Martine Pouchain

L'histoire de Dylan est très touchante, l'auteur s'attache à décrire les sentiments du jeune garçon avec beaucoup de justesse et de retenue. Un roman d'apprentissage assez rude dans lequel règne une violence psychologique malsaine mais qui permet aussi au personnage principal de prendre son envol, de s'échapper pour se (re)construire et entrouvrir la porte du passage vers l'âge adulte.
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Je viens de lire "Fugue majeur" de Martine POUCHAIN.





Ce livre raconte le parcours que fait Nini, une jeune fille de quinze ans, qui part à la recherche de sa grand-mère qui a fugué la veille de son anniversaire...



Le livre ne m'a pas beaucoup plu car Nini est triste pendant tout le livre et parle beaucoup trop de son ancien amoureux Léo, sauf quand elle retrouve sa grand-mère et quand elle rentre chez elle. Je trouve qu'il y a trop peu d'aventures quand elle part la retrouver. Mais sinon c'est un livre agréable à lire et on peut se plonger facilement dedans. Vous aurez plus de cent pages à dévorer !!!

Je recommande ce livre aux personnes qui n'aiment pas beaucoup l'aventure et qui aiment les petits livres !

Je pense que l'âge approprié est dix ans mais les adultes peuvent aussi le lire.



Pour vous donner envie de le dévorer voici un petit extrait :



« En apprenant qu'elle avait prémédité son départ, papa devint furieux.



Elle aurait pu me prévenir quand même !

C'est vrai qu'on a payé un taxi pour rien, a renchérie ma mère dont ce n'est pourtant pas la spécialité de faire des économies. Il faudrait peut-être décommander le chirurgien, a-t-elle ajouté, saisie par un accès de sens pratique. »



Chapitre 3, page 24.

J’ai longtemps été tentée par « Zelda la rouge » de Martine Pouchain, mais n’ai jamais eu l’occasion de le lire, je me lance donc avec Dylan Dubois !

Ce roman est divisé en trois parties, portant le nom des trois femmes qui vont permettre à Dylan de se construire.

Dylan a été envoyé en foyer le temps que son père, devenu alcoolique après avoir été quitté par Mona, la mère de Dylan, reprenne pied et cesse de boire. La première partie du roman, pas la plus joyeuse, nous raconte la sortie du foyer de Dylan. Celui-ci est très heureux de retrouver son père et veut donc faire tout ce qui est possible pour que son retour se passe bien, notamment avec la nouvelle petite amie de son père, Cynthia, et son fils, Pedro. Cependant, nous sommes ici sur le vrai cliché de la méchante belle-mère ! Celle-ci est manipulatrice, dépensière, elle confie Pedro à Dylan dès qu’elle en a l’occasion pour sortir avec ses amies… Nous détestons cette belle-mère tout au long du roman, même si par moment j’ai eu des doutes quand à la véracité de ce que nous raconte Dylan… D’ailleurs, certaines péripéties du roman m’ont parues un peu grosse… Cependant, j’ai essayé de faire abstraction de ce qui parait possible ou non car l’histoire est tout de même prenante ! En effet, on s’attache assez vite à Dylan, qui semble faire tout son possible pour le bonheur de son père. C’est un garçon rejeté, tout d’abord par sa mère lorsqu’il avait 13 ans, puis par ses camarades au lycée, et enfin éloigné par sa belle-mère. Suite à toutes ces épreuves, Dylan ne rêve que d’une chose : vivre seul, complètement autonome dans la forêt…

Après une première partie pleine de tensions, nous pouvons enfin respirer dans la deuxième partie du roman. Lorsque Dylan fuit son domicile, il se retrouve à arpenter des chemins de randonnée en dormant à la belle-étoile avec Rusty, son chien : cela lui permet de s’aérer et de réfléchir. Il voudrait en savoir un peu plus sur le départ de sa mère trois ans plus tôt et décide de partir à sa recherche… Dans cette partie, on sent que Dylan s’affirme, murît et fait ses propres choix grâce notamment aux personnes qu’il rencontre sur son chemin. Il se pose aussi beaucoup de questions sur l’amour mais aussi sur la sexualité (avec certains passages un peu osés…). Il se demande aussi ou se situe la frontière entre l’amitié et l’amour en pensant à Tobie, sa seule amie qui est aussi très présente dans le roman.

C’est un roman que j’ai au plaisir à découvrir, et Dylan est un personnage que l’on suit avec plaisir même si parfois ses réactions d’ados peuvent nous agacer… De plus, les chapitres sont très courts, et cela nous pousse toujours à lire un chapitre supplémentaire et nous arrivons très vite à la fin ! Cependant, cette fin est assez ouverte et arrive un peu trop rapidement à mon goût, j’aurai aimé passer un peu plus de temps avec Dylan.
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Ce livre raconte une superbe histoire, mais mystérieuse écrite par Martine Pouchain et illustrée par Sylvie Serprix.



Cette histoire parle d'un enfant qui a cinq ans. Mais son père ne veut pas le laisser jouer avec les autres enfants car des chiens errants, des ivrognes, des enfants des rues et tous les autres dangers menacent chaque jour.



Le livre m'a plu parce que l'histoire est assez triste, mais devient joyeuse et le joie d'un enfant me rend moi aussi joyeuse car ça me rappelle mon bonheur.



Je recommande ce livre à toutes les qui aiment les histoires qui finissent bien.

C'est un livre qui se dévore, à lire de toutes urgence, impossible de lâcher ce livre.

Mon avis: Je remercie tout d'abord les éditions Sarbacane pour ce magnifique partenariat ainsi que Roxanne pour l'envoi de ce roman . Comme toujours j'attendais ce livre avec une réelle impatience, les romans de chez Sarbacane sont toujours une agréable découverte mais celui-ci il faut dire que je l'attendais d'autant plus que Martine Pouchain m'en avait parlé un peu lorsque je l'avais rencontrée lors d'un salon. Étant originaire de ce coin, j'avais hâte de découvrir les aventures de ce jeune Dylan et je n'ai pas été déçue, ce livre est une réelle merveille et au fil du voyage de Dylan j'ai bien-sur reconnu quelques lieux que Martine Pouchain nous révélait et notamment le petit étang de Cerdon, étang du puits comme il s'appelle réellement et dont j'ai passé tous mes étés de petite fille puisque je suis née dans ce petit village du Loiret, je savais meme pas que quelqu'un le connaissait ce village... Bon j'arrête de raconter ma vie et passons à l'histoire. :)



Du coté de l'histoire: Dylan est un jeune homme proche de la nature, il a un rêve c'est de vivre dans la forêt plus tard, mais pour l'instant il revient chez son père après un an passé dans un foyer. Content de retrouver son père mais aussi son chien, Dylan va alors découvrir qu'il a maintenant une belle-mère,Cynthia mais aussi un tout jeune petit " frère" Pédro. Il s’aperçoit aussi que son chien Rusty est dans de mauvais draps puisqu'il ne peut plus rentrer dans la maison et qu'il passe ses journées attaché dans la cour, tout simplement parce que sa belle-mère ne supporte pas les animaux. Dylan va alors découvrir la réelle nature de Cynthia pas si accueillante et sympathique qu'il l'aurait pensé au départ mais surtout le jeune homme prend conscience que des sentiments aussi étranges que différents l'envahissent au sujet de cette femme, des sentiments de haine pour ce qu'elle fait subir à son chien, de colère pour les nombreuses disputes avec son père et les nombreuses manipulations qu'elle arrive à faire subir à sa famille, mais aussi il comprend bien vite qu'il éprouve du désir pour elle. Et puis un jour, après un évènement que je ne citerais pas bien-sur, il décide de partir avec pour seule compagnon, son chien, Rusty. Le jeune homme se met en tête de partir à pied à travers les chemins de GR, en direction de Vierzon pour tenter de retrouver sa mère qui les a abandonné lui et son père,trois ans auparavant.





Du coté de l'écriture: Mais quel bonheur de retrouver la plume de Martine Pouchain, elle est toujours aussi addictive, fluide et nous fait voyager avec son personnage, nous prenons un grand bol d'air frais à travers la campagne de notre douce France. j'ai adoré les rencontres que Dylan a pu faire tout au long de son périple et j'ai beaucoup aimé le voir évoluer psychologiquement, je l'ai trouvé très réfléchi et vraiment sympathique ce jeune homme. Ses rencontres nous ont montré également la solidarité de ces gens qu'il a pu côtoyer tout au long de sa traversée à travers les GR de campagne. J'ai vraiment trouvé que ce livre et cette histoire avaient une âme, une belle âme comme j'aime les découvrir, pour cela je remercie l'auteure car c'est très rare de lire des livres de cette valeur là.







En conclusion: J'ai tout aimé dans ce roman, l'histoire que j'ai trouvé peu banale, le personnage principal dont je me suis prise d'affection mais aussi tous ces personnages qui gravitent autours des rencontres faites au hasard de son chemin avec une petite pensée pour Gus que j'ai beaucoup apprécié. J'ai également bien aimé la petite Tobie que j'ai trouvé très attachante même si je l'avoue on ne l'a pas trop vu dans ce livre, un petit point négatif peut-être. Je n'oublierais pas non plus la sublime couverture, je la trouve tout simplement merveilleuse et reflétant à merveille l'histoire, je la trouve vraiment trop trop belle. Je conseille à toutes et tous ce livre, qui sort des sentiers battus oui bon elle était assez facile celle-ci, je m’excuse mais il fallait que je la place :) c'est un véritable coup de foudre que j'ai eu pour ce livre vraiment.

Si vous ne connaissez pas Martine Pouchain alors foncez et vous pouvez également découvrir mes chroniques de ses deux précédents Exprim' Ici ET Ici



Un grand merci à Martine Pouchain pour ce remarquable moment de pur bonheur et d'évasion et puis je suis extrêmement touchée que quelqu'un face un petit clin d’œil à mon petit village d'origine *-* et encore un grand merci aux éditions Sarbacane pour toujours nous offrir de si belles histoires et de si bons auteurs.
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Quand la mère de Dylan a quitté la maison, le paternel a viré alcoolique. Le jeune garçon est envoyé en foyer pour cause d’inaptitude parentale. Un an plus tard, il en ressort et retourne vivre avec son père. Sauf qu’il y a un petit changement qui s’appelle Cynthia et dont le papa est raide dingue. Pas de problème, Dylan est bien décidé à faire en sorte que tout se passe bien. Il ne se doute pas que sa belle-mère est du type carnassière manipulatrice. Les choses vont de mal en pis et finissent par dégénérer, obligeant l’adolescent à prendre le large avec son chien Rusty. Battant la campagne et la forêt, Dylan entame un véritable voyage initiatique.

On referme Dylan Dubois avec une sérieuse envie de verdure et de liberté. Si ce roman initiatique se focalise sur les questionnements adolescents, il parle à tous et incite à s’interroger sur ses choix. Qu’a t-on, finalement, véritablement choisi dans sa vie ? La suite sur Keskonlit.fr...
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Je l'ai trouvée drôle cette Camille. Et le titre est bien trouvé, on pouvait pas faire mieux. Dommage quand même, elle en rira plus tard elle aussi, faute d'en pleurer....

Habituellement, je suis peu attirée par le genre d'histoires publiées dans la tarantinesque collection Exprim', souvent trop trash à mon gout. C'est donc une très bonne surprise pour ce titre, dont j'ai aimé la précision stylistique, mais aussi les personnages attachants, dont la colocation colorée illumine une histoire qui aurait pu être sombre. Les parties racontées par Julie sont pleines de rage, celles de Zelda pleines d'optimisme et de tendresse, mais, loin de s'opposer, les deux soeurs se font écho et se complètent. J'ai particulièrement apprécié la façon dont le don de Julie est amené, sans fioritures, sans en rajouter. Un titre à retenir !
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j'ai lu le livre, mais au début l'histoire n'est pas plaissante, l'homme y est decris comme quel qu'un de cruel alors qu'à la fin du livre on voit que c'est un homme qui à du cœur

Zelda, 16 ans, est en fauteuil roulant depuis qu'un chauffard l'a renversé quand elle avait dix ans. Si la jeune fille a tourné la page et vit sa vie d'adolescente, sa soeur ainée, Julie, ne pense qu'à se venger. En colocation avec Jojo et Cathy, elles mènent une vie pas toujours facile mais joyeuse. Jusqu'à ce que Zelda rencontre Baptiste, ce qui pourrait changer bien des choses...



Roman prenant et facile à lire, avec beaucoup de fraicheur, malgré le thème plutôt grave. Le handicap est traité avec justesse, sans jamais tomber dans le pathos et les personnahes, cabossés par la vie mais hauts en couleur, sont particulièrement attachants. L'alternance des points de vue adopté par l'auteur permet un regard exhaustif sur le fil de l'histoire. Dommage cependant que la fin soit assez prévisible, ce qui entraine quelques longueurs dans le dernier tiers du roman.

Un récit coup de poing! Récit très court car il correspond à une lettre que la narratrice écrit en réponse à la lettre d'amour de Johnny qui s'est suicidé.

La jeune fille tente de comprendre ce qui a mené Johnny à commettre ce geste.

Un très beau texte sur le harcèlement scolaire, la différence et c'est si rapide à lire!



A partir de 14-15 ans

C'est la couverture qui m'a sauté aux yeux en premier, sans celle-ci, je crois que le titre ne m'aurait pas donné envie de lire le résumé et d'en savoir plus sur l'histoire.



Zelda a seize ans, jusque là, rien d'extraordinaire me direz-vous, mais Zelda n'est pas comme toutes les filles de son âge, non, elle est en fauteuil roulant depuis quelques années. Elle s'y est faite, alors que pour Julie, c'est totalement différent, elle se sent responsable de sa sœur et veut à tout prix que le coupable paie pour ce qu'il a fait.



On a le point de vue des deux sœurs, et j'ai trouvé très intéressant de voir ce qu'elles pensent chacune, Zelda la positive, la joyeuse, qui profite de la vie et Julie, celle qui broie du noir, qui se sacrifie pour les autres. On a un comportement, une manière de pensée totalement opposée.



Zelda est un personnage que j'ai adoré, sa bonne humeur, ses répliques donnent la pêche, elle nous communique sa joie de vivre.



J'ai par contre trouvé le personnage de Julie trop négatif, toujours de mauvaise humeur, et quand je lisais les chapitres qui lui étaient consacrés, je n'avais qu'une hâte : retrouver notre joyeuse Zelda.



L'histoire en elle-même n'est pas extraordinaire, c'est plutôt simple, j'avais même deviné assez rapidement le responsable de l'accident, mais j'ai aimé suivre ces deux sœurs dans une vie pas facile, où elles doivent jongler pour joindre les deux bouts et payer les factures qui tombent tous les mois
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Littérature médiévale, concours classes de 5eme 2013

Ce roman est intrigant et les personnages vivent plusieurs émotions fortes. La multitude de narrateurs donne des points de vue différents de l'histoire.

Edna est une jeune adolescente. Pour attirer l'attention, mais aussi pour susciter l'admiration de ses amis, elle vole à l'étalage : clé USB, chaussures ou n'importe quoi de pas trop volumineux. Et Edna prend goût à l'adrénaline que lui procure ces vols. Lorsqu'elle rencontre Gustave, le jeune photographe la met en garde : On finit toujours par se croire invincible à ce jeu-là.

Ce n'est pas le titre que j'ai le plus apprécie dans cette collection de récits courts destinés aux ados. Le sujet de départ est intéréssant mais j'ai eu du mal à accrocher à la suite de l'histoire, un peu invraisemblable.

Le livre « Traverser la nuit » de l’auteur Martine Pouchain sort aujourd’hui dans les librairies. Grâce à Sarbacane, je peux ainsi vous en faire la chronique à l’instant même. Selon moi, devriez-vous courir pour aller vous le procurer? Vous le saurez dans ce texte.



Il paraît, donc, aux éditions Sarbacane le 2 mai 2012 et il contient 224 pages. Il s’agit d’un roman policier. Cet auteur français a plus de 15 oeuvres à son actif dont « Chevalier B. » qui était l’un de ses cinq livres proposés pour le prix des lycéens allemand en 2009.



La première chose qui m’a frappé avec cette oeuvre est le style littéraire. En fait, j’ai eu peur de ne pas raffoler de la plume. J’ai en aversion l’utilisation du niveau familier dans les descriptions. J’aime mieux si ces mots « de tous les jours » sont confinés dans les conversations. Nous sommes devant une narration-héros, c’est-à-dire que Vilor raconte l’histoire comme s’il nous parlait. C’est l’aspect qui a le plus touché mon appréciation. J’aurai préféré une narration un peu plus soutenue.



L’autre point négatif se trouve dans les discussions. Les personnages ont un accent picard (de Picardie), qui m’est totalement inconnu. La prononciation est retranscrite. Il a parfois fallu que je reprenne la lecture d’une seule phrase et très tranquillement pour parvenir à capter ce qui se disait, et encore. Je n’ai su qu’à la fin, dans l’annexe, qu’une clarification de chaque expression picarde était expliquée. Une note placée au début spécifiant cette section aurait été appréciée.



Venons-en au positif! N’ayez crainte, il y en a. Nous sommes devant un roman policier et l’intrigue est très bien réussie. Je ne me suis douté du coupable que très tard dans la lecture. C’est là, la force du bouquin. Il s’agit d’une excellente utilisation de la forme de narration-héros. Ce procédé peut s’avérer judicieux, mais l’auteur l’exploite finement.



La lecture se fait assez légère et teintée d’humour. Les personnages ne laissent pas froids. J’ai, pour ma part, détesté Blanche qui est manipulatrice et imbue d’elle-même. Vilor, lui, est attachant quoique mystérieux. Cette noirceur dans sa vie devient de plus en plus présente.



Finalement,



Si vous aimez les polars et les suspenses et que vous n’avez cure des termes familiers utilisés dans la narration, ce roman est pour vous. 7 sur 10.



On aime : l’intrigue, la narration-héros, les personnages



On n’aime pas : le niveau familier dans la narration, les accents trop prononcés dans les conversations.
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Bud, est un jeune enfant habitant chez sa grand'ma indienne à Springfield, à pour voisin Sean Hopper,il tue les bêtes à l’abattoir. Un jour, sa copine Bonnie s'en alla marre de lui. Sean hopper qui ne l'aurait pas crut capable de faire sa décida d'aller se soûler au Black Swan, une fois sortie il enfila sa Thunderbird et eu un accident où il frôla la mort. A son réveil il n'était plus le même, il était devenu plus sympa mais personne ne semblait voir se changement a part Bud, puis Bonnie comprit aussi que Sean Hopper avait changé.



Ce livre montre que tout le monde peut changer mais les plus difficiles comme Sean Hopper. Le début est certes ennuyant mais une fois plongé dedans il se lit d'une traite. L'auteur explique bien chaque chose et les monologues de Sean Hopper sont intéressant comme sa les lecteurs peuvent savoir ce que pense Sean Hopper. Mais tout livre à son point faible et celui ci n'est pas épargné,le livre est beaucoup trop découpés. Malgré un seul point faible ce livre n'est pas à manquer



Prix littéraire 2012

Ne pas se fier à la couverture peu attrayante ! Le contenu est magnifique, dur mais tendre à la fois. Histoire d'une famille nombreuse entassée dans un HLM qui peine à joindre les deux bouts. Le narrateur extrêment touchant est un membre de la fratrie. Alors que la famille croule sous les dettes, le père songe à une idée sordide. Une leçon d'espoir, d'entraide et d'humilité.

Edna vole pour se prouver qu'elle existe, pour faire partie d'une famille et épater la galerie. Sorte de garçon manqué qui se cherche, elle croise sur son chemin Gustave, jeune photographe qui l'amène à baisser la garde et lui renvoie une image d'elle différente, plus vulnérable...

J'ai aimé le style percutant de l'auteure, les phrases s'enchainent, violentes, rythmées et rendent bien compte du mal être de l'héroine.

Malgré tout, j'ai trouvé le personnage un peu trop masculin dans le comportement et du coup, cela m'a freiné dans la lecture.

Il ressort de ce petit roman, une sorte de cri de rage, de chenille qui devient papillon.

Ce roman est en réalité une longue lettre que la narratrice envoie à Johnny. C’est sa réponse à la lettre d’amour que Johnny Beaumont lui a envoyé. Elle s’en serait bien passé de cette lettre, elle la perturbe beaucoup...

Il faut dire que Johnny n’a rien pour lui, moche, mal habillé et incapable d’aligner trois mots, il est même devenu le souffre-douleur de la classe.

Au long du roman, nous découvrirons la vie de Johnny et sa fin tragique. Pourtant, le style vivant, fort et moderne fait de ce court récit un cri de révolte et d’amour.

A lire dès 12 ans.