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Critiques de Géraldine Dalban-Moreynas (190)
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On ne meurt pas d'amour

Roman écrit pour bobos parisiens en mal d'émotions qui viendraientt casser le quotidien soporifique de petits déjeuners avenue de la Grande Armée, de champagne et de lofts rénovés........Pourtant, si le propos est téléphoné, voire bêta, l'écriture emporte le lecteur grâce au mécanisme de la dépendance affective que l'auteure semble avoir vécu de plein fouet ! Un roman à lire d'une traite.
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On ne meurt pas d'amour

Belle écriture facile à lire mais tellement banal

Il n'y a aucuns prénoms c'est un petit peu déstabilisant au début mais on s'y fait
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On ne meurt pas d'amour

C'est mal écrit, impersonnel, sans âme, l'histoire traîne en longueur jusqu'à la fin. On tourne autour du pot. La fin est nulle.

Prix du premier roman 2019 ???? Prix pour son premier roman nul.

Ne perdez pas votre temps à le lire.

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On ne meurt pas d'amour

Ce roman est totalement, complètement addictif. Il vous envoûte.



Cela pourrait être vous… Une histoire au sujet universel. Ces deux-là sont au départ de simples voisins. Toute leur vie semble réglée comme du papier millimétré. Oui mais voilà c’était sans compter sur la passion qui va les engloutir.



Oui c’est bien le mot « engloutir » car rien ne peut résister à ce tourbillon, cet amour fou qui les anime. Le feu brûle entre eux. Rien ne peut les séparer… Quand ils se regardent, quand ils sont ensemble, quand ils se devinent à travers les vitres de leurs appartements respectifs… Ils se consument d’amour l’un pour l’autre. C’est beau, magnifique. Oui mais ensuite, on revient sur terre. C’est une relation adultérine. Elle est en pleins préparatifs de mariage quand lui est un jeune papa.



Peut-on tout laisser derrière soi pour vivre une histoire passionnelle ? C’est bien la question que pose ce roman ?



L’un et l’autre n’auront pas la même façon de gérer cette histoire, évidemment. C’est une vraie histoire d’amour que nous décrit Géraldine Dalban-Moreynas. Un amour fou, qui pourrait tout ravager juste pour exister.

Oui mais encore une fois, elle va le vivre à sa manière. Lui à la sienne. Finiront-ils ensemble ? Enverront-ils tout valdinguer au mépris de tout, juste pour vivre leur bonheur de façon pleine et entière. Et pour assouvir cette soif inextinguible qu’ils éprouvent l’un pour l’autre. S’autoriseront-ils à vivre cet amour au grand jour ?



Oui vous l’avez compris ce roman fait réfléchir mais il décrit l’amour avec une telle force. C’est sublime et douloureux à la fois !


Lien : https://jadorelalecture.com/..
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On ne meurt pas d'amour

« On ne meurt pas d'amour » est un premier roman de Géraldine Dalban-Moreynas. Je m'attendais à lire une histoire d'amour passionnée, fiévreuse, et … j'ai été dérangée par le style de l'auteure. Ses phrases me font penser à un télégramme. Les phrases sont courtes, brutes et froides. Le côté anonyme des personnages (« il » « elle ») aussi m'a embêtée.

J'ai lu la biographie de l'auteure et j'y ai retrouvé des éléments du roman (journaliste puis communicante politique). Du coup, je me demande si le roman est autobiographique.

Je suis passée à côté de ce roman, lu très vite hier soir.

Dommage.

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On ne meurt pas d'amour

Je remercie les éditions Plon, et Masse Critique de Babelio, de m'avoir adressé On ne meurt pas d'amour, de Géraldine Dalban-Moreynas.



L’auteure nous décrit l’histoire d’un coup de foudre entre « elle » et son voisin « il », des Parisiens bobo. La vie de chacun est parfaite : fiancée et préparation du mariage pour « elle », marié avec un enfant pour « il », pas de soucis d’argent, ni de tracas du quotidien, des situations de travail stables et une facilité pour tout.



Géraldine Dalban-Moreynas décrit avec perfection la vie d’une passion, les étapes lorsqu’on tombe amoureux.

Cependant, je n’ai pas accroché au style choisi, il est froid avec des phrases courtes et synthétiques. De plus l’absence de prénoms crée une distance, comme un filtre.

Dès les premières lignes, j’ai pensé à la chanson de Francis Cabrel : Samedi soir sur la Terre. Le récit de cette histoire m’apparait comme un fait banal, qui arrive si souvent qu’il n’est pas nécessaire d’identifier les personnages, on fait juste un constat ….



Un évènement avant la fin m’a marqué : il m’a même dérangée ; j’ai ressenti de l’injustice, du désespoir, de la colère : pourquoi ce choix et en même temps, il clôture bien la fin de vie d’un coup de foudre.



Finalement, le choix de la description est important : elle permet d’emporter ou pas certains lecteurs ; je n’ai pas ressenti la force des sentiments, pourtant implicitement prévu par le titre.
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On ne meurt pas d'amour

J'ai reçu ce roman via l'opération Masse critique de Babelio, et je dois avouer qu'il m'a laissée dubitative… Mais dans le bon sens du terme. En fait, il réunit pas mal d'éléments qui (normalement) m'auraient fait déprécier l'histoire, et pourtant j'ai (étonnamment) adoré.



Il s'agit là d'une histoire extrêmement banale : “Elle”, qui emménage avec son fiancé qu'elle doit épouser d'ici quelques mois ; “Il”, qui emménage avec sa femme et sa fille dans la même résidence. Pas de prénoms, ni pour les deux personnages principaux, ni pour les conjoints, ni pour aucun autre personnage, d'ailleurs. Simplement des pronoms et des noms communs : la femme ou l'épouse ; l'homme ou le fiancé ; Il ou Lui ; Elle. Bien sûr, pour Elle et Lui, c'est le coup de foudre, bien qu'ils cherchent à tout prix à l'ignorer… jusqu'à ce qu'ils ne le puissent plus. Alors tout éclate.

Une histoire banale, certes, mais pas que...



C'est une histoire racontée de manière un peu décousue, dans le sens où nous avons là une juxtaposition de scènes et de descriptions sans transition, de phrases (parfois très courtes) qui s'enchaînent comme des énumérations. Mais toujours avec logique, toujours de manière chronologique, au présent, sans vraiment de retour dans le passé. Cela rend le texte un peu mécanique, froid, je trouve, comme la manière dont sont décrites les scènes intimes. Tout ce que je n'aime pas dans un roman. Pourtant…

Pourtant je n'ai pas pu le lâcher. Ce livre, je l'ai lu d'une traite, sans m'arrêter, même pour manger. Pourquoi ? Les émotions, que j'ai trouvées absentes dans ces scènes intimes, elles étaient ailleurs. Car nous avons également droit à leurs échanges de mails et de sms : et c'est à travers leurs écrits à eux, que tout passe. C'est là que tout est concentré. Tous leurs sentiments, c'est quand ils les décrivent avec leurs propres mots qu'ils m'ont le plus touchée. Alors que je lisais le reste du texte avec automatisme, dès que leurs échanges écrits apparaissaient, je devenais automatiquement plus attentive. Pourtant je ne suis pas une adoratrice des romans épistolaires, au contraire, ils ont tendance à vite m'ennuyer. Mais là il y a une forme d'équilibre dans l'alternance entre récit et conversations écrites qui donne une agréable fluidité à l'histoire.

Quant à la fin… Cette fin, je l'ai à la fois aimée et détestée. Sans la dévoiler, bien sûr, je peux tout simplement dire que je l'ai aimée car elle brise la banalité de l'histoire racontée, et je l'ai détestée car elle brise tout.



En bref, On ne meurt pas d'amour, malgré ses défauts, fut une agréable surprise pour moi, mon petit coup de coeur de cette Rentrée Littéraire 2019.
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Elle voulait juste être heureuse

Un mariage, un enfant, une rupture, une appli de rencontre, un clic, une nouvelle histoire d’amour, une autre rupture, des projets pour se changer les idées et éviter la routine, une relation avec un ami, de nouveaux projets, une nouvelle rencontre, une nouvelle rupture, une nouvelle vie.



Le nom du personnage principal n’est jamais cité. C’est « elle ». Cela donne à l’histoire une valeur universelle. De nombreuses personnes pourraient se retrouver dans ses relations et s’identifier à son personnage.



Ce roman, c’est un peu son journal intime. On suit sa vie sur plusieurs années. Les dates défilent entre le 1er septembre 2015 et le 4 janvier 2020. On la suit entre Paris, Marrakech et New-York.



C’était une lecture sympa et rapide mais sans plus. Ce n’est pas très recherché, ce n’est pas très détaillé, ce n’est pas très profond. Les jours et les événements s’enchaînent sans qu’il y ait de message ou de réflexion derrière.

Je ne me suis pas non plus attachée aux différents personnages que je trouve légers, quelconques et pas du tout intéressants.



En bref, les pages se tournent facilement grâce aux chapitres courts, à la mise en page fort aérée et au dynamisme du récit mais l’histoire manque cruellement de profondeur et d’émotion.
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On ne meurt pas d'amour

J'adore découvrir les premiers romans, et les nouvelles plumes, et celle-ci m'a, je dois bien l'avouer, bouleversé.



Nous voici transportés par un véritable coup de foudre amoureux. Tout comme nos personnages on a des papillons dans le ventre, et on vit dans cette attente de se retrouver... Mais la vie est loin d'être un conte de fée...
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On ne meurt pas d'amour

Risque avéré pour ce roman dont j'ai trouvé l'écriture relativement plate malgré une rythmique voulue haletante via des phrases courtes. Une histoire d'amour qui n'a pas réussie à me transporter malgré les tentatives de l'auteur. Dommage. Roman oublié aussi rapidement que sa lecture. Ce livre est petit (environ 200 pages ). C’est très redondant et nous devinons facilement la fin de l’histoire. Il n’y a pas de prénoms aux personnages. C’est que des « il » et « elle ». Parfois on se perd… Ce livre est mauvais. Non pas que cela soit mal écrit, c'est plutôt toutes les allusions pour planter le décor et l'univers des protagonistes. Pour faire simple, l'histoire est bof, et transpire le déballage de la mythologie personnelle de l'auteure. C'est très égocentrique !




Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Elle voulait juste être heureuse

Avec ce deuxième roman, l’auteure nous emmène dans une quête du bonheur d’une femme divorcée. Fragile, elle va devoir se reconstruire petit à petit et reprendre goût à la vie.



Le langage est familier et sans filtre. Le style est direct et l’auteure va droit au but dans son récit. La plume a une belle fluidité. L’espoir et la résilience sont les maîtres mots.



Les thèmes abordés sont intéressants mais les événements s’enchaînent un peu trop rapidement. Il m’a manqué plus de profondeur dans l’histoire. J’aurais aimé en apprendre un peu plus sur les protagonistes et leur passé.



L’auteur utilise uniquement les pronoms « il » et « elle »,pour citer les personnages. La lecture peut paraître un peu étrange parce qu’on ne sait jamais qui dialogue avec qui et c’est assez perturbant.



Vous l’aurez compris, je suis un peu déçue de cette lecture mais je vous invite à le lire pour vous faire votre propre avis.
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Elle voulait juste être heureuse

Dès les premières pages, on reconnaît rapidement la plume de l’autrice. Et cette façon de raconter,sans prénom et à la vitesse grand V. Pour moi, ça fonctionne !



J’ai adoré la première partie du roman. Ça frôlait le coup de cœur. Une histoire d’amour passionnée, une femme qui n’y croyait plus, le rêve d’une famille recomposée heureuse et unie, le rêve du bonheur que l’on affiche à grands coups de photos sur Facebook ou Instagram, les désirs, l’espoir, les compromis et… la chute, la perte, la douleur.



C’est au travers des coups durs que notre personnage principale tentera de se relever, se choisir, s’aimer, s’épanouir. J’ai trouvé cette deuxième partie du roman parfois un peu longue. J’ai moins apprécié tout ce qui touchait au côté « administratif, entreprise ». J’aurais sauté certains passages qui m’apparaissaient « moins intéressants ». J’ai toutefois adoré ces nombreux allers et venus au Maroc et être témoin de ses rêves qui s’éveillent en elle.



Ce ne fut donc pas un coup de cœur quoi qu’il y était presque en première partie mais j’ai tout de même passer un agréable moment de lecture



Je lirai assurément le prochain, s’il y a 😉…





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On ne meurt pas d'amour

Ce roman est un ouragan, c'est puissant, violent... et beau.

Géraldine Dalban-Moreynas ne prend pas de pincettes pour décrire les sentiments, la passion, les doutes, les plaisirs et les peines. C'est brut !

Les chapitres sont courts, les phrases aussi, le tout impulse un rythme effréné et haletant à cette histoire d'amour hors norme. Une passion dévastatrice. Une lecture dont on ne sort pas tout à fait indemne...

Je crois que l'auteure a écrit un autre roman, si c'est le cas, je ne tarderai pas à le lire.

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Elle voulait juste être heureuse

Je suis plutôt mitigée sur ce livre. Roman ou docu-fiction, je ne saurais pas trop dire. Le thème de société et d'actualité est bien pensé mais en avançant dans les pages, c'est un peu redondant, pas de réelle histoire. Cette femme a été quittée du jour au lendemain, alors qu'elle se pensait heureuse, en "sécurité" dans ce couple, ce cocon familial. Comment refaire confiance? Comment croire au bonheur? Comment se remettre d'une rupture si soudaine?

Je l'ai lu mais ce livre ne m'a rien apporté je trouve. Pas plus d'émotion que cela.
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On ne meurt pas d'amour

 

Envie de partager ce livre parce que...

 

... Une fois commencé, impossible d'arrêter la lecture. Tout dans ce roman vous déstabilise. L'histoire, tout d'abord. Oubliez tout ce que vous avez pu lire en matière d'amour ou de romance. Ici, le décor est planté : on nage dans les eaux profondes et troubles de la passion interdite. Oui, je vous parle d'adultère. Âmes sensibles s'abstenir ! Ils se rencontrent, ont le coup de foudre et vivent une passion enflammée, dévorante... destructrice. Personne ne sera épargné.

 

... Le réalisme avec lequel cette histoire est contée est saisissante. Géraldine Dalban-Moreynas décrit une relation puissante entre deux êtres avec une justesse terrifiante. Oubliez l'idée d'une romance romancée, en lisant "On ne meurt pas d'amour", vous aurez l'impression de lire la vie, la vraie. Toutes les phases d'une passion sont présentes, à tel point que je me demande s'il ne s'agit pas d'un témoignage. Brut. Sans concession. Objectif.

 

... L'écriture, enfin. Oubliez [également] tout contexte : l'auteure va à l'essentiel. Et là, j'avoue avoir pris une claque. Elle se concentre sur les deux amants, leurs besoins, leurs échanges, leurs sensations. Même les prénoms sont superflus ! Les phrases sont courtes, précises, nombreuses et toutes au présent. Cela participe à cet effet brutal. Plus j’avançais dans la lecture des 46 chapitres, plus je retenais mon souffle. On aime, on angoisse, on profite et on hait avec eux.

Une vraie expérience de lecture.

Une claque.
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On ne meurt pas d'amour

J’ai eu du mal à me mettre dans les 30 premières pages. Je regrette le manque de description et le prénom des personnages afin de pouvoir y rentrer plus facilement ainsi de s’imaginer l’histoire.



A part ça, c’est une belle claque ! La fin est surprenante, je ne m’y attendais absolument pas.

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On ne meurt pas d'amour

Le livre n'est pas un roman mais un récit type journal intime dont sa place aurait dû se trouver dans les rayons témoignages. J'ai trouvé le traitement des deux personnages par l'utilisation du il/elle intéressant. Cependant, pour venir contrebalancer cette distanciation audacieuse, il aurait fallu donner beaucoup plus de reliefs aux personnages, de profondeurs, d'émotions, bref du romanesque. Au lieu de ça, le style et le traitement du texte reste brut et désincarné. Du coup je ne m'attache pas aux personnages. Les passages de sexe m'ont donné l'impression qu'ils étaient là pour atteindre la taille roman. Il en résulte un sentiment de lire non pas une histoire d'amour mais une histoire de pulsions sexuelles. A moins que l'amour ne soit qu'une histoire de pulsions sexuelles pour l'autrice ? Si tel est le cas, il faut détailler car derrière, il y a les yeux d'un lecteur qui ne comprend pas ce qu'il est en train de lire.
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Elle voulait juste être heureuse

Si j''ai adoré son premier livre pour sa puissance des mots, des personnages, l'alchimie que j'avais ressenti. Dans celui ci j'attendais de retrouver la plume puissante de l'autrice, celle qui m'avait incroyablement séduite.

Ce roman se compose de plusieurs parties, si j'ai adoré la première parties, si j'ai aimé l'ambition et la remise en question de l'héroïne tout au long de ma lecture, j'ai malheureusement pas adhéré à l'histoire complète, tout va beaucoup trop vite, j'ai même eu l'impression de lire l'autobiographie de l'autrice et ressenti un côté un peu nombriliste et là ça m'a encore moins emballé et beaucoup dérangé, la découverte du prénom de l'héroïne m'a encore plus déstabilisé à la fin et encore moins convainu !!! ... Et pourtant je n'ai pas réussi à vraiment le poser, je l'ai lu avec l'envie de le poursuivre quand même espérant réussir à me plonger intensément dedans ...



Je l'attendais avec tellement d'impatience, je suis déçu que ça n'ai pas matché autant qu'avec le premier....



C'est donc une déception.m mais nos lectures ne peuvent pas toujours être des coups de coeur !!!











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Elle voulait juste être heureuse





Ce récit, c’est celui d’une tranche de vie, celle de « Elle », qui enchaîne les déboires amoureux . En effet, elle voulait juste être heureuse mais les hommes qu’elle rencontre ici et là rendront son bonheur bien éphémère.

Alors , elle rebondit , et trouve son équilibre en amorçant progressivement un joli changement de vie professionnelle., une sorte de reconversion, où elle met à profit son expérience acquise depuis quelques années pour créer M.conceptstore. Cette idée naît à Marrakech, un endroit où elle se sent véritablement bien, chez elle. Ses allers retours entre Paris et le Maroc vont lui apporter réconfort et créativité.



Je ne connaissais pas du tout le compte Instagram de l’auteure lorsque j’ai débuté ma lecture . Et j’avoue que …… ce récit m’a laissée……perplexe …….. J’étais un peu « perdue » , je ne comprenais pas vraiment quel(s) message(s) l’auteure souhaitait faire passer à travers ses mots .

Avec un peu de recul, je pense que Géraldine Dalban - Moreynas a simplement voulu raconter son parcours de vie , et comment / pourquoi elle a créé son conceptstore .



Je reconnais que je n’ai pas été touchée par ce texte .

Son cheminement est pourtant vraiment intéressant. Et l’idée de mener à bien ce projet, avec ou sans homme à ses cotés, est chouette .



Peut-être suis-je passée à côté de ce livre……. Sûrement d’ailleurs !

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Elle voulait juste être heureuse

Si j'ai trouvé la plume de l'auteure plutôt agréable et percutante, l'histoire en elle même ne m'a pas vraiment touchée. La première partie du livre était plutôt intéressante. On y suit une rupture brutale, cette femme qui n'avait pas vu les choses venir. Prise de court, elle s'interroge sur les raisons de cette séparation soudaine. Puis la vie reprend son court, elle mettra toutes son énergie dans sa reconstruction. Et c'est là où j'ai été moins embarquée. La deuxième partie est centrée sur sa reconversion professionnelle et sa vie amoureuse qui tourne en boucle. C'est toujours délicat car l'autrice nous parle de sa propre vie mais je n'ai pas réussi à avoir de l'empathie pour le personnage. Bien sûr je pense que cela dépend de la sensibilité de chacun. Je ne connaissais pas l'autrice et lirai peut-être On ne meurt pas par amour par curiosité.
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