Critiques de Maria V. Snyder (327)
franchement j'ai adoré ce livre que j'ai lu en 2 jours, Valek qui tombe amoureuse d'Elena une magicienne je m'en doutais un peu en lisant le debut et aussi qu'elle allait ravoir des soucis surtout avec Brazell mais malheureusement a la fin ils doivent ce quitter pour qu'Elena puisse retourner dans sa famille et developper ses pouvoirs en se promettant de se revoir. vont t'il reellement se revoir et pouvoir enfin s'aimer librement ? hate de lire la suite que je vais commencer tous de suite :)
Que dire de ce final ? La première partie de ce roman est remplie d'hypothèse et sans aucune certitudes. Les pages se tournent et les suppositions ne sont pas stables. Au bout d'un moment ça devient frustrant et sans plus d'intérêt, à force tout est en suspens avec une mauvaise impression d'hésitation sur les évènements. le second morceau est largement plus intéressant, les rebondissements s'enchaînent hâtivement, laissant les doutes derrière eux. Les péripéties deviennent moins répétitives. Je ne suis pas déçue par ce dernier tome, au contraire ; néanmoins je le trouve incomplet et incertain. Tout n'est pas clair et résolu de mon point de vue. Ce qui tient la route tout compte fait avec cette saga, c'est l'originalité et peut-être les émotions, toutefois ces dernières sont moins importantes à éprouver qu'avec les 2 tomes précédents.
Avry est une guérisseuse populaire ; certains veulent la tuer, d'autres la capturer et ses camarades la protéger. le temps est compté pour sauver les Quinze Royaumes et tout ce qu'elle peut faire c'est de guérir les blessés et de trouver une solution pour détruire une maladie mortelle. Son tempérament est de plus en plus mature, toutefois c'est quelqu'un de généreux, elle prend tout sur ses épaules au prix de son énergie et de sa santé. Téméraire et de temps en temps capable du pire, son imprévisibilité est hors norme. C'est une jeune femme admirable et je l'ai envié pour son caractère de feu. Son amour pour les gens est enrichissant, peu de monde ont un grand coeur comme elle. Je l'ai beaucoup aimé, malgré ses décisions très vives et ses erreurs difficiles. Elle n'est pas parfaite, même avec sa magie ; c'est une humaine dans tout les cas et elle peut commettre des mauvais actes. Elle s'en rend compte, assume et regrette. La guerre, l'amour et l'amitié sont les éléments clés de ses choix. Elle est attachante, sa sensibilité fait d'elle cette guerrière ; elle ne se laisse jamais aller, elle se bat pour tout et dans toutes les situations.
Kerrick est un mage sylvestre, disparaissant sans laisser de trace, la plupart de ses amis croit qu'il est mort après avoir était frappé par une lame imbiber dans la toxine du Lys de la mort. Mais Avry pense qu'il est toujours vivant. le cherchant de tout son coeur au début et petit à petit en laissant faire le temps sachant qu'il reviendrait de lui-même vers elle. Kerrick n'est plus tout à fait le même, sa magie en particulier est différente ; c'est complexe à suivre se changement mais il n'est pas banal, donnant une énigme en plus. C'est un garçon que j'apprécie depuis le tout début de la saga ! Son côté protecteur, sûr de lui est plaisant. Dans cette suite la jalousie est un sentiment qu'il va affronter coûte que coûte. Un héros doux, intriguant, mystérieux, séduisant et loyal envers ses compagnons de route et le prince Ryne. Kerrick est unique, droit et mûr pour son âge, plutôt raisonnable comparé aux autres personnages. Je me suis abandonnée à lui ; séduite et captivée.
Flea est le plus jeune du groupe, difficile d'aborder ce héros sans pouvoir spoiler les tomes précédents. Tout d'abord c'est celui qui a le plus changé, sa personnalité est moins attachante. Pourtant en se mettant à sa place il m'a ému, touchée jusqu'au plus profond de l'âme. Il grandit et n'accepte pas vraiment ce qu'il est advenu de lui-même ; croyant qu'il n'existe plus, se berçant de l'idée qu'il est quelqu'un d'autre. de plus dans son esprit, utiliser ses pouvoirs s'est être mauvais, se considérant comme un monstre. Ce qui m'a moins plu chez lui avec ce tome, c'est son jugement envers Avry ; il n'est pas prêt de compatir envers ses erreurs, alors qu'il devrait les comprendre. En même temps il est jeune et ne tolère pas encore sa propre magie.
Quain et Loren ; les deux vauriens. Ils sont la touche de légèreté dans ce roman, sans aucun doute. Leurs chamailleries ne manquent pas d'amusement, ensemble ils transmettent de la lumière. Je ne me suis pas forcément attachée à eux, mais ils m'ont réjoui ; illuminé de l'intérieur. Odd, un soldat intelligent et prêt à tout. Franchement parfois son amitié pour Avry est ambigu, je l'ai deviné sentimental de temps à autres. Néanmoins Odd me plait, son honnêteté et sa fermeté est nécessaire dans toute cette histoire farfelue.
Donc Ryne ; le prince tentant de rétablir la paix entre les Quinze Royaumes. Je crois que c'est le seul protagoniste secondaire avec qui je n'ai pas accroché. Tout ce qui compte pour lui c'est la stratégie, il ne pense pas à ce que peuvent éprouver son entourage. Il est capable de mettre en danger une personne à son insu. Il souhaite mettre un terme à la guerre mais peut-être le fait-il d'une façon inconvenante. Dans les premières pages, sans voir le prénom de Belen, j'ai ressenti une grande panique ; « Papa Ours » s'est éclipsé du récit. Impossible ! Heureusement que... Je vais éviter d'en dire plus, mais ça demeure le héros irremplaçable et inoubliable ; avec lui tout semble plus beau.
L'impression d'une synopsis ne progressant pas est quasiment insupportable. Souvent j'ai eu un effet de reculement dans celle-ci. C'est dommage, sincèrement. Surtout quand le Tome 1 et 2 est un coup de coeur. Ce troisième est doux-amer, la trame est toujours la même mais ne se précipite pas pour autant vers le grand final. Passé un certain point ça devient décourageant. Cependant, il faut le préciser ; ce dernier roman du « Pouvoir des Lys » n'est pas ennuyant, au contraire ! Les rebondissements ne s'essoufflent guère, chaque combat mené, chaque supposition exposée et chaque révélation solide, sont indispensables au bon déroulement de l'intrigue malgré qu'il y ait trop de suspense et pas assez de simplicité. Trop de mystère et sûrement trop de péripéties à démêler. Cette Fantasy est loin d'être classique, recherchée et travaillée de A à Z, les thèmes sont particuliers. Par contre je subsiste sur ma faim avec le sujet des Lys, le conte sur ces derniers n'est pas vraiment abouti ; tout n'est pas clair, net et précis sur leurs origines, n'étant en rien un détail. Les émotions me prennent toujours aux tripes, moins qu'avec les précédents tomes certes ; mais tout de même j'ai pu vivre entre parenthèse ce que les personnages subissaient. le sentiment de perte, l'angoisse, les valeurs de l'amitié et les sensations de l'amour, l'ardeur de la haine, la douleur, le soulagement ; chaque émotion est décortiquée avec soin. Ce n'est pas puissant, juste subtile, se voyant toute épancher et amplifier.
Maria V. Snyder possède ce talent de pouvoir emporter le lecteur dans son univers avec juste pour seule arme son imagination et ses phrases magnifiques. La totalité de cet ouvrage et des deux premiers est éclatant d'émoi, l'auteur déverse une certaine poésie dans son récit. C'est exaltant du début jusqu'aux derniers mots. de plus, elle répand ce qui se passe du côté de Kerrick, utilisant son point de vue à chaque fin de chapitre ; ce qui est très agréable. Sa plume est rythmée, hypnotisante, ne cédant aucune chance d'être apte à détacher les yeux et l'esprit de son roman.
Entre romance, guerre, voyage et magie, l'abondance des intrigues et l'inondation des sentiments ; ce roman ultime est plutôt convaincant malgré des aspects négatifs. Avry et Kerrick m'ont beaucoup plu, que ce soit dans leur mentalité ou quand ils sont ensemble. L'histoire n'est pas ordinaire mais le mystère dure trop longtemps. Un beau récit sur une plume sublime, or ce n'est pas un coup de coeur cette fois ci.
Lien : https://lesfaceslitteraires...
Avry est une guérisseuse populaire ; certains veulent la tuer, d'autres la capturer et ses camarades la protéger. le temps est compté pour sauver les Quinze Royaumes et tout ce qu'elle peut faire c'est de guérir les blessés et de trouver une solution pour détruire une maladie mortelle. Son tempérament est de plus en plus mature, toutefois c'est quelqu'un de généreux, elle prend tout sur ses épaules au prix de son énergie et de sa santé. Téméraire et de temps en temps capable du pire, son imprévisibilité est hors norme. C'est une jeune femme admirable et je l'ai envié pour son caractère de feu. Son amour pour les gens est enrichissant, peu de monde ont un grand coeur comme elle. Je l'ai beaucoup aimé, malgré ses décisions très vives et ses erreurs difficiles. Elle n'est pas parfaite, même avec sa magie ; c'est une humaine dans tout les cas et elle peut commettre des mauvais actes. Elle s'en rend compte, assume et regrette. La guerre, l'amour et l'amitié sont les éléments clés de ses choix. Elle est attachante, sa sensibilité fait d'elle cette guerrière ; elle ne se laisse jamais aller, elle se bat pour tout et dans toutes les situations.
Kerrick est un mage sylvestre, disparaissant sans laisser de trace, la plupart de ses amis croit qu'il est mort après avoir était frappé par une lame imbiber dans la toxine du Lys de la mort. Mais Avry pense qu'il est toujours vivant. le cherchant de tout son coeur au début et petit à petit en laissant faire le temps sachant qu'il reviendrait de lui-même vers elle. Kerrick n'est plus tout à fait le même, sa magie en particulier est différente ; c'est complexe à suivre se changement mais il n'est pas banal, donnant une énigme en plus. C'est un garçon que j'apprécie depuis le tout début de la saga ! Son côté protecteur, sûr de lui est plaisant. Dans cette suite la jalousie est un sentiment qu'il va affronter coûte que coûte. Un héros doux, intriguant, mystérieux, séduisant et loyal envers ses compagnons de route et le prince Ryne. Kerrick est unique, droit et mûr pour son âge, plutôt raisonnable comparé aux autres personnages. Je me suis abandonnée à lui ; séduite et captivée.
Flea est le plus jeune du groupe, difficile d'aborder ce héros sans pouvoir spoiler les tomes précédents. Tout d'abord c'est celui qui a le plus changé, sa personnalité est moins attachante. Pourtant en se mettant à sa place il m'a ému, touchée jusqu'au plus profond de l'âme. Il grandit et n'accepte pas vraiment ce qu'il est advenu de lui-même ; croyant qu'il n'existe plus, se berçant de l'idée qu'il est quelqu'un d'autre. de plus dans son esprit, utiliser ses pouvoirs s'est être mauvais, se considérant comme un monstre. Ce qui m'a moins plu chez lui avec ce tome, c'est son jugement envers Avry ; il n'est pas prêt de compatir envers ses erreurs, alors qu'il devrait les comprendre. En même temps il est jeune et ne tolère pas encore sa propre magie.
Quain et Loren ; les deux vauriens. Ils sont la touche de légèreté dans ce roman, sans aucun doute. Leurs chamailleries ne manquent pas d'amusement, ensemble ils transmettent de la lumière. Je ne me suis pas forcément attachée à eux, mais ils m'ont réjoui ; illuminé de l'intérieur. Odd, un soldat intelligent et prêt à tout. Franchement parfois son amitié pour Avry est ambigu, je l'ai deviné sentimental de temps à autres. Néanmoins Odd me plait, son honnêteté et sa fermeté est nécessaire dans toute cette histoire farfelue.
Donc Ryne ; le prince tentant de rétablir la paix entre les Quinze Royaumes. Je crois que c'est le seul protagoniste secondaire avec qui je n'ai pas accroché. Tout ce qui compte pour lui c'est la stratégie, il ne pense pas à ce que peuvent éprouver son entourage. Il est capable de mettre en danger une personne à son insu. Il souhaite mettre un terme à la guerre mais peut-être le fait-il d'une façon inconvenante. Dans les premières pages, sans voir le prénom de Belen, j'ai ressenti une grande panique ; « Papa Ours » s'est éclipsé du récit. Impossible ! Heureusement que... Je vais éviter d'en dire plus, mais ça demeure le héros irremplaçable et inoubliable ; avec lui tout semble plus beau.
L'impression d'une synopsis ne progressant pas est quasiment insupportable. Souvent j'ai eu un effet de reculement dans celle-ci. C'est dommage, sincèrement. Surtout quand le Tome 1 et 2 est un coup de coeur. Ce troisième est doux-amer, la trame est toujours la même mais ne se précipite pas pour autant vers le grand final. Passé un certain point ça devient décourageant. Cependant, il faut le préciser ; ce dernier roman du « Pouvoir des Lys » n'est pas ennuyant, au contraire ! Les rebondissements ne s'essoufflent guère, chaque combat mené, chaque supposition exposée et chaque révélation solide, sont indispensables au bon déroulement de l'intrigue malgré qu'il y ait trop de suspense et pas assez de simplicité. Trop de mystère et sûrement trop de péripéties à démêler. Cette Fantasy est loin d'être classique, recherchée et travaillée de A à Z, les thèmes sont particuliers. Par contre je subsiste sur ma faim avec le sujet des Lys, le conte sur ces derniers n'est pas vraiment abouti ; tout n'est pas clair, net et précis sur leurs origines, n'étant en rien un détail. Les émotions me prennent toujours aux tripes, moins qu'avec les précédents tomes certes ; mais tout de même j'ai pu vivre entre parenthèse ce que les personnages subissaient. le sentiment de perte, l'angoisse, les valeurs de l'amitié et les sensations de l'amour, l'ardeur de la haine, la douleur, le soulagement ; chaque émotion est décortiquée avec soin. Ce n'est pas puissant, juste subtile, se voyant toute épancher et amplifier.
Maria V. Snyder possède ce talent de pouvoir emporter le lecteur dans son univers avec juste pour seule arme son imagination et ses phrases magnifiques. La totalité de cet ouvrage et des deux premiers est éclatant d'émoi, l'auteur déverse une certaine poésie dans son récit. C'est exaltant du début jusqu'aux derniers mots. de plus, elle répand ce qui se passe du côté de Kerrick, utilisant son point de vue à chaque fin de chapitre ; ce qui est très agréable. Sa plume est rythmée, hypnotisante, ne cédant aucune chance d'être apte à détacher les yeux et l'esprit de son roman.
Entre romance, guerre, voyage et magie, l'abondance des intrigues et l'inondation des sentiments ; ce roman ultime est plutôt convaincant malgré des aspects négatifs. Avry et Kerrick m'ont beaucoup plu, que ce soit dans leur mentalité ou quand ils sont ensemble. L'histoire n'est pas ordinaire mais le mystère dure trop longtemps. Un beau récit sur une plume sublime, or ce n'est pas un coup de coeur cette fois ci.
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RISQUES DE SPOILERS DES TOMES PRECEDENTS !
Cela faisait déjà un moment que je voulais lire le tome 3 et le dernier de cette série, étant donné que j'avais vraiment adoré les deux premiers opus. Je commençais donc ce tome avec beaucoup de positif et la fatigue et plein de choses autour ont fait que je n'ai peut-être pas su autant aimé ce roman comme je l'aurais dû. Je ne dis pas que j'ai détesté, mais il est assez loin des très bonnes découvertes de ses prédécesseurs. (Évidemment, nous passerons aussi sur le choix de la couverture, hein...)
Avry est la dernière survivante de son peuple de guérisseurs et aussi la seule à connaître l'antidote du nouveau fléau qui vient de s''abattre dans le pays. En aide au prince Ryne, elle pourrait enfin se libérer de toutes ces contraintes et vivre heureuse, si ce n'est qu'elle pense avoir perdu la personne qui lui est la plus chère au monde. Comment avancer quand cette dernière n'est pas présente et qu'une nouvelle menace semble arriver comme un imprévu ?
Même si je n'ai pas su apprécier cette lecture comme je l'aurais voulu, j'ai tout de même bien aimé ma lecture, mais à un degré en dessous des autres. Je serai incapable, pour une fois, de vous dire ce qui m'a déplu, à tel point que j'ai même du mal à vous faire cette chronique. Cela fait des jours que j'essaye de trouver quoi dire dessus, d'essayer de trouver les fameux points faibles, sans pour autant mettre le doigt dessus. Du coup, cette chronique risque d'être une peu décousue, et je m'en excuse vraiment.
Cependant, il est vrai que l'action, le suspense et les retournements de situation sont bel et bien présents. Comme dans le tome 2, on suit à la fois Avry et Kerrick, nous permettant de voir ce qu'il se passe des deux cotés. Néanmoins, il manque un personnage pendant la plupart du récit, qui, je l'avoue, m'a beaucoup manqué, parce que je m'étais beaucoup attaché à lui.
Du côté des personnages, l'auteure n'a pas oublié de mettre un peu d'humour, ce qui allège beaucoup l'ambiance du roman. Le duo Quain/Loren m'a vraiment beaucoup fait rire. On pourrait penser qu'ils ne sont encore que des gamins dans leurs têtes, mais je préfère plutôt penser qu'ils utilisent l'humour pour éviter d'avoir peur et d'être stressés. Et ça marche souvent sur leur compagnons, même si ces derniers arrivent au bout d'un moment « à bout ». Quant à Fléa, on découvre une autre facette de sa personnalité. Malgré son jeune âge, il se trouve grandi par la force des choses, et il ne l'accepte pas vraiment. Parfois il m'a agacée ou déçue, mais la plupart du temps, il m'a touchée par sa condition. Avry, elle, prend de plus en plus d'assurance et de responsabilité. Elle sait ce qu'elle fait, même si ses actes peuvent parfois se retourner contre elle.
Passons maintenant à l'intrigue : on a envie les réponses à nos questions, et elles sont, pour certaines, assez surprenantes. Bon, pour être honnête, je n'avais pas vraiment réfléchi au pourquoi du comment, mais il n'empêche que l'auteure a vraiment beaucoup d'idées derrière la tête et qu'une fois qu'on sait tout, ça paraît presque logique. Donc de ce côté-là, je n'ai rien à dire. Il est vrai que j'avais peur de ne pas avoir toutes les réponses, car plus je voyais les pages défiler, plus je m'inquiétais qu'elle oublie le principal. Avec ce tome, les personnages n'ont vraiment pas le temps de souffler, l'action et les retournements de situations sont tellement présents qu'ils sont tout le temps sur des charbons ardents. (Et là, vous allez encore vous demander pourquoi je n'ai pas autant apprécié que ça ma lecture. Eh bien moi aussi, je me le demande).
En résumé, un dernier tome qui me rend assez mitigée, sans pour autant en trouver la raison (et je suis la première étonnée). Pourtant, les bonnes idées étaient là, les liens entre les personnages s'intensifient, l'intrigue est bien tenue, les réponses aux questions sont bel et bien là. Cependant, je n'ai pas accroché autant que je l'aurais voulu... Néanmoins, je garde un très bon souvenir de cette saga que je conseille à beaucoup ! Mine de, les personnages vont me manquer !
Justine P.
Lien : http://lireunepassion.blogsp..
Cela faisait déjà un moment que je voulais lire le tome 3 et le dernier de cette série, étant donné que j'avais vraiment adoré les deux premiers opus. Je commençais donc ce tome avec beaucoup de positif et la fatigue et plein de choses autour ont fait que je n'ai peut-être pas su autant aimé ce roman comme je l'aurais dû. Je ne dis pas que j'ai détesté, mais il est assez loin des très bonnes découvertes de ses prédécesseurs. (Évidemment, nous passerons aussi sur le choix de la couverture, hein...)
Avry est la dernière survivante de son peuple de guérisseurs et aussi la seule à connaître l'antidote du nouveau fléau qui vient de s''abattre dans le pays. En aide au prince Ryne, elle pourrait enfin se libérer de toutes ces contraintes et vivre heureuse, si ce n'est qu'elle pense avoir perdu la personne qui lui est la plus chère au monde. Comment avancer quand cette dernière n'est pas présente et qu'une nouvelle menace semble arriver comme un imprévu ?
Même si je n'ai pas su apprécier cette lecture comme je l'aurais voulu, j'ai tout de même bien aimé ma lecture, mais à un degré en dessous des autres. Je serai incapable, pour une fois, de vous dire ce qui m'a déplu, à tel point que j'ai même du mal à vous faire cette chronique. Cela fait des jours que j'essaye de trouver quoi dire dessus, d'essayer de trouver les fameux points faibles, sans pour autant mettre le doigt dessus. Du coup, cette chronique risque d'être une peu décousue, et je m'en excuse vraiment.
Cependant, il est vrai que l'action, le suspense et les retournements de situation sont bel et bien présents. Comme dans le tome 2, on suit à la fois Avry et Kerrick, nous permettant de voir ce qu'il se passe des deux cotés. Néanmoins, il manque un personnage pendant la plupart du récit, qui, je l'avoue, m'a beaucoup manqué, parce que je m'étais beaucoup attaché à lui.
Du côté des personnages, l'auteure n'a pas oublié de mettre un peu d'humour, ce qui allège beaucoup l'ambiance du roman. Le duo Quain/Loren m'a vraiment beaucoup fait rire. On pourrait penser qu'ils ne sont encore que des gamins dans leurs têtes, mais je préfère plutôt penser qu'ils utilisent l'humour pour éviter d'avoir peur et d'être stressés. Et ça marche souvent sur leur compagnons, même si ces derniers arrivent au bout d'un moment « à bout ». Quant à Fléa, on découvre une autre facette de sa personnalité. Malgré son jeune âge, il se trouve grandi par la force des choses, et il ne l'accepte pas vraiment. Parfois il m'a agacée ou déçue, mais la plupart du temps, il m'a touchée par sa condition. Avry, elle, prend de plus en plus d'assurance et de responsabilité. Elle sait ce qu'elle fait, même si ses actes peuvent parfois se retourner contre elle.
Passons maintenant à l'intrigue : on a envie les réponses à nos questions, et elles sont, pour certaines, assez surprenantes. Bon, pour être honnête, je n'avais pas vraiment réfléchi au pourquoi du comment, mais il n'empêche que l'auteure a vraiment beaucoup d'idées derrière la tête et qu'une fois qu'on sait tout, ça paraît presque logique. Donc de ce côté-là, je n'ai rien à dire. Il est vrai que j'avais peur de ne pas avoir toutes les réponses, car plus je voyais les pages défiler, plus je m'inquiétais qu'elle oublie le principal. Avec ce tome, les personnages n'ont vraiment pas le temps de souffler, l'action et les retournements de situations sont tellement présents qu'ils sont tout le temps sur des charbons ardents. (Et là, vous allez encore vous demander pourquoi je n'ai pas autant apprécié que ça ma lecture. Eh bien moi aussi, je me le demande).
En résumé, un dernier tome qui me rend assez mitigée, sans pour autant en trouver la raison (et je suis la première étonnée). Pourtant, les bonnes idées étaient là, les liens entre les personnages s'intensifient, l'intrigue est bien tenue, les réponses aux questions sont bel et bien là. Cependant, je n'ai pas accroché autant que je l'aurais voulu... Néanmoins, je garde un très bon souvenir de cette saga que je conseille à beaucoup ! Mine de, les personnages vont me manquer !
Justine P.
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Le Poison écarlate était sans doute l'un des romans les plus vieux de ma PAL. Cela fait donc très longtemps que j'avais envie de découvrir la plume de Maria V. Snyder et c'est maintenant chose faite. Tout d'abord, je ne peux que vous conseiller de ne pas lire la quatrième de couverture si ce roman vous tente car je trouve qu'il en dévoile beaucoup trop... J'étais donc bien contente de n'avoir lu que les 2-3 premières lignes et ainsi découvrir tous les éléments de l'intrigue au fur et à mesure.
Nous suivons l'histoire d'Elena, une jeune fille prisonnière depuis une année pour avoir commis le crime ultime : le meurtre. Peu importe les circonstances, en Ixia - royaume dirigé par le Code de Conduite, on ne donne pas la mort sans être puni de la peine capitale. Elena va donc être pendue. C'est alors qu'elle fait la rencontre de celui qu'elle pense être son bourreau : le mystérieux conseiller du Commandant, Valek. En charge du sort des prisonniers, il va proposer à Elena un choix : être remise au bourreau et se faire pendre ou devenir la nouvelle goûteuse du Commandant et ainsi risquer la mort à chaque repas. Elena va faire le choix de la vie sans se douter des multiples dangers qui vont alors la guetter.
Maria V. Snyder nous propose une histoire riche, pleine de rebondissements, de complots, d'aventure, de suspense et d'intrigue. Elle nous propose également des personnages attachants et approfondis. J'ai pris beaucoup de plaisir à suivre Elena à travers les différentes épreuves qu'elle devra traverser, je l'ai trouvée très attachante, sensible mais aussi pleine de courage et de volonté. Que dire aussi du personnage de Valek que j'ai adoré. La relation qu'il entretient avec Elena m'a beaucoup rappelé celle de Fitz et d'Umbre, dans la saga de l'Assassin Royal de Robin Hobb. Il est mystérieux, loyal, courageux et on peut compter sur lui. Mais il est aussi celui qui a empoisonné notre héroïne afin d'être sûr de la garder à son poste...
En résumé, un presque coup de cœur pour ce tome 1 que j'ai adoré du début à la fin. L'histoire est vraiment passionnante, pleine d'intrigues, de rebondissements, de complots et de suspense, le tout avec des personnages très attachants. Je mettrai un tout petit bémol sur la romance qui aurait pu être un peu plus travaillée. A découvrir pour les amateurs de Fantasy !
Lien : http://bunnyem.blogspot.ca/2..
Nous suivons l'histoire d'Elena, une jeune fille prisonnière depuis une année pour avoir commis le crime ultime : le meurtre. Peu importe les circonstances, en Ixia - royaume dirigé par le Code de Conduite, on ne donne pas la mort sans être puni de la peine capitale. Elena va donc être pendue. C'est alors qu'elle fait la rencontre de celui qu'elle pense être son bourreau : le mystérieux conseiller du Commandant, Valek. En charge du sort des prisonniers, il va proposer à Elena un choix : être remise au bourreau et se faire pendre ou devenir la nouvelle goûteuse du Commandant et ainsi risquer la mort à chaque repas. Elena va faire le choix de la vie sans se douter des multiples dangers qui vont alors la guetter.
Maria V. Snyder nous propose une histoire riche, pleine de rebondissements, de complots, d'aventure, de suspense et d'intrigue. Elle nous propose également des personnages attachants et approfondis. J'ai pris beaucoup de plaisir à suivre Elena à travers les différentes épreuves qu'elle devra traverser, je l'ai trouvée très attachante, sensible mais aussi pleine de courage et de volonté. Que dire aussi du personnage de Valek que j'ai adoré. La relation qu'il entretient avec Elena m'a beaucoup rappelé celle de Fitz et d'Umbre, dans la saga de l'Assassin Royal de Robin Hobb. Il est mystérieux, loyal, courageux et on peut compter sur lui. Mais il est aussi celui qui a empoisonné notre héroïne afin d'être sûr de la garder à son poste...
En résumé, un presque coup de cœur pour ce tome 1 que j'ai adoré du début à la fin. L'histoire est vraiment passionnante, pleine d'intrigues, de rebondissements, de complots et de suspense, le tout avec des personnages très attachants. Je mettrai un tout petit bémol sur la romance qui aurait pu être un peu plus travaillée. A découvrir pour les amateurs de Fantasy !
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/!\ Spoilers sur le premier tome ! /!\
Lu il y a quelques années, le premier tome – Le Poison écarlate – m'avait séduite mais n'avait malheureusement pas atteint le rang de coup de coeur comme pour beaucoup d'autres lecteurs. La suite proposée par Maria V. Snyder n'est toujours pas un sans faute mais encore une fois, j'ai passé un excellent moment à suivre les aventures d'Elena (Yelena dans la version originale).
Le Souffle d'émeraude fait directement suite au Poison écarlate puisqu'il reprend l'intrigue là où on l'avait laissée. Elena quitte son pays d'adoption dans le Nord pour éviter l'éxécution réservée à ceux détenant des pouvoirs magiques. Elle voyage vers le Sud en compagnie d'Irys la magicienne, ramenant à leur famille tous les enfants enlevés plusieurs années auparavant. En Sitia (dans le Sud), elle (re)fait la connaissance de ses adorables parents – Esau et Perle – et de Leif, son frère aîné qui la déteste. Les souvenirs de sa petite enfance reviennent petit à petit mais il faut réapprendre à s'apprivoiser mutuellement. Les retrouvailles sont malheureusement de courte durée puisqu'Elena doit rejoindre la Citadelle où elle suivra une formation magique.
Notre héroïne ne connait que peu de moments de répit puisqu'à peine en chemin en compagnie de son fère, elle se fait kidnapper par Cahil, le chef des rebelles. Difficile de trouver sa place dans ce pays où tout le monde la prend pour une espionne du Nord et comme si ce n'était pas assez difficile à gérer, un puissant magicien enlève des jeunes filles et leur fait subir des horreurs avant de les tuer... Tout au long de cette histoire, dès qu'Elena semble connaître une petite éclaircie, une nouvelle difficulté lui tombe dessus ; autant dire qu'il y a peu de temps mort, le lecteur ne s'ennuie pas une seule seconde !
J'en ai assez des titres "Young Adult" édulcorés dans lesquels les auteurs restent en surface et surtout, simplifient tout à leurs héros, comme si les lecteurs étaient trop fragiles (et trop bêtes ?) pour supporter et apprécier des histoires plus denses, plus travaillées et plus "graves".
Alors certes, elle souffre cette jeune Elena car Maria V. Snyder lui épargne peu d'épreuves, mais la vie ce n'est pas tout rose, si ? L'héroïne en est d'autant plus touchante et j'espère vraiment qu'elle connaîtra, dans le troisième et dernier tome, sinon une fin heureuse, au moins la liberté et quelques moments de bonheur apaisants.
Ces derniers temps, état d'esprit ou choix de lectures, je m'attache assez peu aux personnages des romans que je parcoure mais Elena m'a permis de ressentir une grande empathie ; ça me manquait. C'est une héroïne émouvante. Elle a beau posséder de grands pouvoirs extraordinaires, faire preuve de grandes capacités et d'une volonté quasi sans faille, elle n'en reste pas moins terriblement humaine, soumise aux doutes et aux moments de chagrin ; elle connaît également beaucoup la solitude, sa compagne la plus fidèle. Un juste milieu qui fait d'elle une figure à laquelle on peut aisément s'attacher.
Les autres personnages sont plutôt bien croqués eux aussi. Complexes et pas manichéens, on croit à leur histoire et à leur personnalité. Plusieurs gardent une ambiguïté pendant des centaines de pages, retournent leur veste, hésitent... et surprennent. Seul Valek m'a semblé un peu trop sous-employé ici. Il a du potentiel mais il est trop en retrait et sert plus d'objet utilitaire en son temps que de véritable figure à part entière.
Globalement, Elena n'a pas de chance avec son entourage car à part ses deux parents qui la soutiennent et lui font confiance, tous les autres semblent soit la détester, soit s'en méfier. Elle ne peut faire confiance à personne (ou presque) et va devoir choisir son camp : le Royaume du Nord où elle a grandi et où vit son amant mais où elle sera exécutée si elle y retourne ou Sitia dans le Sud où elle est née et où elle peut apprendre à maîtriser ses pouvoirs mais où elle est détestée par le plus grand nombre car soupçonnée d'espionnage. Alors que faire ?
De l'action, une héroïne attachante... et une plume assez addictive. Evidemment, je me base sur la traduction (comme souvent), mais j'imagine que le texte original possède les mêmes caractéristiques. Ce que j'aime surtout chez Maria V. Snyder c'est qu'elle nous propose un deuxième tome très visuel, très imagé.
Malgré mon manque de souvenirs au sujet du Poison écarlate, je n'ai pas eu beaucoup de mal à me resituer auprès d'Elena et à voyager en même temps qu'elle dans le royaume de Sitia. J'ai imaginé avec une grande facilité les maisons dans les arbres ou encore la plaine désertique où vivent les Tisseurs d'histoires. Le décor est donc bien posé et c'est également le cas des scènes en elles-mêmes avec les interactions des personnages entre eux. Les pages se tournent vraiment très vite, on en veut toujours plus !
J'avais aimé le premier tome, je confirme la qualité de cette trilogie avec ce deuxième volet... il ne me reste plus qu'à me procurer le troisième et dernier qui j'espère, clôturera en beauté les aventures d'Elena !
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Lu il y a quelques années, le premier tome – Le Poison écarlate – m'avait séduite mais n'avait malheureusement pas atteint le rang de coup de coeur comme pour beaucoup d'autres lecteurs. La suite proposée par Maria V. Snyder n'est toujours pas un sans faute mais encore une fois, j'ai passé un excellent moment à suivre les aventures d'Elena (Yelena dans la version originale).
Le Souffle d'émeraude fait directement suite au Poison écarlate puisqu'il reprend l'intrigue là où on l'avait laissée. Elena quitte son pays d'adoption dans le Nord pour éviter l'éxécution réservée à ceux détenant des pouvoirs magiques. Elle voyage vers le Sud en compagnie d'Irys la magicienne, ramenant à leur famille tous les enfants enlevés plusieurs années auparavant. En Sitia (dans le Sud), elle (re)fait la connaissance de ses adorables parents – Esau et Perle – et de Leif, son frère aîné qui la déteste. Les souvenirs de sa petite enfance reviennent petit à petit mais il faut réapprendre à s'apprivoiser mutuellement. Les retrouvailles sont malheureusement de courte durée puisqu'Elena doit rejoindre la Citadelle où elle suivra une formation magique.
Notre héroïne ne connait que peu de moments de répit puisqu'à peine en chemin en compagnie de son fère, elle se fait kidnapper par Cahil, le chef des rebelles. Difficile de trouver sa place dans ce pays où tout le monde la prend pour une espionne du Nord et comme si ce n'était pas assez difficile à gérer, un puissant magicien enlève des jeunes filles et leur fait subir des horreurs avant de les tuer... Tout au long de cette histoire, dès qu'Elena semble connaître une petite éclaircie, une nouvelle difficulté lui tombe dessus ; autant dire qu'il y a peu de temps mort, le lecteur ne s'ennuie pas une seule seconde !
J'en ai assez des titres "Young Adult" édulcorés dans lesquels les auteurs restent en surface et surtout, simplifient tout à leurs héros, comme si les lecteurs étaient trop fragiles (et trop bêtes ?) pour supporter et apprécier des histoires plus denses, plus travaillées et plus "graves".
Alors certes, elle souffre cette jeune Elena car Maria V. Snyder lui épargne peu d'épreuves, mais la vie ce n'est pas tout rose, si ? L'héroïne en est d'autant plus touchante et j'espère vraiment qu'elle connaîtra, dans le troisième et dernier tome, sinon une fin heureuse, au moins la liberté et quelques moments de bonheur apaisants.
Ces derniers temps, état d'esprit ou choix de lectures, je m'attache assez peu aux personnages des romans que je parcoure mais Elena m'a permis de ressentir une grande empathie ; ça me manquait. C'est une héroïne émouvante. Elle a beau posséder de grands pouvoirs extraordinaires, faire preuve de grandes capacités et d'une volonté quasi sans faille, elle n'en reste pas moins terriblement humaine, soumise aux doutes et aux moments de chagrin ; elle connaît également beaucoup la solitude, sa compagne la plus fidèle. Un juste milieu qui fait d'elle une figure à laquelle on peut aisément s'attacher.
Les autres personnages sont plutôt bien croqués eux aussi. Complexes et pas manichéens, on croit à leur histoire et à leur personnalité. Plusieurs gardent une ambiguïté pendant des centaines de pages, retournent leur veste, hésitent... et surprennent. Seul Valek m'a semblé un peu trop sous-employé ici. Il a du potentiel mais il est trop en retrait et sert plus d'objet utilitaire en son temps que de véritable figure à part entière.
Globalement, Elena n'a pas de chance avec son entourage car à part ses deux parents qui la soutiennent et lui font confiance, tous les autres semblent soit la détester, soit s'en méfier. Elle ne peut faire confiance à personne (ou presque) et va devoir choisir son camp : le Royaume du Nord où elle a grandi et où vit son amant mais où elle sera exécutée si elle y retourne ou Sitia dans le Sud où elle est née et où elle peut apprendre à maîtriser ses pouvoirs mais où elle est détestée par le plus grand nombre car soupçonnée d'espionnage. Alors que faire ?
De l'action, une héroïne attachante... et une plume assez addictive. Evidemment, je me base sur la traduction (comme souvent), mais j'imagine que le texte original possède les mêmes caractéristiques. Ce que j'aime surtout chez Maria V. Snyder c'est qu'elle nous propose un deuxième tome très visuel, très imagé.
Malgré mon manque de souvenirs au sujet du Poison écarlate, je n'ai pas eu beaucoup de mal à me resituer auprès d'Elena et à voyager en même temps qu'elle dans le royaume de Sitia. J'ai imaginé avec une grande facilité les maisons dans les arbres ou encore la plaine désertique où vivent les Tisseurs d'histoires. Le décor est donc bien posé et c'est également le cas des scènes en elles-mêmes avec les interactions des personnages entre eux. Les pages se tournent vraiment très vite, on en veut toujours plus !
J'avais aimé le premier tome, je confirme la qualité de cette trilogie avec ce deuxième volet... il ne me reste plus qu'à me procurer le troisième et dernier qui j'espère, clôturera en beauté les aventures d'Elena !
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Ce tome est excellent!! J'ai été transportée du début à la fin.
La narration passe parfois à Kerrick mais peu souvent et de manière à ne pas nous embrouiller.
J'ai beaucoup aimé redécouvrir le personnage d'Avry dans un rôle différent. Courageuse, rusée, intelligente et forte sont des qualités que l'on découvre dans son personnage de la sergente Irina. J'ai adoré la manière dont elle arrive à s'intégrer et à se faire respecter dans cette armée remplie d'hommes qui n'acceptent pas toujours d'être dirigés par une femme, jeune qui plus est. Ces moments m'ont valu quelques fous rires...
La magie prend encore plus de place dans ce tome. On sent surtout que les lys ont beaucoup d'importance mais au lieu d'avoir des réponses, les découvertes entrainent encore plus de questions.
Je ne me suis pas ennuyée un seul instant, il se passe toujours quelque chose, ce tome est très mouvementé!
Par contre on retrouve très peu Tohon, même si on le déteste et qu'on le craint je n'arrive toujours pas à ressentir cette peur que je devrais...
La fin est très surprenante sur plusieurs points, je conseille donc d'avoir la suite sous la main au risque de ne pas pouvoir penser à autre chose.
Un bon coup de cœur, à la hauteur de mes espérances venant de l'auteure. Une lecture riche en tout points. J'espère que le dernier tome sera aussi bon.
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La narration passe parfois à Kerrick mais peu souvent et de manière à ne pas nous embrouiller.
J'ai beaucoup aimé redécouvrir le personnage d'Avry dans un rôle différent. Courageuse, rusée, intelligente et forte sont des qualités que l'on découvre dans son personnage de la sergente Irina. J'ai adoré la manière dont elle arrive à s'intégrer et à se faire respecter dans cette armée remplie d'hommes qui n'acceptent pas toujours d'être dirigés par une femme, jeune qui plus est. Ces moments m'ont valu quelques fous rires...
La magie prend encore plus de place dans ce tome. On sent surtout que les lys ont beaucoup d'importance mais au lieu d'avoir des réponses, les découvertes entrainent encore plus de questions.
Je ne me suis pas ennuyée un seul instant, il se passe toujours quelque chose, ce tome est très mouvementé!
Par contre on retrouve très peu Tohon, même si on le déteste et qu'on le craint je n'arrive toujours pas à ressentir cette peur que je devrais...
La fin est très surprenante sur plusieurs points, je conseille donc d'avoir la suite sous la main au risque de ne pas pouvoir penser à autre chose.
Un bon coup de cœur, à la hauteur de mes espérances venant de l'auteure. Une lecture riche en tout points. J'espère que le dernier tome sera aussi bon.
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Voici ma chronique !
http://petiteplume99.blogspot.fr/2014/11/les-portes-du-secret-tome-2-le-souffle.html
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Le Pouvoir des Lys est sans conteste une de mes sagas coup de cœur de cette année. Inutile de préciser donc à quel point j’attendais ce dernier tome avec impatience !
L’auteure nous avait laissé dans le flou le plus complet avec la « disparition » de Kerrick. Après des semaines de recherches, ce dernier reste introuvable, pour le plus grand malheur d’Avry. Même si cette dernière veut croire encore qu’il reviendra, la guerre revient vite la rattraper…
Le ton est donné, on est constamment sous pression. Maria V. Snyder enchaine les actions, les rebondissements à un rythme assez effréné. On rentre dans le vif du sujet. Les découvertes étaient pour les deux premiers tomes ; ici on est en terrain connu, du coup ce rythme n’est absolument pas dérangeant. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, j’ai enchainé les pages. Beaucoup de choses se produisent, beaucoup d’éléments nous sont révélés. Tout est enfin expliqué, de la plus incroyable des manières.
J’ai découvert Maria V. Snyder avec cette saga, je suis conquise par sa plume. Elle a su construire un univers de toutes pièces, fantastique, merveilleux, et si complet, avec une facilité déconcertante. Rien n’est trop compliqué, et pourtant ce monde est extraordinairement riche. Je suis époustouflée par cette imagination, cet univers que j’ai facilement pu intégrer et imaginer aisément à mon tour.
Ma grande déception de ce livre revient à la couverture. Non, définitivement, je ne comprends pas. Les deux premières sont tout bonnement magnifiques, pourquoi avoir changé pour ce dernier tome et ne pas avoir validé la couverture VO comme pour les deux premiers ? Un vrai gâchis pour ce livre qui aurait mérité avoir une couverture à la hauteur de son contenu.
Petit bémol également pour la relation Avry/Kerrick, qui est très effacée, très secondaire. Leurs petits affrontements qui m’avaient tant plu dans le premier tome ont laissé place ici à une romance assez plate qui ne m’a pas tant transportée. Sans compter que le « problème » de Kerrick dans ce dernier tome efface complètement son personnage. La guerre et la stratégie prennent ici le pas sur les liens entre les personnes, et c’est ce que je trouve d’assez dommage. Mais il y a tant à raconter pour sceller cette saga que cela n’en est pas dérangeant. L’intrigue, immensément riche, compense cela. Toutes nos questions trouvent leurs réponses, les dénouements ne sont pas bâclés et c’est avec une vraie tristesse que j’ai tourné cette dernière page.
En conclusion, c’est une magnifique trilogie qu’il faut lire absolument ! Le monde fantastique imaginé par Maria V. Snyder est tout simplement sublime et vaut le coup de le découvrir. On assiste ici à une fin de saga pleine de rebondissements, ce qui fait qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde. Loin de nous laisser dans le flou, l’auteure répond à toutes nos questions, ce qui permet de refermer ce livre avec le sentiment du devoir accompli. Une trilogie magique qui fait vibrer le lecteur à chaque page !
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L’auteure nous avait laissé dans le flou le plus complet avec la « disparition » de Kerrick. Après des semaines de recherches, ce dernier reste introuvable, pour le plus grand malheur d’Avry. Même si cette dernière veut croire encore qu’il reviendra, la guerre revient vite la rattraper…
Le ton est donné, on est constamment sous pression. Maria V. Snyder enchaine les actions, les rebondissements à un rythme assez effréné. On rentre dans le vif du sujet. Les découvertes étaient pour les deux premiers tomes ; ici on est en terrain connu, du coup ce rythme n’est absolument pas dérangeant. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, j’ai enchainé les pages. Beaucoup de choses se produisent, beaucoup d’éléments nous sont révélés. Tout est enfin expliqué, de la plus incroyable des manières.
J’ai découvert Maria V. Snyder avec cette saga, je suis conquise par sa plume. Elle a su construire un univers de toutes pièces, fantastique, merveilleux, et si complet, avec une facilité déconcertante. Rien n’est trop compliqué, et pourtant ce monde est extraordinairement riche. Je suis époustouflée par cette imagination, cet univers que j’ai facilement pu intégrer et imaginer aisément à mon tour.
Ma grande déception de ce livre revient à la couverture. Non, définitivement, je ne comprends pas. Les deux premières sont tout bonnement magnifiques, pourquoi avoir changé pour ce dernier tome et ne pas avoir validé la couverture VO comme pour les deux premiers ? Un vrai gâchis pour ce livre qui aurait mérité avoir une couverture à la hauteur de son contenu.
Petit bémol également pour la relation Avry/Kerrick, qui est très effacée, très secondaire. Leurs petits affrontements qui m’avaient tant plu dans le premier tome ont laissé place ici à une romance assez plate qui ne m’a pas tant transportée. Sans compter que le « problème » de Kerrick dans ce dernier tome efface complètement son personnage. La guerre et la stratégie prennent ici le pas sur les liens entre les personnes, et c’est ce que je trouve d’assez dommage. Mais il y a tant à raconter pour sceller cette saga que cela n’en est pas dérangeant. L’intrigue, immensément riche, compense cela. Toutes nos questions trouvent leurs réponses, les dénouements ne sont pas bâclés et c’est avec une vraie tristesse que j’ai tourné cette dernière page.
En conclusion, c’est une magnifique trilogie qu’il faut lire absolument ! Le monde fantastique imaginé par Maria V. Snyder est tout simplement sublime et vaut le coup de le découvrir. On assiste ici à une fin de saga pleine de rebondissements, ce qui fait qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde. Loin de nous laisser dans le flou, l’auteure répond à toutes nos questions, ce qui permet de refermer ce livre avec le sentiment du devoir accompli. Une trilogie magique qui fait vibrer le lecteur à chaque page !
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On se retrouve en plein milieu de la guerre, au coeur des préparatifs. Déclarée comme morte, Avry intègre l’armée de la prêtresse d’Estrid sous une fausse identité afin de mieux les préparer. De son côté, Kerrick rejoint Rhine, mais selon la volonté d’Avry, il annonce à tous ses compagnons que cette dernière est belle est bien décédée. A partir de là on suit Avry et Kerrick, chacun de leur côté, grâce à une double narration alternée. On vit donc la guerre sur les deux fronts, et on découvre à partir du point de vue de Kerrick la Tribue dont on devine un futur rôle important dans la guerre.
Je n’aurai peut-être pas dû lire immédiatement la suite. Je sais pourtant que bien souvent les second tomes sont loin d’être meilleurs que les premiers, mais ayant été subjuguée par le précédent, je suis un peu frustrée par celui-ci. J’en attendais certainement un peu trop. Il faut dire aussi que, personnellement, la guerre, les manœuvres, le jeu des alliances et les stratégies, ce n’est définitivement pas mon truc.Et j’ai trouvé Avry bien trop sûre d’elle, elle se met vite en avant, comme si tout dépendait d’elle et qu’elle seule pouvait sauver le monde. Je n’ai vraiment pas apprécié cette Avry là.
De plus, j’ai trouvé un peu trop facile la façon dont Avry intègre l’armée. Personne ne la connait, ne sait d’où elle vient, mais par une simple menace lui ayant valu une lettre de recommandation, elle se retrouve à entraîner des bataillons en moins de vingt-quatre heures. Mouais. Sur ce coup là je ne suis vraiment pas l’auteur. Quant à la pseudo mort d’Avry, je n’ai pas compris l’utilité de vouloir l’annoncer auprès de Rhine et de la troupe de Kerrick, puisque dès qu’elle les revoit elle leur avoue qui elle est. Quel intérêt ?
La magie est toujours aussi présente, voir même un peu plus. On en découvre enfin un peu plus sur les lys, leur existence, leur pouvoir. Il y a encore un certain nombre de questions non résolues, mais l’auteur nous laisse un peu moins dans le flou. De même pour la guilde des Guerisseurs dont on comprend qu’elle a vraiment eu un rôle majeur dans l’épidémie de la peste.
On vibre toujours autant faces aux nombreuses pertes et découvertes. Maria V. Snyder sait comment nous prendre aux tripes, même si elle semble un peu trop aimer tuer et torturer ses personnages. Quant à la fin, elle nous laisse une fois de plus haletant, et on a vite hâte de se plonger dans le dernier tome.
Un avis plutôt mitigé pour ma part, un second tome un peu en dessous du premier, mais qui nous annonce un dernier tome plein de rebondissements.
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Je n’aurai peut-être pas dû lire immédiatement la suite. Je sais pourtant que bien souvent les second tomes sont loin d’être meilleurs que les premiers, mais ayant été subjuguée par le précédent, je suis un peu frustrée par celui-ci. J’en attendais certainement un peu trop. Il faut dire aussi que, personnellement, la guerre, les manœuvres, le jeu des alliances et les stratégies, ce n’est définitivement pas mon truc.Et j’ai trouvé Avry bien trop sûre d’elle, elle se met vite en avant, comme si tout dépendait d’elle et qu’elle seule pouvait sauver le monde. Je n’ai vraiment pas apprécié cette Avry là.
De plus, j’ai trouvé un peu trop facile la façon dont Avry intègre l’armée. Personne ne la connait, ne sait d’où elle vient, mais par une simple menace lui ayant valu une lettre de recommandation, elle se retrouve à entraîner des bataillons en moins de vingt-quatre heures. Mouais. Sur ce coup là je ne suis vraiment pas l’auteur. Quant à la pseudo mort d’Avry, je n’ai pas compris l’utilité de vouloir l’annoncer auprès de Rhine et de la troupe de Kerrick, puisque dès qu’elle les revoit elle leur avoue qui elle est. Quel intérêt ?
La magie est toujours aussi présente, voir même un peu plus. On en découvre enfin un peu plus sur les lys, leur existence, leur pouvoir. Il y a encore un certain nombre de questions non résolues, mais l’auteur nous laisse un peu moins dans le flou. De même pour la guilde des Guerisseurs dont on comprend qu’elle a vraiment eu un rôle majeur dans l’épidémie de la peste.
On vibre toujours autant faces aux nombreuses pertes et découvertes. Maria V. Snyder sait comment nous prendre aux tripes, même si elle semble un peu trop aimer tuer et torturer ses personnages. Quant à la fin, elle nous laisse une fois de plus haletant, et on a vite hâte de se plonger dans le dernier tome.
Un avis plutôt mitigé pour ma part, un second tome un peu en dessous du premier, mais qui nous annonce un dernier tome plein de rebondissements.
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Grâce à ma DSB (Double Serial Blogueur) Sarah, je sors enfin ce livre de ma PAL ! Je l'ai acheté dès sa sortie en poche, et depuis, il traîne dans ma PAL... Quand j'ai lu le résumé, j'ai vu de suite une ressemblance avec « le pouvoir des lys », de la même auteure, et du coup, j'étais un peu triste de voir qu'elle gardait un peu la même intrigue. Mais finalement, plus on avance dans le récit, moins il y a de ressemblances. Ce premier opus se lit très vite, j'ai bien aimé, mais sans plus. Je n'ai pas trouvé le petit truc que j'ai ressenti lors de son autre saga. Les personnages ne m'ont pas autant émue que je ne le pensais. Cependant, je suis curieuse de lire la suite.
Elena attend son exécution. Elle se retrouve dans les geôles d'Ixia, pour avoir tué. Mais même en prouvant que c'était de la légitime défense, les hauts dignitaires ont donné la sentence. En effet, le meurtre est considéré comme un acte grave et dont il n'y a aucune rédemption. Le jour de son exécution, la jeune femme est résignée à mourir. C'est sans compter sur Valek, un puissant dignitaire sous les ordres du Commandant, qui lui offre la possibilité de vivre, à condition de devenir le goûteur de son patron. Un métier à risque, étant donné qu'en peu de temps, elle peut mourir pour avoir mangé du poison.
Contente et étonnée d'avoir une seconde chance, elle accepte. Magnanime, Valek lui ordonne d'ingérer une dose de poison, qui, si elle ne vient pas chaque matin prendre l'antidote, la tuera en peu de temps. Acculée, Elena n'a d'autre choix d'accepter l'offre. Durant sa nouvelle vie, elle fera des rencontres qui changeront sa vie : ennemis, amis, trahisons, colère, bonheur, rythmeront ses journées éreintantes.
Commençons d'abord par ce qui m'a déplu : le résumé. Eh oui, pour une fois, je trouve qu'il en dit beaucoup trop à mon goût, surtout concernant Valek. Soit disant, il est amoureux d'elle en secret. Je veux bien le croire, mais pourquoi l'annoncer dans le résumé, pour gâcher la surprise du lecteur quand l'annonce est faite ? En plus de cela, je trouve que leur relation amoureuse arrive comme un cheveu sur la soupe, et c'est dommage. D'un coup, Elena découvre qu'elle est amoureuse ? C'est peu crédible pour moi. Concernant Valek, OK, il est amoureux mais... où le voit-on ? Certes, on est du point de vue d'Elena, mais inclure quelques indices n'aurait pas été de trop. Bon, au fil du temps il change de caractère (quoique), mais pour moi c'est encore trop léger.
Ensuite, même s'il est vrai que l'intrigue se passe dans le château et que j'ai aimé comment elle se déroulait, j'attendais tout de même un peu plus d'action, de suspense etc. Or, ça reste un peu trop en surface pour moi. Je ne dis pas que je n'ai pas aimé, sinon je n'aurais pas été au bout de ma lecture, mais j'aurais aimé que ça bouge un peu plus.
Le gros point fort du premier tome, c'est qu'Elena a vraiment du mal à s'intégrer. On sait qu'elle est une tueuse, et du coup, les gens alentour la craignent. Il est vrai que ce point-là est très bien étudié et fait remonter le livre. En plus, le fait d'être de son point de vue, permet de mieux voir ce qu'elle ressent, quand elle est triste, en colère, quand elle se sent trahie. De ce côté-là, l'auteure a vraiment réussi à accentuer sur les sentiments, je n'ai rien à redire. Malheureusement, même avec tout cela, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages (sauf peut-être à Ari et Janco qui m'ont fait beaucoup rire, et dont la complicité est belle à suivre). J'ai trouvé que ça manquait de quelque chose, pour qu'on puisse vraiment s'identifier à eux. Pour un homme amoureux et un personnage important du roman, j'ai trouvé Valek trop effacé pour pouvoir réellement l'apprécier, c'est dommage.
En résumé, un univers qui m'a plu, mais des personnages qui ne sont pas assez décrits pour moi. Les sentiments sont là, mais tout cela reste tout même trop en surface. Un résumé qui en dévoile trop sur les sentiments de Valek, une relation amoureuse qui arrive comme un cheveu sur la soupe, mais des personnages tels que Ari et Janco qui remontent un peu la donne. Cependant, les difficultés qu'a Elena a s'intégrer, permet de rendre le récit plus réel et montre que la vie de tous les jours n'est pas simple et que ce n'est pas parce qu'on est accepté par une personne, qu'on le sera avec tous. Néanmoins, je lirai avec plaisir les deux autres tomes, car je suis curieuse de voir ce que l'auteure peut nous réserver.
Justine P.
« — Tu as encore parié sur moi, Rand ?
Il se renfonça dans sa chaise.
— Nous, les domestiques, nous passons notre temps à parier. Parier, colporter des ragots, qu'y a-t-il d'autre à faire ? Tu aurais dû voir l'excitation quand les hommes de main de Brazell t'ont coursée...
— Personne n'est venu à mon secours, dis-je, sidérée. Les couloirs étaient vides.
— Ah, mais nous ne nous mêlons jamais des affaires des autres. Ce n'est pas notre genre. Les domestiques sont comme des cafards, Elena ; dès qu'on allume la lumière... pouf ! Disparus.
Moi, j'étais le cafard solitaire, piégé en pleine lumière, courant sans cesse devant la grosse botte qui menaçait de l'écraser. »
« — Vous ne devriez pas être avec les patrouilles de recherches ? demanda Valek.
(…)
— On était trop malades, dit Janco avec un sourire niais.
— Quoi ? dis-je.
(…)
— Cela s'appelle de l'insubordination, dit Valek (…)
— Exactement ! répliqua Janco. La discipline laisse à désirer, dans ce coin. On se demande ce qu'il faut faire pour être arrêté et jeté en prison.
Lien : http://lireunepassion.blogsp..
Elena attend son exécution. Elle se retrouve dans les geôles d'Ixia, pour avoir tué. Mais même en prouvant que c'était de la légitime défense, les hauts dignitaires ont donné la sentence. En effet, le meurtre est considéré comme un acte grave et dont il n'y a aucune rédemption. Le jour de son exécution, la jeune femme est résignée à mourir. C'est sans compter sur Valek, un puissant dignitaire sous les ordres du Commandant, qui lui offre la possibilité de vivre, à condition de devenir le goûteur de son patron. Un métier à risque, étant donné qu'en peu de temps, elle peut mourir pour avoir mangé du poison.
Contente et étonnée d'avoir une seconde chance, elle accepte. Magnanime, Valek lui ordonne d'ingérer une dose de poison, qui, si elle ne vient pas chaque matin prendre l'antidote, la tuera en peu de temps. Acculée, Elena n'a d'autre choix d'accepter l'offre. Durant sa nouvelle vie, elle fera des rencontres qui changeront sa vie : ennemis, amis, trahisons, colère, bonheur, rythmeront ses journées éreintantes.
Commençons d'abord par ce qui m'a déplu : le résumé. Eh oui, pour une fois, je trouve qu'il en dit beaucoup trop à mon goût, surtout concernant Valek. Soit disant, il est amoureux d'elle en secret. Je veux bien le croire, mais pourquoi l'annoncer dans le résumé, pour gâcher la surprise du lecteur quand l'annonce est faite ? En plus de cela, je trouve que leur relation amoureuse arrive comme un cheveu sur la soupe, et c'est dommage. D'un coup, Elena découvre qu'elle est amoureuse ? C'est peu crédible pour moi. Concernant Valek, OK, il est amoureux mais... où le voit-on ? Certes, on est du point de vue d'Elena, mais inclure quelques indices n'aurait pas été de trop. Bon, au fil du temps il change de caractère (quoique), mais pour moi c'est encore trop léger.
Ensuite, même s'il est vrai que l'intrigue se passe dans le château et que j'ai aimé comment elle se déroulait, j'attendais tout de même un peu plus d'action, de suspense etc. Or, ça reste un peu trop en surface pour moi. Je ne dis pas que je n'ai pas aimé, sinon je n'aurais pas été au bout de ma lecture, mais j'aurais aimé que ça bouge un peu plus.
Le gros point fort du premier tome, c'est qu'Elena a vraiment du mal à s'intégrer. On sait qu'elle est une tueuse, et du coup, les gens alentour la craignent. Il est vrai que ce point-là est très bien étudié et fait remonter le livre. En plus, le fait d'être de son point de vue, permet de mieux voir ce qu'elle ressent, quand elle est triste, en colère, quand elle se sent trahie. De ce côté-là, l'auteure a vraiment réussi à accentuer sur les sentiments, je n'ai rien à redire. Malheureusement, même avec tout cela, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages (sauf peut-être à Ari et Janco qui m'ont fait beaucoup rire, et dont la complicité est belle à suivre). J'ai trouvé que ça manquait de quelque chose, pour qu'on puisse vraiment s'identifier à eux. Pour un homme amoureux et un personnage important du roman, j'ai trouvé Valek trop effacé pour pouvoir réellement l'apprécier, c'est dommage.
En résumé, un univers qui m'a plu, mais des personnages qui ne sont pas assez décrits pour moi. Les sentiments sont là, mais tout cela reste tout même trop en surface. Un résumé qui en dévoile trop sur les sentiments de Valek, une relation amoureuse qui arrive comme un cheveu sur la soupe, mais des personnages tels que Ari et Janco qui remontent un peu la donne. Cependant, les difficultés qu'a Elena a s'intégrer, permet de rendre le récit plus réel et montre que la vie de tous les jours n'est pas simple et que ce n'est pas parce qu'on est accepté par une personne, qu'on le sera avec tous. Néanmoins, je lirai avec plaisir les deux autres tomes, car je suis curieuse de voir ce que l'auteure peut nous réserver.
Justine P.
« — Tu as encore parié sur moi, Rand ?
Il se renfonça dans sa chaise.
— Nous, les domestiques, nous passons notre temps à parier. Parier, colporter des ragots, qu'y a-t-il d'autre à faire ? Tu aurais dû voir l'excitation quand les hommes de main de Brazell t'ont coursée...
— Personne n'est venu à mon secours, dis-je, sidérée. Les couloirs étaient vides.
— Ah, mais nous ne nous mêlons jamais des affaires des autres. Ce n'est pas notre genre. Les domestiques sont comme des cafards, Elena ; dès qu'on allume la lumière... pouf ! Disparus.
Moi, j'étais le cafard solitaire, piégé en pleine lumière, courant sans cesse devant la grosse botte qui menaçait de l'écraser. »
« — Vous ne devriez pas être avec les patrouilles de recherches ? demanda Valek.
(…)
— On était trop malades, dit Janco avec un sourire niais.
— Quoi ? dis-je.
(…)
— Cela s'appelle de l'insubordination, dit Valek (…)
— Exactement ! répliqua Janco. La discipline laisse à désirer, dans ce coin. On se demande ce qu'il faut faire pour être arrêté et jeté en prison.
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Et oui, encore une LC, il faut bien avoué que la fin de mois amène son lot de lectures communes. Je tiens à remercier Kassandra d’avoir organiser celle-ci, qui m’a enfin donné l’opportunité de découvrir Maria V. Snyder. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu de fantasy "à l’ancienne", celles qui se rapproche de Tolkien et le moins que je puisse dire, c’est que ça fait un bien fou ! Je crois que vous l’avez comprit, Le pouvoir des lys a ét une agréable découverte pour moi, un véritable coup de coeur. L’univers des Quinze Royaumes, les aventures d’Avry sont un véritable bijou.
Avry est une jeune femme de 20 ans qui a tout perdu depuis que son monde a été ravagé par la peste. Cela fait 3 ans qu’elle passe sa vie à fuir, allant de ville en ville tout en espérant ne pas mourir. Elle est la dernière des guérisseuse, en gros elle a les capacités magique de prendre les maladies et douleurs des autres en elle, elle les guérit de cette façon. De ce fait, ce n’est pas que son pouvoir qui est à caractère altruiste, cela influe sur sa personnalité, elle a la lourde responsabilité de choisir qui elle guérit mais elle n’est pas égoïste pour deux sous. Elle sait se montrer têtue, méfiante, sûre d’elle, ce qui ne l’empêche pas d’être naïve, cherchant les bons côtés chez les autres. Avry est le genre d’héroïne qu’on apprécie immédiatement, elle ne se laisse pas faire, elle fait face à ce qui lui arrive, allant toujours de l’avant.
Avec Avry il y a essentiellement un groupe de compagnons qui font la route avec elle et la protège. Kerrick est à la tête de cette expédition, il recherche Avry depuis des années afin de guérir un ami proche. C’est une personnage au caractère mystérieux, complexe, qu’on adore voir évoluer et son apparente image froide fondre. On peut regretter par moment le manque d’informations à son sujet, mais pour ma part je trouve que c’est ce qui fait une force de ce personnage. Belen est le gros "Papa Ours" comme le surnomme à juste titre Avry. On ne peut pas s’empêcher de l’adorer, et malgré son apparence de benêt totalement feinte, il est malin et observateur. Les trois autres ont tous leur importance et suffisamment différents pour qu’on s’intéresse à eux. Et pourtant, c’est surtout Flea qu’on ne pourra pas oublié avec sa bonne humeur et sa fraîcheur.
L’auteure a su mettre en scène une tonne de personnages, tout aussi bien les alliés que les ennemis d’Avry, avec des personnalités poussées, complexes et intéressantes, pour lesquelles on sent qu’on peut les revoir par la suite. Il n’y a pas que tout ce petit monde qui est varié, c’est aussi le cas de l’univers en général de l’histoire. On se retrouve avec une tonne de divers royaumes qui se combattent afin d’être à la tête de la totalité des terres. En parallèle, il y a la magie qui existe chez certains membres et qui est lié à l’avenir de l’humanité. Dernier point tout aussi fabuleux dans cette imagination, c’est les créatures et surtout les fameux lys, qui ne cesse d’étonner le lecteur. Tout est parfaitement à sa place, tout est logique et on se l’imagine parfaitement.
L’écriture de l’auteure est un véritable plaisir, c’est fluide, maîtrisé, tous les codes de la fantasy sont parfaitement utilisés et à leur place. A plusieurs reprises j’ai totalement oublié qu’il s’agissait d’un Young-Adult. Les seuls moments où je m’en suis souvenu c’est avec la romance qui est plus que secondaire ici, étant les balbutiements d’une histoire d’amour et qui n’empiète pas du tout sur l’intrigue principale. Je recommande évidemment ce livre à tous les fans de fantasy et je pense qu’on peut oublier l’étiquette de YA qui lui colle, cela sans aucun problème au bout de 10 pages !
Lien : http://leschroniquesaleatoir..
Avry est une jeune femme de 20 ans qui a tout perdu depuis que son monde a été ravagé par la peste. Cela fait 3 ans qu’elle passe sa vie à fuir, allant de ville en ville tout en espérant ne pas mourir. Elle est la dernière des guérisseuse, en gros elle a les capacités magique de prendre les maladies et douleurs des autres en elle, elle les guérit de cette façon. De ce fait, ce n’est pas que son pouvoir qui est à caractère altruiste, cela influe sur sa personnalité, elle a la lourde responsabilité de choisir qui elle guérit mais elle n’est pas égoïste pour deux sous. Elle sait se montrer têtue, méfiante, sûre d’elle, ce qui ne l’empêche pas d’être naïve, cherchant les bons côtés chez les autres. Avry est le genre d’héroïne qu’on apprécie immédiatement, elle ne se laisse pas faire, elle fait face à ce qui lui arrive, allant toujours de l’avant.
Avec Avry il y a essentiellement un groupe de compagnons qui font la route avec elle et la protège. Kerrick est à la tête de cette expédition, il recherche Avry depuis des années afin de guérir un ami proche. C’est une personnage au caractère mystérieux, complexe, qu’on adore voir évoluer et son apparente image froide fondre. On peut regretter par moment le manque d’informations à son sujet, mais pour ma part je trouve que c’est ce qui fait une force de ce personnage. Belen est le gros "Papa Ours" comme le surnomme à juste titre Avry. On ne peut pas s’empêcher de l’adorer, et malgré son apparence de benêt totalement feinte, il est malin et observateur. Les trois autres ont tous leur importance et suffisamment différents pour qu’on s’intéresse à eux. Et pourtant, c’est surtout Flea qu’on ne pourra pas oublié avec sa bonne humeur et sa fraîcheur.
L’auteure a su mettre en scène une tonne de personnages, tout aussi bien les alliés que les ennemis d’Avry, avec des personnalités poussées, complexes et intéressantes, pour lesquelles on sent qu’on peut les revoir par la suite. Il n’y a pas que tout ce petit monde qui est varié, c’est aussi le cas de l’univers en général de l’histoire. On se retrouve avec une tonne de divers royaumes qui se combattent afin d’être à la tête de la totalité des terres. En parallèle, il y a la magie qui existe chez certains membres et qui est lié à l’avenir de l’humanité. Dernier point tout aussi fabuleux dans cette imagination, c’est les créatures et surtout les fameux lys, qui ne cesse d’étonner le lecteur. Tout est parfaitement à sa place, tout est logique et on se l’imagine parfaitement.
L’écriture de l’auteure est un véritable plaisir, c’est fluide, maîtrisé, tous les codes de la fantasy sont parfaitement utilisés et à leur place. A plusieurs reprises j’ai totalement oublié qu’il s’agissait d’un Young-Adult. Les seuls moments où je m’en suis souvenu c’est avec la romance qui est plus que secondaire ici, étant les balbutiements d’une histoire d’amour et qui n’empiète pas du tout sur l’intrigue principale. Je recommande évidemment ce livre à tous les fans de fantasy et je pense qu’on peut oublier l’étiquette de YA qui lui colle, cela sans aucun problème au bout de 10 pages !
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Cela faisait un moment que j'hésitais à lire ce premier tome dont le synopsis et la couverture me plaisaient et pour lequel les avis sont plutôt positifs. J'ai eu l'occasion de me le procurer récemment et Aurélie (http://leslecturesdaurelie.com/) m'a proposé de le lire en commun en mars. Pour ma part malheureusement je n'ai pas vraiment aimé ce premier tome contrairement à ce à quoi je m'attendais.
J'ai été plutôt déçue de cette lecture que j'ai trouvé trop légère pour de la Fantasy, j'ai trouvé que ça manquait de détails, de descriptions, en particulier du monde dans lequel les personnages évoluent et même ce qui concerne les poisons est survolé, l'auteure nous donne vraiment le minimum d'informations. De plus, j'ai trouvé la première partie du livre trop lente et quand enfin il se passe quelque chose, tout est trop prévisible (ce qui arrive à Elena, qui sont les méchants et leur mode opératoire...), j'ai été en manque d'intrigue, de mystère... Et tout le long de l'histoire j'étais en attente de plus de magie, que l’héroïne fasse autre chose que de gouter les repas du commandant pour vérifier s'il y a du poison, c'est seulement dans le dernier tiers du livre que ça arrive enfin, j'ai trouvé ça frustrant.
En ce qui concerne les personnages, je les ai trouvé quand même assez classiques que ce soit l’héroïne ("orpheline" ayant en réalité de grand pouvoirs) ou les autres personnages, surtout les méchants de l'histoire qu'on voit venir à des kilomètres avec leurs gros sabots. Elena m'a tout de même plus (même si j'avoue lui avoir préféré Valek que j'ai trouvé plus intriguant), j'ai apprécié le fait qu'elle ai du caractère, qu'elle ne se laisse pas faire et j'ai aimé son évolution dans l'histoire, mais j'ai trouvé aussi qu'elle avait des réactions surprenantes par moment (s'étonne que les domestiques ne l'aime pas et se méfient d'elle sachant que pour eux c'est une meurtrière...). Quant à Valek c'est vraiment le personnage que j'ai préféré ici, j'ai adoré m'interroger à son sujet tout le long du roman, c'est un personnage que j'ai trouvé vraiment intéressant comparé aux autres.
Globalement j'ai plutôt accroché au style de l'auteure, j'ai trouvé que le roman se lisait relativement vite et facilement. Je pense que c'est une lecture qui conviendrait probablement mieux à quelqu'un qui découvre la Fantasy et en ce qui me concerne je ne lirais probablement pas la suite, quoique la fin de ce premier tome m'intrigue alors qui sait..
Lien : http://monuniverslivresque.b..
J'ai été plutôt déçue de cette lecture que j'ai trouvé trop légère pour de la Fantasy, j'ai trouvé que ça manquait de détails, de descriptions, en particulier du monde dans lequel les personnages évoluent et même ce qui concerne les poisons est survolé, l'auteure nous donne vraiment le minimum d'informations. De plus, j'ai trouvé la première partie du livre trop lente et quand enfin il se passe quelque chose, tout est trop prévisible (ce qui arrive à Elena, qui sont les méchants et leur mode opératoire...), j'ai été en manque d'intrigue, de mystère... Et tout le long de l'histoire j'étais en attente de plus de magie, que l’héroïne fasse autre chose que de gouter les repas du commandant pour vérifier s'il y a du poison, c'est seulement dans le dernier tiers du livre que ça arrive enfin, j'ai trouvé ça frustrant.
En ce qui concerne les personnages, je les ai trouvé quand même assez classiques que ce soit l’héroïne ("orpheline" ayant en réalité de grand pouvoirs) ou les autres personnages, surtout les méchants de l'histoire qu'on voit venir à des kilomètres avec leurs gros sabots. Elena m'a tout de même plus (même si j'avoue lui avoir préféré Valek que j'ai trouvé plus intriguant), j'ai apprécié le fait qu'elle ai du caractère, qu'elle ne se laisse pas faire et j'ai aimé son évolution dans l'histoire, mais j'ai trouvé aussi qu'elle avait des réactions surprenantes par moment (s'étonne que les domestiques ne l'aime pas et se méfient d'elle sachant que pour eux c'est une meurtrière...). Quant à Valek c'est vraiment le personnage que j'ai préféré ici, j'ai adoré m'interroger à son sujet tout le long du roman, c'est un personnage que j'ai trouvé vraiment intéressant comparé aux autres.
Globalement j'ai plutôt accroché au style de l'auteure, j'ai trouvé que le roman se lisait relativement vite et facilement. Je pense que c'est une lecture qui conviendrait probablement mieux à quelqu'un qui découvre la Fantasy et en ce qui me concerne je ne lirais probablement pas la suite, quoique la fin de ce premier tome m'intrigue alors qui sait..
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Premier livre pour moi dans la collection Darkiss, cette auteure me fait de l'œil depuis un moment avec son autre saga les portes du secret que je n'ai toujours pas pris le temps de lire, mais avec sa sortie en poche ça risque de se faire en 2014 pourquoi pas ! Puis ma binomette Sarah est venue me proposer une lecture commune sur ce titre et comme rien que la couverture me fait craquée, j'ai dit c'est parti !
Et dés le départ, je savais que j'allais adorer, le premier chapitre m'a conquise et la suite à suivie. Une histoire sur des guérisseurs donc de la magie, tout ce que j'aime ! On fait donc la connaissance d'Avry, à priori la dernière Guérisseuse au monde. Les autres sont soit mort, assassinés soit sont en fuite comme elle et elle ne les a jamais revue depuis 3 ans qu'elle est elle même en fuite. Pourquoi, car les guérisseurs ont été accusés d'avoir propagé la peste qui a tué des millions de personnes et qui en tue toujours ! Donc forcément tout le monde voulait leur mort et le seul moyen de survivre c'est en se cachant.
Avry le fait très bien, mais à chaque fois elle ne reste que quelques semaines dans les villes pour fuir plus loin. Mais elle ne résiste pas à sauver des gens et lorsqu'elle est hébergée chez une famille dont la petite fille est malade et risque d'en mourir, elle décide de la sauver. Malheureusement, elle se fera prendre et se retrouvera en prison avant d'être exécutée.
Kerrick et sa bande vont passer par là, à la recherche d'une guérisseuse, et vont la sauver, mais ce n'est pas si gratuit, elle doit en échange guérir le Prince Rine (qu'elle ne supporte pas) qui a attrapé la peste et qui est dans une torpeur magique depuis 2 ans pour éviter qu'il meurt ! Elle ne va pas accepter tout de suite et c'est pour ça que ses rapports avec Kerrick seront très tendus. Rapport de force, engueulade et j'en passe tout ne sera pas rose sur le chemin qui mène au Prince Rine !
Kerrick, pendant les 3/4 du livre je ne l'aime pas. Je ne sais pas comment il s'en prenait s'en arrêt à Avry, j'avais toujours l'impression qu'il cacher quelque chose alors je n'avais pas trop confiance en lui. Après par contre j'ai beaucoup aimé son pouvoir c'est super utile !
Kerrick ne voyage pas seul, au départ il est avec Belen son ami de toujours, le papa ours comme le surnomme Avry et pis elle a bien raison, car l'auteur le décrit vraiment comme ça, sa carrure d'ours et son comportement de papa poule. Ensuite ils sont rejoints par Flea, Quin et Loren, 3 joyeux lurons qui aident comme ils peuvent, mais surtout c'est le comique de la bande qui remonte de moral. Je les adore.
Faut pas oublier le méchant de l'histoire hein, le Prince Tohon qui est devenu roi après la mort de son père, mais il est un peu beaucoup fou sur les bordes, il fait des expériences avec les lys de la mort.
Justement au départ je me demandé pourquoi justement sa s'appeler, Le pouvoir des Lys, on en parlait, mais pas tellement et puis au fil que les pages se tournent on commence à se poser des questions vue ce qu'on apprend, mais c'est surtout la fin où on comprend vraiment pourquoi ce titre !
L'auteur a su émietter ses indices tout au long de ce premier tome et donné beaucoup de révélations à la fin pour donner une envie folle de lire la suite. (Qui n'est pas encore sorti !)
Vous l'aurez compris j'ai adoré ce premier tome, c'est un vrai un coup de coeur, c'est bien construit, tous les éléments sont là. La fin est juste géniale même si on sait que dans un sens ça va finir comme ça, je me suis demandé jusqu'au bout comment l'auteur va réussir cet exploit !
Lien : http://toutelalecturedesev.b..
Et dés le départ, je savais que j'allais adorer, le premier chapitre m'a conquise et la suite à suivie. Une histoire sur des guérisseurs donc de la magie, tout ce que j'aime ! On fait donc la connaissance d'Avry, à priori la dernière Guérisseuse au monde. Les autres sont soit mort, assassinés soit sont en fuite comme elle et elle ne les a jamais revue depuis 3 ans qu'elle est elle même en fuite. Pourquoi, car les guérisseurs ont été accusés d'avoir propagé la peste qui a tué des millions de personnes et qui en tue toujours ! Donc forcément tout le monde voulait leur mort et le seul moyen de survivre c'est en se cachant.
Avry le fait très bien, mais à chaque fois elle ne reste que quelques semaines dans les villes pour fuir plus loin. Mais elle ne résiste pas à sauver des gens et lorsqu'elle est hébergée chez une famille dont la petite fille est malade et risque d'en mourir, elle décide de la sauver. Malheureusement, elle se fera prendre et se retrouvera en prison avant d'être exécutée.
Kerrick et sa bande vont passer par là, à la recherche d'une guérisseuse, et vont la sauver, mais ce n'est pas si gratuit, elle doit en échange guérir le Prince Rine (qu'elle ne supporte pas) qui a attrapé la peste et qui est dans une torpeur magique depuis 2 ans pour éviter qu'il meurt ! Elle ne va pas accepter tout de suite et c'est pour ça que ses rapports avec Kerrick seront très tendus. Rapport de force, engueulade et j'en passe tout ne sera pas rose sur le chemin qui mène au Prince Rine !
Kerrick, pendant les 3/4 du livre je ne l'aime pas. Je ne sais pas comment il s'en prenait s'en arrêt à Avry, j'avais toujours l'impression qu'il cacher quelque chose alors je n'avais pas trop confiance en lui. Après par contre j'ai beaucoup aimé son pouvoir c'est super utile !
Kerrick ne voyage pas seul, au départ il est avec Belen son ami de toujours, le papa ours comme le surnomme Avry et pis elle a bien raison, car l'auteur le décrit vraiment comme ça, sa carrure d'ours et son comportement de papa poule. Ensuite ils sont rejoints par Flea, Quin et Loren, 3 joyeux lurons qui aident comme ils peuvent, mais surtout c'est le comique de la bande qui remonte de moral. Je les adore.
Faut pas oublier le méchant de l'histoire hein, le Prince Tohon qui est devenu roi après la mort de son père, mais il est un peu beaucoup fou sur les bordes, il fait des expériences avec les lys de la mort.
Justement au départ je me demandé pourquoi justement sa s'appeler, Le pouvoir des Lys, on en parlait, mais pas tellement et puis au fil que les pages se tournent on commence à se poser des questions vue ce qu'on apprend, mais c'est surtout la fin où on comprend vraiment pourquoi ce titre !
L'auteur a su émietter ses indices tout au long de ce premier tome et donné beaucoup de révélations à la fin pour donner une envie folle de lire la suite. (Qui n'est pas encore sorti !)
Vous l'aurez compris j'ai adoré ce premier tome, c'est un vrai un coup de coeur, c'est bien construit, tous les éléments sont là. La fin est juste géniale même si on sait que dans un sens ça va finir comme ça, je me suis demandé jusqu'au bout comment l'auteur va réussir cet exploit !
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Cette lecture fut une très agréable surprise. Repérer depuis en petit moment , j'en hésitais la lecture à cause de la classification de ce roman dans le rayon "jeunes adultes. Puis il a été proposer dans le cadre d'un Masse Critique et je me suis dit pourquoi pas.
Au final j'ai trouvé ce roman plutôt prenant, les aventures d'Elena nous tenant en haleine qu'en à son destin assez facilement. L'écriture de l'auteur est simple, fluide et agréable et l'univers comme les personnages qu'elle a créer pour son roman sont loin d'être creux. Certes, j'ai trouvé que le développement de la relation amoureuse entre les deux héros manquait de profondeur mais dans l'ensemble, ce roman conviendra à des lecteurs qui apprécient une histoire bien construite, avec un univers un minimum détaillé et des personnages (principaux et secondaires) avec une vraie personnalité et dont les actions ne sont pas "noires" ou "blanches" mais ou se mêle aussi parfois un peu de "gris". Je remercie Babelio et les éditions Harlequin de m'avoir permis de lire ce roman dont je vais acquérir la suite de ce pas.
Au final j'ai trouvé ce roman plutôt prenant, les aventures d'Elena nous tenant en haleine qu'en à son destin assez facilement. L'écriture de l'auteur est simple, fluide et agréable et l'univers comme les personnages qu'elle a créer pour son roman sont loin d'être creux. Certes, j'ai trouvé que le développement de la relation amoureuse entre les deux héros manquait de profondeur mais dans l'ensemble, ce roman conviendra à des lecteurs qui apprécient une histoire bien construite, avec un univers un minimum détaillé et des personnages (principaux et secondaires) avec une vraie personnalité et dont les actions ne sont pas "noires" ou "blanches" mais ou se mêle aussi parfois un peu de "gris". Je remercie Babelio et les éditions Harlequin de m'avoir permis de lire ce roman dont je vais acquérir la suite de ce pas.
Je ne vais pas faire un énième résumé de ce livre mais juste donner mon avis. Je ne m'attendais pas du tout à cela en lisant la quatrième de couverture et j'ai franchement adoré! C'est simple, une fois avoir mis le nez dans ce livre, je n'arrivais tout simplement plus à le refermer, tant j’étais prise dans l'histoire.
Elena est une héroïne atypique à qui la vie joue de sales tours. Tout le long de l'histoire, on se demande comment elle va faire pour garder la vie sauve ou même un semblant de dignité... Elle est vraiment attachante et on ne peut s'empêcher d'espérer qu'elle finira par avoir une vie normale malgré tous les complots visant à la tuer. Et quand on est goûteur du commandant, ce n'est pas peu dire, et en plus magicienne sans le savoir alors que la magie est strictement interdite dans son pays, sous peine de mort... De plus, son poste de goûteur est déjà un sursit car elle aurait dû être exécuté au début de l'histoire pour un meurtre qu'elle a commis un an plus tôt.
Bref, une histoire prenant et pleine de rebondissements inattendus! Je m'attaque de suite au tome 2 !
Elena est une héroïne atypique à qui la vie joue de sales tours. Tout le long de l'histoire, on se demande comment elle va faire pour garder la vie sauve ou même un semblant de dignité... Elle est vraiment attachante et on ne peut s'empêcher d'espérer qu'elle finira par avoir une vie normale malgré tous les complots visant à la tuer. Et quand on est goûteur du commandant, ce n'est pas peu dire, et en plus magicienne sans le savoir alors que la magie est strictement interdite dans son pays, sous peine de mort... De plus, son poste de goûteur est déjà un sursit car elle aurait dû être exécuté au début de l'histoire pour un meurtre qu'elle a commis un an plus tôt.
Bref, une histoire prenant et pleine de rebondissements inattendus! Je m'attaque de suite au tome 2 !
J’ai découverte l’auteure il y a peu avec sa nouvelle série Le pouvoir des lys que j’ai beaucoup aimé. Lorsque sa première série « Les portes du secret » a été éditée en poche chez Darkiss, c’était l’occasion rêvée de la découvrir un peu mieux.
Elena est enfermée dans un donjon pour avoir tué le fils d’un chef de district. Elle n’attend que la mort. Quand lui est imposé de devenir le gouteur officiel du commandant ou lieu de l’échafaud, et pour être sur qu’elle ne s’évade pas, on lui fait avaler un poison dont elle a besoin de l’antidote tous les jours si elle ne veut pas mourir.
J’ai été de suite prise dans l’ambiance du livre. Notre premier contact avec Elena se passe dans un cachot sombre, humide et immonde. Comme elle nous sommes propulsés dans la vive lumière du monde dans lequel elle évolue et nous le découvrons progressivement.
Cet univers fantasy est très bien créé et personnellement je m’y suis vraiment immergée, ce mélange de moyen âge, de pseudo modernité et de magie m’a enchantée.
Le personnage d’Elena m’a aussi conquise, elle est lucide est battante et loin de s’apitoyer sur son sort. Même si elle a une vision d’elle assez négative d’elle même, elle évolue tout au long de l’histoire et c’est un véritable plaisir de la suivre pas à pas.
L’intrigue est aussi très bien trouvée, j’ai beaucoup aimé la suivre et frissonner avec Elena et les amis qu’elle se fait tout au long de l’histoire.
Ce que j’ai trouvé un peu dommage c’est que la trame de l’histoire est la même que celle de Précieuse, le tome 1 du pouvoir des lys. Les personnages sont différents de caractères et leur quête n’est pas la même, mais on retrouve presque les mêmes étapes et je n’ai pas pu m’empêcher de faire le parallèle tout le long de ma lecture.
L’avantage c’est que les 3 tomes sont sortis en poche en même temps et je n’aurai pas trop à attendre pour lire la suite, il faudra juste que je trouve le temps de lire les 2 derniers tomes de cette trilogie.
Lien : http://mutietseslivres.com/2..
Elena est enfermée dans un donjon pour avoir tué le fils d’un chef de district. Elle n’attend que la mort. Quand lui est imposé de devenir le gouteur officiel du commandant ou lieu de l’échafaud, et pour être sur qu’elle ne s’évade pas, on lui fait avaler un poison dont elle a besoin de l’antidote tous les jours si elle ne veut pas mourir.
J’ai été de suite prise dans l’ambiance du livre. Notre premier contact avec Elena se passe dans un cachot sombre, humide et immonde. Comme elle nous sommes propulsés dans la vive lumière du monde dans lequel elle évolue et nous le découvrons progressivement.
Cet univers fantasy est très bien créé et personnellement je m’y suis vraiment immergée, ce mélange de moyen âge, de pseudo modernité et de magie m’a enchantée.
Le personnage d’Elena m’a aussi conquise, elle est lucide est battante et loin de s’apitoyer sur son sort. Même si elle a une vision d’elle assez négative d’elle même, elle évolue tout au long de l’histoire et c’est un véritable plaisir de la suivre pas à pas.
L’intrigue est aussi très bien trouvée, j’ai beaucoup aimé la suivre et frissonner avec Elena et les amis qu’elle se fait tout au long de l’histoire.
Ce que j’ai trouvé un peu dommage c’est que la trame de l’histoire est la même que celle de Précieuse, le tome 1 du pouvoir des lys. Les personnages sont différents de caractères et leur quête n’est pas la même, mais on retrouve presque les mêmes étapes et je n’ai pas pu m’empêcher de faire le parallèle tout le long de ma lecture.
L’avantage c’est que les 3 tomes sont sortis en poche en même temps et je n’aurai pas trop à attendre pour lire la suite, il faudra juste que je trouve le temps de lire les 2 derniers tomes de cette trilogie.
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Ce troisième tome m'a beaucoup déçu : l'intrigue est décousue, l'héroïne agaçante, les rebondissements sont répétitifs et la fin sans grand intérêt. Le charme des débuts n'a pas opéré et malgré une narration rythmée par l'action, mon intérêt est très vite retombé comme un soufflet : j'ai bien failli abandonner la lecture en cours de route. Mais où sont passé les personnages que j'aimais tant dans le premier tome : Ari et Janco, le Commandant, Valek ? Une déception jusqu'au bout :(
Lien : http://lecturestrollesques.b..
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Cela faisait un moment qu’il était dans ma PAL. Ça a été un mot dit par une personne sur ce livre qui m’a intrigué et du coup je me suis mise à le lire. Le résumé n'est pas super je vous l’accorde. Mais une fois plongée dans le livre j’ai eu du mal à le lâcher. L’histoire est fluide et entraînante. On vit les choses à travers les yeux d’Elena. Les personnages ainsi que l’histoire sont captivants. Au début un peu perdue le temps de se placer dans l’histoire mais une fois le premier chapitre passé j’ai dévoré les pages. J’espère que la suite est pareille.
En Conclusion, un livre vite addictif, l'auteur nous entraîne avec elle dans son histoire sans qu'on s'en rende compte.
Lien : http://petitemyu01.blogspot...
En Conclusion, un livre vite addictif, l'auteur nous entraîne avec elle dans son histoire sans qu'on s'en rende compte.
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Lecture addictive!!
L'histoire se passe dans un pays soumis à un régime militaire après l'abolition de la monarchie. Le territoire d'Ixia a banni hors de ses frontières les magiciens pour créer une société stricte. Elena est une jeune orpheline croupissant dans le donjon du Commandant en attendant son exécution pour le meurtre de Reyad le fils du général Brazell. Par un heureux hasard le conseiller Valek va lui offrir une alternative, devenir goûteuse du Commandant.Mais très vite on découvre que le rôle est plus important que simple goûteuse.
Au départ j'ai eut du mal à accrocher à cet univers militaire, très cadré, très froid , très inhumain. Puis les personnages relèvent tout. Cet univers gris prend de la couleur, de la substance.
Elena est un personnage fort, elle en prends plein la figure mais reste droite dans ses bottes. C'est une battante. Elle est loyale vis à vis de ses amis et attirent l'affection d'autres personnages.
J'ai beaucoup apprécié le personnage de Valek, tout en aspérités. Il est loin de l'image du prince charmant et pourtant il dégage un charme certain et un certain charme. Sa relation avec Elena est ambiguë et sa loyauté envers le Commandant est un peu trop extrême à mon goût.
J'ai aussi beaucoup aimé l'humour de Invincibles.
Le Commandant reste un mystère. Il est stricte mais pas seulement envers les autres. Après l'établissement du Code de conduite il semble incapable de souplesse. Et même confronté à la stupidité de cette rigidité il ne remet pas en cause son mode de fonctionnement.
Brazell, Mokdan, Reyad, les trois méchants sont antipathiques dès le départ. Mais on découvre l'horreur de ce qu'ils sont qu'au fur et à mesure. A chaque page on pense avoir atteint le pire et non au chapitre suivant on découvre que plus profond dans les abîmes c'est possible.
C'est un premier tome (horreur, malheur, ma pauvre Wish List!!) qui en même temps qu'il nous présente l'univers noue une intrigue plus générale. A savoir deux pays avec des sociétés totalement différentes. En Ixia la magie est bannie, honnie, en Sitia, les magiciens ont une place privilégiée. Les dirigeants des deux pays se regardent en chiens de faïences mais en tant que voisins il y a aura forcement conflits.
Ce roman fini sur le premier chapitre du second, certes ça donne envie mais vu que je n'ai pas le deuxième tome c'est du sadisme pur. Les auteurs sont cruels!!!
Lien : http://livravivre.blogspot.fr/
L'histoire se passe dans un pays soumis à un régime militaire après l'abolition de la monarchie. Le territoire d'Ixia a banni hors de ses frontières les magiciens pour créer une société stricte. Elena est une jeune orpheline croupissant dans le donjon du Commandant en attendant son exécution pour le meurtre de Reyad le fils du général Brazell. Par un heureux hasard le conseiller Valek va lui offrir une alternative, devenir goûteuse du Commandant.Mais très vite on découvre que le rôle est plus important que simple goûteuse.
Au départ j'ai eut du mal à accrocher à cet univers militaire, très cadré, très froid , très inhumain. Puis les personnages relèvent tout. Cet univers gris prend de la couleur, de la substance.
Elena est un personnage fort, elle en prends plein la figure mais reste droite dans ses bottes. C'est une battante. Elle est loyale vis à vis de ses amis et attirent l'affection d'autres personnages.
J'ai beaucoup apprécié le personnage de Valek, tout en aspérités. Il est loin de l'image du prince charmant et pourtant il dégage un charme certain et un certain charme. Sa relation avec Elena est ambiguë et sa loyauté envers le Commandant est un peu trop extrême à mon goût.
J'ai aussi beaucoup aimé l'humour de Invincibles.
Le Commandant reste un mystère. Il est stricte mais pas seulement envers les autres. Après l'établissement du Code de conduite il semble incapable de souplesse. Et même confronté à la stupidité de cette rigidité il ne remet pas en cause son mode de fonctionnement.
Brazell, Mokdan, Reyad, les trois méchants sont antipathiques dès le départ. Mais on découvre l'horreur de ce qu'ils sont qu'au fur et à mesure. A chaque page on pense avoir atteint le pire et non au chapitre suivant on découvre que plus profond dans les abîmes c'est possible.
C'est un premier tome (horreur, malheur, ma pauvre Wish List!!) qui en même temps qu'il nous présente l'univers noue une intrigue plus générale. A savoir deux pays avec des sociétés totalement différentes. En Ixia la magie est bannie, honnie, en Sitia, les magiciens ont une place privilégiée. Les dirigeants des deux pays se regardent en chiens de faïences mais en tant que voisins il y a aura forcement conflits.
Ce roman fini sur le premier chapitre du second, certes ça donne envie mais vu que je n'ai pas le deuxième tome c'est du sadisme pur. Les auteurs sont cruels!!!
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Alors là on est dans une pure dystopie. Un monde futuriste complètement clos, sclérosé et tyrannique où évolue une héroïne forte, triste mais d’un courage exemplaire.
On ne peut s’empêcher de penser à Katniss. Elle a de longs cheveux tressés…Pourtant la ressemblance s’arrête là. En effet, Trella ne ressemble à aucune héroïne que l’on connaît déjà, elle est trop sur la réserve, solitaire, introvertie. Elle a enfouie en elle une foule de colère, de frustration, de résignation. Alors elle se cache, elle s’isole. C’est son premier acte de rébellion. Elle refuse de suivre les autres, de vivre avec eux dans un mode de vie tout tracé, ordonné et réglementé.
En effet, tous les « gratteurs », cette foule populaire, à la limite de l’esclavage, qui nettoie et entretien sans relâche le cube dans lequel ils vivent, doivent se soumettre à la hiérarchie, et ne jamais s’intéresser ni se mêler aux classes supérieures.
Trella se fait discrète, préfèrant fermer les yeux sur cette soumission, elle se replie sur elle-même, n’a pas d’ami, et trouve refuge dans les tuyaux du cube qu’elle sillonne et connaît à la perfection. Vous me direz mais elle n’a rien d’une héroïne. C’est bien là la réussite de ce personnage. Trella n’est pas si courageuse c’est une ado banale, introvertie, mal dans sa peau, qui veut qu’on l’oublie, qui veut oublier sa vie. Trella représente n’importe qui d’entre nous. Elle n’a pas de don particulier. Elle tente de se soumettre sans pour autant accepter.
Ainsi, les évènements vont décider pour elle et vont la transformer en réelle héroïne qui va risquer sa vie. Lorsque son seul ami, Cog la supplie de venir écouter le énième prophète annonçant qu’une porte de sortie existe, elle se laissera embarquer, malgré elle, dans un tourbillon d’actions et de suspense qui la dépassent totalement. Tout au long du roman on assiste au cheminement de Trella, comment une jeune fille discrète va devenir malgré elle, un héros, un leader. Elle saura prendre les bonnes décisions. Et surtout trouvera, au plus profond d’elle-même un courage immense.
L’atmosphère est assez noire, comme dans tout roman dystopique, on a une bonne dose de régime tyrannique et de coup d’Etat qui se prépare. Pour ma part j’adore ce genre d’intrigue qui nous rappelle sans cesse les mauvaises périodes de notre propre Histoire: collaborer, rester passif ou résister, quel choix aurions-nous fait sous un régime autoritaire? Cela nous fait réfléchir, nous alerte sur une vision pessimiste du futur nous permettant d’être vigilent !
La romance vous l’aurez compris est ici en second plan, il y en a quand même un peu. Un gentil garçon va aider Trella et tomber sous son charme.
Il y a surtout beaucoup de suspense, de rebondissements, d’émotions diverses. L’amitié, les liens qui se nouent dans une lutte, les liens de parenté, la solitude…
En bref j’ai trouvé ce livre riche et intelligent. Encore une fois un bon roman jeunesse prenant les ados pour des lecteurs réfléchis et non passifs.
Lien : http://leslivresdalily.blogs..
On ne peut s’empêcher de penser à Katniss. Elle a de longs cheveux tressés…Pourtant la ressemblance s’arrête là. En effet, Trella ne ressemble à aucune héroïne que l’on connaît déjà, elle est trop sur la réserve, solitaire, introvertie. Elle a enfouie en elle une foule de colère, de frustration, de résignation. Alors elle se cache, elle s’isole. C’est son premier acte de rébellion. Elle refuse de suivre les autres, de vivre avec eux dans un mode de vie tout tracé, ordonné et réglementé.
En effet, tous les « gratteurs », cette foule populaire, à la limite de l’esclavage, qui nettoie et entretien sans relâche le cube dans lequel ils vivent, doivent se soumettre à la hiérarchie, et ne jamais s’intéresser ni se mêler aux classes supérieures.
Trella se fait discrète, préfèrant fermer les yeux sur cette soumission, elle se replie sur elle-même, n’a pas d’ami, et trouve refuge dans les tuyaux du cube qu’elle sillonne et connaît à la perfection. Vous me direz mais elle n’a rien d’une héroïne. C’est bien là la réussite de ce personnage. Trella n’est pas si courageuse c’est une ado banale, introvertie, mal dans sa peau, qui veut qu’on l’oublie, qui veut oublier sa vie. Trella représente n’importe qui d’entre nous. Elle n’a pas de don particulier. Elle tente de se soumettre sans pour autant accepter.
Ainsi, les évènements vont décider pour elle et vont la transformer en réelle héroïne qui va risquer sa vie. Lorsque son seul ami, Cog la supplie de venir écouter le énième prophète annonçant qu’une porte de sortie existe, elle se laissera embarquer, malgré elle, dans un tourbillon d’actions et de suspense qui la dépassent totalement. Tout au long du roman on assiste au cheminement de Trella, comment une jeune fille discrète va devenir malgré elle, un héros, un leader. Elle saura prendre les bonnes décisions. Et surtout trouvera, au plus profond d’elle-même un courage immense.
L’atmosphère est assez noire, comme dans tout roman dystopique, on a une bonne dose de régime tyrannique et de coup d’Etat qui se prépare. Pour ma part j’adore ce genre d’intrigue qui nous rappelle sans cesse les mauvaises périodes de notre propre Histoire: collaborer, rester passif ou résister, quel choix aurions-nous fait sous un régime autoritaire? Cela nous fait réfléchir, nous alerte sur une vision pessimiste du futur nous permettant d’être vigilent !
La romance vous l’aurez compris est ici en second plan, il y en a quand même un peu. Un gentil garçon va aider Trella et tomber sous son charme.
Il y a surtout beaucoup de suspense, de rebondissements, d’émotions diverses. L’amitié, les liens qui se nouent dans une lutte, les liens de parenté, la solitude…
En bref j’ai trouvé ce livre riche et intelligent. Encore une fois un bon roman jeunesse prenant les ados pour des lecteurs réfléchis et non passifs.
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Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Indice : Esmeralda
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