Citations de Marie-Bernadette Dupuy (615)
T2
très bon livre plein de rebondissements. La saga le Moulin du loup est passionnante. A conseiller volontiers à d'autres lecteurs
T1
Un très bon roman, émouvant, captivant et qui se lit très facilement.
Très jolie suite de la saga du rossignol; M.B.Dupuy ne déçoit pas son public et réussit le pari de surprendre à chaque page; les descriptions ne sont jamais trop en longueur ce qui fait que l'on passe toujours un moment agréable malgré l'épaisseur du livre.
Pour ce 4ème tome l'auteure a introduit quelques notes d' érotisme subtil et raffiné.
Il n’y a pas d’âge pour tomber amoureux.
Cela lui faisait peut-être du bien d’évoquer tous ces souvenirs. Renaissaient alors les émotions, les joies, les chagrins et ce temps béni de la jeunesse, quand le cœur bat si vite, quand on croit que la vie entière ne sera qu’une suite d’exaltations et de bonheurs.
On peut parfois vivre dans deux dimensions, pour garder la force d’espérer. D’une part il y a la vie de nos pensées les plus intimes, notre jardin secret, et puis de l’autre celle que le destin nous impose plus ou moins.
J’avais compris bien des choses ce soir-là. L’emballement du cœur, l’embrasement du sang et cet étrange sentiment qui fait que l’on se sent vibrer d’un même appel, d’une même exaltation. Le pouvoir qu’ont aussi les femmes sur les hommes.
Le plus important, ce n'est pas l'apparence d'un logis, mais le bonheur qu'il abrite !
Les cachotteries et les mensonges sont des poisons à lent effet qui nous affaiblissent.
Mais, répète-toi cette phrase de mon maître à penser, Voltaire : "Il vaut mieux hasarder de sauver un coupable que de condamner un innocent".
Diane hésitait à monter dans sa chambre. Elle tenait toujours le journal. Pressée de s'occuper l'esprit, elle l'ouvrit enfin. C'était son univers, ces feuilles un peu souples, qui dégageaient encore une vague odeur d'encre.
- Ah, laisse donc, je m'arrange avec mon chagrin, fiston. Toi, fais attention, ne me casse pas d'assiette. En voilà une idée, de brasser la vaisselle.
- Mais je le ferais les yeux fermés si j'y voyais encore, blagua l'infirme. Je connais par cœur notre cuisine.
Bientôt, ils furent prêts à grimper dans la nacelle qui plongerait dans les entrailles du sol, d'où montait une odeur âcre de houille, de poussière et de boue. Thomas éprouva une vague appréhension, se souvenant du bruit infernal du coup de grisou, assorti du vacarme effrayant qu'avaient provoqué les éboulements. Il fit part de ses craintes à son père.
Le vent sifflait dans les haubans, et on avait pu croire à des cris stridents, pousés par des démons. Le "seigneurs des mers" n'était plus qu'un frêle esquiff balloté par l'océan démonté...
"Jadis, l'église terrifiait le peuple en brandissant des images du diable. Il n'existe pas, ni l'enfer, mais le Mal règne souvent, comme une entité redoutable qui sème la désolation, le vice. La dernière guerre et ses atrocités en sont une preuve affligeante."
Elle désirait inviter Lara à son mariage. Une démarche cordiale dans un monde ordinaire, dans la vie simple de jadis, que je regrette tant.
Aucune loi n'empêche encore les enfants de courir d'une maison à une autre.
Il faut avoir souffert du manque des aliments les plus simples pour les apprécier ensuite à leur juste valeur.
La valeur n'attend pas le nombre des années.