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Critiques de John Katzenbach (138)
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L'analyste

J'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans cette histoire qui pour moi a mis un peu trop de temps à démarrer. cependant une fois que je m'y suis engouffrée cette histoire d'analyste rattrapé par le temps, par son passé m'a emportée. Une négligence d'un médecin débutant va remettre en cause les certitudes du Dr. Starks. Son avenir est sombre il doit payer pour son erreur.
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L'analyste

Un thriller psychologique que j’ai plutôt bien aimé. Le jour de son anniversaire, le psychanalyste Docteur Starks reçoit une lettre » Heureux 53e anniversaire, docteur. Bienvenue au premier jour de votre mort. » signée Rumpelstiltskin, lui indiquant qu’il a deux semaines pour découvrir l’identité de son adversaire et les raisons de ses agissements. S’il échoue, le docteur devra se donner la mort. C’est le début d’une chasse à l’homme, dont le chasseur et le chassé vont éventuellement intervertir leurs rôles, que j’ai aimé suivre, en grande partie pour connaître le dénouement final.

C’est parfois un peu long (658 pages), 100 pages de moins n’auraient fait de mal à personne. Mais c’est ainsi et j’ai tout même apprécié cette lecture.
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Mort-en-direct.Com

Pour retrouver la victime d'un snuff movie, un professeur de psychologie doit faire équipe avec un pédophile. Voilà ce que nous raconte « Mort-en-direct.com »

Adrian, professeur de psychologie, est atteint d'une maladie dégénérative du cerveau qui l'entraîne vers la folie. Quand une jeune fille disparaît, il découvre qu'elle est séquestrée dans une cave et filmée par un couple réalisant des snuff movies. Pour la sauver, il fait appel à un spécialiste des réseaux souterrains et illégaux : un pervers sexuel en liberté surveillée...

Un suspense qui tient en haleine vous attirant de plus en plus profondément dans une ambiance frissonnante du mal, les ténèbres et les ombres. Enlèvement, voyeurisme, et un personnage principal touchant dans sa lutte contre une maladie dégénérative du cerveau : voici les ingrédients de ce page turner. . Peut-être pas le meilleur des « Katzenbachs » pourtant, le récit ici coule sans effort et le scénario tient la route. Alors pourquoi bouder son plaisir d’une lecture prenante malgré tout


Lien : https://collectifpolar.com/
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Mort-en-direct.Com

Le résumé donnait vraiment envie mais... je me suis tellement ennuyée ! Beaucoup trop de longueurs à mon goût et l'impression qu'il ne se passe pas grand chose, voire rien du tout. Plus de 600 pages juste pour ça... J'ai tenu bon pour le finir mais je suis déçue de ma lecture.
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L'analyste

Une bonne idée de départ et une écriture fluide, mais un texte beaucoup trop long à mon goût. Je me suis lassé de voir tout expliqué de long en large à chaque nouveau chapitre. Et je pense que ce roman aurait gagné en densité en s'allégeant d'une bonne centaine de page. Car l'histoire est intéressante mais trop diluée. J'avoue avoir lu en diagonale après 300 et quelques pages, et je me suis rendu compte que je ne perdais pas le fil.
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L'affaire du lieutenant Scott

Pendant la seconde guerre mondiale, dans un camp de prisonniers militaires débarque un aviateur noir. Son arrivée va troubler le calme apparent du camp d’autant qu’il fait un coupable rêvé pour le meurtre d’un des prisonniers particulièrement raciste. Tommy, bombardier qui faisait des études pour devenir avocat, devient le défenseur du lieutenant Scott dans un procès qui semble voué à l’échec. Le début est assez âpre, ce n’est pas facile d’entrer dans cette histoire. Le rythme est très lent même s’il finit par s’accélérer. Ce choix fait écho au rythme de vie des prisonniers ce qui est réussi. J’ai failli abandonner plusieurs fois car le style de l’auteur et/ou du traducteur ne me plait pas et pour couronner le tout mon édition est un puzzle. Si les numéros de pages sont dans l’ordre, un bonne part du texte lui ne l’est pas ce qui m’obligeait à la fin de chaque page à lire les premiers mots des 3/4 pages suivantes pour trouver ce qui devait être la suite du texte. C’est vraiment l’histoire qui m’a tenue. Entre les alliés qui ne le sont pas, les allemands qui le deviennent peut-être, la place des noirs pendant la seconde guerre mondiale… il y a vraiment matière à réflexion.
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Juste cause / Scorpion noir

Ça commence bien. On verra la suite.
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L'analyste

Voilà... Il en fallait bien un deuxième... Un deuxième livre abandonné.

Le Dr Straks semble fort aimable au départ, son sort tragique, sa mission trépidante... Encore faut-il sortir de la tête de ce cher docteur (et de son cabinet...).

J'ai pourtant l'habitude des histoires longues à se lancer, mais le désert de personnages un tant soit peu marquant, les longueurs des réflexions ont réussi l'exploit de me faire plier à chaque fois au bout d'une demi page et c'est à à peine la 100ème que j'ai reposé l'Analyste dans la pile à lire avec peu d'espoir de l'en sortir un jour...

Difficile de juger honnêtement un livre dont on a parcourut à peine une quart, mais il m'était tout aussi difficile d'aller plus avant...
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L'analyste

Suspense efficace, avec un regain d'intérêt au milieu du roman, où de chassé la victime devient chasseur... Par contre les personnages manquent définitivement d'épaisseur. C'est peut être le genre qui veut ça, mais j'ai été un peu gêné par ce manque d'arrière-plan.
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L'analyste

Malgré un résumé, fort alléchant sur la 4eme couverture, j'ai eu très vite l'impression d'être un patient perdu, impatient et éperdu dans une salle d'attente d'un médecin anonyme...



Avec "L'analyste" en mains, je me suis vite ennuyé, une terreur soudaine puis une lassitude m'envahit puis une citation de Freud m'est revenu à l'esprit : « On a beau rêver de boissons : quand on a réellement soif, il faut se réveiller pour boire. »



J'ai suivi le conseil de Sigmund et j'ai abrégé la thérapie en prenant la liberté d'arrêter la lecture, ô combien si chère ....



N'est-ce pas Freud qui a dit : « La liberté individuelle n'est nullement un produit culturel. » ?...

Mais de toute façon : « Quoique vous fassiez, vous ferez mal ! », alors....pas de scrupule.



Je suis sorti prendre l'air, au lieu de m'étendre avec "L'analyste".....











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Mort-en-direct.Com

Je me suis embarquée dans ce petit thriller dont le résumé me faisait pas mal envie et j’ai beaucoup aimé ma lecture. Adrian apprend qu’il est atteint de la démence à corps de Lewy, une maladie aussi rare que destructrice. Adrian se retrouve victime d’hallucinations et perd peu à peu la tête. Il a donc prévu de se suicider avant de ne plus être maître de lui-même, sauf que ses projets sont annulés quand il assiste à un kidnapping. De là, il va se mettre dans la tête d’aider cette victime et de la sauver, en partie parce qu’il n’a pas pu sauver son frère, sa femme et son fils tous morts bien trop tôt. Accompagné des hallucinations de sa famille, il va mener son enquête qui vont l’emmener très loin.

Même si au début, j’ai eu un peu de mal avec l’écriture, au fur et à mesure de ma lecture, j’ai de plus en plus accroché, m’attachant au personnage d’Adrian. Ce professeur qui perd la tête est super attachant, et sa vie a été vraiment difficile, il a vu toutes les personnes qu’il aimait mourir. Pouvoir les retrouver en hallucination est presque un soulagement pour lui, en fait. On sent qu’Adrian est sur un fil, entre folie et réalité, et malgré ça, il va se battre pour retrouver Jennifer et je l’ai vraiment aimé. J’ai beaucoup moins apprécié la flic, Terry. Elle aussi a un passé difficile, fuyant avec ses filles un mari violent. Mais je l’ai trouvé presque trop terre-à-terre. Elle pensait beaucoup à sa carrière, allant parfois jusqu’à souhaiter être débarrassée de cette affaire. Elle restait très droite, certes, mais inutile du coup. Je pense que ça représente une certaine réalité de la police, ils ont des règles à suivre et ils sont parfois bloqués par la peur des journalistes, la peur de voir leur carrière détruite par une erreur.

On se retrouve aussi dans la tête de Jennifer, et je l’ai trouvé hyper courageuse, j’avais envie qu’elle se batte, qu’elle lutte, j’avais tellement envie qu’elle s’en sorte. On sent qu’elle a du caractère, qu’elle ne veut pas céder, mais en même temps, elle est terrifiée par ce qui lui arrive. Pour autant, elle réussit à obtenir des petites victoires face à ses agresseurs. Des agresseurs qui se prennent pour des grands scénaristes et ne voient pas le problème dans ce qu’ils font. Ils ne se sentent ni violeur, ni meurtrier. On sent leur folie chaque fois qu’on se retrouve dans leur tête, une folie guidée par leur amour. Ils font froid dans le dos, mais j’ai trouvé que ceux qui regardaient le site, tels des voyeurs, étaient encore pire qu’eux.

Ils assistent à ce que doit subir Numéro Quatre, ils la regardent jour après jour, essaie de ne pas rater les meilleurs moments (un peu à la Truman Show, mais en vraiment plus glauque), et pas un seul ne prévient la police, n’essaie de sauver Numéro Quatre. On voit diverses sortes de persos, des gros pervers, des étudiants pas nets, mais également des jeunes filles, des réalisateurs… Et aucun n’essaie d’aider la jeune fille qu’ils voient souffrir à l’écran. Ils se délectent simplement du spectacle et franchement, pour moi, ils valaient pas mieux que Linda et Michael, les agresseurs de Jennifer.

Et puis il y a Wolfe, le délinquant sexuel qui va aider Adrian à retrouver la jeune fille, et lui, je ne l’ai pas aimé pour tous pleins de raisons, mais c’est un personnage intéressant qui montre la psychologie de ce genre de personnes. Leur perversité, mais également leurs autres facettes. Par exemple, ici, Wolfe malgré ses actes, consacre beaucoup de temps à sa mère malade.

Le récit est donc vu à travers tous ces points de vue, et si on sait déjà qui est coupable, pourquoi et comment, ça n’enlève rien au thriller qui est une course contre la montre, mais qui va surtout visiter la psychologie des personnages, et qui est donc très intéressant. Chaque personnage est vraiment visité, on voit leurs pensées, c’est très profond. L’intrigue est donc prenante, et à la fois malsaine. Parce qu’on a l’impression aussi d’être des voyeurs, en regardant ce qu’il va arriver à Jennifer. Sauf qu’on n’a pas les pouvoirs de prévenir personne, on peut juste espérer qu’elle soit retrouvée à temps.

La fin m’a pas mal émue, j’en ai eu les larmes aux yeux. Même si je regrette que certains personnages soient effacés, pour lesquels j’aurais voulu en savoir plus sur leur devenir. Mais ça reste une belle fin et un bon livre.
Lien : https://jetulis.wordpress.co..
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L'analyste

A la veille de ses congés d'été, le psychanalyste, Docteur Starks, reçoit une mystérieuse lettre de menace. Il doit trouver l'identité de Rumplestiskin sous 2 semaines. S'il ne le trouve pas, il devra se suicider sinon l'auteur de la lettre s'en prendra à sa famille.



Dès lors, commence une course poursuite contre la montre assez lente puisque l'ouvrage est très accès sur la psychanalyse, les réactions humaines. Je me suis sentie très mal à l'aise dans la première partie du livre où le docteur subi toutes les menaces de l'auteur de la lettre. Mais dès que le Docteur Starks choisit de ne plus être l'appât mais le chasseur, cette tension est partie et j'ai trouvé cette seconde partie du roman plus intéressante.
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Juste cause / Scorpion noir

Matthew Cowart est journaliste depuis quelques années quand il reçoit une lettre, adressée à son nom, d'un certain Robert Earl Fergusson...



Robert Earl Fergusson est dans le couloir de la mort. Il est accusé d'avoir violé et tué une petite fille. Petite fille blanche. En donnant cette précision, vous avez compris que Fergusson est noir..... Nous sommes en Floride.....



Fergusson dans la lettre clame son innocence qui fait sourire Cowart qui y voit un train commun à tous ceux qui se trouvent dans l'antichambre de la mort... Mais Cowart y flaire un bon scoop....



Cowart enquête dans ce fin fond de Floride ... Les flics chargés de l'enquête à ce moment là, sont persuadés de la culpabilité de Fergusson... On pourrait y voir un trait de racisme dans l'obstination des policers mais l'un des deux est de la même couleur de Fergusson et semble très bien connaitre le sujet...



Peu importe, Cowart prouve par A+B que Fergusson est innocent... Il tient l'affaire de sa vie... Le prix Pulitzer lui est donné. Fergusson est libéré......



Mais est une juste cause ?...



Super histoire menée par un maître du suspens....



La fin est d'une grande qualité....



On ressort de ce livre, un peu sale, un peu comme si on s'était baigné dans le bayou boueux et marécageux... ne sachant pas la faune invisible vivant dans les marécages et les dangers que nous encourons....



A lire de préférence en été, en période de grande chaleur : l'air étant moins respirable rendra votre lecture encore plus envoûtante...comme les bayous.
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L'analyste

Polar en 3 actes que 2 de mes amies m'ont plus que vivement conseillé. Je ne suis pas très polar et on m'avait vanté l'intrigue captivante et l'ambiance suffocante provoquée par le piège diabolique qui se referme sur le Dr Starks, psychanalyste de son état (d'où le titre). Sur ces deux points, j'avoue avoir été déçue, ayant compris à peu près à mi-lecture qui-était-qui dans ce ce jeu du chat et de la souris...

J'ai par contre beaucoup apprécié le style d'écriture et l'évolution psychologique du personnage. Je trouve le découpage en 3 actes très intelligent ; Ces "paliers" permettent une sorte de renouveau dans la continuité de l'histoire à travers le développement du personnage de Ricky et permettent de faire évoluer une écriture qui pourrait lasser (la première partie est très narrative, la seconde faite de rencontres donc plus dialoguée et la troisième tournée vers l'action... pour synthétiser).

Bref, ne lisant pas de polars, je ne saurai dire si "L'analyste" en est un bon, en tout cas j'ai eu plaisir à le lire pour les raisons évoquées ci-dessus et malheureusement pas, comme je m'y attendais en lisant ce genre de livre, pour son intrigue.

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L'analyste

Le docteur Starks est psychanalyste et vit seul dans un petit appartement attenant à son cabinet depuis que son épouse est décédée d'un cancer. Dévoué à son travail, le docteur passe la plupart de son temps seul en dehors de son travail et à des petites habitudes bien ancrées dans son quotidien. Après une séance avec un de ses patients, il découvre dans sa salle de temps une lettre... la lettre qui lui annonce qu'il vient d'entrer dans un jeu morbide à son insu. L'issue du jeu est simple : trouver qui se cache derrière le fameux Rumpelstiltskin ou alors la mort. En cas d'échec le docteur devra se suicider sinon il verra ses proches être ruinés ou tués un par un à chaque jour de passé... Une véritable course contre la montre est alors lancée. Qui se cache derrière ce Rumpelstiltskin ? Quel élément à déclencher ce jeu morbide ? Quelle sera l'issue de celui-ci ? L'histoire est alors lancée et le suspens sera présent à chaque page...



Avec L'analyste et dès les premières pages une véritable course contre la montre et contre la mort est lancée. Le mystère s'impose directement et avant même d'avoir pu faire réellement "connaissance" avec le docteur Starks, le jeu est lancé... Plus qu'une histoire angoissante, le roman est une vraie épreuve psychologique pour le docteur qui se doit de rechercher dans ses anciens patients quel peut être l'élément déclencheur de tout cela et pour le lecteur qui plonge littérallement dans cette spirale de l'enfer avec lui.



Plus l'enquête du docteur avance et plus les éléments s'enchaînent pour l'enfoncer peu à peu dans un véritable délire paranoïaque. Chaque événement va se lier à un autre, chaque personnage peut en cacher un autre et difficile alors de savoir démêler le vrai du faux. L'angoisse est présente à chaque chapitre et on se demande à chaque rebondissement si la vérité éclatera.



L'écriture de John Katzenbach est intense et fait même froid dans le dos à certains passages. L'auteur nous emmène littéralement dans une histoire incroyable et surréaliste ponctuée par des retournements de situations qu'on ne pouvait imaginer... Grâce à un suspens qui ponctue chaque chapitre, la lecture de L'Analyste est passionnante et on arrive difficilement à le refermer.
Lien : http://www.ptitblog.net/livr..
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Le loup

Grande fan de cet auteur, j'ai adoré tous ses autres livres ; mais celui-ci m'a beaucoup déçue, à croire que ça n'est pas la même personne qui l'a écrit, tant le style et l'histoire sont différents de ce à quoi Katzenbach nous avait habitué !

Je n'ai même pas réussi à finir, j'ai lâché aux deux tiers, pour une personne comme moi qui lâche rarement un livre et encore moins un thriller, quel ratage, quelle déception !
Lien : https://clairesalander.wordp..
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Mort-en-direct.Com

J'ai pris ce livre un peu au hasard, plus attiré pas la première couverture que la quatrième.

On rencontre un vieil homme malade et qui perd la tête de plus en plus, Adrian. On y trouve aussi une jeune maman flic, Terry et un ancien pédophile en liberté surveillé, Mark Wolfe. 3 personnages complètements différents qui vont se serrer (plus au moins) les coudes pour découvrir où est la petite Jennyfer enlevé un soir, lors d'une fugue.

Malheureusement, 3 personnes qui ne sont pas assez approfondies. J'ai trouvé Adrian beaucoup trop tiraillé avec ses fantômes du passé, il passait trop à coté de la réalité. J'ai eu plus d'une fois, envie de lui dire de se bouger ! Quand aux 2 autres personnages, Terry était trop effacée et passive et j'ai eu du mal a être à l'aise avec le pédophile. Mais la fin de ce thriller m'as, heureusement, réconciliée avec ces 3 héros torturés. Une fin qui, part ailleurs, vaut le détour.

Mais le point fort de ce livre pour moi, reste la mise en scène de la survie de Jennyfer ou Numéro Quatre. Les sentiments de la jeune fille sont très bien traduits. On ressent sa peur, sa tristesse, son incompréhension, sa folie lente et douloureuse. Quand aux kidnappeurs, ce sont de vrais psychopathes en liberté !

Pour résumé, un début très lent, presque ennuyeux, mais une fin tonitruante et pleine de rebondissements qui ne vous laisseront pas de marbres...

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Juste cause / Scorpion noir

que ceux qui ont vu le film, comme moi, ne se laisse pas arrêter. Même si le début et la fin sont semblables, le reste du livre demande à être lu sans attente...
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Faux coupable

Une atmosphère tendue tout le long de ce roman où l'on sent qu'un drame va nécessairement se dérouler mais sans savoir quand ni de quelle manière. Plus l'on rentre dans l'intrigue plus la tension monte et notre adrénaline aussi. Une intrigu...e ancrée dans une réalité : ce que vit la famille Freeman est dans le domaine du possible. Quand une famille (relativement) paisible tombe dans un enfer et qu'elle découvre jusqu'à quelles extrémités elle est capable de descendre pour essayer de s'en sortir.

Un bon polar pour ceux qui aiment les intrigues riches et qui n'ont pas peur du nombre de pages.

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L'analyste

Un chef d’œuvre du genre, un pure exercice de style. La première partie prend lentement le temps d'exposer la situation, la seconde est extra-ordinaire. À lire d'urgence !
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