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Citations de Pascal Ruter (332)


Ce qu'il y a de bath quand vous lâchez n'importe quoi pour vous tirer d'affaire, c'est qu'il y a toujours quelqu'un pour comprendre ce que vous n'aviez jamais pensé à dire.  (p.163)
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J'ai remarqué que c'est souvent par comparaison que les erreurs deviennent des erreurs.  (p.103)
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La litterature me porte la poisse
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La clé est protégée de façon particulière. Et par quelqu'un qui touchait son caramel.
— Bizarre, pour des photos de famille, lance Roberto.
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- En France, le loup avait presque totalement disparu. Mais, depuis quelques années, il est revenu. On compte environ 360 individus. Cependant, le loup est mal accepté par les bergers, qui craignent pour leurs troupeaux.
Je pense à ma petite sœur Julia et je me dis que le loup continue à susciter toutes sortes de terreurs ancestrales. Je me promets de lui lire « Croc-Blanc », un de mes romans préférés, qui raconte une très belle histoire d’amitié entre un homme et un loup.
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-Au moins, avec eux, on sait à quoi s'en tenir. Ce qui est autorisé et ce qui ne l'est pas. Obéir, c'est reposant.
-Et puis ça évite de réfléchir, dit ma mère en souriant.
- Exactement. Réfléchir, c'est pas bon.
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Autour de nous tout s'est brutalement arrêté. Plus de sauts. Plus de danse. Plus de cris. Les accordéons sont muets, les sourires figés, la liesse morte. Seul le feu crépite tragiquement et jette des dernières flammèches dans le silence de cette fête agonisante.
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- La forêt a été détruite pour être remplacée par des palmiers qui produiront de l’huile.
Nous avançons dans ce désolant désert. Il ne reste plus de cette fabuleuse forêt que quelques souches mortes. Soudain, Ava pousse un petit cri et porte sa main devant sa bouche. Sous nos yeux, allongée sur le dos, se trouve une créature rousse que nous reconnaissons bien. L’orang-outan est immobile. Son crâne porte une plaie.
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Les poètes, ils ont leur langage en costume et cravate, c'est pas le langage de tous les jours en survêtement.
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Si du moins on peut ètre libre quelque part. On est toujours un peu prisonnier. Quand ce n'est pas des autres, c'est de soi. Et de ses souvenirs. p237
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Il y a quelque chose qui décidément ne lui revient pas dans cette affaire. Peut-être parce qu'il ne s'agit pas vraiment d'une enquête. Dans la plupart des affaires, on sait au moins qui on poursuit et pourquoi. Il y a un ou plusieurs coupables, une ou plusieurs victimes, un motif à peu près clair. Globalement ça fonctionne comme ça. Mais là.... Les rôles sont curieusement distribués. Ni vrais coupables, ni vraies victimes.
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C'est même votre seule qualité : la régularité. Avec vous aucune surprise, en été comme en hiver on sait à quoi s'attendre. Nous sommes devenus une sort de légende. Nous avons atteint une certaine célébrité. On vient voir nos matchs comme on va voir un spectacle de clowns.
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Les bonnes résolutions fusent. Mieux bosser. Moins fumer. Etre sympa avec maman. Etre moins con avec papa. Changer. Ne pas changer.
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[…] il reconnaît tout de suite l'odeur du métro, celle dont il est impossible de séparer la graisse, le goudron, le caoutchouc, la poussière, l'humidité, la solitude, la foule, l'indifférence, tout ça mélangé, l'odeur de la ville qui prend aux narines, aux tripes, qui attrape sa mémoire. Les gens ne se parlent pas, se laissent transporter docilement, les visages multipliés se frôlent, il n'y a plus de frontières, les corps se touchent, entrent par grappes, s'écrasent dans un bruit d'habits froissés, le ressac les jette hors des rames, ils en sortent en grosses vagues épuisées.
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C'était peut-être le champion du monde des andouilles mais il lui restait suffisamment d'esprit pour comprendre qu'il venait de se faire avoir.
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En fait, les hommes préhistoriques, ils peignaient leur garde-manger ! Tu imagines, moi, si je peignais mes yaourts et mes Vache qui rit sur le mur de ma chambre !
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- Vous avez entendu ? chuchota Yoyo.
- Quoi ? demanda Max.
- Le silence.
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Elle se demande pourquoi toutes les recommandations lui semblaient si pénibles au collège, alors qu'elles lui paraissent naturelles à la patinoire. Elle connaît la réponse : le patinage est sa passion tandis que le collège est une vraie corvée.
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Il n'avait pas tout lu, c'est sûr, mais quel secours attendre des livres ? Aucune lecture ne pourrait venir à son aide, lui dire quoi faire, les livres ne sont rien face aux malheurs de l'existence.
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- Clandestins, réfugiés, migrants, j'en sais rien, question de vocabulaire. Des pauvres gars, en tout cas.
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