D’habitude ses livres sont magnifiques , celui-là j’ai moins aimé .
Un sujet difficile certes mais la fin est particulière elle ne m’a pas convenue .
Cette histoire se passe sur l’île aux citrons dans la mer intérieur du Japon, la description des lieux, l’endroit, les soins et les repas sont juste un rêve
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Un très beau livre certes, mais bien trop beau pour être vrai. Redonner de la poésie, des lettres nobles et d'or à la mort et à la fin de vie, cela fait du bien, nous en conviendrons. Pourtant, difficile de se faire emporter par ce "trop", qui finit par être redondant, pesant, et dont la subtilité se perd à mesure de la lecture.
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Quel moment de poésie, de tendresse et légèreté,
une auteur à découvrir par tout ceux qui sont touchés par la délicatesse le charme japonais,
une histoire pleine de symboles.
L'auteur a créé un fil conducteur entre ses livres.
c'est tout en finesse.
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Ce roman nous conte les scènes de vie d'une jeune femme qui exerce un métier traditionnel, celui d'écrivain public, dans un Japon moderne. Traditions, croyances, superstitions, conflits de générations... Le très technologique smartphone y côtoie de très étranges cérémonies comme celle de l'Adieu aux lettres par exemple. Décidément, le Japon est un pays passionnant mais très paradoxal.
Je recommande ce bouquin à ceux qui ont besoin d'évasion.
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Dès les premières pages je me suis sentie apaisée. Lire La Papeterie Tsubaki c'est comme boire un bon chocolat chaud, ça se déguste tout seul et ça fait du bien à l'âme. C'est le 2e livre de cette autrice que j'ai lu et ça ne sera pas le dernier. Sa plume est magnifique, magique, vous transporte dans un petit village au Japon qu'on aimerait bien visiter ou même y vivre. Ce n'est pas une histoire pleine de rebondissements ou d'actions. C'est doux, tranquille, heureux et facile à lire. On voudrait y rester.
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Ce livre était le premier que je lisais d’Ogawa Ito, et ce fut une merveilleuse découverte.
L’auteur nous emmène dans un univers à la fois réel et irréel, matériel -il y est beaucoup question de cuisine- et imaginaire : les cochons sont choyés, les lapins sont anorexiques pour cause de chagrin, les femmes tristes et sans entrain deviennent comme par enchantement gaies et alertes. Et tout est dit si simplement que nous nous laissons entraîner dans ce monde.
Ogawa Ito a écrit des livres pour enfants, et cela se sent : elle nous rend notre âme d’enfant.
Le propos du livre est pourtant aussi sérieux que fondamental : l’amour, l’amour, et encore l’amour…Il parle de l’amour pour l’autre : l’héroïne, Rinco, a le pouvoir de rendre heureux ou amoureux les hommes et les femmes qui viennent manger les repas qu’elle leur prépare avec âme. Ce roman parle aussi d’amitié et d’entraide : Rinco n’aurait rien pu faire sans son ami Kuma. Il y est aussi beaucoup question de l’amour entre les hommes et les femmes : la mère, la fille et la grand-mère ont chacune vécu une histoire d’amour qui a déterminé leur vie. Et puis l’amour entre mère et fille, fille et mère, grand-mère et petite fille est égalementi un des grands sujets du « Restaurant de l’amour retrouvé » : ce thème est présent en filigrane tout au long du livre pour amener à un dénouement qui lui donne une place lumineuse.
La lecture de ce roman original est un vrai plaisir. Sa sensibilité et son humanité vont droit au cœur.
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Merveilleux livre plein de grâce et de poésie.
C'est très bien écrit. J'ai beaucoup aimé les descriptions des paysages, ses rencontres avec les visiteurs de la papeterie.
C'est une histoire simple mais que j'ai savouré.
Au fil des pages j'ai découvert le Japon comme je l'imagine, n'y étant jamais allée, tout en délicatesse.
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C’est un très bel hommage à l’écriture, au papier, à la plume. Un livre tout en finesse. Le roman est très poétique, tout est abordé avec délicatesse, c’est une jolie lecture ! On est entraîné avec douceur dans l’univers d’une papeterie, qui nous est racontée passionnément, avec les détails de textures de papiers, de styles de plumes, de stylos. On passe un moment apaisant. Et l’histoire est belle, pleine de morales !
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J'avais adoré La papeterie Tsubaki... Du coup j'ai voulu lire d'autres livres de cet auteur. Celui là m'a déçu. On ne s'attache pas aux personnages, l'auteur choisit d'en nommer plusieurs uniquement par une désignation : l'amoureux, la mère, du coup on n'adhère pas, ils sont anonymes. Elle ne prend pas le temps de les approfondir, et on ne ressent pas d'empathie. Elle en fait des caisses sur la nourriture et ça en devient caricatural. Les histoires sont réglées trop vite, la vraisemblance est aux abonnés absents. Bref... On reste sur sa faim, ce qui est le comble vu le titre !
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Hakoto reprend la papeterie de son enfance et surtout le métier d'écrivain public : c'est son quotidien au fil des saisons, ses rencontres, ses lettres et ses amitiés que raconte ici Ogawa Ito. Ce livre est un très beau livre sur le temps qui passe, la valeur des mots, les liens entre les personnes. Les sentiments de chacun sont approfondis, et les lettres qu'écrit Hakoto au nom des autres montrent l'importance de l'empathie. Un très beau récit.
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A la mort de sa grand-mère, qui l’avait élevée avec tant de rigueur qu’elle avait quitté le domicile dès la fin de ses études secondaires, Poppo, âgée de 25 ans, revient dans sa ville d’origine et y reprend Presque malgré elle la papéterie familiale et les fonctions d’écrivain public – calligraphe que l’aïeule avait passé tant d’années à lui inculquer de force. Au cours des rencontres et des saisons, Poppo fait finalement la paix avec sa grand-mère, avec soi-même et avec le monde où elle peut désormais envisage un avenir serein dans la ville de Kamakura.
L’histoire est aussi simple qu’ainsi résumée. Ce n’est donc pas un roman d’intrigue ou de suspense que celui-là. Plutôt un objet délicat, tournant calmement des pages d’existences d’apparence paisible mais souvent tumultueuses, emportant le lecteur dans les arcanes de la politesse, de la gastronomie (on mange beaucoup), des traditions et de la calligraphie japonaises.
L’intrigue est presque intemporelle, et la prééminence du manuscrit dans le Japon du XXIème siècle semble bien désuète. Mais l’on est à Kamakura, une ville touristique dont un des attraits principaux est le respect des traditions, ceci explique en partie cela.
La ville, ces lieux, ses temps forts, ses saisons sont présents dans tous leurs détails, ce qui donne à l’écriture un fort goût d’authentique. Tout cela est d’ailleurs si profondément nippon que la traductrice, excellente au demeurant, a conservé le mot japonais pour tout ce qu’elle a considéré comme intraduisible sans trahison – de Tsubaki (camélias) à hanami (fête des cerisiers en fleurs), en passant par onigirazu (galettes de riz fourrées enveloppées d’algues) et oharahisan (sorte de couronne votive tressée). Bref, on se perd vite quand on veut vraiment comprendre de quoi il retourne. Dommage que le livre n’ait pas fait l’objet d’un travail d’édition proprement dit, où la traductrice aurait, en notes ou en annexes, expliqué tout ce qu’il y a de japonais dans cette version française.
Sous cette réserve, qui peut être d’importance, un livre délicieux à lire, qui donne envie de revenir vers son auteur et, pourquoi pas, vers le Japon traditionnel qui existe vraiment toujours.
A noter que la série télévisée produite par la chaine NHK est accessible par internet avec sous-titres en anglais (chercher “Tsubaki bunguten”). Le feuilleton est assez fidèle au livre, on peut donc visualiser ce qui nous est décrit.
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C’est tout d’abord le titre qui m’a obligé à acheter “La papeterie Tsubaki”, je pourrais passer des heures dans une papeterie à regarder et toucher tous les crayons présents. Alors bien évidemment lorsqu’un livre japonais, aux éditions picquier, et qui de plus se passe dans une papeterie : évidemment que j'étais obligé de l’acheter.
C’est alors que je l’ai lu très rapidement tellement l’histoire est fluide, c’est calme, un vrai rayon de soleil!!
Je conseille ce livre à tout le monde, c’est incroyable, le livre est loin d’être une prise de tête à lire, toutefois, les sujets abordés sont touchants…
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Ce livre est incroyable, je l'ai lu très rapidement tellement l’histoire est fluide, c’est calme, un vrai rayon de soleil, l’ambiance est très “feel good” et c’est super agréable !
Je conseille ce livre à tout le monde, c’est incroyable, le livre est loin d’être une prise de tête à lire, toutefois, les sujets abordés sont touchants…
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🖌 " Un écrivain tient la plume en se mettant dans la peau et dans la tête de tout un tas de personnes [...] Mais à la réflexion je n'avais pas encore trouvé ma propre écriture. Je n'avais pas encore rencontré mon moi calligraphique, l'équivalent du sang qui coulait dans mes veines, ce qui faisait que j'étais moi et d'où mon ADN jaillirait à flots."
🖋 Quel plaisir de suivre Hatoko, dit Poppo, dans le choix de ses papiers, dans la préparation de ses encres afin de coller au mieux à la personnalité de chaque client venu lui demander d'écrire pour eux. Chaque histoire, chaque personnage, chaque papier, chaque couleur est pensé, travaillé afin de correspondre parfaitement à la fois aux volontés du client mais aussi pour transmettre un message au destinataire. Dans un monde où le numérique a remplacé nombres de lettres, ce roman m'a donné envie d'écrire, juste pour le plaisir de transmettre, d'attendre la lettre, d'être touchée par des mots manuscrits, juste pour le plaisir d'écrire.
✍ Un coup de coeur pour cette lecture qui se veut cocooning, au coeur des traditions japonaises. Cette lecture doit cependant être faite au bon moment pour le lecteur, c'est presque une lecture thérapie dans laquelle la réflexion et la recherche de sa calligraphie est une quête pour Hatoko. Il faut aimer une lecture calme et sereine illustrant la culture Japonaise dans son aspect la plus pure. De mon côté cette lecture m'a fait beaucoup de bien, j'avais besoin de cette pause, de ce retour aux sources.
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Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l’art difficile d’écrire pour les autres.
Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l’encre, l’enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : elle calligraphie des cartes de vœux, rédige un mot de condoléances pour le décès d’un singe, des lettres d’adieu aussi bien que d’amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin.
Et c’est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre de réconciliations inattendues.
Offrez-vous une pause avec ce roman plein de douceur , de délicatesse et de poésie .Dans une ambiance japonaise, on suit cette jeune fille Hatoko écrivain public dans la papeterie que lui a léguée sa grand-mère .
Un très bon moment de lecture .
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J’ai découvert ce livre par hasard, conseillé par un libraire. Mais l’histoire m’a intéressée et au final, je n’ai vraiment pas été déçu ! J’ai adoré ce livre simple mais plein d’émotion, qui nous décrit une famille craquante, un Japon que l’on a envie de visiter et qui nous amène un peu à réfléchir sur notre propre vie.
Je vais certainement regarder les autres livres de l’auteur car j’ai envie de rentrer à nouveau dans son univers que je trouve simple avec pas mal de surprises !
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Un pur plaisir de retrouver notre amie écrivaine publique à Kamakura, après la Papeterie Tsubaki. Hatoko s’est mariée à Mitsuro, veuf et père de la petite QP. Elle devient mère, ils forment une famille recomposée avec tendresse et sans oublier la première maman de QP. Toujours beaucoup de délicatesse, de finesse des sentiments et d’émotion douce.
Un livre qui fait du bien.
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