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Citations de Joe Hill (342)


- Vous connaissez les dents de la mer? Russell, ce serait Hooper, moi Brody, et Gage…
- Je vois, le Capitaine Carpenter, c’est Quint.
- Je pensais plutôt au requin.
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En amitié, surtout entre deux jeunes garçons, on a le droit de se dire des vacheries. Ça fait même partie du jeu. Mais on ne doit jamais au grand jamais infliger de vraies blessures, de celles dont les cicatrices sont ineffaçables.

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Les hommes… L’un des seuls réconforts au monde susceptible de concurrencer un feu de cheminée dans une nuit fraîche d’octobre, un bol de chocolat chaud, ou une paire de pantoufles usées. Leur tendresse maladroite, leur barbe de trois jours et leur entrain à s’acquitter du nécessaire — préparer une omelette, changer une ampoule, faire des câlins —, parvenaient parfois à combler une femme.

(J’ai lu, p. 664)
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Ty est encore sous la douche. Avant, on jouait à la torture, à m'enterrer vivant ou à la bagarre, c'était marrant. Mais il veut plus jouer maintenant. Il passe son temps sous la douche ou dans sa chambre tout seul.
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Nous avons l'habitude de considérer autrui comme une entité singulière, autonome. On nous enseigne que les idées, les croyances, les réactions qui constituent le psychisme de chacun s'apparentent à des dossiers classés dans le cerveau. La plupart des gens ne savent pas à quel point la perception déborde du cadre de l'individu. Ta personnalité n'est pas uniquement le fruit de ce que tu sais sur toi-même, mais aussi de ce que les autres savent de toi. Tu revêts une identité spécifique pour ta mère, une autre pour tes amis, encore une autre pour tes enfants. Ce sont les autres qui achèvent le prisme. Ils te créent autant que tu te crées toi-même.
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- Vous faites quoi les gars ? (Kinsey)
- Bode a une merde de tortue dans la main qu'il veut garder comme souvenir de notre inoubliable été ici.(Tyler)
- Il découvre la nature. Et toi, tu fais quoi ?
- Je découvre l'ennui et l'angoisse existentielle.
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Alors, je lui ai tapé dans l’œil, à ton oncle d'Hollywood ? Il veut faire de moi une star ou juste me ramoner comme une bête ? La seconde option me convient, tant qu'elle mène à la première.
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-Il n'a rien sur lui,camarade.Rien dans les mains,rien dans les poches. Ni arme, ni clé magique. On dirait bien qu'il est venu avec une lampe torche ,sa bite et...sans couteau.
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Qu'on le veuille ou non, on mène la vie d'un astronaute. Un jour on part en laissant tout derrière soi pour un monde dont on ne sait rien. Ça fait partie du contrat.
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Mourir au milieu d'une bonne histoire a quelque chose de profondément injuste.
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Les Aspirations et les Idéaux des Hommes Libres sont tels une Armée d'Ombres : impossibles à abattre...
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Selon moi, il faut sérieusement manquer de confiance en soi pour afficher ses opinions politiques sur son tee-shirt.
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C'est dur à croire, je sais, mais le monde ne s'arrête pas de tourner quand tu embroches des gens.
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RUFUS : Perturbation signalée dans les dortoirs.
ELLIE : Aaaaahhg bon sang ! Rufus !
RUFUS : A la suite d'un appel à l'aide, l'équipe d'urgence y a découvert une fuite. Il dit que le triso s'est encore pissé dessus.
ELLIE : RUFUS ! Je t'ai interdit de parler de toi comme ça. Je ne le tolérerai pas. C'est compris ?
RUFUS : Chef, oui, chef. Il y a un trou dans le mur de la salle de bain. Y a t-il eu un tir d'artillerie ?
ELLIE : Non. Je vais réparer ça. Déshabille-toi et va dans la douche, trésor.
Maman va changer tes draps.
RUFUS : Oui, chef. Le bleu se demande si vous pourriez rester un peu avec lui après ses ablutions...le petit a peur du noir.
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Ce que Terry respire, ce n'est plus de l'oxygène, mais de la terreur à l'état pur,
elle lui emplit les poumons comme un gaz toxique.
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Kinsey : Je voulais faire avance rapide jusqu'à la terminale pour voir si j'aurai des seins. Mais mate un peu le cadran.Il ne dépasse pas 1999.
Tyler : Keyhouse et sa magie victimes du bug de l'an 2000....qui l'eût cru ? Te reste plus qu'à croiser les doigts et commander des push-up.
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Il y a certains fantôme qu'il vaut mieux enfermer à clé.
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[...]l ne fallait pas sous-estimer la faculté qu'ont les gens de s'abuser eux-mêmes en travestissant leurs propres désirs.
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N'aie jamais d'enfants, Tyler, sauf si tu es prêt à vivre dans la peur, pour le restant de tes jours.
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[Rufus] J'aimerais pouvoir faire ça tous les jours, chef. Pouvoir être utile tous les jours.
[Sa mère] Pas de ça avec moi, soldat. Tu m'es utile chaque jour. Chaque heure. Ceux qui savent aimer ne sont jamais inutiles, Rufus.
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