Joseph Delaney

J'ai beau toujours prévoir de réserver à la médiathèque le tome suivant avant d'entamer ma lecture de celui que j'ai en cours, je me fais toujours piéger tant ces ouvrages sont extrêmement prenants et se lisent extrêmement vite (d'autant plus que je suis en vacances cette semaine alors j'en profite...Autant vous signaler que pour moi, le mot "vacances" rime avec lectures, lectures et...lectures entre autres).



Dans ce cinquième tome, Tom, notre jeune héros apprenti-épouvanteur, qui entre dans sa quinzième année, est envoyé, à la demande se son maître, John Grégory, chez un autre épouvanteur qui sera en mesure de lui parfaire son éducation en lui enseignant d'autres méthodes. Ce dernier se nomme Bill Arkwright et fut lui-même un ancien apprenti de M. Grégory. Cependant, l'a-t-il fait sciemment ou pas ou pour le protéger (le lecteur ne sait pas trop quoi en penser) suite aux récents événements (voir tome quatre), l'Epouvanteur Grégory envoie ici son élève affronter de redoutables épreuves... En étant confronté à la sorcière des eaux Morwène - qui n'est autre que la fille du Diable en personne -, notre jeune Thomas Ward (Tom), va devoir faire preuve de beaucoup de courage mais aussi de ruse et d'intelligence. De plus, c'est toujours dans ces moments-là que l'on reconnaît en général ses véritables amis à savoir ces personnes en qui ont peut réellement avoir confiance...Je dis bien en général car il arrive que parfois, le destin se trompe et que des personnes auxquelles on ne s'attendait pas nous viennent en aide tandis que d'autres révèlent alors leur véritable nature...



Je ne vous en dis pas plus mais vous invite à venir découvrir cette formidable série pour enfants (bien que parfois, je la trouve un peu violente pour certains qui seraient peut-être plus sensibles que d'autres mais me direz-vous, la série "Harry Potter" ne les a pas épargnée non plus) et à la faire découvrir aux plus jeunes !

Bon je ne vais pas m’éterniser une fois de plus sur la qualité grandissante des livres jeunesse, mais juste dire que L'apprenti-épouvanteur fait partie des réussites de cette catégorie.

Ce qui m'a attiré en premier c'est bien évidemment, la couverture. Sombre et sobre, aux allures de vieux grimoire au cuir usé par le temps et les nombreuses manipulations. Lorsque la lecture du résumé du livre m'a confirmé qu'il s'agissait d'un roman de fantasy, je suis immédiatement tombé amoureux. Je pense sincèrement que certains illustrateurs devraient prendre exemple sur David Wyatt (auteur de la couverture), car même si on trouve de magnifiques illustrations dans le rayon fantasy, il faut reconnaître qu'elles ont tendance à toutes se ressembler. Et au final je trouve ça plutôt marrant que ce genre d'innovation provienne d'un livre "jeunesse".

Pour rester dans le sujet, sur la quatrième de couverture est écrit: "Attention! Histoire à ne pas lire la nuit..." et "Cet ouvrage comporte des scènes susceptibles de perturber les jeunes lecteurs". Alors qu'en est-il vraiment? Simple provocation pour attirer le lecteur à la recherche du grand frisson? Ou réel avertissement? Le contenu est-il aussi intéressant que le contenant? Toutes ces questions trouveront une réponse dans les prochains paragraphes (tadaaaa!).

Premier constat, l'ouvrage est bel et bien un livre jeunesse. Cela se ressent dans la narration du récit. N'y voyez rien de négatif, car Joseph Delaney à une belle plume. Le texte est fluide et ne manque pas de description. L'auteur prend le temps de développer l'histoire et les personnages sans longueurs inutiles. C'est juste qu'il se dégage du récit, un petit côté "naïf". Disons que les habitués de fantasy ne seront pas surpris dans l'évolution de l'histoire. L'auteur prend parfois le chemin de la facilité (cliché?) pour mettre à l'épreuve notre jeune héros. Ainsi, alors qu'il n'est qu'un simple apprenti sous la tutelle d'un maître-épouvanteur, Tom (le héros) se retrouvera seul à maintes reprises, malgré son jeune age et les nombreux dangers entourant la maison. Et c'est bien évidemment dans ces moments là que les problèmes arriveront au personnage, montrant par la même occasion le côté prometteur, élu, unique (Harry Potter?)...etc, du héros. Mais encore une fois, rien de bien gênant, et puis il faut garder en tête que c'est un livre jeunesse, et (si vous êtes plus âgé) qu'il n'est pas là pour remplacer ou concurrencer Le Seigneur des Anneaux.

La force du livre, c'est son ambiance. Malgré le publique ciblé, j'ai trouvé le récit très sombre (ce qui n'est pas pour me déplaire). Et finalement, on se rend compte que la quatrième de couverture ne mentait pas. Sans atteindre le gore d'un Poppy Z. Brite ou l'épouvante d'un Stephen King, le livre se défend plutôt bien et on se dit que les enfants (ou même les adultes, si vous êtes sensible) auront leurs doses de frissons.

J'ai été happé par le livre, je l'ai commencé sans pouvoir le relâcher une seconde. Je n'en ai fait qu'une bouchée et je n'avais qu'une idée en tête une fois le livre refermé, lire la suite. Ce que bien sûr je vais faire. Je le conseille aux jeunes lecteurs qui cherchent à se lancer dans la fantasy, et aux vieux routard du genre qui veulent un bon divertissement rapide à lire.

J'avais hésité à emprunter ce livre, même si j'ai plutôt aimé la saga de l'Épouvanteur. En effet, je craignais qu'il s'agisse d'une sorte de dictionnaire répertoriant les différents types de sorcières, ce qui ne m'intéressais pas plus que ça.



Mais je suis contente que mon envie de me replonger dans les livres de l'Épouvanteur l'ait emporté, puisqu'il s'agit en réalité de cinq histoires. Cinq nouvelles sur des sorcières que nous connaissions déjà un minimum au travers de la saga : Meg Skelton, Dora la Cracheuse, Grimalkin, Alice et la Banshie.



Écrites à la première personne, ce sont des nouvelles qui permettent d'approfondir l'univers et de retrouver des personnages. J'ai particulièrement aimé les histoires de Meg et d'Alice : la première est du point de vue de l'Épouvanteur et la seconde du point de vue de la sorcière.



C'était intéressant d'en apprendre plus sur la relation entre Meg et John Grégory, cela permettait de découvrir une autre facette de ce dernier. Et l'histoire du point de vue d'Alice permettait de découvrir le passé de celle-ci avant qu'elle ne rencontre Tom. J'ai moins aimé les autres histoires, même celle de Grimalkin, alors que j'étais contente de retrouver ce personnage.



Ce livre est un bon plus pour les personnes qui aiment la saga de l'Épouvanteur, qui ont envie de retrouver Alice, Grimalkin, Tom ou John Grégory... Mais c'était surtout sympa de pouvoir en découvrir plus sur différents types de sorcières, malgré les nouvelles parfois inégales !

Billy Calder est un adolescent qui vit dans un orphelinat dans le nord de l'Angleterre. Sa vie n'a pas été très rose, mais il compte bien se sortir de sa situation grâce à un travail plus qu'atypique : gardien de nuit dans une prison qui abrite des détenus pas comme les autres...

Fantômes de sorcières, esprits et bête cannibale mystérieuse en plus des quelques détenus humains qui meurent sous la torture ou de mal-nutrition : quelle ambiance ! Face à cela les règles sont très strictes, question de survie !...

Tout bascule le jour où c'est à Billy de nourrir la bête mystérieuse enfermé dans le cachot de la sorcière...



Depuis Arena 13 j'avais hâte de retrouver la plume de Joseph Delaney , que j'ai lu cette fois dans la version originale. Et quel plaisir de trouver une langue riche, rythmée et fluide à la fois !

Le récit prend la forme des légendes que l'on peut entendre dans le nord de l'Angleterre - d'où l'auteur est originaire - ou en Écosse. Et la tournure de certaines scènes donne même parfois des allures de récit antique à l'histoire.



Une super lecture à lire pour frissonner et angoisser qu'il est impossible de lâcher avant la fin !

La mauvaise saison approche et le froid va, comme chaque année, envahir Le Comté. Alors, Tom et son maître vont prendre leurs quartiers d'Hiver au Sud, dans la maison d'Anglezarke. Sauf que cette maison a beau être au Sud, elle est située en montagne, exactement dans la partie du Comté où le froid est le plus mordant...



---



"Pour lecteurs avertis"... oui, avertis qu'ils vont tomber sur un tome lourd et un héros geignard. Si la première partie du roman, correspondant au voyage vers Anglezarke et l'installation dans la demeure, ainsi que l'élimination d'un gobelin, était intéressante (changement de décor, face à face avec un ennemi mortel, rencontre avec Meg, le grand amour de John Gregory), le reste du tome est complètement inutile, basé sur un postulat débile et reprend la rengaine du "gros méchant Ancien qui va être relâché sur le Comté, bouhhhh" (on avait déjà eu droit à ce schéma avec "Le Fléau" au tome précédent, et c'était déjà pas fameux) en y ajoutant un nécromancien mythomane qui aurait pu être sympathique s'il ne manquait pas de substance.

Mis à part ceci, le twist final est inattendu (puisque illogique) et ironique, mais la résolution et l'invulnérabilité de notre petit héros sont lourdingues (il n'y a aucune tension car nous savons que Tom s'en sortira par une pirouette narrative du cru de l'auteur)...

Bref, pas déçu d'avoir enfin bouclé cette relecture, j'avais un bon souvenir d'Anglezarke et sa maison collée à la falaise, et je me rends compte que c'est en effet la seule partie du roman vraiment sympathique (ça et les glaçons de nécromant).

Ma petite lecture doudou du moment, avec laquelle je sais que je passerai un bon moment et qui se lit assez rapidement. J'ai d'ailleurs bien envie de me plonger un peu plus dans la saga et d'enchaîner les tomes, surtout que les événement de ce tome promettent des choses plutôt palpitantes dans un futur très proche. De quoi me donner bien envie. En espérant que je ne m'essouffle pas car il reste tout de même encore huit tomes.



Tom se retrouve, dans ce cinquième tome, entre les mains d'un nouvel Epouvanteur pour pour parfaire son entrainement. Un peu de dépaysement pour nous, autant que pour notre héros et l'occasion de découvrir de nouvelles créatures et surtout un nouveau chasseur de l'obscur. Une très bonne idée, je l'avoue sans peine et cela pour plusieurs raisons. La première est que cela appuie un peu plus le fait que Gregory vieilli. Il ne peut pas donner à Tom l'entrainement qu'il voudrait et il connait très bien ses limites. Ce n'est pas la première fois que le vieil Epouvanteur nous montre ses faiblesses, certes, mais un petit rappel est tout de même le bienvenue. Depuis le départ, j'ai l'impression que le personnage est invincible, qu'il ne pourra jamais mourir. Ces petites piqûres de rappel le rendent plus humain même s'il arrive toujours à m'étonner. C'est aussi l'occasion de voir comment Bill, le nouveau maître de notre héros, voit le métier et l’exerce. Car oui, ils ont chacun leurs méthodes et une façon de voir l'obscur différente. Cela ouvre l'horizon de notre jeune apprenti. En bien, comme en mal, car Bill est loin d'être un ange, mais je me dis que grâce à cela, Tom pourra réfléchir et ne pas voir que la vision de son maître comme étant la seule et l'unique.



Un très bon parallèle avec la vie que chacun de nous peut vivre. Là encore, l'auteur joue vraiment bien ses cartes pour moi, surtout vis-à-vis de la cible visée. Réfléchir par soi-même, se faire sa propre opinion, se tromper, recommencer. Voilà un message positif malgré la noirceur de plus en plus présente de la saga. En parlant de noirceur, revenons un peu à Bill. Je n’ai pas apprécié le personnage même après son évolution. Je comprends pourquoi il agit de la sorte mais c’est une façon égoïste de vivre et de se comporter. Bien sûr cela reste une épreuve autant pour Tom que pour son nouveau maître. Il y a une sorte de morale derrière mais un tel comportement à tendance à me hérisser le poil. C’est une voie de faciliter.



A contrario, j’ai été moins « épouvantée » par les sorcières de l’eau ou par le Malin. C’est étrange, peut-être parce que c’est le côté fantastique du roman. Ils sont effrayants, mais il y a une certaine retenue en un sens. Quelque chose de moins palpable. Même le côté religieux et très noir et blanc de Gregory m’inquiète plus. C’est pour dire. J’ai du mal avec cette vision obtuse de la vie. Il y a tellement de dégradés et on se retrouve face à une façon de penser très limitée. Elle parte d’un bon fond, j’en ai conscience et l’Epouvanteur fait de son mieux. Mais il y a une part de mal en chacun de nous et cela ne fait pas de nous une personne mauvaise. J’aimerai vraiment que ce côté soit plus exploité. Alice, tout comme Grimalkin apporteront peut-être cela. Elles sont d’ailleurs deux personnages que j’aime de plus en plus.



Un autre point m’a un peu ennuyé. Tom se montre à certains moments assez immature. Il prend la mouche pour pas grand-chose. Je sais qu’il est encore jeune et que cette aventure n’a pas été évidente pour lui, mais j’aimerai que ce trait de caractère évolue. Je n’ai pas envie de voir en lui un enfant chouchouté qui se laisse déstabiliser pour une remarque, aussi injuste soit-elle.



Il n’en reste pas moins que ce cinquième tome a été un petit plaisir. Je sais que j’ai soulevé des points que je n’ai pas apprécié mais encore une fois l’auteur a su me charmer avec cette nouvelle aventure. On se prend au jeu et on rentre dans l’univers très facilement et dès la dernière page tournée, on a envie de poursuivre. Ce que je ferrai très rapidement !

Voilà un petit moment que j'avais réservé cet ouvrage à la médiathèque et quelle frustration car ô combien d'attente pour un livre qui se dévore et se lit en quelques jours à peine (et encore je ne que que par demi-journées étant donné que c'est le temps dont je dispose pour lire). Heureusement, j'avais eu la es bonne idée de réserver le quatrième tome en même temps ce qui fait que, une fois que mon mari aura terminé de le lire, ce sera mon tour...



Mais parlons pour l'instant du troisième tome. Ici, le jeune Thomas Ward, que tout le monde appelle Tom et qui est désormais âgé de treize ans continue son apprentissage sous la direction de l'Epouvanteur John Grégory. Il apprend en effet à se battre contre les forces obscures afin de pouvoir un jour être capable de prendre la relève de son maître et de protéger le comté de toutes sortes de créatures qui pourraient nuire aux villageois ainsi qu'à leurs bêtes et habitations. Cependant, si il y a une chose contre laquelle on ne peut pas lutter, c'est bien la peine que l'on ressent lorsqu'on perd un proche et cela, le jeune Tom va l'apprendre bien assez vite mais je ne vous dévoilerai pas dans quelles circonstances. Il va également devoir apprendre à se battre contre celui qui l'a précédé en tant qu'apprenti de l'Epouvanteur, le jeune Morgan et dans c ette lutte sans pitié, un seul en ressortira indemne...



Un livre, bien que destiné à la jeunesse, est aussi recommandé aux moins jeunes (il ne faut pas croire, ce n'est pas parce qu'il y a une étiquette dessus qu'il faut toujours s'y fier) et en tant qu'adulte, je ne peux que vous recommander ! Cependant, je vous préviens, si vos êtes aussi sensible que moi, préparez-vous un mouchoir à proximité car pour tout vous dire, ici, l'auteur ne nous épargne pas en émotions. A découvrir !

Alors ça y est, c'est la fin , j'aurai peut-être du le savourer un peu plus ! On reprend la suite immédiate du tome 15 , la situation est donc toujours critique et désespérée pour contrer les Kobalos car les alliés s'amenuisent ! Oui mais en fait non ahah car surprise dans ce tome, tout est possible ! Je n'en dirai pas plus parce que c'est vraiment un tome à ne pas spoiler ....

Je suis sortie de cette lecture plutôt contente de la fin mais avec une impression de rapidité dans l'intrigue : c'est comme si il y avait eu un avance rapide pour arriver rapidement au dénouement avec les Kobalos . Car finalement pas d'autres batailles majeures, tous les dangers évoqués à maintes reprises aurait pu être un peu plus utilisés car l'auteur fait monter la pression pour au final ne pas finir par une explosion . Enfin peut-être que j'en attendais trop ! Toujours quelques facilités scénaristiques mais ça se dévore aussi bien ^^ Autre chose qui a été un leitmotiv tout au long des seize tomes et que l'on retrouve encore dans ce tome c'est l'ambiguïté autour du personnage d'Alice mais j'ai jamais trouvé ça très convainquant, dommage ! ET pour ce qui est du secret, il est top et prometteur si il y a une suite mais je suis pas tombée de mon fauteuil non plus .

EN résumé , j'ai surtout développé les petites faiblesses de ce tome mais j'ai adoré, la fin me satisfait et j'espère qu'on reverra les personnages dans une prochaine trilogie. Il y a encore de quoi faire et puis je suis attachée à eux donc il y a toujours une petite tristesse à l'idée de les quitter.

Challenge Mauvais genre

Challenge séries 2019

Challenge pavés 2019

Pour la première fois on change de narrateur et avec Grimalkin , tout est plus rapide et passionnant encore ! On est obligé de l'aimer : une personnalité forte qui va montrer dans ce tome sa vulnérabilité et son côté humaine. On aperçoit Tom rapidement mais il ne manque pas quand on est au côté de Grimalkin ! Contente par contre de voir un peu plus Alice , on imagine sans peine qu'elle sera sans doute la sorcière la plus puissante à venir , c'est prometteur pour la suite ! Une suite que j'enchaine tout de suite d'ailleurs parce la course est lancée pour détruire définitivement le plus grand ennemi de Tom et je ne voudrais pas rater ça ^^

Challenge Mauvais genre

Challenge séries 2019

L'hiver arrive et le jeune apprenti et son maitre vont prendre leur quartier à Anglezarke, dans une maison plutôt lugubre. Le passé de l'épouvanteur surgit dans ce tome sous les traits de Meg et Morgan et Tom va en apprendre un peu plus sur son maitre tandis que son histoire personnelle devient elle, plus tragique. Un tome riche en évènements donc , même si pas mal de questions demeurent sur l'épouvanteur, avare en confidence ! Tom affronte un nouveau danger, avec beaucoup de bravoure je trouve et Alice est toujours dans les parages , moins ambigu j'ai trouvé que dans les deux tomes précédents. Mais c'est peut-être le loup qui dort…

Un tome qui confirme mon intérêt pour la série ! J'ai hâte de la poursuivre .

Challenge Mauvais genre 2019

Challenge séries 2019

Multi-défis 2019

L'épouvanteur et son apprenti se rendent à Priestown, haut lieu de la religion dans le Comté. Là-bas, John Gregory a laissé un travail inachevé : Le Fléau, ancienne divinité devenue une entité maléfique, est enfermé dans les catacombes depuis des siècles mais reprend récemment de la vigueur et sera bientôt capable de se libérer et de déferler sur le monde.

Tom et son maître vont donc tenter de le défaire à tout jamais, dans une ville où l'on exècre leur métier, et où l'inquisition veille... le danger viendra-t-il de l'obscur ou de l'obscurantisme ?



---



Un bon tome qui pèche toutefois par des redites, des longueurs et des facilités. Si j'ai beaucoup aimé l'histoire en elle-même (avec cet ancien dieu d'un peuple disparu enfermé et maudit qui prend petit à petit le contrôle des religieux de la ville ; avec cet inquisiteur borné et malhonnête qui ne pense qu'à s'enrichir en accusant à tort et à travers ; avec la critique de la religion et des prophéties, du machisme et des fondamentalismes), la fin est un peu expédiée et la mère de Tom joue un rôle de facilitateur un peu exagéré à mon sens. J'ajouterai à cela un Tom dont la relation avec Alice est totalement niaise malgré une ambivalence de la jeune fille bien trouvée et rendue (elle est méchante, mais elle est gentille, mais elle est méchante, mais elle est gentille... stop, merci !), une somme de lieux-communs vis-à-vis des pactes et des créatures invoquées (si tu le fais deux fois ça va, mais trois t'es foutu...) et les monstrueuses redites entre le tome 1 et le tome 2 censées jouer les memento pour le lecteur mais disséminées tout au long du texte (c'est horripilant quant vous venez de lire le précédent il y a peu, je préfère un bon "previously" en intro).



Mais cette facilité dans le dénouement (avec un magnifique swing du Fléau qui envoie son inquisiteur hors du terrain, dans la pool...) et ces petits défauts contrastent avec l'ambiance magnifiquement oppressante et réussie de toute la première partie en ville, et la maturité des événements qui s'y déroulent.

En effet, j'ai trouvé ce tome bien plus sombre que le précédent. Bûcher, persécution, sacrifice humain, galettes de moines et suicide-héroïque ne sont que quelques éléments "susceptibles de perturber le jeune lecteur".



Dans tous les cas, la fin du tome reste ouverte, et de nouveaux horizons, loin de Chipenden, s'offrent à nous.

DU LOINTAIN DE LA BELLE PROVINCE ET DE SON FOLKLORE TRADITIONNEL.



«Un choix exceptionnel de chansons écrites pour les enfants il y a plus de 60 ans. Une atmosphère joyeuse aux parfums de fête et de cirque, des animaux drôles et tendres : un chat musicien, des grenouilles de concert et des poules grévistes, rien de moins. Des airs qui n'ont pas pris une ride !»



Telle était la présentation - jusqu'à ce que votre humble serviteur se permette de la compléter et de la modifier - proposée à l'occasion du dernier Masse Critique ayant la jeunesse pour thématique générale. Profitons-en pour remercier chaleureusement la meilleure bibliothèque en ligne de tout le net, Babelio bien entendu, ainsi que cette énigmatique mais charmante maison d'édition pour la jeunesse : "La Montagne Secrète", qui en a, désormais beaucoup moins, de secrets !



En effet, ce que cette première description, foncièrement exacte mais très incomplète ne précisait pas, c'est que le livre + disque reçu avait d'abord dû traverser l'Atlantique nord avant d'échouer, un jour de joli mois de mai, dans notre boite aux lettres ! En effet, La Montagne Secrète est une maison d'édition québécoise. En soi, ce détail n'est d'aucune gêne... Sauf qu'il s'agit ici de chansons issues de collectages réalisés il y a, effectivement, une soixantaine d'années (possiblement plus, mais en l'absence de dates ni d'éclaircissements plus précis, il nous faudra en rester là) par un certain Joseph Beaulieu, "folkloriste", musicien, enseignant et compositeur canadien (Mattawa, Ont., 21 mai 1895 - North Bay, Ont., 1er octobre 1965 d'après l'encyclopédie canadienne) dont il nous faut bien avouer que nous le découvrons à l'occasion de cet envoi.



Pourquoi cette longue précision ? Parce que ces chansons datant d'une soixantaine d'années (pour leur première publication) n'évoqueront sans doute pas grand chose au lecteur et auditeur français n'ayant qu'une modeste connaissance du folklore canadien (sic !). Aussi, soyons totalement honnête : avant d'avoir l'album (très joliment illustré, mais nous y reviendrons) entre les mains, nous nous attendions à une sélection de chansons pour enfants de ces années-là, voire à un choix et une adaptation pour la jeunesse des grands standards Yéyé de l'époque, éventuellement encore, à une énième interprétation des meilleures chansons de notre cher Boby Lapointe, allez savoir...! La surprise fut à la hauteur de la déconvenue, d'autant plus que l'ouvrage manque cruellement d'explications, à l'exception des crédits musicaux - il est probable que ces airs ainsi que ce Joseph Beaulieu évoquent encore bien des souvenirs chez nos amis canadiens, ce qui n'est pas vraiment le cas nous concernant, hélas -, que les chansons sont rassemblées sans aucun lien apparent les unes avec les autres, qu'aucune histoire ne fait office de présentation ou de mise en perspective et que la seule vague thématique les réunissant est celui des animaux à travers la chanson... Ce qui n'est même pas tout à fait le cas puisque deux d'entre elles n'évoquent qu'indirectement nos amis à quatre pattes (Le carroussel, le vieux pont) !



Voila donc chronique bien mal engagée (ce qui explique cette notation de 3,5 étoiles, légèrement en demi-teinte, pour autant qu'elle vaille quoi que ce soit). Fort heureusement, tout le reste est superbe !



Les illustrations, des aquarelles rehaussées d'encre d'une très grande délicatesse d'exécution, sont tour à tour drôles, poétiques, rêveuses, évocatrices, quand ce n'est pas un peu tout cela à la fois. On s'étonnera seulement qu'il faille en rechercher l'auteur au bout du bout du bout de la quatrième de couverture... Ce Stéphane Jorisch est pourtant bien doué et sait, avec un luxe de détails méticuleusement stylisés et plein de rythmes, ajoute beaucoup aux textes qu'ils environnent. Du bien bel ouvrage qui eût mérité, nous le pensons sincèrement, les honneurs de la page de garde.



Quant aux chansons, bien qu'elles ne nous aient rien évoqué de nostalgie enfantine personnelle, étant une totale découverte, non seulement il faut admettre qu'elles sont toutes admirablement écrites, qu'elles sont pleines de sens, de tendresse et de joie de vivre et parfois même accompagnées d'une amusante critique sociale (La grève des poules en est un exemple frappant et parfaitement réussi !). D'un format carré agréable et facile à consulter pour un enfant des classes maternelles jusqu'au début du primaire, sa mise en page eut atteint la perfection si quelques lignes avaient pu remettre ces musiques en contexte. Dommage.



En ce qui concerne le CD qui accompagne l'ouvrage, là, vraiment, rien à redire ! C'est même au point de se demander si ce n'est pas plutôt l'album qui accompagne le disque, tant premier semble n'être qu'un écrin, assurément séduisant, au second. Les interprétations, variées, sont d'une grande tendresse d'exécution. Les voix se font tour à tour délicates, profondes, joviales, taquines, songeuses... Les chanteuses et chanteurs retenus sont tous également de grand talent, bien que de cordes sensibles diverses sur une instrumentation originale, ravissante, poétiquement et volontairement désuète ! L'auditeur y retrouvera avec plaisir la nantaise Jeanne Cherhal, le "fragile" québécois Luc de Larochelière, la délicate Enzo Enzo ou encore Mara Tremblay aux compétences musicales multiples, parmi les huit interprètes rassemblés sur ce délicieux album.



Précision d'importance pour les musiciens amateurs ou professionnels : un fichier PDF complet accompagne le CD. le passionné y retrouvera les paroles originales suivies d'un résumé des textes en anglais, la plupart des aquarelles et illustrations de Stéphane Jorisch présentes dans l'album ainsi que les partitions.



En définitive, un album-CD rafraîchissant, pas très éloigné de la perfection, n'étaient les mises en garde de l'entame de cette humble chronique et une fois dépassé le premier désappointement. Merci à vous, M. Beaulieu, de nous avoir laissé de si jolies choses en héritage, c'est exquis, amusant, aérien !

Ça fait des années que j'ai les 5 premiers tomes dans ma pal et que j'en repousse toujours la lecture à cause du nombre de séries que j'ai déjà en cours. Il aura fallu le décès de son auteur pour que je m'y lance enfin et une activité fastidieuse au boulot sans besoin de réflexion. Au moment de sa sortie, j'avais vu « Le 7ème fils » au cinéma et j'avais bien aimé (même si je n'ai plus que quelques détails en mémoire).



Mon intérêt pour cette histoire a mis un peu de temps à arriver. Elle se laisse écouter mais on est aussi perdu que Tom face au métier d'épouvanteur. Entre les cours, il arrive quelques mésaventures à Tom du fait de sa confiance naturelle. Dès ce premier tome, il se fait beaucoup d'ennemis, même au sein de sa propre famille. Le métier d'épouvanteur est loin d'être simple mais en même temps, ce monde a l'air d'en avoir besoin car des sorcières et des gobelins s'y baladent tranquillement. Pourquoi donc n'y a-t-il qu'un épouvanteur par région ? Ou les modes d'obtention d'un bon épouvanteur sont trop compliqués ? Il s'agit malgré tout d'un bon d'introduction pour cette série qui en compte 16, sans compter les spin-off. Trois des livres sont accessibles en audio gratuits, je vais donc en continuer la découverte en espérant que les suivants sauront m'intriguer plus.



Comme vous l'aurez compris, ce premier tome a été une bonne découverte du style et de l'univers de cet auteur. Comme dit précédemment, j'espère être plus embarquée dans l'histoire avec les prochains et qu'on découvre un peu plus toute l'étendue du pouvoir de l'épouvanteur, Tom n'étant qu'au début de sa formation. Si vous êtes amateurs d'univers fantastiques et que vous n'avez pas encore sauté le pas pour cette série, je conseille donc de la découvrir pour vous en faire votre propre avis. Pour ma part, je continue avec le tome 2.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Une vrai belle surprise en ouvrant ce livre : Il est toujours écrit à la 1ere personne, mais là, c'est Grimalkin qui parle.

Depuis le début de la série, mon intérêt pour cette sorcière n'avait fait que grandir et je m'étais même rendue compte que je développais un certain attachement pour elle. C'est confirmé. Ce tome nous la rend plus "humaine" et du coup, je me suis sentie en empathie avec elle.

Bref, un tome très réussi qui aurait pu relancer l'intérêt pour la série si celui ci s'était amenuisé. Vite, la suite dans ma PAL.



Pioche de juillet 2020 choisie par Taganga2000

Quelle ne fut pas ma surprise de constater que le narrateur - et, en l'occurrence, la narratrice - n'était pas Thomas Ward, mais Grimalkin, la sorcière la plus puissante du clan Malkin. Après les événements survenus dans Le destin de l'Epouvanteur, Tom, Alice et l'Epouvanteur sont retourné·e·s à Chipenden afin de rebâtir la maison suite à l'incendie, tandis que Grimalkin doit cacher la tête du Malin, afin que son corps ne soit pas reconstitué, en attendant de trouver un moyen de l'empêcher de nuire définitivement.



Contrairement à ce que je pensais de prime abord, il n'y a pas de combat entre Grimalkin et l'Epouvanteur, et ce dernier est même complètement absent de ce tome. Quant à son apprenti, il n'est présent que durant quelques lignes - et même Alice ne fait qu'une apparition très brève.



Néanmoins, j'ai apprécié ce renouveau. J'avais été déçue du précédent tome, et celui-ci rehausse la série qui commençait un peu à s'essouffler. Là, nous en apprenons bien plus sur Grimalkin, un personnage que je trouvais déjà mystérieux et intéressant, et ce qui se passe durant ce livre n'a fait que confirmer ce que je pensais.



Malgré tout, il y a parfois des moments très longs, et très routiniers, malgré la présence d'une narratrice complètement différente. Et puis, cette histoire était un combat entre le mal et le mal, ce qui était plutôt inattendu il y a encore quelques volumes. Pour conclure, j'ai hâte de voir ce que la suite va donner !
Lien : http://anais-lemillefeuilles..

Emballé par l'histoire du tome numéro un, j'ai directement attaqué ce deuxième volet dans la foulée.

L'histoire se passe six mois plus tard, Tom a pris de l'assurance mais il reste toujours l'apprenti de l'épouvanteur. Avec son maître il se rendent, à Priestown, pour l'enterrement du frère de celui-ci. Très vite ils se heurtent à la haine de l'Inquisiteur qui détient Alice et sur un mal encore plus grand nommé le Fléau qui erre dans les catacombes de la cathédrale. Celui-ci a le don de lire dans les pensées ainsi que de s'immiscer dans les rêves, qui se transforment alors en cauchemar. Pour l'instant il se trouve cantonné dans les profondeurs de l’édifice, la sortie lui étant interdit grâce aux grilles d'argent.

Tom fera connaissance tour à tour avec de nouveaux personnages qui révéleront leur appartenance que face à l'adversité.

Le rythme et les rebondissements sont toujours aussi intenses : le plaisir de la lecture en est décuplé. Quasiment aucun temps mort et même si la fin est plus ou moins prévisible, les chemins qu'empruntent l'auteur sont un vrai régal. L’ambiance, quant à elle, est glauque et abominable à souhait

J'ai acheté les deux premiers tomes et je viens de m'inscrire à la médiathèque de la ville ou je travaille. C'est super ils ont la collection complète !

J'aime beaucoup cette saga et c'est toujours avec plaisir que j'ouvre un de ses livres.

Dans celui ci, la guerre contre les Kobalos continue, mais aussi celle contre les forces de l'obscur. Tom et Grimalkin ne savent plus où donner de la tête et heureusement, ils vont recevoir une aide plutot inattendue.

J'ai eu l'impression de lire un tome de transition. Il nous emmène vers la fin de la série (snif). du coup, il m'a manqué quelque chose. Je ne sais pas vraiment quoi mais je suis restée sur ma faim.

Bon, n'empèche que cela reste une excellente série et que j'ai hate de lire le dernier tome.

Une 7éme aventure de l'épouvanteur tout aussi prenante mais dont je commence un peu à connaitre le schéma, ce qui risque de me lasser à force ! Car le danger est tout aussi présent et L'épouvanteur, Tom et Alice frôlent une fois de plus la mort mais on sait que la menace est temporaire et qu'il s'en sortiront ...C'est ce qui m'embête un peu ! Pour autant j'aime beaucoup suivre les relations entre les trois, L'épouvanteur change un peu , Alice gagne en puissance et Tom semble toujours courir droit devant le danger et termine toujours prisonnier quelquepart ^^ La menace du Malin plane toujours et je me demande comment ils s'en sortiront ...suite au prochaine tome !

Challenge Mauvais genre

Challenge séries 2019

J'ai retrouvé avec plaisir tous les personnages et créatures qui peuplent le monde fantastique de la série l'Épouvanteur.



Le vieux Grégory et son apprenti Tom quittent Chipenden pour la résidence d'hiver d'Anglezarke. Alice n'est pas très contente d'être envoyée loin de Tom mais nous ne la perdrons pas de vue pour autant. Elle a encore de beaux rôles à jouer.



Je suis à nouveau tombée amoureuse de ce monde imaginaire peuplé de créatures étranges, pour la plupart non recommandables. J'hésite encore à désigner la rencontre qui serait la plus fatale : un gobelin en colère ou une sorcière lama assoiffée ? Ou pire peut-être, un nécromancien dérangé ? Je vous invite à vous faire votre propre idée sur la question.



Je crois pouvoir affirmer que ce que je préfère, ce sont tout de même les personnages. Qu'ils soient mis en avant ou qu'ils aient un simple second rôle, ils sont tous très beaux dans leur complexité. Les personnages féminins sont vraiment mis en valeur (mention spéciale à la mère de Tom qu'il me tarde de mieux connaître).



A travers les aventures de Tom, Joseph Delaney s'interroge sur la vie après la mort, sur la confiance que l'on n'accorde pas aisément et sur les préjugés qu'il nous invite à combattre.

Certaines scènes sont vraiment effrayantes, même lorsque l'on est adulte. L'auteur ne prend pas ses lecteurs pour des bébés, ce qui est pour le moins appréciable.



Bref, vous l'aurez compris, j'ai été de nouveau entièrement conquise. Quel dommage que je n'aie pas le tome 4 dans ma PAL...

Dans ce septième tome, l'auteur se renouvelle une fois encore dans son scénario emmenant Tom Ward, notre apprenti épouvanteur, John Grégory, l'Epouvanteur actuel du comté et la jeune Alice, dorénavant inséparable de Tom - pour des raisons qui vont au-delà d'un simple amour au même d'une simple amitié mais que je ne compte pas vous dévoiler - loin du comté. En effet, ce dernier ayant été envahi par les forces ennemies et "le vieux Grégory" (comme le surnomme Alice) ayant découvert que sa maison avait été brûlée et, avec elle, sa si précieuse bibliothèque, est près du désespoir lorsqu'ils décident de s'embarquer pour l'île de Mona où les habitants ont également besoin de son aide. Lizzie l'Osseuse, une cruelle sorcière, et accessoirement mère d'Alice -mais cela est une autre histoire - a pris le contrôle en ayant raison du chaman qui contrôlait une créature abominable appelée buggane. Et encore, s'il y n'y avait eu qu'eux. Bien que Lizzie soit probablement la plus terrifiante des créatures qu'ils eurent à affronter (d'ailleurs, arriveront-ils à vaincre une telle créature démoniaque, étant donné que l'épouvanteur se fait vieux, que Tom n'a pas finit son apprentissage et qu'Alice ne pourrait tout de même pas se résoudre à tuer sa propre mère, si abominable soi-elle. Alors quoi ? Comment les choses vont-elles se dérouler ?), d'autres que je n'ai pas citées ici ont également croisé la route de nos trois héros, qui bien que très vraisemblablement extrêmement différents, recherchent toutes la même chose : débarrasser le monde des forces obscures. Cependant, il faut parfois combattre le Mal par le mal mais cela, notre vieil épouvanteur est-il réellement prêt à l'entendre ? Il est parfois difficile de reconnaître que l'on a tord, que l'on s'est fourvoyé toute sa vie et qu'il faut dorénavant tout faire pour que cela change !



Un septième tome qui n'a pas fini de vous surprendre et qui plus est, de vous émouvoir autant que de vous faire faire redouter le pire (et cela que vous soyez petits ou grands). Une écriture toujours aussi fluide et limpide, avec des chapitres courts et aérés, ce qui rend la lecture très rapide ! A découvrir et à faire découvrir ! Quant à moi, j'ai déjà les tomes huit et neuf sous le coude (j'avais anticipé en les réservant en même temps que celui-ci à la médiathèque de ma ville...mon attente sera donc beaucoup moins longue cette fois- ci, et à vous aussi, amis lecteurs, qui suivez mes critiques régulièrement !).