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Citations de Marie-Bernadette Dupuy (615)


Le village était baigné d'une lumière pourpre irisée d'or et les toits de tuile semblaient capter tous les feux du soleil couchant. La forêt s'étendait au-delà, paisible, symphonie de verts profonds et de mauves délicats...Sur l'horizon embrasé se découpaient les monts roses de l'Estérel qui viraient déjà au violet, sombres dentelles de roche d'une éternelle majesté.
Hélène ne se lassait pas de contempler cette vision familière, si chère à son coeur...
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Il n’y a pas de honte. C’est une dame douce et généreuse, elle me prête des livres. Je te l’ai déjà dit, Angel, j’ai promis à ma mère, sur son lit de mort, de veiller sur mon petit frère. J’en ferai un monsieur de la ville. L’instituteur est très satisfait de lui, il obtient les meilleures notes.
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La coïncidence lui paraissait impossible, mais Toshan avait parlé lui aussi d'un chemin invisible qui reliait les êtres destinés à se rencontrer.
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Le destin tire les ficelles, le hasard n'existe pas.
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Certain de n'avoir plus aucune chance d'épouser Isaure, il continuer à lui vouer un amour intense, dans lequel entrait cependant une grande part d'affection et de respect.
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Elle avait des mouvements vifs, une grâce de faon, car elle était très mince, élancée. Ses cheveux noirs, raides et coupés au carré, servaient d’écrin à ses traits fins, à son teint de pêche.
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Il suffit d’avoir la foi, dit-elle enfin d’un ton ferme, plein de sérénité. Pour nous, sur cette terre, oui, c’est un grand malheur de perdre ceux que l’on aime. Mais les Évangiles nous disent : « Tu ne sais ni le jour ni l’heure ! » Si Léa et Erwan ont été rappelés par Dieu, s’ils sont heureux dans la vie éternelle, nous devons penser à eux sans trop souffrir. Ils sont jeunes et beaux à jamais, au paradis et dans nos cœurs. Je prie pour eux, mais je ne pleure pas, car les larmes empêchent les âmes de s’envoler.
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La loi est la loi, on doit l’appliquer. En plus, la demoiselle me parlait de haut, ne regrettait pas ses mensonges, au nom de la justice ! Ne vous en mêlez plus, inspecteur, c’est un avertissement. Faites votre métier, et faites-le bien, de préférence.
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Je vous hais, je vous exècre ! Comment avez-vous pu faire une chose pareille ? J’ai appris la vérité ce matin. Vous, son grand-père, celui qui aurait dû la chérir et la protéger, vous avez osé la souiller, poser vos sales pattes sur elle !
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L'histoire se passe en 1928 lors des 2èmes crues dues à la construction de barrages hydroélectriques à proximité du lac Saint-Jean au Québec.
Emma Cloutier est retrouvée noyée près de chez elle. Sa soeur, Jacinthe tente de comprendre ce qui s'est passé. C'est sur fond d'eaux qui montent et rassemblent les habitants pour s'entraider à évacuer les maisons, granges et étables, que la famille Cloutier se déchire au fur et à mesure des secrets qui prennent jour. Que de mensonges, non-dits qui peu à peu tiennent en haleine.
Au début, j'ai eu un peu de mal à accrocher au récit mais après m'être habituée à l'écriture "à l'ancienne" et à la formulation des discussions trop rédigée et peu spontanée, je me suis laissée prendre par l'histoire avec de nombreux personnages auxquels je me suis attachée au point d'avoir eu du mal à les quitter à la fin du roman. Vivement le tome 2 pour connaître ce que l'auteur leur réserve.
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- Éléonore, comment Croset, si c'est lui, a-t-il pu s'introduire dans votre chambre sans attirer l'attention de mes hommes ? À moins que ce monsieur soit pourvu d'ailes et soit entré par la fenêtre. Je sais, il paraît que l'amour donne des ailes. Mais dans ce cas, s'il est amoureux de vous, pourquoi Croset voudrait-il vous tuer ?
(Nuits à haut risque)
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Ils vivraient ensemble, sur la même rive du Rhin, qui pour eux n'avait jamais représenté une frontière, car l'amour se moque bien des pointillés tracés sur les cartes.
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Devers se leva, submergé par une sourde tristesse. Ce pays de brouillard, de ciel bas et de bois sombres le déprimait. Depuis son arrivée, il n’avait pas vu le soleil, mais du gris, du noir, de la poussière.
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Isaure descendit de la calèche. Ses pieds foulèrent l’allée semée de gravillons blancs. Malade de chagrin, elle avança vers le château. L’image ensoleillée de Thomas, qui l’escortait si fidèlement d’ordinaire, ne la réchauffait plus. Prisonnier de la mine et captif de la blonde Jolenta, celui qu’elle aimait échappait à ses rêves.
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Dites, si ça peut vous distraire un peu, j'ai mis de côté des mots croisés. Je les ai découpés pour vous dans un autre journal que j'achète au magasin général le samedi.
- Ah ! j'en ai entendu parler, mais je ne vois pas bien de quoi il s'agit, avoua Ferdinand.
- C'est l'invention d'un Anglais, Arthur Wynne. Il a publié une première grille en 1913, dans le New York World. Le jeu s'est développé. Pour ma part, je l'ai découvert en France il y a quatre ans, quand un hebdomadaire, Le Dimanche-Illustré, a mis dans ses colonnes une "mosaïque mystérieuse", selon le nom qu'on lui a donné. Ensuite, d'autres gazettes ont suivi la mode, Le Gaulois, L'Excelsior...
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Les années passaient trop vite, ces années de la plus tendre enfance dont le souvenir ne s’efface jamais, qui vous marquent au contraire de leur empreinte magique, qui se réveillent au gré de la vie à cause d’un ancien refrain fredonné ou du parfum des fleurs au crépuscule, dans un jardin. Alors, qu’on soit une une vraie fête, papa et maman venaient ensemble.
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À la fin du printemps, à l’époque où la nature se prépare à la grande fête de l’été, la princesse Ingeborg accompagnait ses filles dans les jardins du château royal, leur faisant admirer les fleurs et les arbres, cueillant pour Astrid une fragile violette ou une anémone aux pétales de satin rouge. L’enfant contemplait avec un sourire confiant le délicat trésor posé dans la paume de sa mère et, souvent, elle tendait la main afin de s’en emparer. Elle répétait alors le nom de la fleur, comme elle savait déjà montrer dans le ciel les mouettes de la mer Baltique en les désignant d’un singulier vocable de son invention.
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L'homme était tapi derrière une épaisse haie de buis, tel un fauve traquant sa proie. Depuis pas mal de temps déjà, toute son intelligence, son ingéniosité lui servaient à mettre au point des plans d'attaque. Il se voulait foudroyant, implacable, et surtout insaisissable.Il n'avait que mépris pour la gent féminine. Après de longs jours de prudence, d'attente impatiente, il venait de repartir en chasse.
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La jalousie est un poison qui ronge et qui détruit… en amitié aussi
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Je suis surtout guérisseuse… enfin, mes mains soulagent la douleur. Si, en plus, vous avez un baume de consoude à appliquer, vous serez vite soulagée.
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