Citations de Kentaro Miura (159)
Peu importe la manière dont on l'appelle... Le soleil reste le soleil. Sa lumière reste sa lumière. Les mots des prières peuvent différer, mais leur contenu reste le même. N'es-tu pas d'accord ? Utiliser ces différences superficielles afin de monter les êtres les uns contre les autres est stupide ! Le nom de Dieu n'appartient qu'à lui... Ce n'est pas aux humains d'en décider.
-Qui est vraiment Griffith ?
[...]
-Comment dire. Il semble touché par la sagesse, et pourtant il a l'apparence d'un gamin.
Un instant il te jette un regard à te glacer le sang. L'instant d'après, il te sourit comme un bebé né de la dernière pluie.
Je ne saurais te dire s'il est mature ou irresponsable, s'il est foncièrement bon ou la pire des racailles.
Il n'est pas comme nous.
Rébellion, insoumission, défiance ! C’est là la première arme de celui qui fait face à la mort ! Ne jamais l’oublier !
[les membres de la God Hand au Comte] Qu’as-tu dit déjà… « Êtes-vous Dieu ?! Ses messagers ?! Peu importe… Sauvez-moi de cette douleur ! Je ferai tout ce que vous voulez en échange ! ». Nous t’avons donc fait une promesse. Celle de te donner une âme surhumaine, que la tristesse et le désespoir ne pourraient jamais atteindre. En l’échange d’une phrase… D’une toute petite phrase. Oui tu nous l’as bien dit… « Acceptez cette femme en sacrifice ! » Celle que tu aimais plus que tout, que tu haïssais plus que tout, celle sur laquelle tu n’avais pu lever la main, tu l’as offerte pour abandonner ton âme humaine si fragile ! Pour transcender ta nature humaine !
Soudain, je pris conscience de moi-même et de tout ce qui m'entourait. Toute chose devenait mot, prenait une forme et un sens.
Je compris que ces choses violentes que je gardais en moi étaient de la colère, de la souffrance et de la peur. Et le monde que je connaissais se remplit de désespoir car j'étais sur le point de mourir écrasé, sans savoir qui j'étais.
Je me souviens pas avoir fait quoi que ce soit méritant de me faire arrêter par les curés.
Enfin, oui... Mais des broutilles...
Tu ne veux vivre que pour ceux qui sont déjà morts, c'est ça ?!
C'est pas bien ! C'est trop douloureux...
Quand l'homme fait face à ce qu'il craint le plus, son regard le trahit.
Et il ne lui reste plus alors qu'à faire son choix.
Soit se résigner et se ranger sous son patronage. Soit l'éliminer et ainsi faire disparaître sa terreur.
Dans la sorcellerie primitive, on emprisonnait des sacrifices humains dans un mannequin géant que l'ont brûlait... Car on croyait trouver un pouvoir magique dans leur énergie vitale.
Camomille, gingembre, marjolaine, hibiscus… En effet, voilà une tisane qui apaise l’âme.
[le roi du Midland à propos du cadavre du colosse Babo empalé sur une pique] C’était une scène inimaginable… En l’espace d’un instant, une figure grotesque avait fait son apparition au sommet de la tour. Cela venait de se produire sous mes yeux, et pourtant cela semblait irréel… Comme si tout cela était le fruit d’une mauvaise plaisanterie… Nul son ne sortait de l’assistance rassemblée en lieu. Comme il l’avait annoncé, Wyald avait complètement subjugué les prisonniers à l’aide d’un magnétisme qu’on nomme la terreur.
[Zodd l’Immortel à Guts] Je suis content ! J’avais oublié combien sentir mon sang bouillir en mes veines était bon. C’est sans doute pour éprouver à nouveau cette sensation, pour croiser un adversaire dans ton genre, que j’ai vécu ces trois cents années ! Battons-nous et ne me déçois pas !
Cette chose était trop grande pour être considérée une épée.
Existe-t-il une loi supérieure en ce monde qui gouverne la destinée des Hommes ?
Une "main de Dieu"?
Les Hommes peuvent-ils se libérer par leur propre volonté ?
Depuis la nuit des temps, les Hommes brandissent l'épée pour adoucir les souffrances dérisoires de leur cœur.
Depuis la nuit des temps, les Hommes manient l'épée, espérant ainsi mourir le sourire aux lèvres.
Nous nous reverrons, sans doute, s'il y a un destin qui nous lie.
On ne peut citer un manga sans montrer :
https://freremaheu.files.wordpress.com/2018/10/berserk_tome_12.jpg
https://freremaheu.files.wordpress.com/2018/09/berserk_tome_6.jpg
Car pour un manga seul une dessin est une citation
[Griffith] : Il se trouve que je ne ressens absolument rien à votre égard. Nulle haine, nulle bienveillance. Rien. Je n'ai fait que vous utiliser, vous étiez au bon endroit, au bon moment. Parfois, de temps à autre, des cailloux tels que vous roulent le long de de la route que j'emprunte. Voilà. C'est tout.
Vit il ses rêves par delà la mort ? ou bien la mort est-elle la fin de tout les rêves?
La chose qui a tué cet enfant pourrait bien être mon propre rêves.
Et tous, nous disparaissons un jour… Après avoir fini de gaspiller notre vie… Sans savoir vraiment qui nous sommes.