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Critiques de Guillaume Bianco (452)
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Nunuche, tome 1 : Sage comme un nuage

Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée jeunesse Sage comme un nuage, premier tome de la série Nunuche.

Mieux qu'un crocodile, qu'un tigre ou qu'un hippopotame : qui n'a jamais rêvé d'avoir un petit chien tout doux à câliner, à aimer et.. à dresser ?

Ça tombe bien parce que Nonosse, la chienne de la tante de Zoé, attend des bébés. Et comble du bonheur, Zoé va pouvoir en garder un.

C'est ainsi que Nunuche rentre dans sa vie, et que Zoé découvre ce que ça implique d'éduquer et dresser un chien.

Mais ça n'est pas de tout repos, car quelle Nunuche !

Sage comme un nuage est un premier tome très sympathique.

J'ai tout de suite accroché avec les illustrations, qui sont très jolies, et les couleurs très douces.

La couverture est épaisse, de même que les pages, et l'ensemble donne un joli ouvrage jeunesse :)

Non, contrairement à ce que pense la jeune Zoé, Nonosse n'est pas devenue obèse ! Elle a grossit car elle attend des bébés :) Et la tante de Zoé lui propose d'en adopter un, le dernier restant : blanc et frisé. Il faut lui trouver un nom.. ce sera Nunuche ! car, notre nunuche est un peu.. nunuche lol

Il n'est pas simple de laisser son animal à la maison quand on va à l'école, d'ailleurs Zoé triche un peu. Ce qui n'est pas au goût de la maitresse surtout quand Nunuche fait pipi dans le cartable :)

Il y a beaucoup d'humour dans cette BD, et aussi beaucoup de tendresse.

Alors que Nunuche reste à la maison et que Zoé va à l'école seule, elle se rend compte que sans son chien, elle serait bien seule ! Mais comment donc faisait elle avant ??

Sage comme un nuage est une bande dessinée toute simple sur le quotidien d'une fillette et son chien. C'est mignon, tout doux et ça fait du bien :)

J'ai adoré le lire d'une traite, ça donne le moral.

Si j'ai l'occasion, je lirais les futurs tomes sans aucune hésitation.

Ma note : cinq étoiles.
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L'atelier Mastodonte, tome 1

J'ai aimé les dessins de cette bande dessinée et surtout le fait que les planches proviennent de différents auteurs, cependant je doit avouer qu'en tant que novice de la bande dessinée j'ai du passer à côté de certaines choses.



Je suis heureuse en tout cas d'avoir pu voir les dessins d'auteurs jusqu'alors inconnu à mes yeux et j'ai passé un bon moment de détente. Le plus de cette bande dessinée les auteurs se répondant les uns aux autres en dessins.
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Nunuche, tome 1 : Sage comme un nuage

Dans cette BD jeunesse de grande qualité, Guillaume Bianco nous raconte avec beaucoup d’humour, de poésie et de tendresse l’histoire de Zoé et de son chien Nunuche.

Mais ce qui donne un plus à l’album, ce sont incontestablement les aquarelles pleines de douceur et de tendresse de Marie Kerascoet.

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Zizi chauve-souris, tome 1 : Cheveux rester

Zizi est une petite fille à la tignasse folle. Une petite chauve souris décide de s’installer dans cette jungle capillaire. J’aime bien le graphisme de Bianco : couleurs assez discrètes, cases non délimitées, dessin simple, brut, les grand yeux de Suzie lui donnent un air espiègle, une espièglerie qui n’est pas sans rappeler un certain Pico Bogue, mais ici on passe du familier au fantastique comme si de rien n’était. Suzie est confrontée au monde des adultes, avec la maîtresse d’école, sa mère qui l’élève seule, et la vieille dame farfelue qui lui donne des cours de Wan Chi, art martial un peu loufoque, mais aussi à une monde plus fantastique avec le gobeur d’yeux, le grand garou et autres monstres. La petite chauve souris n’est pas en reste. La complicité entre la chauve souris et Suzie évolue au fil des pages, il y a une petite chute à la fin de chaque rangée de vignettes, et les histoires s’enchainent, avec un humour fin et subtil, parfois noir. Pour ceux qui ont adoré Pico Bogue, Calvin est Hobbes, cette Suzie n’est pas mal du tout non plus. J’ai vraiment adoré.
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Comment Mélissandre, la petite sorcière, découvri..

On n'est pas dans le mois d'Halloween pour rien. J'avais envie de lectures sur le thème des sorcières ou dans une ambiance fantastique et ce nouveau beau livre des éditions Little Urban est tombé à pic !



Sous ses allures de grimoire bien épais, Guillaume Bianco, auteur prolifique, nous propose ce qu'il sait faire de mieux : une bande dessinée, il faut dire qu'il en a déjà écrites pléthore. Mais cet auteur fantasque ne souhaite pas faire comme tout le monde et il nous propose ici un exercice à mi-chemin entre une BD simple adaptée aux enfants et le concept de l'inktober où des artistes proposent chaque jour un nouveau dessin, sauf que lui, il a fait ça sur un an, donnant ainsi naissance à cette BD si singulière.



Soyons honnête, j'ai adoré l'exercice. Je trouve ce gros livre aux allures de grimoire de sorcière génial ! C'est un très beau livre, sur papier épais, avec de jolis effets de couverture, des pages de chapitres travaillés et surtout un format BD très accessible pour les plus jeunes vu que le texte n’excède jamais les 2-3 lignes par pages. C'est parfait pour les lecteurs encore débutants !



L'histoire qu'il nous propose de suivre, car il y en a une, ce n'est pas juste un livre-concept, est celle d'une petite sorcière Mélissandre qui, comme son titre l'indique, va découvrir le secret du bonheur à travers une aventure au long court. Mais personnellement plus qu'une quête du bonheur, j'ai surtout vu dans ce récit une très belle histoire sur l'apprentissage du deuil et de sa résilience, ce qui n'a rien de simple à aborder avec de jeunes enfants.



Tout commence lorsque Mélissandre cherche à aider une créature à qui on a jeté un sort. Elle se retrouve elle aussi aux prises avec un maudit diablotin qui va lui en faire voir des vertes et des pas mûres. Ils vont se poursuivre d'un lieu à l'autre, d'une dimension à l'autre. Et le lecteur va les suivre au début avec amusement, puis peu à peu avec un sentiment plus complexe, ressentant l'urgence et l'envie d'aider cette pauvre petite sorcière à se sortir de ce bourbier où elle s'est fourrée.



On se retrouve ainsi à la fois avec un texte fleurant bon l'aventure, et avec un texte plus profond où l'on suit une héroïne devant faire le deuil de sa vie d'avant. On la voit ainsi grandir et mûrir sous nos yeux, découvrant effectivement ce qui fait la recette du bonheur en toutes circonstances, mêmes les plus dures. L'auteur se rapproche en cela de dessins animés que j'affectionne tout particulièrement, ceux d'Hayao Miyazaki où on retrouve aussi ce niveau de lecture. Et cerise sur le gâteau, Guillaume Bianco nous offre un joli parallèle évident avec Totoro sur quelques pages. J'ai été enchantée !



Mélissandre était l'héroïne parfaite pour suivre cette histoire. C'est une petite fille attachante, pleine de fougue et de répondant. Le genre d'héroïne à laquelle on aime s'identifier. Elle est entourée de petits familiers dans la plus pure tradition du genre, qu'on aime découvrir à travers ses yeux, comme des amis. Cela crée une ambiance vraiment adorable venant bien contrebalancer la noirceur qui peu à peu envahie le récit au fil de son voyage initiatique en quête de ses êtres chers disparus.



J'ai beaucoup aimé l'expérience graphique. Le trait de Guillaume Bianco, plein de rondeur, est une vraie ode à l'enfance. Il est amusant et pêchu mais également profond. L'auteur s'amuse avec nous et son héroïne, proposant une palette de couleurs variant aux grès de ses aventures, pouvant passer du mauve, au parme, au gris, puis au bleu nuit... le tout dans des teintes rappelant toujours l'aquarelle et les teintes que l'on associe à l'automne et au monde des sorcières. J'ai beaucoup aimé.



Ce beau livre objet est donc le cadeau parfait si vous en cherchez un pour quelqu'un aimant cette saison et aimant les sorcières. Que l'on soit un adulte au coeur tendre ou un enfant en quête d'aventure, cette jolie BD atypique à tout pour nous séduire. Laissez-vous tenter et rejoignez la petite Mélissandre dans ses aventures magiques où vous découvrirez qu'une baguette n'est peut-être le seul outil pour accéder au bonheur.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Zizi chauve-souris, tome 1 : Cheveux rester

J'adore ! J'avais déjà aimé l'univers de Billy Brouillard, j'ai bien entendu celui-ci aussi. Mêler enfance et une petite pointe de frisson est un mélange subtil et efficace. La petite Suzie est horriblement chipie, la chauve-souris est terriblement attachante. Le dessin est parfait pour cette atmosphère. Non, j'ai beau cherché je ne trouve pas un défaut à ce premier tome !
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Billy Brouillard : Les Comptines malfaisant..

Emprunté par curiosité pour cette couverture un brin macabre aux allures burtoniennes, je suis ravie d'avoir dévoré ces comptines malfaisantes.

Dans L'hôte funeste et Imhotep, il est question d'insecte, envahissant ou vorace, ils prennent le pas sur Allison et Barbara, les deux fillettes dont parlent ces histoires.

Les dernières double page de ces albums sont consacrées à des explications "scientifiques" des phénomènes : l'entomantrophie et la onzième plaie d'Egypt, avec force schémas et détails explicatifs.

Le tome central est quant à lui consacré à deux légendes de l'en-dessous : sous la mer et aux enfers. Là encore les deux fillettes se retrouvent dans des situations plus que délicates et subissent une étrange transformation.

Dans ces histoires macabres et horrifiques à l'humour très noir, l'auteur visite certains défauts enfantins inavouables : écraser les insectes, cacher ses bêtises, apprécier la souffrance et ne pas tenir compte des avertissements devant un danger évident. Il exacerbe ces quatre schémas dans ces petites histoires aux dessins horriblement comiques, les personnages aux yeux exorbités, les scènes assez violentes en font un livre pour jeune lecteur averti (plutôt adolescent). Mais si vous goûtez l'humour noir et morbide, vous serez servi par de très jolies planches soignées aux détails éloquents, et des rappels aux issues funestes.

Une très belle découverte !
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L'atelier Mastodonte, tome 1

La vie, les angoisses, les conneries d'une équipe de dessinateurs qui se sont ligués en collectif pour lutter contre la morosité ambiante et tenter de sortir des alboums de petits mickeys drôles et marrants, pour nous faire rire. Et ça marche.

On y retrouve, sous la houlette (houla fais gaffe à ta houlette...) de Lewis Trondheim, Yoann, Neel, Bouzar, Nob, Terreur graphique, Alfred, et tout plein d'autres.

Livre en petit format. Joli objet, un bon moment à ricaner bêtement, j'ai bien aimé. J'en redemande...
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Eco, Tome 1 : La malédiction des Shackelbott

Ah, quelle avalanche de sentiments ressentie à la fin de cet ouvrage ! Enthousiasmée par ses magnifiques illustrations (auxquelles j'ai bien envie de mettre la note de 21/20 !), j'ai parcouru cet album d'abord dans l'idée de le lire rapidement. Puis j'ai découvert qu'en réalité, c'est une histoire complexe, pleine, nécessitant de prendre le temps pour y plonger pleinement. Le sujet est plutôt banal, une petite fille dans une famille fortunée et très occupée, qui manque de contact avec ses parents, célèbres et très demandés couturiers de renom, et qui s'ennuie un peu toute seule dans sa grande chambre. Les descriptions sont pleines de poésies, toujours en accord avec les illustrations, jusque là tout va bien. Jusqu'au drame, la fameuse bêtise qui va chambouler la vie de tout le monde (enfin tout le monde, on le suppose, l'histoire est pleinement centrée sur cette petite fille seule). Là, c'est le plongeon : on bascule dans l'histoire par le biais des émotions, de la terreur ressentie par cette petite fille à travers des mots durs et tellement explicites, montrant comment un enfant voit ses parents en colère, une terrible colère ... Là, c'est ma corde sensible de maman fatiguée et irritable qui a été touchée. J'ai retenu à grand-peine quelques larmes en me demandant si mes filles me voyaient comme cela lorsque je me fâchais après elles ... Les mots sont terribles et justes, durs et si vrais ... Puis après le plongeon dans le bassin des émotions, c'est la descente en eaux glacées ... la découverte d'une manière très dure de la puberté pour cette fillette devenue jeune fille, d'un coup d'un seul, avec la métamorphose du corps et les premières règles, mais sans personne pour lui expliquer ce qui lui arrive. Et le livre se termine (pratiquement) là-dessus.

la lecture de cet album m'a laissée emplie de sentiments contradictoires, entre la beauté des dessins et la dureté des événements, la violence de l'histoire et des émotions suscitées ... En tant que professeur-documentaliste, je ne peux m'empêcher d'avoir une point d'inquiétude en mettant cette trilogie dans les rayons ... Comment un adolescent va-t-il percevoir ce livre ?
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Billy Brouillard, Tome 1 : Le don de troubl..

Je ne connaissais pas encore Billy Brouillard et ses dessins enfantins qui nous présentent des peurs de jeunesse. Mais contrairement aux apparences, il est loin de convenir pour les plus jeunes, les sujets sont exposés de façon cruelle et morbide. L'univers est original et intriguant et donne l'impression de s'être perdu dans un rêve très étrange et que j'ai aimé pour son originalité.
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Ernest et Rebecca, Tome 1 : Mon copain est ..

Merci aux éditions Le Lombard et au site Babélio pour cette découverte bien plaisante.



Petite fille à la santé fragile avec de petites défenses immunitaires, Rebecca nous présente son quotidien dans cette bande dessinée destinée aux enfants.

En effet ici, Rebecca est une petite fille avec des défaillances immunitaires, qui en rajoute beaucoup, parfois avec humour, et dont les parents vont se séparer. Elle passe donc un cap difficile et nouveau pour elle. Mais à l'aide d'un microbe qu'elle seule voit, elle va tenter par divers moyens de compliquer la tâche du médecin qui veut la soigner, et ils élaborent ensemble des stratégies pour tenter de réconcilier ses deux parents.



Bien que pour jeunes lecteurs, cette bande dessinée traite avec beaucoup d'humour et de talent deux thèmes difficiles. Tout d'abord la santé de l'enfant, puis la séparation des parents. Ces thèmes sont abordés des points de vue de l'enfance mais aussi des adultes et expliqués très clairement.

Toutes les dessins sont traités avec modernité, couleurs, et dialogues très attrayants.

Quant aux personnages, Rebecca est une petite fille adorablement drôle, maligne, imaginative, attachant, et le docteur m'a beaucoup fait rire de par son physique et ses déboires!!



Ce fut un grand moment de rires que j'ai passé page après page !!!



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Ernest et Rebecca, tome 5 : L'école des bêtises

Rebecca va mieux. Depuis que ses défenses immunitaires se sont renforcées, le microbe Ernest, son meilleur copain, a disparu. Mais alors qu’elle retourne à l’école, l’affreux « virus-zombie » de la grippe fait des ravages dans la cour de récré. Fièvre, vomissements, fébrilité, les enfants tombent comme des mouches. Heureusement pour Rebecca, Ernest continue de veiller sur elle. Si la grippe lui cherche des noises, elle trouvera à qui parler !



Toujours aussi trognonne, cette gamine pétillante me fait fondre. Elle n’a pourtant pas la vie facile entre sa santé fragile, sa sœur Coralie en pleine crise d’adolescence et la difficile séparation de ses parents. En plus dans ce nouveau volume, son grand-père chéri, pépé bestiole, se retrouve à l’hôpital. Pas mal d’inquiétude et quelques larmes versées mais la bonne humeur et la joie de vivre finissent pas l’emporter. En courtes scénettes, les auteurs dressent avec bonheur le quotidien d’une petite fille attachante en diable.



Je suis totalement fan de cette série depuis ses débuts mais j’ai quand même ressenti un petit coup de moins bien sur ce tome. Moins de poésie et d’humour, un intérêt moindre pour l’histoire et surtout une certaine frustration tant beaucoup de questions restent en suspens : qui est le mystérieux correspondant virtuel de Coralie ? Comment va évoluer la santé de Pépé bestiole ? Je serai évidemment au rendez-vous du prochain album parce que j’adore Ernest et Rebecca mais j’espère que ce tome de « transition » ne restera qu’une parenthèse un peu moyenne dans un ensemble de grande qualité. En même temps je ne suis pas spécialement inquiet. Avec Guillaume Bianco au scénario, le destin de Rebecca est entre de bonnes mains.




Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Comment Mélissandre, la petite sorcière, découvri..

J'ai toujours bien aimé les livres de Guillaume Blanco, qui ont un aspect spooky, tout en restant dans un univers jeunesse.



Dans cette histoire, nous allons faire la rencontre de Melissandre, une petite sorcière qui, comme l'indique le titre, découvre le secret du bonheur. Après s'être lancée à la poursuite d'un diablotin pour se venger, elle va faire la rencontre de différentes personnes et créatures...



On va suivre la sorcière dans ses aventures sur plus de 300 pages, dans une bande dessinée qui se lit rapidement malgré son épaisseur. En effet, chacune des pages contient peu de mots et des illustrations peu nombreuses.



Plus qu'une quête du bonheur, l'intrigue propose surtout un texte sur le deuil et la résiliation. Comme souvent avec Guillaume Bianco, c'est un peu triste et mélancolique, ça parle de sujets sérieux sous un aspect assez fantastique et humoristique.



C'est une bande dessinée jeunesse qui nous propose un conte philosophique, nous amenant à réfléchir sur la vie et la mort. L'auteur sait raconter des histoires tristes sans pour autant faire pleurer les lecteur•rices parce que c'est aussi des aventures fantastiques que vivent ses protagonistes. Une chouette histoire dans un format original !
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Ernest et Rebecca, tome 8 : Un jour pas com..

Une amie m'a fait découvrir les 4 premiers tomes de cette série. Cependant, je n'ai pas tellement réussi à accrocher à l'histoire. Rebecca est une petite héroïne au caractère un peu trop bien trempé pour moi :) et cette histoire de microbes ne m'a pas tellement attirée. Et j'ai une impression générale d'incompréhension de l'ensemble de l'histoire qui fait que je suis un peu bloquée.



Lors de la dernière MC critique jeunesse, j'ai découvert que le tome 8 faisait parti de la sélection, et j'ai pensé que cela pourrait faire plaisir à mon amie, pour compléter sa collection.



J'ai donc trouvé hier dans ma boite aux lettres ce 8e tome. Heureusement que l'emballage était bien fait, car le paquet un peu grand pour ma boite aux lettres avait été un peu malmené par le postier...qui a forcé pour le faire rentrer, à tel point que j'ai moi même eu des difficultés à le récupérer, car il était coincé !!!



Me voici à nouveau en compagnie de Rebecca. Mon impression se poursuit, cette série n'est pas pour moi. Cependant, j'ai trouvé un peu plus d'action dans ce tome (oh le vilain molosse super effrayant !!!). Les dessins sont très colorés, vifs et expressifs. Mais, le rôle de l'adulte dans ces histoires, me pose toujours question : La maman laisse sa petite fille de 7 ans partir seule à l'école en vélo (alors qu'elle vient à peine d'enlever les petites roues) ?!!!



La mention "peut se lire indépendamment" des autres tomes est plutôt vraie. Je n'ai pas lu les tomes 5-6-7, et à part un personnage qui semble venir du tome 7, je ne me suis pas sentie trop perdue. Mais je pense tout de même qu'il est préférable de les lire dans l'ordre pour suivre l'évolution et les aventures de Rebecca et d'Ernest.



Encore merci à Babelio pour les opérations MC et merci aux éditeurs de jouer le jeu :)
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Billy Brouillard, Tome 2 : Le petit garçon qu..

Pas accroché. Abandonné à la page 29 à la rubrique 'Comment connaître la date exacte de sa mort ? Je donne la réponse : Vous vous tranchez le bras, puis vous l'enterrez. Laissez reposer 2 à 3 jours. En comptant le nombre d'asticots qu'il y aura, vous aurez la date exacte de votre mort. Parait que les enfants adorent... Peut-être comprendrai-je quand je serai plus jeune ?
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Zizi chauve-souris, tome 1 : Cheveux rester

Vous l'aurez compris Zizi est une petite fille de BD, dessinée (oh la répétition !) par Guillaume Bianco et scénarisée par Lewis Trodheim.



Alors que je farfouillais dans les bacs de BD à emprunter, je suis tombée sur cet album qui m'a attiré.



Cette Zizi avait une bouille sympathique quant à cette chauve-souris elle est trop top !



J'empruntais alors et en même temps Zizi chauve-souris et " Tes seins tombent ", manière d'être raccord :-) et là mes excuses, je l'ai gardé longtemps... C'est assez bizarre mes lectures BD, comme je sais que je les lis vite et bien je procrastine grave leur lecture.... Bon mais voilà je l'ai rendue. Enfin les enfants vont pouvoir l'emprunter ;-)



Dans la BD j'aime bien aussi les strips ces micros histoires qui toutes entremêlés construisent des personnages.



Les deux auteurs se sont bien amusés à créer cette histoire sous forme de strip et moi j'ai bien accroché comme la chauve-souris dans les cheveux rebelles et fous de Zizi !



J'ai aussi la chance d'avoir trouvé en librairie le petit livret contant la création de cette BD.



Les aventures de ces deux personnages Zizi et sa chauve-souris sont drôles et un brin illuminées !



Zizi est aussi une petite fille tout ce qu'il y a de plus normale. On la voit dans sa vie de tous les jours avec sa mère qui l'élève seule et aussi à l'école avec ses camarades. Cette chauve-souris (que je pensais de sexe masculin... ) va lui faire vivre moult aventures nocturnes avec des bestioles imaginaires détonantes ! Le Grand Garou, le monstre gobeur d'yeux ! La mémé qui va l'initier aux arts martiaux n'est pas piquée des vers ! Rigolades garanties !



Un dessin qui m'a plu (un peu style Quentin Blake que Guillaume Bianco admire), à noter que les strips sont intercalés par de petits dessins noirs qui sont de plus bel effet !



Il s'agit du tome 1

Cheveux bien lire la suite moi !
Lien : http://imagimots.blogspot.fr..
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L'atelier Mastodonte, tome 4

« Mastodonte power ! »



Dans ce quatrième volume de L'atelier Mastodonte - « les coulisses véritablement vraies d'un atelier de bande dessinée » -, on retrouve avec plaisir des strips d'Alfred, Guillaume Bianco, Mathilde Domecq, Feroumont, Jousselin, Jouvray, Nob, Obion, Tébo et évidemment Trondheim.



Pour ceux qui auraient raté les trois premiers volumes, les strips sont publiés dans le journal de Spirou et chaque auteur reprend le strip précédent en y ajoutant son univers, ce qui au final raconte une espèce d'histoire. Et les références sont faites aux précédents volumes - il est possible de lire les volumes indépendamment les uns des autres.



Dans ce volume, une femme, Mathilde Domecq, rejoint pour la première fois l'atelier, ce qui va occasionner une certaines compétitions entre les auteurs. Des auteurs - Tebo et Julien Neel avec sa marionnette Romuald - reviennent non sans avoir à passer quelques épreuves - « les quatre épreuves sacrées des hérauts du neuvième art » alors que d'autres sont partis - Bouzard et Keramidas. Et on retrouve aussi la vie quotidienne de l'atelier, les coulisses des métiers de la bande dessinée (il y a ceux qui utilisent les techniques modernes - l'ordinateur - et ceux fidèles aux techniques anciennes, l'angoisse de la page blanche, le succès des uns et l'absence de succès des autres, la productivité hallucinante de Trondheim, les relations avec le public, les logiques artistiques vs. les logiques financières, le respect de quelques règles de l'art séquentiel comme « marcher à l'amble » et la règle des 180°), des jeux de mots (« l'happy new year » et « Lapinot year ») et aussi quelques strips moins légers consacrés aux événements de Charlie hebdo (comme le dit Bianco « comment peut-on tuer Cabu et espérer aller au paradis? ») et aux conséquences pour les dessinateurs de l'obscurantisme et du terrorisme (on les voit rassurer leurs enfants et se rendre casqués à leur travail).



J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce quatrième volume de L'atelier Mastodonte même si j'ai moins ri que dans les trois volumes précédents. Ce n'est pas parce que c'est moins rigolo, mais plutôt que l'humour est ici plus grave, moins léger - probablement aussi parce que le volume s'achève sur des réactions et des réflexions à la tuerie de Charlie hebdo.



« Graow ! »
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Ernest et Rebecca, Tome 1 : Mon copain est ..

Cette bande-dessinée est pour moi un véritable coup de coeur. Nous suivons Rebecca, une petite fille de six ans qui n'a pas forcément la vie facile. Elle tombe sans cesse malade et ses parents sont sur le point de divorcer. Mais malgré tout c'est une petite fille pleine de joie, d'espoir et d'énergie. Un jour pluvieux, alors qu'elle s'est éclipsée de chez elle pour aller chasser les grenouilles, elle va faire la rencontre d'un microbe drôle et très sûr de lui, nommé Ernest.



De leur rencontre saugrenue va naître une amitié très forte et hors du commun. Alors que ses parents ne s'entendent plus et qu'il règne une ambiance pesante au sein de la maison, Rebecca va trouver en Ernest plus qu'un compagnon : il va très vite devenir pour elle un ami très cher, une sorte de confident. J'ai adoré voir leur amitié se développer au fil des pages et la consolation qu'Ernest a pu apporter à Rebecca au quotidien. Ils s'entendent tellement bien ensemble qu'elle va tout faire pour conserver son microbe coûte que coûte… au point d'en faire voir de toutes les couleurs à son médecin le Dr Fakbert. le pauvre quand même mais c'est tellement drôle !



Les maladies sont traitées avec beaucoup d'humour ce qui peut permettre aux plus jeunes lecteurs de les prendre avec plus de légèreté et donc d'être moins angoissé à l'idée d'avoir une grippe ou tout autre virus. J'ai trouvé le passage de la jalousie d'Ernest très drôle : d'autres microbes sont venus rendre visite à Rebecca et Ernest a eu peur qu'ils prennent sa place au point de faire une crise. « C'est pas croyable ! Je m'absente cinq minutes et tous les parasites du coin viennent frapper à ta fenêtre !!! » Ça m'a beaucoup amusée comme de nombreux autres passages que je vous laisse découvrir par vous-mêmes.



C'est une bande dessinée qui m'a fait beaucoup rire tout comme à la fois m'a beaucoup émue, que ce soit par les bêtises causées par notre duo de choc ou encore le thème difficile de la séparation qui à elle-même constitue un virus destructeur de famille. D'ailleurs j'ai beaucoup aimé la façon dont Rebecca, avec l'aide d'Ernest, va user de diverses techniques pour que ses parents se réconcilient. Sous sa carapace humoristique et pleine de tendresse, Ernest & Rebecca traite donc des sujets difficiles comme la manière dont l'enfant voit la séparation de ses parents, le vide que cela peut lui laisser dans le coeur mais qui n'est pas forcément vu par les parents qui délaissent souvent le ressenti de l'enfant, puisqu'ils passent leur temps à se disputer. Mais tout cela est traité avec ingéniosité et à l'aide de nombreux passages comiques et attendrissants, ce qui nous fait au final passer un moment très divertissant. Je recommande vivement cette bande-dessinée !
Lien : https://unparfumdelivre.word..
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L'Encyclopédie curieuse et bizarre par Billy ..

Moi qui ne suis pas très branchée BD, lors de la dernière opération Masse Critique, je me suis quand même laissée tenter par cette encyclopédie consacrée à mon animal fétiche : le chat. Je remercie donc Babelio et les Éditions Soleil d'avoir satisfait mon unique souhait.



Je préviens donc tous les amateurs du 9ième art que l'avis qui suit est celui d'un néophyte et ne traduit donc que mon modeste ressenti. Pour résumer rapidement, je n'ai pas aimé grand chose dans ce livre. J'ai trouvé les dessins tristes à souhait, dans cette tonalité qui va du gris au noir, et dans le meilleur des cas prend une teinte orangée. Pour un livre qui se dit "encyclopédie", le texte en plus d'être écrit dans une police minuscule, n'est pas très instructif, même pour un jeune public. Évidemment, je dois comprendre que l'auteur joue sur le terrain de l'humour... et vous trouvez ça drôle ? Le seul moment amusant a été de chercher la juste représentation de mon chat, j'hésite encore entre "le naïf" ou le "placide".

Je suis vraiment désolée que mon essai dans cet univers n'ait pas été transformé. Dommage de commencer la liste des critiques par une impression si négative, mais je n'ai peut-être pas su garder mon âme d'enfant ou d'adolescent (Je n'ai vraiment pas compris à quel tranche d'âge s'adresse cette BD). 8/20
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Ernest et Rebecca, tome 6 : La boîte à blagues

Rebecca part retrouver son grand-père. Il est très fatigué mais toujours plein de vie. Il lui demande de récolter des blagues pour lui remonter le moral...



Rebecca part à la recherche des meilleures blagues...



Un joli tome centré sur le regard décalé de Rebecca par rapport à la maladie et la mort.
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