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Critiques de Lucy Ellmann (39)
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Les choses sont contre nous

Tout au long de ces pages, dont le style est bien rendu par la traduction de Claro, plus que l’humour – qui fait sourire jaune et donne ici raison à la formule selon laquelle l’humour est la politesse du désespoir –, c’est la rage et la fonction cathartique de la littérature qui dominent face à un monde qui ne tourne décidemment pas rond
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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Les choses sont contre nous

Ami.e.s du tiède, du mou, du consensus, passez votre chemin.Dans ces, je cite ,"essais féministes au vitriol", L'autrice des Lionnes se lance dans des diatribes revigorantes contre , pêle-mêle, la société patriarcale,"Les pistons et les pompes" et autres symboles phalliques, dénigre les romans noirs, analyse en détails "La petite maison dans la prairie", conseille aux filles des "Morning routine" de "sauver les baleines, de planter des arbres, de construire des voies ferrées, de démanteler Guantánamo, de rencontrer des gens ou juste de lire un livre. ", s'en prend aux soutien-gorges, prône la grève du sexe, dézingue Trump avec des formules qu'aucun journaliste n'oserait employer et regrette "L’art perdu du pas-bouger", auquel elle consacre un chapitre entier.

De longues énumérations charrient ses griefs ou ceux à qui elle s'en prend, mais l'humour n'est jamais absent , un humour souvent grinçant, qui ne plaira pas à tout le monde mais qui m'a beaucoup fait sourire. Mettre sur lemême plan des dictateurs sanguinaires et les emprunteurs de livres n'est pas donné à tout le monde. Bref, des textes décapants et des points de vue originaux , auxquels on n’adhèrera pas forcément toujours , font de ces essais une lecture hautement stimulante . La traduction de Claro est comme d'habitude juste parfaite.





Et zou, direction l'étagère des indispensables.







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Les choses sont contre nous

Dans son premier recueil d’essais, l’écrivaine dézingue Donald Trump, les chaussettes qui s’égarent ou encore le patriarcat et le capitalisme, responsables de l’urgence climatique actuelle.
Lien : https://www.lesinrocks.com/l..
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Les lionnes

Grosse déception. J étais attirée par ce concept de roman flux de conscience. Mais après 400 pages du rituel " le fait que" impossible d aller plus loin.

La construction narrative qui imbrique les souvenirs de la narratrice a son quotidien avec ses enfants et a ses opinions politiques/ ecologiques etc. Fait ressembler le tout à une longue liste rarement pertinente ou intéressante.

On est bien loin de Mrs Dalloway, auquel le roman était comparé dans les Inrocks.
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Les lionnes

Le fait que...voilà la ritournelle de ce livre, en boucle, injonction à une forme d'hypnose...J'ai picoré ce livre et ne l'ai pas lu comme un livre normal car ce livre est hors norme... le fait que l'auteur arrive à me toucher, le fait que j'ai été comme en apnée lorsque je picorais ce texte, dense, véritable fleuve de 1 phase, une seule , déferlement de pensées,de listes de courses, de publicité, de musique, de jeux de mots aussi (je me suis demandée comment avait fait la traductrice pour traduire ces jeux de mots)...inclassable et irrésistible...je me surprends à me dire, tiens est-ce que moi aussi j'entremêle ainsi mes pensées, ce que j'entends, ce que je vois. Cela se passe-t-il ainsi dans le cerveau? Ce livre vaut le détour, je comprends qu'il puisse énerver mais se donner une liberté en le lisant comme on l'entend permet de trouver la démarche passionnante.
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Les lionnes

Dans un roman de mille pages composé d’une seule phrase, Lucy Ellmann explore ce que signifierait tout enregistrer : ne laisser aucune pensée parasite ni aucun rêve sans étiquette. "Les Lionnes" est la traduction par Claro du roman "Ducks, Newburyport" de l’écrivain britannique Lucy Ellmann. L’histoire du roman tourne autour d’une femme d’âge moyen qui vit dans l’Ohio et a enseigné à l’université. Mais après avoir été traitée pour un cancer, elle abandonne sa carrière d’enseignante. Elle traverse désormais la vie quotidienne, dans sa cuisine. Un livre sur le chaos de la conscience et l’artificialité de la narration traditionnelle, il s’agit, comme le dit la narratrice, « du fait qu’il y a beaucoup de choses qu’il suffit d’oublier si l’on veut vivre sa vie ».
Lien : http://liminaire.fr/livre-le..
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Les lionnes

C’est extrêmement rare que j’abandonne un livre mais là au bout d’environ 80 pages j’ai craqué !!! j’attends encore la première phrase et ne suis pas encore rentré dans la tête de l’auteur. Trop complexe pour moi. Je n’ai ni le temps ni l’énergie. C’est sûrement un exploit littéraire mais il faut aussi savoir respirer de temps en temps et laisser l’imaginaire envahir notre esprit sans être obligé de se torturer le cerveau.
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Les lionnes

Le fait que je ne me serais sans doute jamais lancée dans cette lecture fleuve si je n'avais pas eu devant moi au moins 2 semaines de confinement, le fait que ça m'a pris exactement 17 jours pour en venir à bout, le fait que ça valait le coup, le fait que si on passe outre la lourdeur apparente du texte et que si on se laisse glisser sur les phrases, les mots, les noms qui s'enchaînent à vous couper le souffle, en énumérations plus folles les unes que les autres, le fait qu'il est judicieux d'avoir Google à portée des yeux pour pouvoir apprécier pleinement les foules de références culturelles typiquement américaines, le fait que le dernier tiers de ces 1100 pages et quelques m'a vraiment bien accrochée, le fait que ce roman est un sacré tour de force d'écriture, qu'il ne ressemble à aucun autre et que je suis contente d'avoir vécu cette lecture-expérience, le fait que je me demande si l'auteure n'aurait pas innocemment glissé le prénom de la narratrice, quelque part, au milieu de son pavé.
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Les lionnes

Souvent drôle, ce septième roman, le deuxième traduit, de Lucy Ellmann – née en 1956 dans l’Illinois mais vivant en Grande-Bretagne –, est [...] une franche réussite.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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Les lionnes

Exceptionnel, tout simplement exceptionnel. Un récit absolument étourdissant, d’une modernité époustouflante. Rarement j’ai lu un roman aussi juste sur la parentalité, la maternité, le travail, au propos féministe aussi subtil, juste et assumé. Je pense ne jamais m’en remettre. Quant au style, s’il exige beaucoup du lecteur, il m’a estomaqué dans la maitrise et la capacité de Lucy Ellmann a développer ses personnages par le biais d’uniques bribes lâchées comme au hasard par son héroïne. Incroyable. Un pur objet littéraire.
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Les lionnes

Le fait que je ne peux mettre des étoiles étioles toiles araignée, le fait que rentrer dans les profondeurs rouages d'un autre cerveau que le mien, tiens, me dire que cette autrice autriche autruche s'est branchée avec un logiciel de reconnaissance vocale et top départ, fumette branlette daguette. Très bien ...

Le fait que c'est rare le fait que le fait que je n'ai pas pu papule lire oiseau lyre ce roman montagne énorme le fait que mon cerveau est déjà trop plein du fait que faites la queue fake.
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Les lionnes

Son quotidien et l'Amérique passés au filtre de la voix intérieure d'une mère au foyer.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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Les lionnes

Dans Les Lionnes, Lucy Ellmann expose tout entières les pensées d'une femme d'intérieur de l'Ohio, colonisée intimement par la violence.


Lien : https://focus.levif.be/cult..
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Les lionnes

C'est de loin le roman le plus volumineux de la rentrée : Les lionnes fait 1108 pages, un véritable tour de force littéraire. En nomination pour le prix Man Booker l'an dernier, ce huitième roman de Lucy Ellmann (qu'on connaît peu en français, car seulement deux de ses livres, dont celui-ci, ont été traduits) est un vrai défi de lecture.
Lien : https://www.lapresse.ca/arts..
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Les lionnes

Une lecture de vacances, une seule ! Mais qui fait son poids : 1108 pages. Le courant continu des pensées d’une ménagère de moins de cinquante ans, plutôt stressée et désabusée, vivant dans l’Ohio, et élevant quatre enfants dont une ado plutôt irascible.

Tout en préparant des canapés et autres friandises pour une réception (réception qui au final n’aura pas lieu), notre mère de famille laisse ses pensées divaguer sur des sujets aussi variés que la mort de sa mère (dont elle ne s’est jamais remise), son enfance avec sa soeur et son frère, la série des Ingalls et leur petite maison dans la prairie, l’éducation des enfants, la politique foutraque de Trump, l’Obamacare, la pollution de l’eau, de l’air, son poulailler, les multiples agressions aux armes à feu, son mari Leo, son ado Tracy qui lui reproche tout, son cancer dont elle est sortie, des chansons, des livres (qu’elle n’a jamais le temps de lire), les films qu’elle regarde tout en confectionnant ses tartes tatin, tartes qu’elle vend dans les environs et qu’elle doit livrer tout en conduisant ses enfants à la crèche, à l’école ou à leurs différentes activités extra scolaires…

Tout cela dans une longue logorrhée sans point, où les idées s’enchaînent comme lorsqu’on refait le monde, entre potes, sans limite. Une seule notion, une sorte de mantra, fait repartir la machine à penser qui commence inéluctablement par ces mots : le fait que… Une longue logorrhée qui s’explique par un rebondissement inattendu, au détour d’une phrase et sous une pluie de pommes !



C’est très déstabilisant au départ et j’avoue avoir pensé arrêter la lecture, perdue dans le tourbillon des pensées. Mais un je ne sais quoi m’a clouée à la porte du frigo jaune et je n’ai ensuite pas pu refermer cette lourde porte (je rappelle 1108 pages à digérer) tant les ingrédients à l’intérieur donnaient irrémédiablement le goût d’une Amérique, dans toute son âpreté : pollution, armes à feu, éradication des Indiens, racisme, violence… Une Amérique dont on sent bien que l’auteure ne supporte plus, ne reconnaît plus.

Et toutes ces réflexions arrivent au détour d’un mot, d’une allitération, d’une conjonction de pensées, sans que le lecteur ne voit arriver l’impact, ni même parfois l’humour qui surgit dans ce maelström de mots.

Les seules interruptions, plutôt courtes, sont celles apportées par l’observation d’une lionne d’Amérique (couguar) qui élève trois lionceaux et les difficultés qu’elle rencontre pour les protéger et les maintenir en vie. Quel parallèle ! Mais il faut avouer que du point de vue humain ou animal, la mère connaît les mêmes angoisses.



Bref ! Mais est-ce vraiment le mot qui convient… Un très bon roman qui nous parle de la difficulté d’être mère dans une Amérique de tous les excès.

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Les lionnes

le fait que sa mère est morte ça l'a brisée le fait qu'elle vit dans l'angoisse d'une nouvelle tuerie, le fait que l'eau et l'air sont pollués, le fait qu'une couguar vadrouille en liberté et terrorise la population, le fait qu'elle passe sa journée à faire des tartes, des roulés à la cannelle en s'occupant de quatre enfants, le fait qu'elle est épuisée par tout ça...

On entre dans ce récit spiralaire fait d'énumérations, d'associations d'idées, d'allitérations, de souvenirs, de passages de films et chansons... mené en parallèle du récit de cette couguar qui quadrille le territoire à la recherche de ses petits dévoilant par son regard l'absurdité de ce monde.

Extrêmement touchant tant elle semble livrer ses pensées sans filtre. Pendant plus de mille pages, elle m'a accompagnée et m'accompagnera longtemps.
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Les lionnes

Je capitule ..je n'en peux plus de ce bouquin ! . .
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Les lionnes

Défi relevé par Lucy Ellmann et par Claro, le traducteur (et par moi aussi du coup ). 1100 pages d'une seule phrase, un long rugissement, un long flux de pensées, où se dessine la personnalité de la narratrice, son passé, son présent, sa vie. Une femme sans nom qui partage ses opinions sur son pays qui part a volo, sur l'économie, sur l'ecologie, la planète etc...avec humour mais inquiétude. La narratrice tisse un portait inquiétant des États-Unis, "la + grande démocratie du monde" où on risque de se faire tirer dessus n'importe quand, où l'on doit s'endetter pour soigner un cancer, où l'on risque sa vie chaque jour en buvant de l'eau polluée ou de la nourriture enrichie en plein de trucs dégoûtants. La narratrice est une mère de 4 enfants qui a une petite entreprise de pâtisserie, très timide, peu sûre d'elle, fragile et pourtant elle se débrouille plutôt bien.

C'est bien écrit, bien rythmé même si 200 pages de moins n'aurait pas été gênant.



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Les lionnes

Mille cent pages de lecture, un peu difficile au début, très prenante par la suite. Lucy Ellmann propose deux récits imbriqués, qui vont petit à petit se rejoindre. Dans le second, un narrateur omniscient conte la vie d'une femelle cougar (puma, lionne des montagnes), ses préoccupations de mère, sa compréhension étonnante, décalée, des humains.

Mais l'originalité et la force du roman tient surtout à la nature du récit principal. Plus de mille pages de texte compact, avec pour seules séparations des virgules. Il s'agit du monologue intérieur d'une « ménagère de moins de cinquante ans », « monologue intérieur, mais perméable au monde » comme dit François Bon*. Les pensées se succèdent, souvent sans lien apparent et introduites par le leitmotiv « le fait que » ; assez souvent limitées à quelques mots. La phrase (unique, pour mille pages) avance aussi parfois par associations d'idées ou de sons, et c'est cela qui m'a rendu la lecture difficile au début : pas question d'avoir une lecture rapide, attentive seulement au sens général, il faut saisir en détail chaque mot pour suivre les méandres de l'expression. Cette lecture attentive est aussi nécessaire parce que la narration n'est pas exactement chronologique : des faits sont mentionnés, jusqu'à un final grandiose, mais toujours dans ce flux de réflexions qui souvent revient en arrière et introduit les événements par le petit bout.

Les préoccupations de la narratrice sont surtout celles d'une mère de famille inquiète (comme la lionne des montagnes) : qu'est-ce qu'être un bon parent, comment profiter de ses enfants mieux qu'on n'a vécu avec ses parents, comment vivre dans un monde que l'homme est en train de détruire, comment faire face au « silence méprisant » d'une ado... L'autrice n'a vécu que treize ans en Amérique mais nous fait partager sa vision pessimiste de ce que deviennent les États Unis, minés par la violence, le sexisme, les inégalités sociales et un président qui confond le monde réel avec ses opinions. Elle nous parle aussi beaucoup de faits culturels : livres pour la jeunesse et surtout films anciens, dont un bon nombre que je ne connaissais pas ou plus assez. Beaucoup de rêves sont aussi rapportés avec de nombreux détails, je ne sais pas au juste à quoi ils servent, disons au moins à mieux nous immerger dans le cerveau de cette femme inquiète et proche de chacun de nous.



Pour finir il faut saluer la traduction de Claro : comme Ulysse ou Finnegans Wake ce roman est un bloc de texte et la traduction rend bien les aspects formels et poétiques de cette grande déferlante. J'ai hélas remarqué quelques erreurs de traduction (qui vont au-delà du choix discutable, je pense, mais je n'ai pas le texte anglais), quelques problèmes de relecture : mots manquants, erreurs de syntaxe. Mais ces brèves irritations ne m'ont pas gâché cette longue lecture, dont je suis sorti époustouflé.



* le fait que Claro (ou : Claro traducteur des Lionnes de Lucy Ellmann) - YouTube ).
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Les lionnes

« Je n'avais d'autre interlocutrice que moi-même, et il est absurde de coucher par écrit ce que l'on se dit à soi. »

Lucy Ellmann a pris le contre-pied de cette phrase d'Edith Wharton dans son roman Les Lionnes, laissant son personnage de mère de famille soliloquer à sa guise sur plus de mille pages bien serrées. Celle dont on ignorera même le prénom jusqu'à la toute fin, cuisine tartes et gâteaux dans sa maison de Newcomerstown, Ohio, revendus à quelques commerces du coin. Son second mari Leo, ingénieur civil, est souvent en déplacement pour son travail et la charge de la maisonnée lui incombe donc en grande partie. Quatre enfants à aimer, éduquer et soutenir : Stacey, 15 ans, Ben, 9 ans, Gillian, 8 ans et Jake, 4 ans, plus quelques poules dans son jardin, sans oublier deux chats et un chien. Bref, le quotidien d'une mère au foyer tentant de garder le cap.

J'ai été déroutée au début par le style télégraphique des phrases, les digressions abondantes, les accumulations de faits divers et les sigles et acronymes (avant de constater trop tard leur définition dans une liste placée à la fin du livre). En plus de pratiquer des associations inconscientes (tous frais payés, touffe rayée; Fox News, fake news, barbouze; austère, Jane Austen; où est Jake, chèque, chaque, lac), la narratrice se lance dans des diatribes intérieures contre les armes à feu, la pollution, la politique (Trump), la violence conjugale, l'ingratitude des ados, les blessures d'enfance et j'en passe. En parallèle, comme une pause à tout ce verbiage, on suit le parcours d'une femelle couguar et de ses petits, retour à l'instinct maternel originel ancré dans la nature.

Obsédant, hypnotisant, ce roman m'a ébloui, me projetant dans les pensées incessantes de cette femme, ses peurs, ses rêves, ses souvenirs, ses projections. Une femme ordinaire prise dans le tourbillon de la vie moderne et connectée, timorée en société, mais qui affiche intérieurement une pensée solide, un bon jugement et un amour indéfectible envers sa famille. Le roman s'avère une critique cinglante de la société américaine autant dans son histoire passée que dans ce qu'elle représente aujourd'hui. J'ai bien ressenti cet énorme cri du coeur d'une citoyenne en alerte car ce que nous observons et constatons depuis quelques années, de l'autre côté de la frontière, est loin d'être rassurant pour le futur.

Et pour reprendre le fil de la narration, le fait est que c'est un maudit bon roman!

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