

J’ai eu énormément de mal à rentrer dans cette lecture. Peut être du au fait que c’était en audio et qu’il y a beaucoup de personnages avec des noms assez complexes à consonance grecque. J’ai même pensé à abandonner mais je ne fais jamais ça à la légère.

En plus pour ne pas aider, la voix qui fait « Verlaine » n’est pas du tout agréable. Ça n’aidait pas.

Mais j’ai tenu bon car finalement l’histoire de Céphise m’intriguait.

Une dystopie post apocalyptique, où le Dieu Orion règne sur les déités et ce qu’il reste des hommes.

Utilisés, rapiécés, sacrifiés, les humains ne sont que peu de choses dans ce monde et Cephise en a fait les frais. Mais elle est particulière.

Une histoire qui n’a vraiment réussi a m’intriguer que dans le dernier tiers. La fin quant a elle, appelle à interrogations donc je lirais la suite.

D’un point de vue des protagonistes principaux, je n’ai pas trouvé Céphise très attachante malgré ce qu’elle a vécu en début de lecture. Verlaine est très particulier et si je l’ai détesté au début, il me touche à la fin.

Le titre aurait du me mettre la puce à l’oreille.

Les larmes rouges, c’est l’histoire de Cornélia, qui pleure. Tout le temps. A chaque chapitre.



Cornélia a 19 ans et elle est très triste parce que personne ne l’aime. Du coup elle tente de se suicider en se jetant d’un pont. Un bonhomme mystérieux la sauve de la noyade et il se trouve que c’est aussi son voisin dans le petit village paumé où son père a décidé de s’installer pour qu’elle se repose. D’ailleurs elle va avoir le temps de se reposer puisqu’elle ne fiche rien de ses journées à part courir à travers les bois pour rendre visite à son voisin taciturne qui est grognon. Et à pleurer à cause de ses cauchemars.



Ce livre est beaucoup trop long et ce n’est qu’un premier volume de trilogie. Ces 760 pages auraient vaguement pu être dynamiques si le livre n’en avait fait que 250 parce qu’on tourne en rond, on ressasse les mêmes idées et on est enfermé dans la vie monotone de Cornélia qui n’est pas du tout intéressante.

J’ai eu un sursaut d’intérêt sur la fin qui devient un petit peu mieux et qui connait quelques rebondissements, ce qui coïncide d’ailleurs avec la sortie de ce village où on navigue entre deux personnages. Mais l’héroïne est infernale jusqu’au bout, elle est odieuse avec a peu près tout le monde et le fameux voisin est lunatique (et ce n’est pas son mystérieux secret qui permet de passer outre son comportement).

Il y a pourtant des personnages qui auraient vaguement pu être bien, comme le père ou la propriétaire du restaurant d’a côté mais Cornélia préfère bouder.



Bon courage, il y a encore deux tomes après mais ça sera sans moi.
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Je découvre la plume de Georgia Caldera avec ce titre qui m'a attiré par sa jolie couverture.

Les deux personnages principaux ne se supportent pas mais sont obligés de prétendre vivre en couple marié. Un jeu de dupes au sein de royaumes rivaux mais qui doivent s'allier face à la menace de la Tour des damnés.

Auréa est une Thaumaturge au service du reinaume de la Tour du Printemps. Elle est aussi une puissante Chasseresse de l'Ordre.

Rozarian est le fils héritier de la Tour de givre.

Une lecture très addictive et agréable bien que centrée sur la romance, l'enjeu mis en place est intéressant. La menace de la Reine des damnés vient mettre en péril la tranquillité des différentes tours.

Une lecture plaisante avec une alternance de point de vue ce qui permets de s'attacher aux personnages centraux.

Je lirais d'autre romans de l'autrice.

Bon, je crois que je vais faire le deuil des écrits de Georgia Caldera après les avoir grandement apprécié il y a une petite dizaine d’années. Je pense que je laisserai une dernière chance à ses récits imaginaires mais pour ce qui est des romances, c’est fini.

Je vais essayer d’expliquer au mieux mon ressenti. Ce qui m’a agacée dans cette lecture, c’est le postulat a priori féministe du personnage principal. L’autrice nous montre une femme qui veut prouver au monde que l’on peut être heureuse seule et que l’on n’a pas besoin d’être en couple pour trouver le bonheur. Mais, à la fin de l’histoire, le personnage de Romy va remettre en cause ces faux-semblants et avouer qu’en fait, elle se mentait à elle-même. Pourquoi pas, c’est une évolution plausible. Mais voilà, ce qui me dérange c’est que cette évolution me pousse à lire le message suivant : les femmes qui, dans la vraie vie, déclarent et affirment à tue-tête être heureuses seules ne font en fait que se mentir à elles-mêmes. Moi, c’est ce que je lis et cela m’agace profondément. Vous savez c’est comme le non qui veut dire oui. Parfois, dans certaines situations, c’est vrai (le fameux « Tu veux reprendre du dessert ? Non, c’est bon merci. Tu es sûre ? Bon allez une petite part alors ») mais parfois ça ne l’est pas également. Et bien là c’est pareil, parfois des personnes seront comme Romy- se disant heureuses seules mais qui en fait ne le sont pas vraiment- mais parfois elles seront réellement heureuses en étant célibataires. Si, si c’est vrai. Et là, le fait que l’autrice martèle sans cesse que sa Romy est une féministe (dans le sens, refuser tout ce qui vient de l’homme) ultra-indépendante pour mieux démontrer que cet apparent bonheur n’était que factice par la suite, fausse complètement l’idée même que l’on puisse sincèrement être heureux/se seul/e. Sans avoir besoin de se justifier. Alors oui, j’aurais préféré lire l’histoire d’une femme qui n’a pas de problème avec le fait d’être célibataire mais qui ne s’empêche pas pour autant de vivre une histoire avec un homme si cela matche avec lui. J’aurais aimé lire l’histoire d’une femme indépendante qui ne cherche pas à tout prix à ce caser mais qui ne se cache pas derrière des prétextes fallacieux pour s’empêcher de se mettre en couple pour ne pas « casser » son image de « femme forte » auprès de son entourage. Oui, se mettre en couple n’est pas une faiblesse et l’on peut tout à fait être une femme indépendante même quand l’on est en couple. Voilà le message que j’aurais aimé déceler dans ma lecture. Mais là, j’ai eu l’impression d’avoir le droit à la mise en récit qui cautionne la fameuse messe basse qui se dit entre filles en couple qui parlent de leur pote célib’ « elle dit qu’elle est heureuse seule mais je suis sûre que c’est pour garder la face en société et que ce n’est pas vrai ». Il est ressorti de ma lecture une désagréable impression que ce roman cautionnait cet adage, donc...

Bref, j’aurais préféré que l’autrice, sous couvert de donner une touche actuelle à sa romance on ne plus classique, se passe de ces relents soi-disant féministes pour construire son personnage principal.

Autre chose aussi, je pense qu’à un moment il faut arrêter de présenter sans cesse dans les romans chick-lit des soirées entre filles alcoolisées qui permettent de « surmonter » des problèmes. Cette glamourisation de l’alcool dans ce type de littérature commence vraiment à me saouler (sans mauvais jeux de mots). Merci donc aux auteur/ices de montrer qu’il est possible de s’amuser et d’avoir des discussions/confessions personnelles entre ami/es sans pour autant se noyer dans l’alcool.

En somme, j’ai écrit un pavé sur ce qui était pour moi le point noir de cette romance. Mais celui-ci ne sera peut-être qu’un détail sans conséquence pour certains qui n’auront pas la même lecture de l’évolution du personnage que moi. Mais voilà, j’ai parfois tendance à me focaliser sur les détails qui me gênent et le fait qu’il soit ici répété à longueur du roman n’aide pas à l’oublier…Bref, mis à part cela, on a une romance entre deux êtres cabossés qui apprennent à se connaître et à s’apprécier. Rien de bien neuf sous le soleil, donc. Mais je pense sincèrement que j’aurais plus apprécié cette histoire banale sans les petites réflexions pseudo-féministes qui émaillent le récit.

Donc, comme dit en début de critique, j’arrête les romances de Gerogia Caldera mais je retenterai une ou deux lectures de ses œuvres imaginaires, genre qui m’avait fait aimer les histoires racontées par cette autrice. On croise les doigts pour que ça le fasse…

Après une vague de bonnes lectures, me revoilà avec de moins bonnes.

J’ai tenté ce roman en audio, chose que je ne regrette pas, sinon, je ne suis pas certaine que je serais allée jusqu’au bout.



Mais, c’est aussi un peu ma faute, je n’ai vu qu’après qu’il y a avait de la romance et ce n’est vraiment pas ce dont je raffole, les amours d’adolescence. Alors, je ne pense pas aller jusqu’au bout de cette histoire.



Mais j’ai bien envie de retenter un autre livre de cette autrice si je trouve quelque chose d’un peu moins young-adult.

un roman de Georgia Caldera toujours aussi emprunt de justesse et avec une belle plume. Le livre se lit très bien et on se plaît à découvrir l'ambivalence des sentiments des deux protagonistes. il y a peu d'action certes mais une vraie montée en puissance et en profondeur de chacun des états d'âme des personnages. hop je lis la suite tout de suite.