Super trilogie, prenante et intéressante. Bien sur c'est un roman donc il ne faut pas tout prendre pour argent comptant à mon sens mais j'ai vraiment beaucoup apprécié!
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Après son aventure américaine dans Les joyaux de la sorcière, le prince Morosini se retrouve cette fois sous les or de Versailles, pour une exposition qui va rapidement tourner au drame. Et bien entendu notre fier prince Vénitien va se lancer à la poursuite du mystérieux Vengeur de la reine.
Même si la trame n'est pas inintéressante, on a tout de même une légère impression de déjà vu avec une série qui commence peut-être à manquer un peu de renouvellement. A confirmer avec le suivant, Le collier sacré de Montezuma.
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Après "La Perle de l'empereur" que j'avais trouvé un peu décousu, revoici notre Prince Morosini au meilleur de sa forme dans ce 7ème épisode.
Fini les Indes, c'est cette fois ci aux USA que sa quête perpétuelle de bijoux historiques fameux (et son penchant à jouer les Don Quichotte) vont l'amener. Après la démesure des maharadjahs, c'est dans celle tout aussi insolente des milliardaires Américains que notre Prince antiquaire va se plonger. Mais sous la fortune de certains se cachent les tentacules de la Mafia qu'il semble bien vain de vouloir affronter tout seul. Et oui seul, car pour la seconde fois une femme a fait tourner la tête de ce pauvre Vidal-Pellicorne et causé une certaine brouille entre les deux "presque frères".
Toujours bien intégré à un background historique que Juliette Benzoni nous sert à merveille, ce nouvel épisode, un peu prévisible au niveau de l'intrigue, nous fait encore passer un bon moment, et dès la dernière page refermée, l'envie de s'attaquer à "Les larmes de Marie-Antoinette" m'a taraudé.
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le Prince Aldo Morossini se lance une nouvelle fois à la poursuite d'un joyau perdu et historiquement chargé de crimes. Toute sa bande habituelle se joint à lui mais voilà que ressurgit une jeune femme qu'il préfère éviter pour se garder du moindre soupçon d'infidélité.
Entre hésitation et énigmes annexe, Aldo ne se passionne pas pour cette recherche de la pierre précieuse, et nous non plus. Tout semble effleuré mais rarement approfondi. Est ce que le filon s'essouffle ou est ce moi qui n'accroche plus? Je ne retrouve pas dans ce volume toutes les anecdotes historique qui faisait le charme des romans de Benzoni.
Mais la fin du livre me laisse horrifiée. Sans un mot d'explication, tout s'arrête.Est-ce qu'Aldo a à ce point énervé son inventrice pour lui faire subir çà? (bon en même temps, il aurait certainement mérité une paire de baffe de temps en temps, tout prince vénitien qu'il soit) ? il faut espérer pour les personnages qu'il y a une suite.
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Après ses aventures pour retrouver "Les émeraudes du prophète", notre prince Aldo Morosini aurait aimé profiter de sa femme et de ses jumeaux, mais un nouveau bijou maudit va encore contrarier ses plans. C'est d'abord sa réputation de spécialiste des bijoux historiques qui va lui valoir de se retrouver au milieu d'une lutte sauvage pour s'approprier une fameuse perle nommée "La Régente", et ses fidèles amis ne seront pas de trop pour le tirer de se mauvais pas, même s'ils ne suffiront pas à conforter la pauvre Lisa. C'est ensuite pour une raison bien plus surprenante qu'il va connaitre une frayeur d'un tout autre genre...
Un peu plus décousu que les précédents épisodes, ce sixième roman des aventures du prince antiquaire m'a un peu moins passionné que les précédents, tout en restant très agréable à lire, ce qui fait que je n'hésiterais pas à lire le suivant, "Les joyaux de la sorcière".
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dans la ligne directe des Angélique et dan le but avoué à l'époque d'être un pendant à cette série fleuve, Catherine nous entraine en Bourgogne médiévale vivre les dernières années de la guerre de 100ans. Bourguignonne, amoureuse d'un Armagnac chez qui l'honneur passe avant les sentiments, maîtresse du duc de bourgogne, que de péripéties vont attendre notre héroïne. Après avoir traversé la France dans tous les sens, suivi Jeanne d'Arc, s'être échappé des griffes de Gilles de Rais, être allée chercher son mari dans un harem, avoir vaincu la peste; peut etre pourra-t-elle se reposer enfin.
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Que dire de ce tome 2. Je pourrais peut-être commencer par dire que je l’ai trouvé un peu mieux que le premier. A mon sens, il se passe plus de chose, il y a moins de longueur.
Mais j’ai quand même été légèrement déçue et je vais vous dire pourquoi. Dans chaque Benzoni que j’ai lu, il y a cette histoire d’amour impossible qui est assez présente dans le roman et qui prend presque la première place. Et j’aime les histoires d’amour. Or ici, j’ai eu du mal à la trouver. Oh bien sûr, elle est présente, on la voit dès le début du premier tome ou presque. Mais elle semble n’être qu’un petit détail. Un petit plus, comme si il fallait absolument mettre une histoire d’amour. Alors on la met, mais on la bâcle un peu. Et je trouve ça dommage car comme je l’ai dit, j’aime les histoires d’amour.
Mis à part ça, je l’ai trouvé plus intéressant que le premier. L’intrigue me semblait plus captivante. Il se passe plus de choses dans ce tome-ci.
En somme, cette lecture dans son ensemble fut agréable. Mais je dois avouée être légèrement déçue. Je m’attendais à être aussi captivée que lorsque j’ai lu « Les chevaliers » ou « Secret d’Etat »
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Dans ce premier tome de la deuxième série du Boiteux de Varsovie, le prince Morosini pensait bien profiter de son récent mariage après l'accomplissement de sa quête pour les joyaux du pectoral (Le boiteux de Varsovie, Tome 4 : Le rubis de Jeanne la Folle). Malheureusement, il existe d'autres bijoux fameux, même si maudits, et certains sont prêt à tout pour les retrouver, ou du moins pour obliger notre chasseur de trésors à les retrouver pour eux. Il va donc se remettre à sillonner l'Europe, et même plus, toujours accompagné de son fidèle Vidal-Pellicorne, afin de tirer sa femme de leur griffes.
Toujours aussi rythmé et passionnant, ce roman est bien dans la lignée des précédents et nous entraine de la première à la dernière page sans temps mort, et sans que l'envie de connaitre la suite ne nous lâche. Je vais donc me mettre rapidement en quête du suivant, La Perle de l'empereur, afin de prolonger le plaisir.
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J’ai déjà lu plusieurs « séries » de Juliette Benzoni (secret d’état, Les chevaliers, les jeux de l’amour et de la mort…). Et dans chacun des romans, j’avais été emportée par l’histoire à tel point que j’avais du mal à lâcher le livre. Aussi, je m’attendais à ce qu’il en soit la même chose pour celui là. Mais j’avoue que je suis un peu déçue.
L’histoire me semble un peu longue. Elle démarre au quart de tour et on se dit « oh si tout le livre est comme ça, ça va être bien ». Et puis finalement, ça traine en longueur entre chaque rebondissement. Certes, on aime bien Charlotte, l’héroïne. Mais on a un peu du mal à voir où l’histoire veut nous emmener.
Et puis il y a cette précision, cette importance du détail qui rend le style légèrement lourd. Et redondant aussi, car en ce qui concerne les personnages, on a plusieurs fois la même description ou presque.
La où ça devient intéressant, c’est à la fin. La reine meurt, Charlotte se retrouve seule, sans protection face à sa mère… (bon je veux pas trop vous dire ce qui se passe au cas où vous voudriez le lire). Et finalement, on a hâte de savoir ce qu’il va se passer dans le tome 2. Je vais donc m’empresser de le commencer.
Le grand plus, que j’apprécie beaucoup chez Juliette Benzoni, c’est le côté roman historique. L’auteur a le don d’insérer ses personnages dans un contexte bien documenté. Ainsi, en même temps qu’un récit intéressant, on en apprend toujours un peu plus sur l’histoire de France. Et ça, en tant qu’historienne dans l’âme, j’adore !
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Ce qui est intéressant dans « La fière américaine » c’est cette ambiance que sait recréer Juliette Benzoni. On plonge dans un autre monde, même si ce monde nous est peu sympathique. Un monde de nantis, qui sortent, qui se cultivent, qui voyagent, mais qui demeurent inexorablement à la surface de la réalité sans jamais porter un regard objectif sur eux-mêmes et sur les autres. Alexandra, le personnage central de l’histoire, est peu attachante et le peu d’humanité qu’elle tirera de l’aventure semble bien maigre. Mais tout de même, la plume de l’auteur est toujours un régal.
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On ne présente plus cette grande dame passionnée par l'Histoire, qui nous a fait vivre de nombreuses aventures.
Ici, elle nous entraine dans la période "entre-deux guerres". Son personnage principal : Aldo Morosini est un prince vénitien, antiquaire et expert joailler de renommée internationale. Il s'agit de sa 5ème " enquête ".
L'intrigue débute dès les premières pages et nous mène en Égypte.
On plonge dans l'ambiance de l’Égypte des années 30 où l'on rencontre la haute société française et surtout anglaise; qui en a fait son lieu de villégiature préféré pendant les mois d'hivers; ainsi que toute la cohorte des égyptologues et autres archéologues qui foisonnaient à l'époque.
Les décors sont somptueux, les personnages attachants et dotés pour la plupart de caractères bien trempés.
Bien que l'intrigue soit intéressante, les rebondissements savamment dosés et distillés avec tout l'art dont Juliette Benzoni a le secret, l'aventure s'écoule doucement, au rythme calme du Nil, un peu trop calme à mon goût.
Ceci dit on ne s’ennuie pas. C’est un livre envoûtant que l'on ne dévore pas mais que l'on savoure jusqu'au dénouement où on retrouve un peu d'agitation. On notera l’apparition de personnages historiques dont la célèbre Agatha Christie en villégiature.
Un bon roman, qui vous offrira un agréable moment de détente et d'évasion.
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Mon premier contact avec le prince vénitien Aldo Morosini.... Une intrigue digne des plus grands policiers, une relation à l'Histoire que j'affectionne particulièrement qui permet de s'ancrer dans le récit, de le rendre plus réel...
Le Boiteux de Varsovie fut la première saga Benzoni d'une longue série que je ne finis pas de compléter au gré de mes achats.
A lire et relire sans modération aucune !!!!!!
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Encore une aventure captivante du prince Aldo MOROSINI. Mme Benzoni sait rendre l'histoire encore plus réelle en partant de faits avérés ou de mythes et légendes... Ce livre se lit d'une traite, on a du mal à le quitter.
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Une lecture très agréable que ce nouveau roman de Juliette Benzoni. J'ai pris beaucoup de plaisir à ces retrouvailles avec le "prince antiquaire" et ses "acolytes".
Par contre, j'ai parfois été un peu surprise des libertés de langage et de vocabulaire prises par Mme Benzoni. Il ne me semble pas que dans ces précédents ouvrages elle usait des termes tels que "foutues pierres", ....
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