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Critiques de Philip Le Roy (383)
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Marilyn X

Je suis fasciné par Marilyn. Depuis toujours.



Par son mythe.



La femme et le mystère. le glamour et l'obscurité. La force et la fragilité.



La couverture de l'ouvrage de Philippe m'attire alors inexorablement.



Le livre débute de nos jours, lorsque le narrateur et sa femme se perdent sur une route américaine. Ils vont finir par découvrir, dans les restes d'un incendie des carnets calcinés.



Sur ces carnets, écrits par un mystérieux inconnu, les plus folles des révélations sur Marilyn Monroe.



Je n'ai pas pu le lâcher. Dans ce roman, il faut bien le souligner, l'auteur offre une nouvelle théorie sur la disparation de la star que je ne dévoilerai pas ici mais qui ne manque pas de piquant.



Ayant lu de nombreuses biographies sur l'icône du cinéma, j'ai trouvé avec ce livre un roman passionnant et très bien documenté. L'intérêt de ce drôle de livre étant que le récit colle parfaitement à l'existence de Marilyn Monroe. Les éléments exposés ici paraissent alors complètement crédibles et s'approchent de théories réellement existantes.



Je découvre ici une lecture captivante et un auteur qui semble l'être tout autant ! Chouette alors !!



On se perd entre fiction et réalité, entre les différentes personnalités de Marilyn. On se perd entre roman noir et biographie non autorisée. On se perd oui mais quel plaisir pour peu qu'on s'intéresse au destin de l'actrice la plus connue au monde !!!


Lien : https://labibliothequedejuju..
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Le neuvième naufragé

Une petite croisière entre amis Facebook, ça vous tente ?



Quatre garçons et cinq filles de nationalités différentes se sont liés d'amitié sur le réseau social. Ces célibataires pré-trentenaires passionnés de voile et de voyage échangent sur leur groupe « Full Sun Party » afin d'organiser une croisière.

Les neufs internautes se rencontrent à Palma de Majorque où ils ont loué un ketch le « Spanish Queen ».

Mais la croisière de rêve fini en enfer: le 6e jour, le voilier échoue sur un îlot avant de brûler pour lancer un SOS.

L'un des passagers est porté disparu, probablement noyé au cours du naufrage.

Mais ce n'est pas l'avis d'Eva Velasquez, une psycho-criminologue d'Interpol chargée d'interroger les rescapés.

Ils sont alors tous suspectés d'avoir tué leur camarade.

Eva comprendra trop tard qu'elle n'est qu'une pièce dans un puzzle machiavélique.



Moi qui adore les huis-clos, j'ai pris un énorme plaisir à lire cette histoire! Elle m'a directement fait penser aux Dix petits nègres d'Agatha Christie en version plus moderne.

Les personnages sont bien développés. Chacun des naufragés possède des traits de personnalité atypiques, on ne les confond donc pas malgré leur nombre.

On suit le personnage d'Eva qui enquête en interrogeant les naufragés chacun à leur tour.

L'auteur alterne les chapitres entre les scènes d'interrogatoires et un retour sur ce qu'il s'est réellement passé sur le voilier à travers les témoignages.

Chacun raconte les faits avec son point de vue et le lecteur va de surprise en surprise.

L'ambiance est tendue d'un côté comme de l'autre, car on jongle entre la tension des interrogatoires qui ont lieu dans une cabane sur l'île déserte où ils ont échoués alors qu'une tempête est imminente, et de l'autre côté, on est sur le voilier en pleine mer en suspectant un meurtrier parmi le groupe.

On a en réalité affaire à deux huis-clos en des temps différents.

Le scénario se dessine peu à peu depuis leurs rencontres sur Facebook, en passant par le départ du « Spanish Queen », jusqu'à l'arrivée de la police sur l'île.

Au fil de l'histoire, on découvre les affinités et les liens qui unissent certains des personnages. On découvre également les nombreuses zones d'ombre de leur passé... après le virtuel, place au réel.

Malgré l'attitude détestable de Dorian, ce personnage m'a fait sourire plus d'une fois tant son cynisme est accentué.

J'ai beaucoup aimé Paco et Damien pour leur caractère affirmé et protecteur avec le groupe.

On suspecte les naufragés à tour de rôle sans deviner ce qui se trame. Le dénouement est surprenant et inattendu.

Le rythme de l'histoire est dynamique notamment grâce à des chapitres courts et de nombreux dialogues.



Philip le Roy est un très bon auteur que je découvre grâce à l'opération Masse Critique, alors je remercie Babelio et les éditions du Rocher pour ce livre.

Merci pour la petite lettre des éditions qui accompagnait l'ouvrage. C'est toujours agréable lorsqu'on nous souhaite une très bonne lecture et que ce souhait est réalisé!
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Dans la maison

Organiser une soirée en groupe pour s’effrayer volontairement.

Plutôt sympa comme idée !

Et on peut s’attendre au pire avec la bande des huit, ces lycéens à l’imagination débordante.



C’est dans une grande maison isolée qu’ils vont passer une nuit entière à se faire frissonner de peur.

Mais pas sûr que la situation soit maîtrisée jusqu’au bout...



L’histoire commence par la fin où on comprend qu’un drame est survenu.

L’auteur fait alors une analepse en retraçant le déroulement des faits.

Dans ce huis-clos, on fait tout d’abord connaissance avec chacun des membres de la bande.

J’ai trouvé les personnages un peu stéréotypés, mais c’est en même temps ce qui permet de bien les différencier.

On se laisse facilement emporter par l’histoire.

Philip Le Roy cite de nombreuses références, que ce soit sur des films d’horreur, des œuvres d’artistes contemporains, ou sur des lieux insolites où le paranormal s’est invité... ces idées s’inscrivent parfaitement dans le récit et donnent une touche de réalisme à l’histoire.



Chacun des jeunes s’enivre et on est très vite pris au jeu entre les comportements inquiétants de certains, les mythes et les légendes urbaines qui font surface, la séance de ouija, les disparitions... y a-t-il un inconnu qui rôde dans la maison ?

L’atmosphère devient plus pesante au fil des pages avec les mauvaises blagues qui s’enchaînent.

Certaines chutes devenaient selon moi un peu répétitives par moment. Mais l’histoire reste cependant captivante puisque les rebondissements sont quant à eux toujours différents.

Par contre, la fin m’a un peu déçue car je m’y attendais en partie.



Un roman divertissant et plaisant à lire. À recommander aux adolescents qui pourraient facilement s’identifier et qui chercheraient à se faire une petite frayeur.
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Dans la maison

Une maison isolée et huit adolescents qui ont décidé de passer la nuit à boire et à se faire peur.

Ca pourrait être un début bien banal et pourtant il n’est pas mal du tout ce roman pour ados, même pour l’amatrice de romans d’épouvante que je suis.

L’originalité c’est que ces lycéens sont tous dans une section d’arts appliqués et que cela aura une incidence sur l’histoire.

Qui réussira à terroriser le plus les autres ?

Qui aura été le plus original dans sa mise en scène ?

D’autant que la maison est bien sûr construite sur un site connu pour ses phénomènes inexpliqués.

J’ai bien aimé la montée en puissance du suspense même si les ados ne m’ont pas semblé très sympathiques mais bon, ce sont des ados normaux avec tous leurs travers, leurs sensibilités propres et leurs petits défauts, plein de prétention et d’esbroufe, comme on peut l’être à 16 -17 ans.

Une très belle surprise.

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1, 2, 3, nous irons au bois

1, 2, 3, nous irons au bois... Si vous sentez venir le retour pas facile à écrire, vous voyez juste, parce que j'ai du mal à catégoriser ce livre. Je l'ai choisi au pif, car ne sachant pour lequel opter, j'ai pris le premier de la liste alphabétique de ma PAL, dans laquelle il croupissait d'ailleurs depuis sa sortie.

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Ce que je n'avais pas vu, c'est qu'il est classé en littérature jeunesse. L'éditeur dit à partir de 12 ans. En tout cas, je ne lis jamais de littérature jeunesse, sauf quand je tombe dessus par hasard sous une frite.

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Mais passons à l'histoire proprement dite. Nous faisons d'entrée connaissance avec Fanny, qui révise son bac sans perdre de vue son iPhone, comme tous les ado, et alors qu'elle postait un selfie de "la fille super sérieuse en pleines révisions", elle tombe sur une vidéo qui attire immédiatement son attention.

Il reste quelques jours pour envoyer un petit film de présentation à une société qui organise un jeu au titre évocateur : "NE REVIENS PAS".

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Une dizaine d'ado lâchés séparément en mode survival dans une forêt hantée, où des surprises leur sont réservées, et pas que des bonnes.

Le gagnant, à savoir celui qui tiendra le plus longtemps dans ladite forêt, se verra offrir une coquette somme.

De plus, l'aventure sera filmée puis diffusée par la production, donc riche et vedette en même temps, notre petite Fanny s'empresse de proposer sa candidature.

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Je vous passe les détails de la sélection des candidats et nous suivons ensuite ces jeunes dans leurs pérégrinations plus ou moins terrifiantes, parce qu'en plus de se retrouver seuls sans aucun moyen de communiquer avec le monde extérieur, il leur a été dit que chaque concurrent pouvait entreprendre toute action visant à empêcher les autres de gagner.

Il y aurait même déjà eu des morts dans cette forêt...

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Voilà donc nos apprentis aventuriers livrés à eux-mêmes et je dois dire que si j'étais très facilement entrée dans le livre, il y a eu un moment où j'ai commencé à m'ennuyer, puisque vers le tiers du livre, il ne se passait plus grand-chose de très palpitant à mon goût.

C'est là que je me suis dit que c'était sympa pour les gamins mais pas assez épicé pour moi.

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Mais je me suis accrochée et l'effet "mou du bout" a été d'assez courte durée puisque tout s'est accéléré à un rythme effrené et j'ai englouti la seconde moitié du livre à la vitesse grand V.

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Je pourrais donc dire qu'au final, j'ai vraiment apprécié ma lecture.

Les mots tombent juste, il est vraiment bien écrit, aussi bien pour des adultes que pour le public cible.

Les chapitres très courts émaillés de très nombreux dialogues apportent justement ce rythme dont je parle plus haut.

Les personnages sont parfaitement décrits et leur psychologie décortiquée au point qu'on s'attache à tous sans exception.

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Des rebondissements, du suspense, quelques bribes d'humour, souvent apportées par notre petite Fanny qui a un don pour trouver la saillie adéquate quel que soit le contexte, du mystère...

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Voilà pour les amateurs de littérature d'aventure, mais l'auteur va bien plus profond puisqu'au final, son thème c'est le cyber-harcèlement.

Et je dois dire qu'il est admirablement bien traité. Nous sommes derrière notre écran, à dire des choses dont on ne peut absolument pas mesurer l'impact sur les autres.

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Même s'il n'est pas forcément question de harcèlement, on sait tous qu'entre ce qu'on écrit et ce que les autres lisent, il peut y avoir une marge qui entraîne des quiproquos. On dit souvent qu'on est responsable de ce qu'on dit mais pas de ce que l'autre lit et interprète... et tout écrit est sujet à interprétation.

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Voilà, je n'ai plus rien à ajouter et j'espère avoir réussi à exprimer mon ressenti sans trop spoiler.

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Ah si, j'ajouterai quand même que la fin m'a scotchée.

Je ne l'ai absolument pas vue venir. En gros, je me retrouvais avec un bouquin sur lequel je pensais avoir un sentiment mitigé, absolument pas à cause du livre mais parce qu'à mes yeux je n'étais pas la cible du tout, et me suis aperçue que plus j'avançais dans l'histoire et après l'avoir fini, en fait je l'ai vraiment beaucoup aimé.

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Amateurs de thrillers qui font peur mais pas trop, 1, 2, 3, nous irons au bois devrait vous séduire.

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1, 2, 3, nous irons au bois

Alors oui, les Editions Rageot sont spécialisées dans les livres jeunesse. Mais pourtant, j’ai emprunté ce livre à ma bibliothèque, dans la section « Adultes » et en plus, sa quatrième de couverture m’a fait de l’oeil.



Les histoires qui font peur j’adore ça! Malgré que ce livre paru chez Rageot ne doit absolu-ment pas vous influencer négativement. J’ai été prise dans sa lecture dès les premières pages et je n’ai pas eu l’impression de lire un livre qui ne pourrait pas l’être par des adultes (même si je reste une grande enfant parfois, je l’admets).



Ce huit-clos dans une forêt mystérieuse m’a directement captivée. Les références cinématographiques et littéraires sont nombreuses (ce qui pourra permettre à vos chères têtes blondes d’en apprendre plus par la même occlusion).



Le suspens est distillé de la même façon qu’il le serait dans un thriller horrifique. Franchement, l’auteur m’a bien surprise et pourtant, j’ai déjà fait un gros bout de chemin en littérature noire.



Bref, vous l’aurez compris, j’ai beaucoup aimé cette lecture. En plus, la critique sous-jacente de cette société hyper-connectée et encore plus pour les adolescents est bien construite sans tomber dans le discours trop facile.



Si je devais mettre un point négatif est certes un élément de la toute fin mais il n’a pas été si conséquent au point de venir gâcher le plaisir ressenti au reste de ma lecture !
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Marilyn X

Je ne peux pas dire que j'ai aimé ce roman, je n'ai pas vu l'intérêt d'écrire une telle histoire ...

Le pitch tout d'abord : un couple de Français roulant sur la mythique route 66, se perd ( comme David Vincent dans la série Les envahisseurs ), tombe sur une maison en train de bruler, trouve un cadavre carbonisé et des cahiers /journaux intimes . Sur la route qui ( ils l'espèrent ), les amènera vers un shériff, ils lisent ces cahiers et s'aperçoivent que l'auteur connaissait très bien Marilyn Monroe, et qu'il pourrait y avoir une troisième version de sa mort ... (Après la version officielle du suicide, et la version officieuse de l'assassinat ) .



En ce qui concerne l'histoire , cela m'a fait penser à un délire de potes qui auraient un peu trop fumé ...Des potes amoureux des mythes américains (on croise dans ce roman , outre David Vincent , la route 66, des Indiens, et forcément la mafia, les Kennedy ) .

Cela n'est pas à mon sens un" vrai roman ", et surtout pas un thriller comme il est annoncé , mais plutôt un sujet de type "écriture d'invention ", sur la mort de Marilyn ...

Si le point de départ du délire est hautement irréaliste , la suite ne manque pas d'imagination , je dois le reconnaitre. Mais l' histoire manque de force et de "corps " . Je n'ai pas adhéré pour plusieurs raisons ...

En premier , je me suis demandé pourquoi l'auteur s'était "appuyé" sur Marilyn Monroe , il aurait pu écrire la même histoire sur une actrice iconique ressemblant à Norma Jean , mais inventée de toute pièce .

[ Je pense par exemple , à l'excellent film "Fedora" de Billy Wilder (avec Marthe Keller ) qui s'inspire du mythe de la disparition volontaire , médiatique de Greta Garbo . ]

Si le propos est de nous faire partager un moment avec cette actrice, je préfère les vraies biographies, documentées qui ne s'écartent pas du réel ..

Si comme moi, vous avez beaucoup lu sur le sujet, vous n'apprendrez rien , pour les autres , cela peut vous donner envie d'aller voir plus loin ...

Philip Le Roy ne montre qu'un aspect de cette célébrité, que les moments trashs , il n'y a pas eu que cela .

L'auteur se permet de décrire en détail, un viol collectif perpétré par la mafia , sous la complicité de Sinatra ,sur Marilyn .

[Euh...il y était ? ??? . La plupart des journalistes se permettent d'évoquer, de supputer ...]

Je crois que c'est cela qui m'a le plus dérangé avec ce type d'écriture où l'on prend une célébrité dont on imagine la vie , la mort , c'est qu'un individu se permette sous prétexte de liberté artistique , des interprétations et broderies sur quelqu'un qu'il n'a jamais connu, et qui n'a jamais donné son accord !

L'auteur critique les charognards , les profiteurs autours de Marilyn, mais que fait-il lui même ? Son livre se serait-il vendu sans le prénom : Marilyn ? Qui peut prétendre savoir si Marilyn aurait été d'accord pour qu'on invente sa mort ... Il y a la dedans, un non-respect de la vie privée, de la mort, de l'image , des sentiments d'autrui qui me heurte ...

Si le propos de Philip Le Roy était d'écrire un thriller, il est trop court ... et s'il s'agit d'un hommage , il y a mieux , moins superficiel et plus complet. Enfin sachez qu'à chaque fois que vous voyez une image de Marilyn, les droit et royalties sont versés à la seconde femme de Lee Strasberg (le professeur de théâtre de MM ) ; seconde femme qui n'a jamais connu Marilyn , ni fait quoi que ce soit pour elle mais qui empoche chaque année des millions .

Marilyn, où un mythe exploité et rentabilisé jusqu' après la mort ...
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Le neuvième naufragé

Un huis-clos, sur un bateau... et neuf pseudo matelots

qui se sont rencontrés sur des réseaux sociaux.

Quand un des neuf perd le ciboulot,

le joli voilier va prendre l’eau...

et échoue sur un volcanique îlot.

Or, sur les neuf qui avaient navigué

seulement huit survivent comme naufragés,

le neuvième, lui, s’est calciné.

Une criminologue, sur l’île, est alors dépêchée

afin de trancher entre qui a menti ou... machiné.



Cette criminologue, Eva, physiquement aussi flamboyante que humainement attachante (en ce qui me concerne, et ce n’était pas difficile puisque tous les autres personnages, a une exception près, appartenaient à cette catégorie de gens que je préfère éviter dans l’IRL)... Eva donc, subodore rapidement une manipulation machiavélique mais elle sera, autant que le lecteur, ballotté entre certitudes instinctives et doutes insinuants.



Quarante ans de lecture de polars m’ont permis de voir venir la fin sans réelle surprise et le lecteur concentré remarquera sûrement -tout comme moi- l’évidence de certains faits qui amèneront au « Qui ».

Je connaissais également la devinette (ainsi que la réponse la plus correcte) sur les ramoneurs, tirée du Talmud. Je la racontais déjà aux enfants des CM2 et il y avait des élèves plus perspicaces que certains flics dans ce livre ^^



Mais j’ai surtout apprécié l’épilogue de ce thriller qui soulève des questions sur les sentiments qu’on puisse éprouver et capables de balayer notre « bon sens moral » (ou éthique) si cher à notre société... naufragée.
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Dans la maison

Je remercie énormément Rageot éditeur pour l'envoi, via net galley et en avant première, du roman pour adolescents : Dans la maison de Philip Le Roy.

Huit lycéens d’une section Arts Appliqués ont l’habitude de faire la fête le samedi soir dans une maison de campagne isolée.

Pour changer, l’un d’eux propose d’organiser une soirée frissons. Le but du jeu : effrayer les autres, et les faire boire.

Mais avec des ados aussi créatifs, les bonnes blagues laissent bientôt la place à des mises en scène angoissantes. L’ambiance devient pesante. Et quand un orage éclate, le groupe se retrouve coupé du monde.

Bientôt, des bruits étranges retentissent dans la maison, des pierres surgissent de nulle part, un garçon disparaît, puis une fille… La soirée bascule dans un huis clos horrifique.

Dans la maison est un excellent roman pour les adolescents.. et leurs parents :) Je suis assez trouillarde et je vous assure que j'ai sursauté plus d'une fois lors de ma lecture ! Certaines scènes font vraiment peur, il vaut mieux éviter de le lire seule chez soi, au calme ;)

Philip Le Roy a une sacré imagination, et j'ai trouvé ça très judicieux qu'il émaille notre lecture de références cinématographiques et musicales que les adolescents peuvent connaître. C'est crédible car on a là des adolescents qui ont un langage... d'adolescents :) Chacun d'eux à sa personnalité, son caractère, c'est parfois un peu cliché et on sent bien que c'est fait exprès puisque parfois les ados se moquent d'eux même et de leur groupe.

C'est très bien écrit, très bien ficelé, et l'ensemble donne un excellent roman pour les adolescents et jeunes adultes.

Je me suis régalée avec Dans la maison, à qui je mets un énorme cinq étoiles :)
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Dans la maison

« Dans la maison » avait été une des lectures d’été de mon fils et il avait apprécié ce roman. L’argument m’intriguait alors j’ai eu envie de lire ce bouquin. Je comprends tout à fait que ce roman ait plu à mon fils mais je ressors un peu mitigée de ma lecture.



« Dans la maison » a tout pour plaire aux adolescents amateurs de films d’horreur. Tout d’abord, il met en scène un groupe d’adolescents un peu en marge, du coup l’identification fonctionne à plein pour un lecteur adolescent. Ensuite, le point de départ a de quoi séduire en promettant un récit plein de suspense et réservant son lot de passages effrayants. Enfin, le roman est très référentiel et cite nombre de films d’horreur. Les ados férus de films d’horreur seront donc ravis de saisir ces références, l’auteur créant ainsi une connivence avec son jeune lecteur. Il faut bien reconnaitre que « dans la maison » est diablement efficace. C’est un page-turner qui se lit tout seul. C’est très ludique et on a envie de savoir le fin mot de l’histoire, le suspense est bien présent. Mais, je reste tout de même mitigée. Si l’intrigue est bien menée, le roman ne bénéficie pas d’une écriture séduisante. J’ai trouvé le style très plat, assez pauvre, trop fonctionnel. Il y a énormément de dialogues et très peu de passages descriptifs en dehors des scènes d’angoisse. Ainsi, j’ai trouvé que le décor restait à l’état d’esquisse. Je trouve que ce manque de descriptions amoindrit l’effet d’immersion. Je ne suis jamais vraiment rentrée dans le récit, je suis restée en dehors, très passive. De plus, si je conçois tout à fait que les personnages puissent plaire à des ados, je les trouve néanmoins trop caricaturaux. On est vraiment dans les stéréotypes. Et si les archétypes, c’est bien, les stéréotypes, c’est mal.



Bref, j’ai passé un bon moment avec ce bouquin mais il ne va pas me marquer, c’est certain. Je pense que je l’aurai oublié d’ici quelques semaines. Ceci dit, ça pourrait bien plaire à vos ados.



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Dans la maison

Efficace, voilà l'adjectif qui qualifie le mieux ce thriller. L'histoire commence par la fin et l'on sait que les choses vont déraper, reste à comprendre ce qui a pu se passer.



J'ai eu l'impression de visionner un film de série B : des ados un brin stéréotypés, une maison isolée, de l'orage, une atmosphère propice au fantastique et à l'angoisse.

L'auteur joue avec les codes des films d'horreur en glissant beaucoup de références. Il aborde aussi (trop ?) rapidement des thèmes plus sérieux tels que la radicalisation, le regard porté sur la différence, l'homophobie. L'intention est louable mais les sujets juste survolés.

A déplorer tout de même des rebondissements un peu répétitifs et une fin qui, quoique logique, me semble peu plausible.



Un roman à la plume accrocheuse dont on a envie de connaitre la fin et qui permet de passer un moment divertissant.
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Qui veut gagner le Paradis ?

Indignée. Dégoûtée. Amusée. Horrifiée. Réjouie. Décontenancée. Écœurée. Choquée. Ravie. Scandalisée. Hilare.

Voilà quelques adjectifs pour qualifier l'état dans lequel je me suis trouvée après chacune des quarante-deux textes qui composent ce recueil.

Autant dire que cette lecture fut une réussite.



Philip Le Roy manie l'art de la nouvelle : concision, efficacité de la narration et maîtrise de la chute.

Il a une imagination fertile et aborde des sujets très variés, surprenant sans cesse le lecteur et lui évitant de s'ennuyer.



L'auteur prévient dans la préface : "J'ai ainsi conçu ces nouvelles comme des cocktails Molotov lancés à la gueule de la bête tapie dans l'homme et contre les belles façades d'un monde d'illusion et de faux bonheur. Des histoires monstrueuses pour mieux traquer la monstruosité de l'humanité." : objectif atteint !



Un livre à ne pas mettre entre toutes les mains, un ouvrage d'une noirceur terrible qui ne vous sera d'aucun secours en cas de nuit blanche mais parfait si vous cherchez une lecture distrayante et sans prétention littéraire.



Merci à Babelio pour son opération Masse critique et aux éditions Cosmopolis pour leur envoi.



Pour finir, je voudrais mentionner deux bizarreries que j'ai relevées.

Page 27 : "un présentateur aussi charismatique qu'un palais de curling" m'a bien fait rire, je l'avoue. "Palet" semble plus approprié... enfin, pas tout à fait. Au hockey sur glace on utilise bien un "palet", mais au curling, l'objet que le joueur lance s'appelle une "pierre". En tout cas, pas un "palais". :-)

Page 49 : "il était devenu une cible facile pour les logarithmes du Net". L'auteur (ou l'éditeur) est manifestement fâché avec les mathématiques ! Il s'agit d'algorithmes et non de logarithmes.
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Fais de beaux rêves...

Je remercie énormément Rageot Editeur pour l'envoi, via net galley et en avant-première, du tout dernier roman de Philip Le Roy : Fais de beaux rêves.

Depuis le décès de ses parents, des archéologues excentriques, Joachim vit chez les Russo, une famille d’accueil.

Il est en 3e dans la même classe que les jumeaux de la famille. Mais sa seule amie est Wata, une amie imaginaire.

Depuis peu, il souffre de visions nocturnes. Cela inquiète ses parents adoptifs et le Dr Korsan, le psychiatre qui le suit.

Bientôt les étranges apparitions nocturnes se multiplient, se mettent à parler et deviennent menaçantes.

Joachim est-il en train de devenir fou ou y a-t-il vraiment « quelqu’un » qui cherche à communiquer avec lui ?

Fais de beaux rêves... est un roman pour adolescents qui invite à faire travailler son imagination :)

Joachim est un jeune garçon de 14 ans qui vient de perdre ses parents dans un accident de voiture.

Il a une personnalité complexe, à la limite de l'autisme par moment.

Il ne lui reste plus de famille alors il se retrouve en famille d'accueil chez Andrea, Luce et leurs jumeaux de presque 15 ans : Enzo et Manuela. Ils sont gentils avec lui même si, quelquefois, il se déroule des choses étranges chez eux..

Joachim va régulièrement chez le Docteur Korzan faire des séances d'hypnose qui sont parfois déroutantes pour nous lecteur mais aussi pour le personnage principal. En effet, le jeune garçon se retrouve dans un cimetière où il doit parler à ses parents. Le docteur essaye de faire resurgir des souvenirs de l'enterrement. Ainsi, il cherche à extraire ce souvenir de son esprit, comme une vilaine tumeur.

La nuit, il commence à avoir des visions nocturnes, à entendre des sons.. Et s'il était en danger dans sa nouvelle maison ?

Joachim est un solitaire, ses seules amies sont des amies imaginaires. Jusqu'au jour où il se rapproche d'Aline, dont la personnalité est assez complexe tout en étant totalement différente de Joachim.

Le jeune garçon n'a jamais été sur les écrans car ses parents ne le souhaitaient pas.

Alice quand à elle passe sa vie dessus !

Le décalage entre les deux à ce sujet donne lieu à des scènes amusantes.

Il a une voix imaginaire dans la tête, Waka, et là aussi c'est amusant car parfois il lui parle à elle et c'est Aline qui répond.

J'ai bien aimé les nombreuses références littéraires dont sont truffées ce roman qui évoque par exemple des poèmes de Baudelaire, mais aussi l'Attrape cœur ou le journal d'Anne Franck.

Fais de beaux rêves est un bon roman qui fait peur, qui fait marcher son imagination et qui fait sourire parfois.

Je n'ai pas eu de coup de cœur car je l'ai trouvé un peu long par moment. Il est pourtant très rythmé mais j'avoue avoir décroché ici et là.

Malgré tout, je ne regrette pas du tout ma lecture, je le recommande pour les adolescents et je mets un très joli quatre étoiles :)







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Dans la maison

J'avoue ressortir de cette lecture assez mitigée... Ayant lu énormément de bonne critique sur se livre, j'en attendais un peu plus.



Le spitch est simple : 8 amis en école d'art décident d'organiser une soirée sur le thème de la terreur dans une bergerie isolée du reste du monde, sans aucun voisinage et sans réseaux. A tour de rôle ils s'amusent à se faire peur quand soudain la soirée dérape.



Je crois que ce que j'ai le plus apprécié dans ce livre, c'est le prologue. Très bien écrit, mystérieux, intriguant, j'ai tout de suite voulu lire la suite. Mais c'est après que j'ai commencé à être déçue.

L'auteur commence par présenter ses huit personnages principaux avec leur description physique, leurs gouts et leurs traits de caractère, autant dire que cela fait beaucoup d'informations à emmagasiner...

Et je note le point d'honneur que l'auteur à mit à finir chaque chapitre sur une note sombre qui impose une certaine tension tout le long de la lecture.

Malgré cela j'ai trouvé qu'il y avait un peu trop de blabla, ce qui fait redescendre la tension et ce qui n'aide pas à rendre l'ambiance angoissante. De plus, les protagonistes sont des adolescents avec leur langage qui fait vraiment perdre de l'intensité à ce roman.

J'ai manqué de frissons.



Malgré cela, je le recommande à de jeunes lecteurs. Alors bonne lecture !
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Les ombres aussi ont peur du noir

Voici mon retour de lecture sur Les ombres aussi ont peur du noir de Philip Le Roy.

Mathis Dubreuil-Chamberland mène une vie de rêve… en apparence. L’adolescent est l’héritier désigné de l’entreprise de luxe familiale, mais il ne supporte plus les injonctions à la virilité de son père alors qu’il s’interroge sur son identité et ses attirances.

Et il doit passer l’été dans le vieux château familial peuplé de bruits nocturnes qui l’empêchent de dormir et l’angoissent.

Encouragé par son amie Hedy, il s’efforce d’aller au-devant de ses peurs. Ensemble, ils commencent à explorer le château à moitié abandonné, ses couloirs sans fin, les pièces noyées dans la pénombre…

Les ombres aussi ont peur du noir est un roman pour ados, mélange de thriller, horreur et de fantastique.

J'aime beaucoup les romans de Philip Le Roy mais cette fois ci mon avis est un peu plus mitigé que d'habitude.

J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ma lecture.

Pour tout vous avouer, ça fait plusieurs mois que j'essaye de le lire et que je m'y reprends à chaque fois sans dépasser les premiers chapitres.

Il y a quelques jours, enfin, je me suis forcé à plonger dedans et j'ai réussi à le lire presque d'une traite.

Mathis est un ado pourri gâté, un gosse de riche à lequel je n'ai pas réussi à m'attacher. Ses amis m'ont laissé autant indifférent que lui.

Heureusement, il y a Hedy, qui est plus sympathique. Elle apporte un vrai plus dans ce roman qui serait fade sans elle.

J'ai aimé le cadre dans lequel Mathis et son amie évoluent. Ce château familial est flippant. Mais alors vraiment très très flippant lol

Il s'y serait déroulé des choses étranges pendant la seconde guerre mondiale, une aile est condamnée mais des bruits bizarres en sortent..

Les habitants sont bizarres, à commencer par le grand-père de Mathis.

Le suspens monte crescendo.

Un mystérieux accident va survenir avec là encore un dénouement des plus surprenants.

Mathis change, c'est incompréhensible..

J'ai aimé les surprises, il y a de très bonnes choses dans ce roman à commencer par le cadre, l'ambiance, les références cinématographique au cinéma d'horreur.

Mais par moment j'ai trouvé qu'il y avait des longueurs. C'est un peu tiré par les cheveux ici et là.

Malgré tout, il y a des éléments qui fonctionnent parfaitement et malgré un début difficile ; j'ai finalement refermée ce roman en étant bluffée.

C'est pas mal du tout, cela valait le coup de m'accrocher au départ.

Je recommande Les ombres aussi ont peur du noir dont le titre prend tout son sens au fur et à mesure que les pages se tournent.

Ma note : quatre étoiles.
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1, 2, 3, nous irons au bois

Je remercie énormément les éditions Rageot Editeur pour l'envoi, via net galley de 1, 2, 3, nous irons au bois de Philip Le Roy. Ayant adoré Dans la maison, c'est avec plaisir que je me suis plongée dans ce thriller pour jeunes adultes.

Lassée de réviser pour le bac, Fanny surfe sur les réseaux sociaux et s'inscrit à un jeu nommé Ne reviens pas.

Elle est emmenée dans une forêt avec neuf autres adolescents. Le but des participants est d'user de tous les moyens légaux pour pousser les autres à quitter ce lieu.

Fanny découvre qu'il n'y a pas assez de kits de survie pour tout le monde et que le réseau ne fonctionne pas....

1, 2, 3, nous irons au bois est un mélange de thriller et roman d'horreur dont la cible est les jeunes adultes... et leurs parents :) Certes, je ne suis pas la cible au départ mais j'ai passé un très bon moment de lecture avec cet ouvrage.

J'ai frissonné à plusieurs reprises car la plume de Philip Le Roy est très parlante.

Ce roman est très actuel, il parle des réseaux sociaux, du harcèlement scolaire, du harcèlement sur les réseaux, de homosexualité..

Beaucoup de thèmes chers aux ados sont abordés ici et j'ai trouvé ce roman extrêmement bien ficelé.

Les personnages sont très intéressants. Ce sont des jeunes choisis au hasard pour un jeu télévisé mais est ce vraiment un jeu ? Est ce vraiment si simple que ça ?

J'avoue qu'il y a beaucoup de choses que je n'avais pas vu venir, une fois encore l'auteur a su m'étonner.

L'ambiance est géniale, ça fait peur.. parfois très peur même. Il est facile de se mettre à la place de ses jeunes, dans une forêt dense, où la lumière ne passe pas trop. J'ai frissonné avec eux surtout que je l'ai lu un soir, sans un bruit dans la maison... jusqu'à ce que mon chien ne bouge et ne fasse faire un énorme bond dans mon lit lol

Ce roman est dans la même veine que son précédent roman, Dans la nuit et j'ai adoré ma lecture.

Il est évident que je prendrais plaisir à lire le prochain roman de Philip Le Roy.

Ma note : cinq étoiles :)

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Marilyn X

Suicide ou assassinat ? On croyait tout savoir sur la fin de cette icone adulée, fantasmée, mythifiée.



Philip Le Roy propose une nouvelle hypothèse, tellement documentée qu'elle en est crédible, en faisant intervenir le rôle de la CIA, de la Mafia, des Kennedy, de Sinatra...

Mythe ou réalité ? chez Marilyn, il y a porosité entre les deux.



Dans une seconde partie, le scénario fictionnel domine, avec les rebondissements de ce que certains ont appelé un thriller. Et ça fonctionne.

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Dans la maison

L’auteur invite dans cette fameuse maison un groupe d’amis en classe de première, en plus d’être ados ils sont artistes, donc rien ne m’a étonné de leur part. Ayant moi-même deux adolescents à la maison, les codes de l’âge, les attitudes, les réactions m’ont paru très justes. J’ai souri de certains tics de langage, de certaines références cinématographiques. Il faut ici noter que ces jeunes gens sont assez intelligents ou en tout cas possèdent une certaine culture, mais comme tous les jeunes de leur âge, ils veulent découvrir leurs limites et aiment à se faire peur!
Lien : https://livresque78.wordpres..
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Léviatown

Hugo Van Helsing, descendant du fameux chasseur de vampires de Bram Stoker, dirait le plus sérieusement du monde : « malgré le positivisme ambiant, des montres rôdent encore dans nos mégalopoles éclairées au néon. »



Une collection de 12 romans, de belles couvertures, des monstres avec pour toile de fond notre société moderne. Chaque livre est indépendant mais avec des personnages récurrents.



J’ai apprécié cette lecture très visuelle, comme un bon film d’action, avec une héroïne pleine de ressources, Kathy Khan, descendante de Gengis Khan et kunoichi (femme Ninja), doit se battre à tous les étages contre une machination orchestrée par les quatre princes de l’enfer. Elle découvre, au fil de l’aventure, l’amitié, l’amour, emportée dans un train à grande vitesse.



La plume est vive, sans temps morts, on en prend plein les yeux et les oreilles avec des bandes sons qui nous poussent à aller les écouter si on ne les connaît pas !



Le parallélisme fait entre l’avènement du mal et la tour construite sur les décombres du World Trade Center, est excellent.



Le final est très surprenant et tellement bien construit qu’il en est probant et on se plaît à imaginer une vérité à tout cela…



Une lecture emplie d’hémoglobine et d’action, dans une tour avec des étages cachés, des ascenseurs truqués, des tueurs dans tous les coins et des personnages complètement étranges…



Avec Léviatown, Philip Le Roy aborde un aspect très intéressant et donne matière à s’amuser et réfléchir… Il imagine que la Freedom Tower, construite sur les décombres du World Trade Center incarne le nouveau pouvoir économique aux yeux du monde et que Hugo Van Helsing y détecte un signe de l’apogée de Léviathan sur terre.



Je n’ai d’ailleurs pas pu résister et j’ai réussi à me procurer la quasi totalité des titres… Je tenterais de vous faire découvrir d’autres livres issus de ce fameux club…


Lien : https://julitlesmots.com/201..
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La brigade des fous : Red Code

Seconde mission de la Brigade des fous, ces ados à problèmes partent une fois de plus sauver l’écosystème. Cette fois ils doivent retourner au lycée pour surveiller des réfugier Afghans, potentiellement kamikazes. Cependant difficile pour des êtres hors du commun comme eux de passer inaperçus au lycée, en plus les adultes qui les emploient commencent à douter de leurs méthodes et de leurs capacités. Heureusement, ils ont encore beaucoup de tours dans leur chapeau.
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Des voisins trop secrets

Un soir, Lorraine entend quelque chose, de quoi s'agit-il ?

Un cri.
Un tir.
Un claquement de doigts.

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