Nadine Monfils

Et voilà que, après Mémé Cornemuse qui m'a lassée, de plus en plus vulgaire à mon avis, la fine équipe du commissaire Léon dérape un peu trop aussi. Même sa mère déraille complètement, Irma est immonde, Rose pareil, pour ne pas parler des autres, même Babelutte est "sale". Seul ce brave commissaire Léon reste sobre dans son langage et son comportement, quoi que !!! J'ai eu beaucoup de mal à arriver jusqu'à la fin. Je ne sais pas si je terminerai la série. Dommage.

Dernier opus avec notre chère Mémé Cornemuse. C'est toujours aussi déjanté, elle vit une aventure rocambolesque après l'autre. Longue vie à toi Mémé.

Des nouvelles de qualité inégalé. J'en ai beaucoup apprécié certaines alors que d'autres m'ont moyennement intéressée.

Fidèle à elle-même, Nadine Monfils, se pose en maîtresse du polar léger. Plus qu'une enquête criminelle, c'est tout ce petit univers qui tourne autour du commissaire Léon que l'on retrouve avec plaisir. Sa mère, pénible à souhait, ses collègues, ses amis et sa prostituée attitrée et sans oublier Babelutte. Tout ce petit monde qui donne le sel de ce roman et qui en fait ce qu'il est justement, plaisant à lire, plein d'humour, particulier, je l'admets mais si on est trop "prude", on n'ouvre pas les romans de Nadine Monfils.

Les histoires sont vraiment glauques !!! Mais bon, comme l'ancienne édition, j'ai lu les nouvelles dans le désordre. C'est plus amusant !!

Le meilleur ouvrage de Nadine Monfils que j'ai lu.

Un humour complètement décalé, une langue crue. Le style est complètement différent de ce que j'ai l'habitude de lire. J'ai été un peu déçue par rapport au premier livre où Mémé Cornemuse apparait. Mais ça ne m'empêchera pas de lire la suite.

On y retrouve l'humour de Nadine Monfils pour mon plus grand bonheur.



Ecriture trash, rapide et efficace.



Même si il y a un peu d'horreur dans cette histoire, cela passe sans problème sous la plume de l'auteur.



Pauvre commissaire, il voit ses vacances bien méritées tourner au cauchemar, et c'en est drôle par moment, tant le récit est truffé de doses d’humour (parfois noir).



Le défilé des pages se fait à toute vitesse tant l'histoire coule d'elle-même. Plus on les tourne, plus c'est addictif.



Ce n'est pas mon premier livre de Nadine Monfils, mais ce ne sera pas le dernier.
Lien : http://les-lectures-de-lilly..

j'ai eu un peu de mal à lire le début mais après j'ai me suis mise à rire tellement c'était drôle et loufoque mais qu'est ce ça ma fait du bien

J'ai passé un très bon moment en lisant ce livre déjanté!

Le sosie d'Elvis Presley, Elvis Cadillac, est invité à Dives sur Mer en Normandie afin de célébrer l'enterrement d'un fan du king, Monsieur Maurice. Il part accompagné de sa chienne Priscilla arborant pour l'occasion une belle banane rose fluo.
En chemin, il prit un vieil auto-stoppeur qui lui laissa une étrange sensation : non seulement il lui donnait la chair de poule mais il empestait la naphtaline.
Le jour des funérailles, la seule personne présente était une vieille dame : Madame Hortense, voisine de Monsieur Maurice. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle déposa sur la tombe du mort un portrait de celui-ci : l'auto-stoppeur qui avait voyagé avec Elvis la veille !
Notre rocker apprit que peu de temps auparavant deux jeunes filles avaient été retrouvées l'une décapitée, l'autre éventrée.
Elvis s'improvise alors détective, cherchant à percer le mystère de cette personne inhumée qui n'avait aucune famille. En se rendant à son domicile, il découvrit un bouton de manchette en or... à qui pouvait-il appartenir ?
D'énigmes en passant par des disparitions inquiétantes, des meurtres, Elvis Cadillac qui finalement était bien plus à l'aise en charentaises qu'en Santiags, finit par découvrir l'auteur...e...? de ces étranges homicides.
Second roman de Nadine Monfils que je lis, premier de la série Elvis Cadillac, même bonheur que "les vacances d'un serial killer". Un humour noir, très drôle, un polar délirant.


Bof bof.

Au début l'écriture de Nadine Monfils était innovante et puis je me rends compte que c'est toujours un peu pareil.

Nestor Burma est invité par son ami Guy Marchand à venir assister au Festival du film fantastique de Bruxelles . À peine arrivé il rencontre la petite amie de Léo Straum , un jeune homme condamné pour le meurtre de ses parents et de sa soeur . Convaincue de son innocence elle demande l'aide de Nestor.

Il va accepter de l'aider et va se plonger dans l'histoire de cette famille en apparence si tranquille.



Quand j'ai appris que Nadine Monfils, l'une de mes auteures fétiches , allait signer un nouvel opus des "Nouvelles enquêtes de Nestor Burma" j'étais plus que ravie. J'avais hâte de découvrir la rencontre entre sa plume enlevée et poétique et le personnage de Nestor Burma .

Et après lecture je peux dire que je ne suis pas déçue.



Nestor Burma se retrouve donc à Bruxelles avec son ami Guy Marchand (ai-je besoin de vous rappeler que cet immense comédien a fait les beaux jours de ce personnage à la télévision ;) ) . Guy Marchand étant président du jury thriller au festival du film fantastique de Bruxelles c'est tout naturellement qu'il a embarqué avec moi son pote détective. L'occasion pour eux deux de passer de bons moments.

Mais à peine arrivé sur place Nestor se retrouve à enquêter sur une affaire qui a défrayé la chronique quelques années plus tôt. Léo Straum aurait assassiné toute sa famille et a été condamné a une lourde peine de prison. Sa petite amie compte donc sur Nestor pour faire toute la lumière sur cette affaire.

Et il va découvrir que les apparences sont encore une fois trompeuses et que la vérité se trouve parfois là où on ne l'attend pas.



Je ne vous en dit pas plus sur l'histoire mais je peux vous dire qu'elle est plus complexe qu'il n'y paraît au départ.



J'ai beaucoup aimé suivre Nestor au cours de ses pérégrinations bruxelloises . À ses côtés j'ai eu l'impression de découvrir vraiment Bruxelles, pas celui des cartes postales touristiques mais le vrai, l'humain, avec ses bons côtés mais aussi ses failles. Un Bruxelles résolument vivant, où il fait bon se promener au hasard de nos pas ( j'ai d'ailleurs noté quelques bonnes adresse citées par Nadine Monfils dans ce roman , on ne sait jamais cela peut toujours servir ;) ).



On part à la rencontre de personnages qui ne sont pas toujours tels qu'ils semblent être. Nestor va devoir gratter sous la surface des apparences pour faire émerger la vérité. Une vérité parfois bien sombre, chargée d'émotions intenses et parfois contradictions. Ici personne n'est parfait , loin de là, chacun porte des failles qui peuvent parfois le conduire sur une mauvaise voie.



Ce qui fait ici la force de ce roman c'est la plume de Nadine Monfils, une plume enlevée, pleine d'humour et d'une certaine poésie. Ses mots nous entraînent dans leur sillage, nous faisant oublier le reste autour. Nadine Monfils peut tout se permettre car elle ne tombe jamais à côté, chaque mot fait mouche, sans exception.



Chacun de ses nouveaux romans est une petite pépite et celui ne déroge pas à ma règle.

Bien qu'il soit un peu court à mon goût il est plus que réussit.

De plus je dois ajouter que les références musicales qui émaillent ce roman apportent un vrai plus à l'histoire et à ce qu'elle veut nous dire.



Un polar savoureux.
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La nuit des coquelicots est un roman où l’humour, certes toujours présent, est mis de côté afin de faire la lumière sur les meurtres ainsi que l’enquête policière. C’est donc un tome moins drôle et plus trash mais il reste, pour moi, tout aussi efficace. La plume de l’auteure est également beaucoup plus crue dans ce tome-ci, donc âmes sensibles s’abstenir ! J’ai personnellement préféré ce deuxième tome. Je vous conseille cette saga si vous souhaitez sortir du polar traditionnel. C’est drôle, addictif, attrayant et gore à la fois. Moi, en tout cas, Nadine Monfils ne cessera pas de m’étonner et j’ai hâte de me plonger dans le troisième tome.
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Une petite intrigue très rock’n roll. Quel bon moment de lecture !

On passera rapidement sur le contenu sexiste du livre... maman fait des bisous et papa parle en homme à son fiston et trouve des solutions. Peut-être existe-t-il le pendant "masculin" de cet ouvrage, mais j'ai des doutes. Un papa ne peut-il faire des bisous à rendre fou son gamin? Ou sa fille? Mystère et boule de gomme.



Toujours est-il que ces manifestations débordantes de bisous finissent par gaver l'enfant. La solution? Je vous laisse le soin de la découvrir. Personnellement, c'est là que j'ai décroché. Autant j'aimais la douce poésie décalée, l'humour, la tendresse qui se dégageaient du livre, autant l'entourloupe finale me laisse froid. Offrir un clebs à maman pour qu'elle puisse déverser sur cette boule de poils son trop-plein d'affection "bisoutoire", c'est une fin en eau-de-boudin ou je ne m'y connais pas...

Nadine Monfils a bien réussi à perpétuer le personnage de Nestor Burma dans les nouvelles enquêtes de Nestor Burma "crimes dans les Marolles".

C'est une enquête qui se passe à Bruxelles, où Nestor Burma accompagne son ami Guy Marchand, à un festival. Il est alors alpagué par une femme pour innocenter son ami, condamné pour avoir assassiner ses parents et sa soeur. Nestor va aller de découvertes en découvertes pour découvrir le fin mot de cette histoire.

Ce roman de 175 pages, joue bien son rôle, et c'est une bonne enquête, les pages défilent et même si je ne suis pas fan de ce personnage de Nestor, c'est sympatique à lire.



Merci à @frenchpulp pour l'envoi de ce livre, j'ai hâte de lire celui de Jacques Saussey qui sort en mai 2019.

Encore une galerie de personnages hauts en couleurs! Irma la "travelo ménagère" qui rencontre sa fille de 18 ans, des meurtres de jeunes femmes enterrées au pied de tombes de poètes, un commissaire moyen suivi par son hideux petit chien. Tout un bistro plein de braves gens très ordinaires. Des disparitions, un nain camelot qui enseigne la magie noire...Humour, humour noir, détails gores parfois mais des personnages qui ne laissent pas indifférents. Comme toujours j'ai beaucoup aimé!

Mes Très Chers Vous,



En 1991 Nadine Monfils écrivait un roman intitulé La vieille folle.



La vieille folle, c’est Henriette, une Tatie Danièle, mais en pire, en bien pire… Son but dans la vie, excusez-moi du peu, c’est juste faire chier le monde… le premier à qui elle pourrit la vie, c’est son mari, bon d’accord il est du genre libidineux avec Cécile, sa petite-fille, mais même une fois mort, elle continue de le faire chier.



C’est drôle, enlevé, souvent grossier, mais jamais vulgaire, mais surtout c’est la naissance de Mémé Cornemuse. Nadine commençait, s’en le savoir, à dresser doucement le portrait de sa future héroïne. L’idée était déjà dans les méandres du cerveau malade de l’artiste. Oui, j’ai bien dit malade, pour écrire ce qu’elle écrit, on ne peut posséder un esprit vraiment sain, et c’est tant mieux !



Pour trouver ce roman, vous allez ramer, il n’est plus édité, vous reste les brocantes et autres bouquinisteS en attendant, parce que si vous aimez Mémé Cornemuse et Elvis Cadillac, faut le lire, ce sont les prémices…



C’est un peu comme si vous trouviez un croquis de Picasso de la fin des années 20 qui serait l’ébauche de Guernica…



Stanislas Petrosky
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