Citations de Jennifer L. Armentrout (1523)
𝙲’é𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚋𝚎𝚊𝚞 𝚌𝚘𝚖𝚖𝚎 𝚜𝚎𝚞𝚕𝚜 𝚕𝚎𝚜 𝚌𝚑𝚊𝚐𝚛𝚒𝚗𝚜 𝚍’𝚊𝚖𝚘𝚞𝚛 𝚙𝚘𝚞𝚟𝚊𝚒𝚎𝚗𝚝 𝚕’ê𝚝𝚛𝚎.
Je fis un pas vers elle, puis mis un genou à terre, dans ma serviette. J’aurai peut être du enfiler un caleçon.
Tu croyais vraiment que j’allais oublier ce que tu représentes pour moi? Que quelque chose en ce monde, cet univers, serait plus fort que mon amour pour toi?
Le ciel était clair, et les étoiles scintillantes commencèrent à remplir les cieux. Chaque fois que je les regardais, je pensais à Daemon et à ses origines.
Il me donna un coup de coude. "A quoi penses-tu? "
Je souris autour de ma paille.
" Parfois, j’oublie ce que tu es, mais je regarde les étoiles, et je me souviens.
Par les enfers, Ce soir, Alex était la plus belle chose que j’aie jamais vue.
Tous les détails me revenaient. Mon Seth ? Quelle abomination. J’avais envie de me récurer le cerveau à l’eau de Javel. Et toutes les atrocités que j’avais hurlées durant notre combat – j’avais réellement combattu Aiden ? Me récurer le cerveau n’était pas assez. Ma bouche et mon âme devraient aussi faire partie de ce grand nettoyage.
"I need to feel your lips on mine." He planted his hands on the carriage wall, caging me in. "I need to feel your breath in my lungs. I need to feel inside me. I just need you. It's an ache. This need. Can I have you? All of you?"
- Casteel
Entre la douceur de sa peau, les petits râles qui lui échappaient et sa façon d'arquer le dos, les épaules enfoncées dans le matelas, j'allais finir par perdre la tête. Quelle importance ? Mon cœur et mon âme appartenaient déjà à Layla.
He was going to take me back-to that room where I was the Maiden, the Chosen. Back to where I wasn't Poppy but a shadow of a person who wasn't allowed to experience, need, live, or want. I would no longer be who he saw. "Hawke?" I whispered, my heart crashing like thunder. "Kiss me. Please."
-poppy
"You're such a bad influence", I murmured as I placed my hand in his.
Hawke curled his fingers around mine. The weight and warmth of his hand was a pleasant shock. "Only the bad can be influenced, Princess."
L'origine de cet enthousiasme était certes un peu particulière, mais tenter de maîtriser ce qui sommeillait en moi était préférable à l'idée de ne rien faire et de stresser pendant que tout le monde s'inquiétait de savoir si j'allais encore me transformer en Thanos et réduire en poussière la moitié d'entre eux.
À ceux qui gardent la foi, qui continuent d’essayer et d’espérer quoi qu’il arrive
Elle tapait dans ses mains comme une otarie sous crack.
"Oh, il se fait du soucie pour toi! S'exclama Jacob. Avery, tu es vraiment une pétasse."
— Connais-tu la raison pour laquelle un cœur jette son dévolu sur une autre âme ? Pour sa survie. Le cœur dicte son choix pour assurer la survie de son espèce
— Je suis toujours surpris que tu ne croies pas aux dieux, alors que ta propre nature – notre nature – est la preuve de leur existence.
— Non. Je ne crois pas en eux. Pour moi, ce ne sont que des proprios qui ne sont jamais là. En ce moment, je te parie qu’ils sont à Las Vegas en train de sauter des danseuses et de tricher au poker.
Caleb recula d’un bond, atterrissant dans les graviers blancs et bruns de l’allée.
— Rappelle-moi de ne pas rester à côté de toi quand ils te foudroieront.
Je pouffai de rire.
Si tu refuses d'admettre que ce que j’éprouve pour toi est suffisamment fort pour tout endurer, alors je laisse tomber. C'est ce genre de conneries qui fout en l'air une relation, Avery. Pas le passé, mais le présent.
– Tu veux sortir avec moi ? demanda-t-il en se passant une main dans les cheveux.
– Non, chuchotai-je.
Puis sa fossette apparut, et je relâchai le souffle que je retenais. Il reprit son ascension.
– Demain est un autre jour.
Je lui emboitai le pas.
– La réponse sera toujours la même.
– On verra.
– C’est tout vu. Tu perds ton temps.
– Tant que cela te concerne, il n’y a pas de perte de temps, répliqua-t-il.
– Tu es vraiment...
– Formidable ? Merveilleux ? (Il marqua une pause, les sourcils haussés.) Extraordinaire ?
– Disons plutôt bizarre.
– Eh bien, si j'avais un cœur, je serais très blessé.
Je souris, entrant volontiers dans son jeu.
– Alors heureusement que tu ne ressens rien, pas vrai ?